Auteur : Mel_C  

POLOGNE - Polémique après la découverte de mines antichars dans un entrepôt Ikea :

Entre le 04 et le 07 juillet, un stock de mines a été transporté de Hajnowka à Mosty, à l’ouest de la Pologne. Toutefois, celui-ci n’a pas été complètement déchargé et environ 240 mines sont reparties dans l’autre sens, avant de momentanément disparaître.
Ce n’est que le 16 juillet que les deux tonnes d’engins antichars ont été retrouvées dans un entrepôt Ikea. Lukasz Wawrzyniak, le porte-parole du ministère public polonais, explique que les militaires qui sont suspectés d’être liés à cette affaire risquent jusqu’à cinq ans de prison.
Lorsque le train est arrivé dans l’entrepôt de la firme suédoise, les mines se trouvaient toujours à bord du wagon. « Tout a été scellé et immédiatement sécurisé par l’armée », précise le porte-parole.
Cette affaire provoque un petit séisme au sein de l’armée, et a causé le licenciement du major-général Artur Kepczynski, le chef du service d’inspection interne de l’armée, qui a tenté d’étouffer l’affaire.

Auteur : Mel_C  

ALLEMAGNE :

Un homme et une femme sont décédés dans le Land de Brandebourg, dans l’Est de l’Allemagne, victimes de coups de couteau. Deux autres personnes, un homme et une femme également, sont gravement blessées, selon la police. L’auteur présumé de l’agression a pu être appréhendé au cours d’une opération de recherche à grande échelle, a précisé un porte-parole des forces de l’ordre.
Les faits se sont passés dans un village nommé Casekow et situé non loin de la frontière polonaise. Les circonstances exactes restent obscures. La police parle d’un acte de « violence avec un objet tranchant ». La police, alertée par un appel à l’aide vers 10h00, a trouvé dans un appartement un homme et une femme décédés.
Une femme gravement blessée a été retrouvée dans un appartement attenant qu’elle a vraisemblablement rejoint dans sa fuite, a précisé le porte-parole. Enfin, un homme grièvement blessé a été retrouvé dans une arrière-cour.
La police n’a pas donné de détails sur l’identité de l’auteur présumé de l’agression. Il s’agirait, à l’instar de ses victimes, d’un citoyen allemand.

Auteur : Mel_C  

VIOLENCES SEXUELLES - L’abbé Pierre visé par neuf nouvelles accusations dont un viol sur mineur :

L’abbé Pierre est visé par neuf nouvelles accusations de violences sexuelles, dont un viol sur mineur et des «abus incestueux», selon un rapport du cabinet spécialisé Egaé publié ce lundi.
«Les faits décrits se sont déroulés des années 60 aux années 2000, la plupart du temps en France et parfois à l’étranger», peut-on lire dans ce rapport qui porte à 33 le nombre de témoignages visant le prêtre décédé en 2007.
Une membre de la famille de l’abbé Pierre a indiqué à Egaé avoir subi de sa part des «contacts sexuels sur ses seins et sa bouche à la fin des années 1990». Un autre témoignage fait état d’un «acte sexuel avec pénétration sur un garçon mineur».
Les personnes qui témoignent vont de la «salariée d’un hôtel dans lequel séjournait» l’abbé Pierre, aux «soignantes travaillant dans des hôpitaux» où il était hospitalisé, à une volontaire pour un camp de jeunes ou une mission humanitaire, en passant par une membre de la famille ou encore à un hôtesse de l’air.
Il s’agit du troisième rapport du cabinet mandaté par Emmaüs International, Emmaüs France et la Fondation Abbé Pierre pour faire la lumière sur les agissements de l’abbé Pierre, de son vrai nom Henri Grouès.
En juillet 2023, la première salve de révélations basées sur sept témoignages avait provoqué une onde de choc tant l’abbé Pierre, défenseur inlassable des mal-logés et des plus démunis, a longtemps fait figure d’icône.
En septembre, un second rapport contenant 17 nouveaux témoignages avait conduit la Fondation Abbé Pierre à annoncer sa décision de changer de nom et Emmaüs à fermer définitivement le lieu de mémoire dédié au prêtre situé à Esteville (Seine-Maritime).
Les derniers témoignages «ne permettent absolument pas de dresser un état des lieux exhaustif des comportements de l’abbé Pierre», insiste le cabinet Egaé dans son rapport, faisant état «d’autres témoignages, parfois anonymes ou incomplets».

Auteur : Mel_C  

SOCIETE - Arnaquée de 830.000 euros par un faux Brad Pitt

"Ces gens-là méritent l'enfer. Il faut les retrouver ces escrocs." Une femme, aujourd'hui âgée de 53 ans et prénommée Anne, a été bernée par un arnaqueur qui se faisait passer pour l'acteur américain Brad Pitt et qui lui a soutiré l'importante somme de 830.000 euros. Elle a témoigné dans l'émission "Sept à huit" diffusée dimanche soir sur TF1.
L'histoire débute en février 2023, alors que cette décoratrice d'intérieur est en séjour au ski à Tignes. Après s'être inscrite sur le réseau social Instagram pour y poster des photos de son voyage, elle est très vite contactée par le soi-disant compte de Jane Etta Pitt, la mère du comédien. Le lendemain, c'est un compte apparemment lié à l'acteur qui la contacte en lui disant que sa mère lui a beaucoup parlé d'elle.
"En fait là, on parle de Brad Pitt, je tombe des nues. Au début, je me dis que c'est du fake, mais je ne comprends pas trop ce qui m'arrive. Après, on va se contacter tous les jours et on devient pote", dit-elle.
Au fil des jours, c'est une véritable relation épistolaire qui se met en place entre le faux Brad Pitt et Anne, alors mariée à un millionnaire de 19 ans son aîné mais dont le couple vit une mauvaise passe. Comme le relate encore TF1, elle reçoit alors des poèmes et de nombreuses déclarations.
"Il y a tellement peu d'hommes qui t'écrivent ce genre de choses. J'aimais l'homme avec qui je conversais. Il savait parler aux femmes, c'était toujours très bien torché", ajoute-t-elle.
Si l'arnaqueur trouve toujours un moyen d'esquiver les appels téléphoniques avec Anne, il parvient en revanche à lui transmettre une vidéo générée par intelligence artificielle qui rassure la quinquagénaire. Quelques jours plus tard, le faux Brad Pitt demande Anne en mariage.
C'est à ce moment précis que le piège financier se referme sur Anne. L'arnaqueur fait savoir à cette dernière qu'il lui a acheté des cadeaux de grande valeur, auprès de marques de luxe telles que Chanel ou Hermès, et réclame à Anne de payer les frais de douane afin de les recevoir. Elle va s'acquitter de 9.000 euros pour finalement ne rien recevoir.
Comme le souligne TF1, Anne décide de divorcer de son mari et empoche une prestation compensatoire de 775.000 euros, qu'elle va signaler à l'arnaqueur. Ce dernier, qui indique que ses comptes sont actuellement bloqués en raison de son divorce avec Angelina Jolie, lui réclame cette somme afin de soigner un prétendu cancer du rein.
"Ça me coûte de le faire, mais je me dis que je vais peut-être sauver la vie d'un homme", assure-t-elle. En parallèle, l'arnaqueur lui envoie plusieurs clichés, toujours réalisés par intelligence artificielle, de l'acteur sur son lit d'hôpital.
Ce n'est que de longs mois après le début de l'arnaque qu'Anne va comprendre, en voyant le véritable acteur accompagné de sa nouvelle compagne dans les colonnes de la presse people, la situation. À l'été 2024, elle porte plainte et une enquête est actuellement en cours. Anne est actuellement hospitalisée dans une clinique spécialisée dans les dépressions graves.
Ce n'est pas la première fois que la figure de l'artiste américain est utilisée dans de telles arnaques. En septembre passé, cinq personnes ont été interpellées en Espagne pour avoir soutiré 325.000 euros à deux femmes "vulnérables" et "en état dépressif" en se faisant passer pour la star, en ligne et sur Whatsapp.

Voilà un bel exemple de crédulité ....

Auteur : Mel_C  

RESTOS DU COEUR :

> "Nous sommes en présence d’un trop grand nombre de personnes en difficulté" , telle est l’alerte lancée par le président des Restos du cœur

Les Restos du cœur vont toujours face à une hausse des demandes. Entretien avec le président de l’association, Patrice Douret, présent à Montpellier pour les concerts solidaires des Enfoirés prévus du 14 au 20 janvier à la Sud de France Arena.

Auteur : Mel_C  

CHU DE MONTPELLIER - Un Montpelliérain décède au CHU après trois passages aux urgences en cinq jours, sa mère accuse :

Quand il arrive aux urgences du CHU de Montpellier la première fois, François, 40 ans, se plaint de nausées et de douleurs au ventre insupportables. "Sa prise en charge se fait dans les règles de l'art" se rappelle sa mère. Le lendemain, il sent qu'il va mieux et, contre l'avis des médecins, demande à sortir. Sur le procès-verbal de décharge, les risques médicaux liés à sa sortie "prématurée" sont indiqués : "trouble du rythme cardiaque, décès".
Déborah Monaco, sa mère, ne comprend pas qu'on l'ait laissé partir aussi facilement, sachant que son fils était schizophrène, suivi dans le même CHU depuis 2020, à la Colombière. "Avec sa pathologie, il minimisait tout. Ils auraient dû avoir un doute sur son discernement et consulter son psychiatre, mais ils ne l'ont pas fait" croit-elle savoir.
À peine un jour plus tard, le 30 octobre 2023, l'état physique de François se dégrade à nouveau. Retour aux urgences où il fait quelques analyses, mais il n'est pas hospitalisé. "On m'a dit : 'il est sorti contre avis médical donc on ne le reprendra pas'" soutient Déborah Monaco dont le fils "très très faible, tenait à peine debout et vomissait abondamment".
Le 4 novembre, François retourne aux urgences pour la troisième fois en seulement cinq jours. "Agonisant, il souffrait atrocement" se désole sa mère. Depuis son lit, il lui donne de ses nouvelles, "il m'appelle et me dit : 'Maman, j'ai trop mal, je sais que je ne vais pas m'en sortir cette fois-ci, je te dis au revoir, je t'aime'". À l'évocation de coup de fil, les yeux de Déborah Monaco s'embrument.Anéantie par le décès de son fils, elle pointe du doigt sa prise en charge au service des urgences. "On a déshumanisé mon fils. C'était un cas, pas une personne, mais François était un patient avec des besoins spécifiques". Elle a saisi la CCI, la Commission de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux, qui n'a toujours pas rendu son avis. Déborah Monaco n'exclut pas de porter plainte au pénal.
> Contacté par France Bleu Hérault, le CHU de Montpellier se refuse à tout commentaire en invoquant le secret médical. Il rappelle que "les patients et/ou leurs proches peuvent solliciter le service chargé des relations avec les usagers de tout dysfonctionnement perçu dans la prise en charge". Cette fois, son fils est admis au DAR, le Département d'anesthésie et de réanimation. Coma, infarctus, choc septique, défaillance sévère de plusieurs viscères, hémorragie... En 15 jours, François passe à six reprises au bloc opératoire. "On nous a informé qu'il n'y avait plus rien à faire pour lui et qu'on devait le laisser partir" conclut sa mère.

De nouvelles accusations contre l’abbé Pierre,
incluant viol sur mineur, inceste et menaces, rendues publiques
Neuf nouveaux témoignages ont été recueillis dans le cadre du dispositif d’écoute mis en place, cet été, par le mouvement Emmaüs. Ils s’ajoutent aux vingt-quatre précédemment publiés.

« L’accumulation des faits désormais connus perpétrés par ce prêtre, qui fut tant admiré, horrifie », a cependant réagi dans un communiqué la Conférence des évêques de France, Pourtant de nombreux ecclésiastiques hauts placés étaient aucourant des déviances de l'abbé ......!!!

A Madagascar,
des migrants somaliens visent Mayotte
Les autorités de la Grande Ile, située à 350 km du département français, ont arrêté plusieurs dizaines de personnes issues de la Corne de l’Afrique ces derniers mois.