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Bric à brac
Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 16:51:35


VIOLENCES SEXISTES ET SEXUELLES : L'animateur Stéphane Plaza accusé de violences conjugales par trois anciennes compagnes :

Les témoignages décrivent une personnalité très différente de son image publique. L'animateur de M6 Stéphane Plaza est accusé par trois anciennes compagnes de violences verbales et physiques, révèle une enquête publiée jeudi 21 septembre par Mediapart. "Il a alors saisi ma main au niveau des doigts et les a retournés avec violence", raconte ainsi l'une d'elles dans un témoignage écrit consulté par le site d'investigation. "J'ai hurlé de douleur. Trois de mes doigts pendaient, ils sont devenus rapidement violets et gonflés."
L'enquête dépeint un homme qui multiplie les conquêtes et use de pressions psychologiques sur les femmes avec qui il entretient une liaison. Stéphane Plaza "exerce des manipulations, des pressions et des maltraitances" afin de "faire cohabiter plusieurs relations sérieuses en même temps", toujours selon le même témoignage. "Le problème grave, ce n'est pas l'infidélité, mais les violences", ajoute cette ex-compagne.
Une autre ancienne compagne, rencontrée sur l'émission "Recherche appartement ou maison", décrit elle aussi une relation toxique. "J'ai d'abord cru que je vivais un rêve", raconte-t-elle. Mais elle constate une évolution dans le comportement de l'animateur. "Il était parfois très agressif, il me disait que s'il me voyait avec quelqu'un, il me tuerait", affirme-t-elle. Cette ancienne compagne évoque aussi le dénigrement et les humiliations qu'elle a subis de la part de la star de la télé. "C'est toi qui as de la chance d'être avec moi, pas l'inverse", lance-t-il un jour dans une conversation. Elle finit par déposer une main courante pour des violences et des menaces.
Interrogé par le biais de son avocate, Stéphane Plaza dénonce "des allégations totalement extrapolées, voire mensongères", et des "accusations fantaisistes". L'avocate ajoute que "la plupart de ces allégations ne sont pas étrangères à trois femmes qu'il a fréquentées et qui, finalement éconduites, se sont liguées contre lui pour lui porter préjudice par tous les moyens". Le spécialiste de l'immobilier annonce même avoir porté plainte "pour harcèlement et cyberharcèlement".
Les avocats de Stéphane Plaza ont ensuite dénoncé "des accusations diffamatoires et injurieuses" envers l'animateur, selon un communiqué. "Mediapart s'est fait le relais de trois femmes qui portent atteinte à la dignité" de Stéphane Plaza, "se rendant ainsi complice du dénigrement public à l'encontre de ce dernier, alors qu'elles sont visées par une plainte pénale qu'il a déposée [contre elles] pour harcèlement et cyberharcèlement", peut-on encore lire. Sollicité par l'AFP, le groupe M6 n'avait pas réagi.

Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 16:58:57


GARDE A VUE D'ARIANE LAVRILLEUX :

C'est une attaque claire, nette et précise contre la liberté d'informer", s'est indignée vendredi 22 septembre sur franceinfo Ariane Lavrilleux, journaliste du site d'investigation Disclose, placée en garde à vue pendant près de 40 heures, après avoir notamment révélé fin 2021 un possible détournement par l'Égypte d'une opération de renseignement française. "Tous mes outils de travail, dont mon ordinateur, ont été perquisitionnés. On a utilisé des outils de cybersurveillance pour fouiller mes mails. C'est une expérience très violente", témoigne la journaliste. Ariane Lavrilleux est sortie libre de sa garde à vue : "Je ne sais pas si je ne vais pas être mise en examen dans les prochains jours, dans les prochains mois, ce n'est pas du tout exclu", dit-elle. Un ancien militaire, soupçonné d’être sa source, a été mis en examen. "ll y a une volonté de faire taire tous les lanceurs d’alerte", affirme-t-elle.

Que cherchaient les agents du renseignement précisément lors de la perquisition de votre domicile ?

Ariane Lavrilleux : Ils cherchaient à m'intimider. Et puis surtout à savoir quelles étaient les sources avec Disclose, depuis quand je travaillais pour Disclose, comment on avait enquêté sur les ventes d'armes de la France à l'Égypte et sur cette coopération mortifère entre la France et l'Égypte puisque la France, depuis 2016, fournit du renseignement militaire et humain gratuitement à la dictature du maréchal al-Sissi pour l'aider à réprimer massivement sa population et effectuer des bombardements de civils dans le désert égyptien sous couvert de lutte antiterroriste. C'est une opération secrète, l’opération Sirli, qu'on a révélée dans l'enquête qui s'appelle "Les mémos de la terreur". Ça n'a pas du tout plu à l'État égyptien et à l'État français qui a ouvert une enquête pour compromission du secret de la défense nationale parce que cette enquête repose en partie sur des notes confidentielles défenses.

Avez-vous eu le sentiment d'être intimidée pendant les 40 heures de garde à vue ?

Ariane Lavrilleux : Le mot intimidation est un peu faible. En fait, c'est une attaque claire, nette et précise contre la liberté d'informer et contre les sources des journalistes qui veulent dénoncer des crimes d'État parce qu'on parle d'exécutions sommaires perpétrées par l'Égypte avec le soutien de la France. C'est une attaque contre des journalistes dans mon domicile qui a été fouillé. Tous mes outils de travail, dont mon ordinateur, ont été perquisitionnés. On a utilisé des outils de cybersurveillance pour fouiller mes mails.
J’ai été correspondante longtemps en Égypte. J’étais jusqu'ici assez soulagé d'avoir échappé à la dictature. Je rentre dans mon pays et, en fait, j'apprends que je suis traquée parce que j'étais sous surveillance depuis un certain temps par les services.

Quand avez-vous appris que vous étiez sous surveillance ?

Ariane Lavrilleux : Je l'ai appris au cours de la perquisition mardi matin. La dizaine d'agents du renseignement et le magistrat qui étaient sur place chez moi ont indiqué effectivement que j'étais sous surveillance depuis un certain temps. C’est assez grave. On parle vraiment là d'une atteinte très grave dans un pays démocratique.

Vous n'êtes pas poursuivie. En revanche, un ancien militaire a été mis en examen dans le cadre de cette enquête. La justice le soupçonne d'avoir été votre source. C'est un message envoyé à d'éventuels lanceurs d'alerte ?

Ariane Lavrilleux : Pour le moment, je ne sais pas si je suis sortie d'affaire. Je ne sais pas si je ne vais pas être mise en examen dans les prochains jours, dans les prochains mois, ce n'est pas du tout exclu. On a franchi un cap extraordinaire avec cette perquisition, cette garde à vue qui est très rare. Il n'y a que trois journalistes ces 20 dernières années qui ont subi une telle attaque. Pour ce qui est de cette personne, je ne sais pas ce qui va se passer. Mais en tout cas, ce qui est clair, c'est qu'il y a une volonté de faire taire tous les lanceurs d'alerte qui veulent dénoncer des choses illégales, illicites, qui se passent dans leurs entreprises, dans leurs institutions. Ce qu'on a révélé en fait avec Disclose, dans cette enquête collective, c'est que les militaires pendant des mois, des années, ont lancé des alertes, ont alerté les pouvoirs politiques, ont alerté Emmanuel Macron, François Hollande, Jean-Yves Le Drian et il n'y a pas eu de réaction politique pour mettre fin à cette opération. Donc le journalisme prend le relais quand au sein des institutions il n'y a pas de réactions.

Pourquoi le secret des sources est-il si important ?

Ariane Lavrilleux : Qui va oser parler ? Qui va oser dénoncer des choses graves comme des crimes d'État ou des injustices au sein d'une institution ? On peut penser à Irène Frachon qui avait dénoncé aussi le scandale du Mediator. On veut garantir la protection, la confidentialité des gens qui informent les journalistes pour leur garantir la sécurité et pour qu'ensuite on puisse continuer d'être informés, pour que tous les citoyens puissent savoir ce que font les gouvernements en leur nom, en notre nom, avec nos impôts. C'est vraiment primordial dans une démocratie.
Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 17:02:26


MARCHES "CONTRE LES VIOLENCES POLICIERES ET LE RACISME SYSTEMIQUE" CE SAMEDI : une participation réévaluée à la hausse :

À l'appel d'une centaine d'organisations syndicales et de partis politique, dont LFI et Europe Écologie-Les Verts, de nombreuses marches sont organisées ce samedi 23 septembre en France "contre le racisme systémique, les violences policières et pour les libertés publiques". Selon une note du renseignement territorial que RTL a pu consulter, jusqu'à 30.000 personnes sont attendues dans près de 116 rassemblements dans toute la France. Une participation réévaluée à la hausse puisqu'en milieu de semaine, le renseignement évaluait la participation maximum à 26.000 personnes pour seulement 70 marches recensées.
Dans cette note, le renseignement s'inquiète de risques de violences dans une quinzaine de communes dont Rennes, Lille ou Grenoble. "Des troubles à l’ordre public sont également prévus à Nice, où un rassemblement antidrogue à proximité de la marche est organisé par l’ultra-droite. Un risque d’affrontement pourrait ainsi avoir lieu avec l’ultragauche", précise la note.
Jeudi 21 septembre, chez nos confrères de BFMTV, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a évoqué la possibilité d'une interdiction de plusieurs de ces manifestations. "Des préfets [...] pourraient prendre des arrêtés d'interdiction mais c'est aux préfets de prendre leurs responsabilités, chacun dans leur département. Il n'y a pas de consigne générale", a-t-il expliqué.
Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 17:06:08


FAUSSES ALERTES A LA BOMBE DANS LES COLLEGES ET LYCEES : plus d'une centaine d'enquêtes ouvertes par la police en 2023 :

Quarante-deux évacuations de collèges et lycées depuis la rentrée, d'après un décompte de l'Éducation nationale, des dizaines et des dizaines d'autres depuis début janvier à la suite de messages de menaces envoyés par mail ou via le piratage des Espaces numériques de travail (ENT). Le phénomène des fausses alertes qui pourrissent la vie des établissements scolaires partout en France se traduit aussi au niveau judiciaire.
Plus d'une centaine d'enquêtes ont été ouvertes sur l'ensemble du territoire, d'après un bilan de la Direction générale de la police nationale (DGPN) communiqué à RTL. Une vingtaine d'affaires ont été confiées à l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information (OCLCTIC) de la Police judiciaire, et les autres à différents services de police territoriaux partout en France.
Un nombre élevé qui traduit l'étendue du phénomène, d'autant que chaque enquête peut elle-même correspondre à plusieurs alertes quand l'auteur est identique. En outre, ce décompte n'intègre ni les faits recensés par la Préfecture de police de Paris et ni ceux commis en zone gendarmerie
La nature et le texte précis des menaces varient selon les vagues de mails ou de piratages, mais elles ont le même point commun : il s'agit, pour l'intégralité des faits, de fausses alertes lancées par de jeunes hackers et destinées à perturber la vie scolaire. Aucun lien n'a pu être fait avec une menace terroriste réelle.
Trois adolescents de 14, 15 et 17 ans ont été mis en examen en février pour 37 fausses menaces recensées. Deux autres, nés en 2008, l'ont été en juin pour avoir été à l'origine de 27 faits, d'après le journal Le Monde. Plusieurs encore ont été interpellés ces derniers jours, dont trois jeudi 21 septembre, à Tarbes (65), Combs-la-Ville (77) et Arpajon (91) d'après les informations de M6.
Selon un décompte de l'Éducation nationale transmis à RTL, 47 fausses alertes ont touché des collèges et des lycées entre le 4 et le 20 septembre. Seules cinq d'entre elles n'ont pas donné lieu à évacuation. Toutes les académies sont concernées : Bordeaux (8 alertes), Versailles (5), Rennes (3) Créteil (4), Normandie (15), Lille (3), etc.
À chaque fois, il s'agit d'adolescents ou de jeunes majeurs qui n'ont pas de liens géographiques entre eux. Certains se sont rencontrés via les réseaux sociaux ou des forums de jeux vidéos avant de monter des opérations de vols de mots de passe de collégiens puis de pirater les ENT de certains établissements. D'autres se contentent de générer de fausses adresses mail sur des messageries, pensant ainsi garantir leur anonymat.
Les messages menacent régulièrement "d'exterminer les kouffars", copient de soi-disant versets du Coran ou prétendent plus classiquement qu'une bombe a été placée dans un établissement. À chaque fois quasiment, l'Éducation nationale est contrainte d'évacuer, ce qui provoque l'interruption des cours pendant de longues heures. Certains élèves filment les évacuations et postent les vidéos sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, prenant le risque de donner de l'ampleur au phénomène.
La plupart des suspects mis en examen sont poursuivis pour "menace de morts" et "atteinte à un système de traitement automatisé de données". Ils encourent de lourdes peines d'amende et de prison.
Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 17:08:45


PROFESSEUR TUÉ A DUNKERQUE :
La compagne de Patrice Charlemagne, cet enseignant de l'Université du Littoral Côte d'Opale retrouvé mort poignardé chez lui lundi, a avoué l'homicide en garde à vue. Le professeur avait reçu une douzaine de coups de couteau. Sa garde à vue est prolongée.
Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 17:13:58


Pourquoi devenir reine a coûté plusieurs milliers d'euros à Camilla ?

Le roi Charles III est arrivé à Paris, mercredi 20 septembre, accompagné de son épouse, la reine Camilla. Pour se préparer à devenir Reine, Camilla a suivi un régime drastique avec une diététicienne et a perdu une dizaine de kilos, soit deux tailles de vêtements. Ce qui l’a obligée à changer toute sa garde-robe.
Cette métamorphose a été encouragée par Charles, qui était lui-même incité par ses conseils en communication qui estimaient que son look ne collait pas aux standards exigés pour un membre de la famille royale. Surtout en comparaison de Diana. C’est d’ailleurs pour ça qu’on lui a refilé son styliste.
L'apparence physique de Camilla a changé, pas seulement son style. Pour ses cheveux, elle portait un blond platine, quasi blanc, qui lui faisait faire ses 76 ans. On lui a réchauffé avec un blond miel qui adoucit le visage. Pour les rides, elle aurait eu pour 11.600 euros d’esthétique, avec peelings et traitement laser pour les pattes d’oie, les rides autour de la bouche.
La reine a aussi eu recours à un blanchiment dentaire, car elle a fumé pendant plus de 40 ans, et à un réalignement de ses dents. Enfin, elle a aussi fait des injections. Pas de botox, mais d’un produit à base de venin d’abeilles, comme Victoria Beckham ou Gwyneth Paltrow.
Pour bien retendre sa peau, elle utiliserait une crème naturelle à base d’orties, qui a le même effet que le botox. Il stimule l’épiderme et l’oblige à produire du collagène et de l’élastine. Mais lui, il est bio et on sait que ça compte pour Charles ! Tout ça, la reine Camilla l’a fait en à peine six mois.
Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 17:17:35


SAONE-ET-LOIRE :
La mairie d’Autun (Saône-et-Loire) a pris un arrêté du 1er octobre 2023 jusqu’au 31 mai 2024 pour interdire la vente de protoxyde d’azote, rapporte Le Journal de Saône-et-Loire. Les cartouches de ce produit, servant généralement dans les siphons à chantilly, sont utilisées de façon détournée depuis plusieurs années pour ses effets euphorisants, malgré les risques de séquelles neurologiques.
« Ce que nous avons retrouvé sur la voie publique nous a mis la puce à l’oreille », a argumenté le maire Vincent Chauvet. Des cartouches seraient retrouvées de plus en plus sur les voies publiques, dans les parcs ou dans les jardins. En parallèle, des alertes de parents d’élèves seraient également remontées, d’autant que la consommation de ce produit, en vente libre, serait particulièrement populaire chez les jeunes.
Les commerces de la ville ont donc jusqu’au 1er octobre pour écouler leurs stocks. Cet arrêté interdit aussi la consommation de protoxyde d’azote par inhalation pour les personnes mineures sur divers sites de la commune.
Auteur : Jade30 
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Date :    22-09-2023 17:19:59


APPLE : Grève pour la revalorisation des salaires en France, à l’heure du lancement de l’iPhone 15 :

Une salle deux ambiances. Alors qu’une file de clients impatients de s’offrir le dernier modèle iPhone s’étire devant l’Apple store Opéra, des salariés se sont mis en grève pour réclamer une revalorisation des salaires. « On n’est pas là pour empêcher de vendre des iPhones mais pour avoir un salaire décent », a répété aux nombreux médias présents Renaud Chateauroux, délégué syndical CFDT.
L’intersyndicale d’Apple Retail France (CGT, Unsa, CFDT et Cidre-CFTC) avait appelé mercredi à un mouvement de grève, sans blocage, dans les vingt magasins de l’entreprise en France.
« La direction a proposé une augmentation de 4,5 % cet été, c’est beaucoup moins que le coût de la vie et de l’inflation. On demande 7 % et le dégel des recrutements. On a perdu 400 postes depuis le début de l’année, et on n’a pas moins de clients », a-t-il déclaré à l’AFP.

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