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Protection animale
Auteur : Aigle 
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Date :    02-05-2025 06:22:43


Journée Mondiale du THON

Ce produit est en quelque sorte victime de son succès nutritionnel.
Le thon et les espèces apparentées sont riches en Oméga-3 et contiennent entre autres des minéraux, des protéines et de la vitamine B12.
Ces incroyables qualités sont à l'origine de sa demande de plus en plus massive et de sa surpêche.
Auteur : Aigle 
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Date :    05-05-2025 11:36:12


Le SILURE de plus de 2 mètres
pêché dans la Seine jeudi, en plein centre de Paris.
et filmé par Jamel Debbouze est-il rare ? Ce ne serait pas exceptionnel.
La présence de tels poissons ne révèle pas grand chose de la qualité de l'eau de la Seine. Ce poisson est plutôt résistant.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-05-2025 21:56:08


FOURRIERES : quand l’argent public sert à des abattages de masse d’animaux, comme à la SACPA de Betton

Ils s’appelaient Rocky, Mika, Jazz, d’autres n’avaient même pas de nom. Ils ont été tués en toute légalité, avec nos impôts. Il y a quelques semaines, nous – One Voice – relayions la gestion calamiteuse de la SACPA de Vaux-le-Pénil. La direction s’empressait de démentir et annonçait même dans la presse porter plainte contre le lanceur d’alerte et One Voice. Aujourd’hui, ce sont les témoins des atrocités perpétrées quotidiennement sur nos compagnons par le même groupe, à Betton, près de Rennes, qui dénoncent à leur tour. « Je ne compte plus les fois où sur le trajet du travail, j’ai eu envie de pleurer, vomir, faire demi-tour… J’avais… peur des euthanasies… ». Nous déposons plainte et demandons à ce que la gestion de cette fourrière soit retirée au groupe.

Les témoignages reçus par One Voice sont glaçants. Des animaux brutalisés par les responsables, certains arrivant blessés laissés sans soins à agoniser, des protocoles d’« euthanasies » d’une cruauté inouïe, qui se pratiquent sans sédation préalable pour les chats, causant leur mort dans d’atroces souffrances. D’autres placés vivants dans les congélateurs d’équarrissage. La détention illégale d’animaux sauvages. Le tout au sein de locaux vétustes. La fourrière de Betton, conventionnée, est financée par plus de 200 villes d’Ille-et-Vilaine.

Monsieur A a donc pris la chienne au lasso qui ne se débattait même pas et qui était coincée dans le fond de son box, terrorisée, je n’oublierai jamais son regard… Je suis partie en intervention en larmes.

Quand l’argent public sert à négliger, maltraiter et tuer

En France, la gestion des animaux errants est financée par l’enveloppe budgétaire des déchets des communes. Les municipalités ont l’obligation de conclure un contrat de service public avec une fourrière et de lui verser une dotation annuelle. Quand un chien ou un chat en divagation est capturé, il est conduit entre quatre murs, et pour certains, c’est dans ce lieu sombre et froid qu’ils passeront leurs derniers jours, avant de recevoir une injection létale en plein cœur. Tout ceci est parfaitement légal et payé par le contribuable. C’est la méthode qu’a choisie la France pour « réguler » errance et abandons…

«J’ai des souvenirs abominables»

Les employés sont eux-mêmes victimes de ce système. « On nous fait ravaler notre empathie à grands coups de “si tu veux sauver des animaux, c’est pas ici qu’il faut bosser” ». Lorsqu’ils dénoncent des abus, ils sont ignorés. Parfois, ils sont même « punis » par leurs supérieurs qui utilisent les abattages comme sanctions :

Il y a eu un jour une chatte qui s’est échappée de son box et qui avait des petits (ils étaient sains, hormis l’un d’eux qui avait un coryza tout à fait soignable et mangeaient seuls), les chatons ont été euthanasiés pour punir les personnes qui avaient mal fermé la porte du box ! Monsieur A et Monsieur B ont alors dit “ça vous apprendra à faire plus attention la prochaine fois”.

Nos dernières recherches nous ont permis d’établir une liste — non exhaustive — de 243 fourrières en France. Mais il n’existe à ce jour aucun registre public permettant de comptabiliser leur nombre officiel au niveau national. Comment est-il possible que l’État ne soit pas en mesure de fournir des chiffres clairs et précis sur le nombre d’animaux qui y entrent et en ressortent, ni dans quel état ? Restitués à leur famille, transférés dans un refuge, abattus ? Occulter l’ampleur des pratiques condamnables est le meilleur moyen de les faire perdurer, et pour la SACPA, d’engranger des profits, scandaleusement.

One Voice dépose plainte contre les responsables de l’établissement, contre le vétérinaire qui y intervient et contre le groupe SACPA pour les faits suivants :

– L’exercice d’une activité de garde de chiens et de chats sans respecter les normes relatives aux locaux et aux installations, fait prévu et réprimé à l’article R. 215-5 du Code rural et de la pêche maritime (CRPM) ;
– Le délit résultant des mauvais traitements exercés volontairement à l’encontre des animaux placés sous la garde, prévu aux articles L.214-3 et R.214-17 du CRPM et réprimé à l’article L. 215-11 du CRPM ;
– Le délit résultant de sévices graves et actes de cruauté envers un animal domestique ou apprivoisé, prévu et réprimé à l’article 521-1 du Code pénal ;
– Le délit d’atteinte volontaire à la vie d’un animal, prévu et réprimé à l’article 522-1 du Code pénal ;
– Le délit de harcèlement moral envers les salariés, prévu et réprimé à l’article 222-33-2 du Code pénal.

One Voice demande l’ouverture d’une enquête et le retrait du marché public octroyé à ce prestataire pour la fourrière de Betton.

Signez la pétition de One Voice réclamant la fin de ces massacres et exigeant une transparence totale sur le sort des animaux abandonnés :

https://one-voice.fr/petition/pour-la-fin-de-lomerta-et-des-abattages-dans-les-fourrieres/
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-05-2025 21:58:39


MORT DE CARAMELLES : les 16 chasseurs enfin condamnés !

Nous avons une pensée émue pour Caramelles alors que les chasseurs qui l’ont tuée sont enfin reconnus coupables. Ils avaient sciemment pénétré dans une zone interdite à la chasse et provoqué sa mort en novembre 2021. La justice est enfin accordée à cette mère, dont la mort avait laissé deux orphelins. Mais quel avenir pour les ours dans les Pyrénées ?

Deux jours de procès les 18 et 19 mars derniers : inédit pour une affaire de protection animale ! Il n’en fallait pas moins pour juger les 16 chasseurs responsables de la mort de Caramelles. Leurs imprudences successives et leur laxisme ont conduit à l’irréparable : la mort d’une ourse, tuée lors d’une battue illégale en plein cœur d’une réserve de chasse et de faune sauvage.

Une invasion du territoire de l’ourse et de ses petits

Le 20 novembre 2021, tous les signes montraient aux chasseurs qu’ils se trouvaient dans une zone interdite d’accès. Un endroit où tout le monde savait que Caramelles avait élu domicile avec ses oursons. L’été précédant cette catastrophe, des touristes s’y bousculaient. Comment les coupables peuvent-ils dès lors prétendre ne pas savoir où se trouvait cette mère attentive ?

Et pourtant, en bafouant allègrement le peu de règles encadrant leur loisir, ils ont empiété sur son territoire. Le tireur qui s’est retrouvé face à l’ourse n’aurait pas dû être là. Par son imprudence, il a mis cette famille en danger, mais également lui-même. Caramelles l’a blessé en cherchant à protéger ses bébés. Elle est morte sous les balles, tout comme sa mère Melba, en Haute-Garonne il y a 28 ans. Aujourd’hui, les 16 braconniers sont condamnés pour avoir délibérément traqué des animaux dans une réserve.

Une décision exemplaire et coercitive, appelant à une responsabilisation des chasseurs

Ce 6 mai 2025, le tribunal a reconnu les négligences successives des accusés causant ce drame. L’homme qui a abattu Caramelles écope de quatre mois de prison avec sursis. Son permis de chasse lui est retiré temporairement, tout comme ceux de deux autres prévenus.. Tous les autres sont condamnés à des peines d’amende, et pour certains à la confiscation de leurs armes. Nous n’en attendions pas moins et souhaitons que le droit soit ferme vis-à-vis de ceux qui nuisent à la vie des ours, comme la justice espagnole nous l’a montré récemment en condamnant à la prison ferme un chasseur pour des faits similaires.

« Cette décision remarquable montre combien il est nécessaire de préserver les ours présents dans nos Pyrénées, mais surtout d’apprendre à réellement cohabiter avec eux. Elle ne nous ramènera pas Caramelles, mais une justice posthume lui est rendue. Nous espérons que ses deux petits, désormais devenus grands, connaîtront des jours paisibles dans des montagnes où les autorités continuent d’autoriser leur harcèlement. Cet été encore, s’il le faut, nous serons dans les tribunaux pour les ours, puisque visiblement, seules les associations les défendent face aux lobbys… »

Muriel ARNAL
( Présidente de One Voice )

Il est temps de laisser les ours en paix, de chaque côté des Pyrénées, comme 8 Français sur 10 le réclament (sondage Ipsos/One Voice, novembre 2024). L’État, grand absent du procès, doit s’activer pour protéger ceux qui peuplent nos montagnes, et que lui-même a « réintroduits ». L’acharnement doit cesser, qu’il s’agisse de tirs d’effarouchement, de braconnage ou de chasseurs malintentionnés.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-05-2025 22:01:27


ANIMAUX SAUVAGES DANS LES CIRQUES : l’État paie pour enterrer le problème, pas pour le résoudre

Alors que l’interdiction de détention d’animaux sauvages dans les cirques itinérants entrera enfin en vigueur en 2028, le ministère de la Transition écologique a dévoilé le 2 mai un « plan d’accompagnement » qui aurait pu marquer une avancée historique. Dans les faits, il ressemble davantage à un bricolage budgétaire maquillé en politique de transition. Depuis des années, One Voice propose son aide à ce même ministère pour accompagner la reconversion des circassiens… Faire mine de s’en soucier en 2025 alors que la loi a été votée en 2021, et tout cela en rappelant aux municipalités leur obligation de les accueillir, ressemble à une plaisanterie de mauvais goût. Que d’inconséquence… Et c’est encore et toujours les animaux qui en payent le prix fort.

Cinq mesures sont annoncées via le décret n° 2025-396 du 30 avril 2025 relatif à l’accompagnement financier des établissements itinérants de présentation au public d’animaux d’espèces non domestiques, avec à la clé plusieurs millions d’euros… pas pour les animaux. Pas pour les sanctuaires. Pas pour construire des lieux d’accueil. Non. Pour subventionner l’attente. Subventionner l’échec. Subventionner l’absence totale d’anticipation.

°°° Payer les cirques qui continuent de détenir des animaux

Cerise sur le chapiteau : la mesure 4 prévoit une aide mensuelle versée aux établissements… qui ne trouvent pas de place pour leurs animaux. L’État versera donc 600 euros par mois aux cirques pour chaque loup, ours, otarie, tigre, panthère, lion, lynx, guépard, puma, jaguar, hyène, éléphant, hippopotame. Autrement dit : nos dirigeants admettent qu’ils n’ont aucune solution concrète de relogement à trois ans de l’échéance légale. Pire, ils prévoient de payer les cirques pour continuer à détenir ces animaux en attendant on ne sait trop quoi — une place miracle, un décès discret, ou l’oubli médiatique.

Pendant ce temps, One Voice finance la construction de parcs, les transferts et les soins aux fauves saisis dans les cirques. Plus ceux-ci enfermeront d’animaux dans leurs camions, plus ils gagneront d’argent…

°°° L’argent du silence, la souffrance en héritage

Plutôt que d’investir dans des sanctuaires, des partenariats internationaux ou même un grand plan de création de structures adaptées, le ministère de la Transition écologique préfère signer des chèques à ceux-là mêmes qui ont profité de la captivité animale pendant des décennies. Jusqu’à 100 000 euros par établissement, 150 000 euros par capacitaire, et même 50 000 euros par éléphante. Et puis maintenant qu’il n’en reste plus qu’une, Samba… pas la peine de se presser. Les hippopotames, tels que Jumbo et Boulie, valent, eux, 30 000 euros. Une logique brutale pour les animaux, réduits à des marchandises administratives qu’on brade en fin de stock.

Il ne s’agit pas ici d’accompagner une transition, mais de solder une hypocrisie. Le gouvernement préfère payer l’immobilisme plutôt que financer l’avenir. Les animaux attendent des lieux dignes. Les sanctuaires attendent des moyens. Mais les chèques, eux, partiront chez les dresseurs qui continuent leur sale business, financé dorénavant par les contribuables.

2028 approche. Le compte à rebours est lancé. À ce rythme, ce n’est pas la fin des animaux dans les cirques que l’État prépare. C’est leur abandon.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-05-2025 22:09:16


NOUVELLE INSTRUCTION INTERMINISTERIELLE : Le soutien indéfectible de l’État aux cirques avec animaux

One Voice a pu se procurer une instruction signée des ministres de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire et transmise aux préfectures fin avril 2025. L’intention est claire : inciter les mairies à accepter l’installation de cirques itinérants dans leurs communes et inviter les préfets à contrôler les décisions des édiles qui s’y opposent. One Voice dénonce cette prise de position qui démontre clairement que l’État n’a que faire du sort des animaux captifs ; et l’exhorte à mener des contrôles des cirques et faire respecter la loi en matière de bien-être animal.

« FACILITER L’ACCES DES PROFESSIONS FORAINES ET CIRCASSIENNES AU DOMAINE PUBLIC » : le ton est (re)donné. C’est par cette phrase sans ambiguïté que les ministres ont débuté leur dernière instruction ministérielle relative à l’accueil des cirques itinérants sur les territoires des communes. Objectif ? Rappeler aux préfets que les maires ne peuvent pas refuser leur installation au motif qu’ils exploitent des animaux sauvages, l’interdiction ne s’appliquant qu’à compter de 2028.

°°°° Professionnels de la maltraitance

En 2021 déjà, One Voice dénonciait cette même prise de position de l’État qui, au lieu d’anticiper le placement en sanctuaire d’animaux dont la détention était promise à une interdiction prochaine, préfère encourager leur maintien dans des camions-cages le plus longtemps possible.

Ces dernières années, nous avons obtenu la condamnation de multiples dresseurs, prouvant ce que nous avons toujours dénoncé : les circassiens n’aiment pas leurs animaux « comme leur famille », mais sont uniquement intéressés par l’argent qu’ils leur rapportent.

Entre autres :

• Plusieurs membres de la famille Gougeon, du CIRQUE DE PARIS : reconnu coupable en première instance (confirmé en appel) des sévices commis à l’encontre DU LION JON ET DES LIONNES CELESTE, PATTY, HANNAH ET MARLI et condamné à deux mois de prison avec sursis, cinq peines d’amende, l’interdiction d’exercer une activité professionnelle avec des animaux et confiscation définitive des félins.
• Teddy Gougeon et Antonia Fleury, du CIRQUE WILLIAM ZAVATTA : reconnu coupable de mauvais traitements commis par un professionnel, condamné à six mois de prison avec sursis et une peine d’interdiction de détenir des animaux non domestiques pendant cinq ans. LES TROIS LIONS CONCERNES PAR LA PLAINTE N’ONT JAMAIS ETE RETROUVES.
• MARIO MASSON : reconnu coupable de mauvais traitements commis par un professionnel sur DIX TIGRES QU’IL ENFERMAIT EN PERMANENCE DANS UN CAMION, d’exploitation irrégulière d’un établissement détenant des animaux non domestiques de 2019 à 2020, ou encore d’acquisitions et cessions irrégulières d’animaux ainsi que d’infractions au droit du travail et d’escroquerie.
• GILBERT BAUER, DRESSEUR DE L’ELEPHANTE BABY, enfermée dans un camion quand elle n’était pas soumise aux représentations.
• ALEXANDRE MULLER, condamné car il ne détenait pas les autorisations nécessaires pour détenir L’HIPPOPOTAME JUMBO, en plus des mauvais traitements qu’il lui faisait subir.
• LE COUPLE POLIAKOV qui exploitait les OURS MICHA, BONY ET GLASHA reconnu coupable — bien que condamné très légèrement.
• SANS COMPTER LES NOMBREUSES PROCEDURES EN COURS pour lesquelles nous attendons les dates d’audience.

°°°° Forcer les cirques avec animaux à respecter la loi ? Que nenni…

Dans cette note ministérielle, pas un mot sur les installations en force ; rien pour aiguiller les mairies ni les aider à gérer les débordements des circassiens qui s’accaparent le domaine public sans autorisation et menacent ceux qui tentent de les en empêcher : les Muller qui détiennent Jumbo sont spécialistes en la matière : dans les Alpes-Maritimes, le Vaucluse ou le Gard, la majorité — si ce n’est la totalité — de leurs spectacles a lieu en toute illégalité.

En Ile-de-France ou à Strasbourg, leur cousin, patron du Cirque Franco-Belge, n’est pas en reste.

De même pour LE CIRQUE D’EUROPE OU MAX AUCANTE PERSISTE A EXPLOITER SAMBA d’une main de fer depuis des décennies, et auquel la MAIRE DE NOISY-LE-GRAND S’ETAIT OPPOSEE.

Et dans ces cas-là, l’État est aux abonnés absents, laissant les autorités locales livrées à leur sort pour régler la situation.

°°°° L’État complice

Étonnant ? Pas vraiment, quand sait que l’État lui-même ne respecte pas la loi. Depuis le 1er décembre 2023, la reproduction des animaux sauvages est interdite dans les établissements itinérants. Oui, mais… l’arrêté d’application censé définir l’interdiction et prévoir les sanctions n’a toujours pas été publié. Résultat, DES PETITS CONTINUENT A NAITRE EN TOUTE ILLEGALITE, venant grossir les rangs de ceux qu’il faudra inexorablement placer en sanctuaire s’ils échappent aux magouilles et trafics en tous genres…

Cette nouvelle instruction est une énième preuve — s’il en était besoin — que nos dirigeants n’ont que faire de la souffrance des animaux exploités pour le spectacle. Peut-être attendent-ils que chacun d’entre eux meure dans les camions et sous les chapiteaux AVANT DE FINIR CHEZ LES TAXIDERMISTES pour ne pas avoir à s’embêter outre mesure à trouver des places en sanctuaire ? Avec One Voice, DEMANDEZ L’INTERDICTION (REELLE !) DES ANIMAUX DANS LES CIRQUES

Signez la pétition « Stop aux animaux dans les cirques ! » :
https://one-voice.fr/petition/stop-aux-animaux-dans-les-cirques/
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-05-2025 22:15:25


DANS LE TERRITOIRE DE BELFORT, UN CHAMOIS TRAQUÉ POUR AVOIR EXPRIMÉ SON COMPORTEMENT NATUREL :

Le 20 novembre 2024, le préfet du Territoire de Belfort a autorisé les lieutenants de louveterie à intervenir dans tout le département pour tuer un chamois. La raison ? Il présenterait un risque important pour la sécurité publique et les élevages… Comme toujours, pas l’ombre d’une preuve à l’horizon. Plutôt que d’envisager des solutions alternatives, et sous l’éternelle influence des chasseurs, les autorités choisissent à nouveau la force. One Voice dépose une requête en annulation au tribunal administratif de Besançon.

Un chamois est la cible de battues, de jour comme de nuit, sur le Territoire de Belfort. LA JUSTIFICATION ? IL AURAIT UN COMPORTEMENT « ANORMAL » ET « AGRESSIF ».

°°° Un chamois accusé d’être… un chamois

Deux déclarations de propriétaires d’ovins — auxquelles nous avons eu accès — sans aucune preuve, COMME D’HABITUDE : c’est ce qui aura suffi à la préfecture pour organiser la traque d’un chamois, d’abord dans une commune, puis dans tout le département. L’animal est pointé du doigt pour son comportement « anormal ». Les services de l’État montrent une fois de plus leur méconnaissance de la vie des animaux libres : en pleine période de rut, ce comportement est des plus naturels.

Pire, le texte met en avant la crainte d’un risque pour la circulation et affirme que le chamois serait « agressif » envers les humains. Que ne faut-il pas lire ! Quand on sait que MEME CERTAINS ÉLUS LES BRACONNENT, la question se pose : qui agresse qui ? Cet individu est victime de la désinformation sur la nature et ceux qui la peuplent, A L’INSTAR DE TOUS LES ANIMAUX CONSTAMMENT VISES PAR DES BATTUES ADMINISTRATIVES.

°°°° La mort comme unique solution, ça ne change pas !

Acculés par les chasseurs SOUS COUVERT D’ACCUSATIONS MENSONGÈRES DANS LE DOUBS, pris pour cibles sur l’intégralité du territoire de Belfort… c’est une véritable traque que subissent les chamois.

Pourtant, d’autres solutions que la mise à mort existent : déplacer les troupeaux, les protéger… Si la préfecture a envisagé de déplacer le chamois, elle a vite reculé sous la pression de la fédération de chasse. Alors même que lui et ses compagnons sont déjà traqués de septembre à fin janvier, il est victime d’un acharnement haineux.

Pour lui et pour tous les autres chamois, One Voice demande au tribunal administratif de Besançon l’annulation de cet arrêté délirant. Pour dire stop à la gestion absurde du vivant par les autorités, signez la pétition de One Voice pour une réforme radicale de la chasse :

Pétition « Pour une réforme radicale de la chasse » :
https://www.mesopinions.com/petition/animaux/reforme-radicale-chasse/47588?lang=fr
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-05-2025 22:21:08


MASSACRES EN SOLOGNE : La chasse à courre en 4x4 ; One Voice partie civile contre 6 braconniers :

Les fusils ne leur suffisent plus. Quand les chasseurs à courre troquent leurs chevaux pour leurs 4×4, ils s’en servent pour massacrer cerfs et sangliers en les percutant à toute allure dans les forêts du Cher. C’est une histoire de braconnage d’une violence extrême que L’ENQUETE OUVERTE PAR L’OFFICE FRANÇAIS DE LA BIODIVERSITE (OFB) en 2023 a permis de révéler. Nous nous sommes constitués partie civile et seront présents au tribunal judiciaire de Châteauroux le 30 avril 2025 à 13h30.

°°° Rouler sur les animaux en 4×4… pour des «sensations fortes»

En 2023, des enquêteurs de l’OFB remarquent des traces de pneu en pleine forêt de Sologne, dans une zone interdite à la circulation. Ils découvrent bien vite que six chasseurs à courre empruntent régulièrement ces chemins, écrasant tout sur leur passage.

Les agents ne sont pas au bout de leurs surprises. Depuis plusieurs années, ces hommes avaient pris pour habitude de massacrer des animaux sauvages… EN LES ECRASANT AVEC LEURS VEHICULES, équipés de « pares-buffles ». Certains s’adonnaient à ce passe-temps de nuit, pourchassant les animaux avec des projecteurs. Avant de se filmer fièrement parmi les cadavres sanguinolents.

°°° One Voice exige des sanctions exemplaires

À l’image de leurs collègues qui maltraitent leurs chiens et commettent des INFRACTIONS A REPETITION, ils se sentaient sans doute intouchables et au-dessus des lois. Leur vision est claire : oui, c’est illégal, mais peu importe! Un sanglier de plus ou de moins, ça ne changera rien, alors autant s’amuser un peu. Une vision terrifiante de la nature et des animaux qui doit être sévèrement punie.

Ces faits sont tristement révélateurs de l’état d’esprit des veneurs, que l’ENQUETE DE TROIS ANS (… de One Voice) avait déjà mis en lumière. Contre cette violence indescriptible et pour exiger des sanctions exemplaires, nous serons présents au tribunal judiciaire de Châteauroux le 30 avril à 13h30. En attendant, signez la pétition de One Voice pour obtenir UNE REFORME RADICALE DE LA CHASSE!

°°° Les braconniers relaxés pour vice de procédure

A l’audience de ce jour, l’un des avocats des six braconniers a demandé au tribunal de les relaxer pour un vice de procédure. Et il a été suivi : l’enquête a été annulée, et les six hommes sont ressortis libres du tribunal. En cause, des caméras utilisées par l’Office français de la biodiversité de manière irrégulière pour identifier les six hommes. Un naufrage pour les enquêteurs et le parquet, qui a annoncé faire appel. Nous étudierons toutes les voies qui s’offrent à nous pour obtenir une condamnation. Massacrer des animaux pour le plaisir en les écrasant sous les roues d’un 4×4 ne devrait jamais rester impuni.

Signez la pétition « POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE » :
https://one-voice.fr/petition/pour-une-reforme-radicale-de-la-chasse/

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