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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 19:49:05


NORD-EST DE COMPIEGNE - Mort d'un enfant de 6 ans dans un incendie :

Un garçon de six ans est mort mardi soir dans l’incendie d’un appartement à Noyon, au nord-est de Compiègne, a appris mercredi l’AFP auprès de la gendarmerie et du parquet de Compiègne.
La mère de l’enfant, âgée de 46 ans, est parvenue «à s’enfuir de l’immeuble en sautant du premier étage» où est situé l’appartement, a expliqué par mail à l’AFP le procureur de Compiègne, Guillaume Dupont. Elle avait auparavant tenté de sauver son fils resté dans sa chambre, a-t-il précisé.
Une fois sortie de cet immeuble de trois étages, la mère a été prise en charge par les pompiers, a déclaré à l’AFP le commandant de la compagnie de gendarmerie de Compiègne Arthur Cholet. La mère et l’enfant étaient seuls dans l’appartement au moment du sinistre, qui est survenu mardi après 21 heures, a-t-il précisé.
Une enquête, confiée à la gendarmerie nationale, a été ouverte. Selon une source au sein de la gendarmerie, l’origine du sinistre serait «a priori» accidentelle.
Ce drame est survenu à peine un jour après un autre feu d’habitation mortel dans la région Hauts-de-France, qui a fait trois morts dont deux mineures de 9 et 15 ans, à Wingles.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 19:50:28


INDE - Ils ont abusé d'une adolescente des années durant ...

La police indienne a arrêté 49 hommes soupçonnés d’avoir, à plusieurs reprises et pendant des années, agressé sexuellement une adolescente dans le sud du pays, a annoncé mercredi la police.
La jeune victime appartient à la communauté des Dalits, auparavant appelés «Intouchables». Cette caste est particulièrement victime de violences sexuelles dans un pays qui enregistre un taux élevé de criminalité à l’égard des femmes.
La femme, aujourd’hui âgée de 18 ans et dont l’identité n’a pas été révélée, a affirmé avoir été agressée sexuellement dès l’âge de 13 ans, par une soixantaine d’hommes, dans son État d’origine, le Kerala.
Un total de «49 personnes ont été placées en garde à vue», a confirmé Nandakumar S, haut responsable de la police du district de Pathanamthitta, dans le sud du Kerala.
Les hommes interpellés étaient connus de la victime, parmi eux voisins et des amis de la famille.
«La famille n’était cependant pas au courant du cauchemar (vécu par) leur fille», a affirmé à l’AFP Rajeev N, un avocat à la tête du comité de protection de l’enfance du district
La jeune femme «est tenue à l’écart des médias et seule la police lui rend visite pour enregistrer ses déclarations», a-t-il ajouté.
Le quotidien «The Indian Express» a rapporté cette semaine que l’un des accusés a fait chanter la victime avec une vidéo qu’il avait enregistrée lors de «leurs rapports physiques».
À la suite de ce chantage, plusieurs de ses amis l’ont agressée sexuellement.
Selon l’enquête, elle aurait été violée en réunion à cinq reprises au moins, dont une fois dans un hôpital local.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 20:06:54


JUGEMENT EN NORVEGE - Air France déclarée coupable de discrimination sexuelle...

La compagnie aérienne Air France a été reconnue coupable de discrimination sexuelle en Norvège après avoir demandé à un passager de changer de siège afin de ne pas être assis à côté de mineurs non accompagnés. Le risque d’agression sexuelle a été évoqué et la demande n'aurait pas été faite si le passager avait été une passagère.
Dominique Sellier a saisi le Diskimineringsnemnda, la Commission norvégienne de lutte contre les discriminations. L’équipage d’un vol Oslo-Paris le 27 octobre 2022 lui a demandé, avant le décollage, d’échanger son siège avec une passagère au motif qu’il ne pouvait être assis à côté de deux enfants voyageant seuls.
Lors de l’examen de l’affaire, l’avocat de la compagnie française a justifié ce changement de sièges par le règlement intérieur du transporteur et argué que les hommes représentaient 97,93% des auteurs des crimes et délits sexuels suspectés.
«C’était une situation pas très agréable», a témoigné M. Sellier mardi auprès de l’AFP. «Les passagers autour me regardaient, car ils attendaient que le changement de places soit effectué pour qu’on puisse décoller».
«Il y a peut-être une part de projection, mais j’ai interprété certains regards comme disant "ce gars n’est pas net"», a-t-il expliqué.
Selon la décision de la Commission anti-discrimination dont l’AFP a obtenu copie, le règlement intérieur d’Air France stipule qu’en cas de vol complet, ce soit «de préférence» une femme qui soit assise aux côtés de mineurs non accompagnés.
Sollicitée par l’AFP, Air France, par la voix de son avocat, n’a pas souhaité faire de commentaire à ce stade.
Selon le compte rendu d’audience, la compagnie a tenté de remettre en question la compétence de l’instance norvégienne dans cette affaire, faisant valoir que l’épisode s’était produit à bord d’un appareil qui n’était pas immatriculé en Norvège.
À titre subsidiaire, elle a aussi affirmé qu’il s’agissait d’une différence de traitement légale, justifié par la nécessité d’assurer la sécurité de mineurs non accompagnés contre le risque de «trafic et autres formes de violences et agressions».
«Comment peut-on accepter ce type de suspicion parce qu’on appartient au genre masculin? C’est une essentialisation des hommes qui me semble aller un peu trop loin», réagit Dominique Sellier.
Bien qu’ayant obtenu gain de cause devant le Diskrimineringsnemnda constitué de trois juristes, le plaignant dit n’avoir reçu ni dédommagement ni excuses.
Pendant le vol, «j’ai juste eu un verre de champagne dans un gobelet en carton», a-t-il confié.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 20:09:59


PARIS - Policier poursuivi pour avoir frappé à mort un homme menotté ...
Un policier a été mis en examen le 11 janvier, soupçonné d’avoir mortellement frappé à coups de poings au visage un homme de 48 ans, qui était menotté, lors de son interpellation après une rixe en août 2023 à Paris.
Le gardien de la paix, Théo M., 28 ans désormais, est poursuivi pour violences volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner, a indiqué lundi le parquet de Paris, confirmant une information de «Libération».
Il a été placé sous contrôle judiciaire «avec interdiction d’entrer en contact avec ses co-auteurs ou complices, les témoins de l’infraction et la famille de la victime et d’exercer son activité de fonctionnaire de police sur la voie publique», a précisé le parquet.
Contacté, son avocat Me Laurent-Franck Liénard n’a pas donné suite.
Tamer M., né en Israël et Palestinien, selon «Libération», avait été interpellé par des policiers le 17 août 2023, vers 3 h 30, à proximité de la gare de l’Est après une rixe avec plusieurs personnes.
Selon l’exploitation des caméras de vidéosurveillance, il avait tenté de frapper les protagonistes de la rixe avec un tournevis. Un premier homme, non identifié, «l’avait saisi par le cou pour l’écarter brutalement», un deuxième «avait porté un coup de poing au côté gauche de Tamer M. et un troisième homme, manifestement armé lui-même d’un couteau, lui avait porté un coup au niveau des jambes».
Tamer M. avait été maitrisé par des agents de sûreté de la RATP. Il «avait été amené au sol après clef de bras de l’un des agents, selon plusieurs témoins qui n’avaient pas constaté de blessures apparentes sur sa personne», a détaillé le parquet.
À l’arrivée de la patrouille de police, «virulent», et «manifestement ivre, il avait été menotté et installé à l’arrière du véhicule de police», selon le parquet.
Le policier avait expliqué que Tamer M., assis à côté de lui, «lui avait porté un coup de tête, lui occasionnant quatre jours d’ITT» (incapacité totale de travail). Il l’avait «repoussé puis lui (avait) porté plusieurs coups de poing au visage», selon la même source.
Selon le parquet, lors de son audition, «une autre membre de l’équipage» avait soutenu que Tamer M. «s’était frappé la tête contre la portière, et avait tenté (de) porter des coups au gardien de la paix assis à côté de lui ; elle l’avait repoussé de la main».
Les deux policiers l’avaient ensuite conduit au commissariat du 10e arrondissement et, selon leurs déclarations, «Tamer M. s’était endormi et avait ronflé pendant le trajet».
Il ne s’était pas réveillé à son arrivée au poste de police et présentait «des plaies saignantes» au visage. «Il avait été conduit à l’hôpital Lariboisière, où un état de coma avait été constaté», a poursuivi le ministère public.
Son état avait empiré et il est mort une semaine plus tard, le 24 août 2023. «L’autopsie avait conclu à un «décès par traumatisme crânio-facial grave», selon le parquet.
Le parquet de Paris avait ouvert une enquête puis une information judiciaire le 31 août 2023, confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Les témoins entendus dans le cadre de cette information judiciaire «ont confirmé l’absence de violences commises par les agents RATP», a précisé le parquet.
Selon «Libération», la famille ou les proches de la victime n’ont pas été retrouvés.
Plusieurs affaires de violences policières ont été révélées ces dernières années, notamment lors des manifestations des «gilets jaunes».
La mort du jeune Nahel, 17 ans, tué le 27 juin 2023 par un policier lors d’un contrôle routier à Nanterre (Hauts-de-Seine) avait relancé en France le débat sur les violences policières et causé plusieurs nuits de graves violences urbaines dans de nombreuses villes.
Dans un autre dossier devenu emblématique, celui de la mort de Cédric Chouviat, des juges d’instruction ont ordonné le 17 décembre que trois policiers soient jugés par le tribunal correctionnel de Paris pour homicide involontaire. Ils sont accusés d’avoir eu un «comportement non adapté, négligent et imprudent» menant à la mort du livreur, qui avait pourtant répété «J’étouffe» lors de son interpellation en janvier 2020.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 20:13:15


BELGIQUE - Les cinq chiens qui ont tué un enfant ont été euthanasiés :
On ignore toujours ce qui a déclenché ce drame jeudi dans un élevage familial de Quévy, en Blegique. Alors que la propriétaire nourrissait ses Malamutes de l'Alaska avec son fils de 7 ans, qui avait pourtant l'habitude de faire cela avec sa maman, cinq des chiens se sont précipités sur lui et l'ont grièvement blessé. La mère est parvenue à reprendre le contrôle, mais son enfant est décédé de ses blessures en arrivant à l'hôpital, écrit DH.
Les cinq animaux concernés, qui ont moins d'un an, ont été vus par deux vétérinaires comportementalistes, qui ont estimé qu'ils présentaient un danger pour la sécurité publique. Avec l'accord de la famille, ils ont été euthanasiés samedi.
L'enquête sur les circonstances de la mort se poursuit. Une cérémonie en mémoire de l'enfant a eu lieu ce lundi dans son école et un compte bancaire de soutien à la famille a été ouvert.
Auteur : Mel_C  
814/1272

Date :    15-01-2025 20:20:47


PAS-DE-CALAIS - Un conducteur de 14 ans percute une mère et son bébé :
Un bébé de 8 mois se trouve entre la vie et la mort en France depuis mercredi dernier, après avoir été percuté par un automobiliste mineur au volant d'une voiturette, rapporte le site franceinfo.
Le jeune homme est âgé de 14 ans. Le mercredi 8 janvier, il a percuté à Avion, dans le Pas-de-Calais, une mère et son bébé dans une poussette qui se trouvait sur un passage piéton. Après le choc, le conducteur a pris la fuite. Le bébé a été transporté en urgence absolue au centre hospitalier de Lille. Son pronostic vital était encore engagé jeudi soir.
Le jeune garçon a été retrouvé et placé en garde à vue pour blessures aggravées, délit de fuite et non-assistance à personne en danger. Sa passagère a été remise en liberté dans la soirée de jeudi. Âgée de 15 ans, elle est poursuivie pour non-assistance à personne en danger.
Le mineur conduisait une Citroën Ami, une petite voiture sans permis. Il s'agit d'un modèle 100% électrique dont la vitesse est limitée à 45 km/h. En France, les personnes nées après 1988 peuvent la conduire en étant titulaire d'un permis cyclomoteur.
L'accident a provoqué une vive émotion, en particulier sur les réseaux sociaux. Interrogé par franceinfo, Pierre Chasseray, porte-parole de l’association 40 millions d’automobilistes, évoque un «drame ignoble» causé par «un gamin de 14 ans». L'état de la mère qui poussait le landau n'est pas précisé.
Auteur : Mel_C  
815/1272

Date :    15-01-2025 20:29:19


DES S.D.F. PRIS POUR DES COLIS SUSPECTS - Le bilan mitigé de la vidéosurveillance algorithmique aux J.O. de Paris 2024 :

Ses conclusions étaient très attendues par les autorités et les associations de défense des libertés. Remis au ministère de l'Intérieur le 14 janvier, le rapport du comité d’évaluation concernant l'efficacité de la vidéosurveillance algorithmique expérimentée lors des Jeux olympiques de Paris 2024 dresse un bilan mitigé.
Plusieurs médias comme Le Monde, La Croix ou France Info ont publié ce mardi 15 janvier un aperçu des limites et des réussites du mécanisme mis en place par le gouvernement. Ces résultats inégaux tranchent avec la volonté indéfectible affichée par les autorités de généraliser en 2025 l'utilisation de ces technologies présentées comme un remède au manque de moyens humains pour repérer des comportements jugés suspects ou à risque, comme les mouvements de foule, les chutes, les colis abandonnés ou les véhicules à contresens, lors des événements de grande et moyenne envergure.
Lors de son discours de politique générale, l'ancien Premier ministre, Michel Barnier, affirmait en octobre vouloir généraliser la vidéosurveillance algorithmique. Matignon indiquait alors attendre les conclusions du rapport d'évaluation pour prendre sa décision. Le préfet de police de Paris Laurent Nunez s'était dit lui aussi favorable "sur le plan personnel" à la pérennisation du dispositif devant les députés fin septembre, estimant qu'il avait "montré son utilité". Ce rapport est-il de nature à faire évoluer leur position ? Sollicités par RTL, ni le ministère de l'Intérieur, ni le cabinet du Premier ministre n'avaient donné suite à nos questions à l'heure où était publié cet article.

>>> Plus d'erreurs dans les espaces ouverts, plus efficace dans les couloirs du métro :

Dans les aspects positifs, les performances techniques du dispositif sont jugées comme "globalement satisfaisantes" dans certaines situations comme "l’intrusion d’individus ou de véhicules dans une zone non autorisée, la circulation dans un sens non autorisé, ou encore la densité de personnes". Malgré tout, on peut noter quelques réserves dans la catégorisation des individus, "le logiciel a parfois eu du mal à comptabiliser un nombre d’individus trop resserrés (...) en raison de la hauteur d’emplacement des caméras". Ce n'est d'ailleurs pas le seul facteur urbain qui fait défaut à la vidéosurveillance algorithmique.
Autre constat : la luminosité et la nature du lieu s'avèrent très déterminantes dans l'efficacité du processus de vidéosurveillance. Le comité estime, notamment, que la VSA est, "moins efficace quand il y a peu d'éclairage" et que les résultats sont plus pertinents "dans les espaces clos ou semi-clos, notamment les couloirs du métro et les gares, par rapport aux résultats observés dans les espaces ouverts".
Il semble que la surveillance des zones trop denses et dégagées amène un grand nombre de faux positifs. La détection des feux, ou des chutes, trahit d'ailleurs, selon le rapport, "une faible maturité technologique" des algorithmes confondant parfois les devantures de magasin ou les phares de voiture pour des incendies.

>>> Une identification potentiellement disciminatoire :

L'identification des objets fixes ou en mouvement est l'un des points les plus problématiques du rapport. Si la détection d’intrusion en zone interdite fait l'unanimité, notamment pour identifier les personnes sur les voies, les mouvements de foules posent plus de problèmes. Il est singulièrement "délicat de définir des mouvements de regroupement ou de dispersion rapide" d'après le rapport.
Le repérage des objets suspects ou abandonnés offre pour sa part des performances jugées "très inégales". Le mobilier urbain (banc, panneaux) est par exemple catégorisé comme suspect trop régulièrement. Il arrive aussi que les personnes immobiles ou assises sont par ailleurs elle-même assimilées sur les images comme des objets. C'est particulièrement le cas des sans domicile fixe qui ont été considérés nombre de fois par les machines comme des "colis abandonnés".
Ce dernier point fait réagir Amnesty International qui alerte RTL sur ces "technologies dites neutres qui sont conçues par des humains et peuvent apporter des biais dans leur jugement". Katia Roux, chargée de plaidoyer chez Amnesty, souligne que l'organisme n'est pas surpris des résultats peu satisfaisant de la technologie de vidéosurveillance algorithmique, ayant "déjà été alertée sur le manque d'efficacité de ces outils". L'organisation non gouvernementale s'oppose fortement à ce type de surveillance, vue comme une menace pour les libertés individuelles. “Il y a déjà une volonté politique de pérenniser un système discriminatoire” insiste par ailleurs Katia Roux.

>>> L'abandon ou la généralisation du dispositif relève du politique :

Ce rapport d'une centaine de pages admet aussi ses propres limites, écrit La Croix : le faible nombre d'interventions permises par le dispositif et son temps d'évaluation "relativement court" de neuf mois n'ont pas pleinement permis d'en apprécier l'intérêt opérationnel", écrit le comité, qui souligne à ce titre qu'il ne dispose pas des éléments nécessaires pour soutenir ou non sa généralisation. Le comité rappelle que "l'abandon, la prolongation ou la pérennisation" du système relève d'"un choix politique" qui ne relève pas de sa mission. En cas de généralisation, le comité estime toutefois important que "le législateur" sanctuarise plusieurs principes généraux, comme "le contrôle des parlementaires en amont et le renvoi à des projets de décrets soumis à la CNIL". Le comité réaffirme aussi "l'interdiction de la reconnaissance faciale en dehors du cadre judiciaire", rapporte FranceInfo.
Auteur : Mel_C  
816/1272

Date :    15-01-2025 20:35:07


RECENSEMENT 2025 - "On ne veut pas en faire une polémique, on a bien conscience qu’on s’engueule entre personnes qui partagent, au fond, les mêmes valeurs.", Jan Robert Suesser, membre du bureau national de la Ligue des droits de l’homme :

Saluée par la recherche, l’avancée de la statistique ethnique suscite des crispations. Dans le recensement apparaît cette année une question sur le pays de naissance des parents. La Ligue des droits de l’homme et plusieurs syndicats ont signé un appel à ne pas y répondre. Cette nouveauté est pourtant vue d’un très bon œil par des chercheurs, au regard de la lutte contre les discriminations.

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