Origine
Byzance, autrement appelée Constantinople du nom de l'empereur Constantin qui décida d’y établir son empire, était une ville symbole d’opulence. Depuis, cette image est restée et l’on s’écrie parfois "C’est Byzance" pour figurer que l’on est surpris par une profusion de richesses ou de luxe. Cette expression est parfois utilisée de façon ironique. Elle a été popularisée par une pièce de théâtre, avec la réplique : "Quel luxe ! Quel stupre ! Mais c'est Byzance !".
Origine
Cette expression datant du XVIIe siècle est issue d'une fable de Jean de la Fontaine. Il s'agit d'une métaphore où l'on compare l'impossibilité de boire toute la mer et une tâche que l'on trouve difficile à accomplir. Elle permet de relativiser.
Signification
Etre à la merci de quelqu'un, être dans une situation périlleuse. Cette expression signifie aussi être marié, ne plus pouvoir faire ce qu'on veut.
Origine
Le premier sens de l'expression date du début du XVe siècle. C'est une métaphore illustrant les vaincus qui se livrent en se présentant, en chemise et une corde au cou. L'autre sens est une métaphore venant de l'usage qui peut être fait d'une corde, lorsque le condamné est sous la potence, avec le noeud coulant déjà autour du cou.
Origine
Le mot baraka est issu de l'arabe, il signifie bénédiction. La baraka c'est quelque chose auquel on ne s'attendait pas, et qui agit de façon positive ; c'est avoir de la chance. Cette expression est passée dans le laquage courant à l'époque de la colonisation au Maghreb, parce que les Pieds-Noirs d'Algérie l'utilisaient couramment.
Signification
Rassembler tous les proches dont on attend de l'aide.
Origine
Datée du XIXème siècle, cette expression est, à l'origine, un terme féodal utilisé au XIIème siècle. À cette époque, le ""ban"" désignait les vassaux directs du seigneur et ""l'arrière-ban"" représentait les vassaux indirects, à savoir les vassaux des vassaux. Lorsque le seigneur convoquait le ban et l'arrière-ban, il rassemblait tous les hommes placés sous ses ordres afin qu'ils prennent les armes.
Signification
Etre à la merci de quelqu'un, être dans une situation périlleuse. Cette expression signifie aussi être marié, ne plus pouvoir faire ce qu'on veut.
Origine
Le premier sens de l'expression date du début du XVe siècle. C'est une métaphore illustrant les vaincus qui se livrent en se présentant, en chemise et une corde au cou. L'autre sens est une métaphore venant de l'usage qui peut être fait d'une corde, lorsque le condamné est sous la potence, avec le noeud coulant déjà autour du cou.
Signification
Obéir aux règles du pays dans lequel on se trouve.
Origine
Expression que l'on attribue à Ambroise de Milan au IVe siècle. Lorsqu'Augustin lui aurait demandé si le jour de repos devait se prendre le samedi comme à Milan ou le dimanche comme à Rome, Ambroise lui répondit "si fueris Romae, Romano vivito more; si fueris alibi, vivito sicut ibi" signifiant "Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit". Elle conserva son sens premier jusqu'à aujourd'hui.