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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-01-2025 23:21:13


NÎMES – Découverte du corps d'un jeune homme nu avec son caleçon sur la tête … dans un ruisseau aux portes de la préfecture gardoise :

Un corps sans vie a été signalé dans la journée aux secours de Nîmes.
Selon la police, il a été retrouvé sur le site du Clos Gaillard à quelques kilomètres au nord-ouest de Nîmes en direction d'Alès.
Le jeune homme était nu, allongé sur le dos dans le lit d'un ruisseau et il avait son caleçon sur la tête.
On ignore encore à cette heure les circonstances et les causes du drame.

Auteur : Mel_C  
826/1156

Date :    08-01-2025 23:25:59


NIMES - Afflux de patients aux urgences du CHU :

Dans le contexte de pic épidémique hivernal qui frappe actuellement l’ensemble du territoire national et face à la très forte affluence de patients observée au service d’accueil des urgences du CHU de Nîmes au cours des derniers jours, l’établissement est passé, depuis le lundi 6 janvier 2025, au niveau 3 du plan « Hôpital en tension ».
La hausse continue des cas de grippe, de Covid-19 et de bronchiolite et plus largement des virus respiratoires (VRS) conduit à une augmentation significative de la fréquentation des services d’accueil des urgences au plan national comme en Occitanie. Cette situation épidémique, conjuguée à la reprise de l’ensemble des activités programmées au retour des vacances scolaires, provoque par ailleurs des tensions très importantes sur les capacités d’accueil, en particulier dans les services de médecine.
Au CHU de Nîmes, la mise en œuvre immédiate du plan hôpital en tension a permis une adaptation rapide de la capacité d'accueil grâce à la mobilisation de l’ensemble des professionnels du service des urgences, du centre 15, du service d’accès aux soins (SAS) comme de l’ensemble des services de médecine et de chirurgie de l’établissement.
Cette mobilisation s’accompagne de renforts en moyens humains pour les équipes médicales et paramédicales et permet d’assurer la continuité des prises en charge dans un contexte rendu difficile par la saturation progressive des possibilités d’hospitalisation en aval des urgences. Au-delà des mesures prises en termes d’organisation interne de l’établissement et des échanges réguliers avec les équipes des hôpitaux publics du groupement hospitalier de territoire Gard Cévennes Camargue (Alès, Bagnols sur Cèze, Uzès, Pont Saint Esprit), une cellule de coordination territoriale réunit l’ensemble des établissements concernés sur le territoire, sous l’égide de l’ARS Occitanie, afin de suivre en temps réel l’évolution de la situation et d’adapter les mesures prises pour assurer la bonne orientation des patients justifiant d’une hospitalisation.
Pour éviter que cette situation ne s’aggrave dans le contexte épidémique hivernal, il est fondamental de rappeler à tous la nécessité de respecter les gestes barrières (masque et gel hydroalcoolique) et la vaccination pour l’ensemble de la population sans distinction d’âge. En cas de besoin médical, il est recommandé d'appeler en priorité son médecin traitant. Si ce dernier n'est pas disponible, il est conseillé de consulter la carte des lieux de soins.
Si aucune offre n'est disponible ou en cas d'urgence vitale, il est impératif d'appeler le 15 avant de se rendre aux urgences. Le CHU de Nîmes souhaite saluer une nouvelle fois la mobilisation exemplaire de tous les professionnels et remercie par avance l’ensemble des usagers pour leur compréhension.
Auteur : Aigle 
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Date :    09-01-2025 07:21:58


Le Royaume-Uni
veut resserrer l’étau autour des passeurs de migrants avec un nouveau régime de sanctions .... SI on avait commencé par celà ...
Les arrivées de migrants par la Manche sur de petits bateaux ont augmenté de 25 % en un an en 2024. Mais ces traversées dangereuses ont entraîné un nombre record de morts, avec au moins 76 décès dans l’année.
Auteur : Aigle 
828/1156

Date :    09-01-2025 07:52:41


Épidémie de GRIPPE : "
Un niveau d'intensité exceptionnellement élevé à l'hôpital",
selon Santé publique France
"L'épidémie de grippe s'est accentuée" à nouveau en ce début d'année,
"Le nombre de passages aux urgences pour syndrome grippal était de 18 391, soit 5,2% des passages (vs 5,0% en dernière semaine de 2024),
Le nombre d’hospitalisations après passage pour syndrome grippal était de 3 946, soit 5,4% de l’ensemble des hospitalisations (vs 4,2% en dernière semaine de 2024)."


Auteur : Mel_C  
829/1156

Date :    10-01-2025 00:34:00


VAUCLUSE - "moitié garçon, moitié fille" : leur bébé a besoin d'être opéré, un texte sur le genre bloque tout :

Andrea est un bébé de trois mois qui souffre d'une malformation. Son urètre se trouve en dessous de ses testicules et il a un micropénis. Il souffre d'hypospadias. Ses parents aimeraient le faire opérer mais ils font face à un arrêté du 15 novembre 2022. Impossible de pratiquer une chirurgie sans le consentement de l'enfant. Or, c'est un bébé. Et attendre engendrerait plus de souffrances d'après Jérémy, le père d'Andrea.
L'histoire d'Andrea a commencé dans le ventre de sa mère, Mélanie. Les médecins lui annoncent qu'elle attend une fille. Puis Mélanie tombe malade et doit procéder à une amniocentèse pour vérifier que tout va bien. Les médecins constatent alors une discordance entre l'échographie et le caryotype du fœtus. Il a le chromosome XY, c'est donc un garçon mais sa croissance est faible.

« On a été redirigés vers cinq hôpitaux différents et une douzaine de médecins pendant la grossesse jusqu'à ce qu'un échographe pose le diagnostic de l'hypospadias. »
Jérémy, association "hypospadias, mon fils ma bataille"

Le père d'Andrea, Jérémy, précise qu'ils ont dû attendre que le bébé urine dans le ventre de sa mère pour voir d'où l'urine provenait et pouvoir déceler cette malformation. L'hypospadias touche un enfant sur 300 mais elle peut prendre des formes totalement différentes d'un bébé à l'autre, avec des niveaux de gravité variables.
Andrea souffre de l'une des formes les plus graves. "Son sexe ressemble à moitié à celui d'un garçon, à moitié à celui d'une fille, mais il est garçon à 100%", développe Jérémy. À la naissance, Andrea a été soumis à différents tests. Ses taux de testostérone et d'AMH sont ceux d'un garçon de son âge. "Ses hormones, ses chromosomes et son physique sont masculins" souligne Jérémy. Après analyses, les professionnels de la santé ont expliqué aux parents que la cause n'était pas génétique. "On nous a dit que c'était souvent lié à l'environnement : les perturbateurs endocriniens, les usines, les pesticides...", rapporte Jérémy. Originaire de la Haute-Marne, le couple s'est installé dans le Vaucluse juste avant la naissance de leur fils.

>>> Que dit la loi ?

Concrètement, ces parents aimeraient faire opérer leur bébé. Il s'agirait de "prendre la peau du prépuce et reconstruire l'urètre qui n'est pas placé au bon endroit en plus d'obtenir des hormones de croissance pour faire croître son organe génital", détaille Jérémy. Une opération qui était possible avant 2022.
Mais l'arrêté du 15 novembre 2022 fixant les règles de bonnes pratiques de prise en charge des enfants présentant des variations du développement génital, empêche cette chirurgie. Il précise : "l'enfant participe à la prise de décision selon son degré de maturité. Son consentement à l'acte médical et au traitement doit être systématiquement recherché s'il est apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision". Jérémy et Mélanie doivent donc attendre que leur enfant soit en âge d'exprimer sa volonté afin qu'il participe à cette décision.

« Une étude explique que 40% des personnes qui souffrent de cette malformation et se font opérer à l'âge adulte développent des problèmes psychologiques par la suite. J'ai moi-même discuté avec un homme de 30 ans opéré adulte et qui a developpé une dépression. »
Jérémy, co-fondateur de l'association "hypospadias, mon fils ma bataille"

Or, pour Jérémy, attendre présente des risques : "psychologiques, sociaux, identitaires, de harcèlement à l'école". "Mon médecin m'a dit qu'il y avait un risque que les tissus ne se réparent pas et qu'il connaisse des infections récidivantes si on opère après 18 mois", assure le père d'Andrea. Juridiquement, un arrêté n'est pas une loi. Il n'y a donc aucune interdiction. Mais la recommandation de ne pas intervenir sans l'accord de l'enfant est largement respectée par les experts lors des RCP (les réunions de concertation pluridisciplinaires), à qui revient le pouvoir de décision, d'après Jérémy.

>>> Un combat apolitique

Pour tenter de se faire entendre, Jérémy a co-fondé l'association "hypospadias, mon fils ma bataille". Il récolte des témoignages, aide des familles dans son cas et demande un soutien financier. Il a publié une cagnotte en ligne dans le but de récolter des fonds pour porter son combat en justice. "L'avocat me demande 1 500 euros juste pour étudier le dossier", précise Jérémy. Il recherche également des cas de bébés opérés avant cet arrêté de novembre 2022 afin de tenter de faire jurisprudence.

« Le but est de pouvoir faire avancer les choses tout en gardant cet arrêté, on laisse le droit aux personnes de choisir mais pour nos enfants qui sont nés avec un genre déterminé, c'est notre rôle de les aider. »
Jérémy, association "hypospadias, mon fils ma bataille"

Toutefois, il tient à préciser que son combat est apolitique. "On ne veut absolument pas annuler cet arrêté parce qu'on comprend le combat des personnes qui se sentent enfermées dans leur corps mais je ne comprends pas pourquoi ils ont englobé nos enfants", tient à détailler Jérémy. Il demande un ajout à cet arrêté, intégrant la situation de ces bébés. Il souhaite inclure cet alinéa : "les enfants atteints d’hypospadias ne relèvent pas des dispositions relatives au changement de sexe ou à la reconnaissance des personnes non genrées."L'hypospadias n’est pas une question d’identité. C’est une malformation congénitale", argumente Jérémy.

> Jérémy a contacté la députée de son département de Vaucluse, Marie-France Lorho (RN). Il espère obtenir gain de cause.
Auteur : Mel_C  
830/1156

Date :    10-01-2025 00:39:39


BOUCHES-DU-RHÔNE - proposition de loi contre les pannes d'ascenseurs qui durent bientôt débattue :

Quand ils ne savent plus vers qui se tourner, ils en appellent aux médias. Après 25 jours sans ascenseur, Nadia, locataire au 14ᵉ étage d'une copropriété dégradée, témoignait en décembre sur France 3 : "Je ne peux pas sortir et même les infirmières ne montent pas". L'enfer de Frédéric tétraplégique a duré trois mois, son quotidien réduit à regarder la télé, rapportait en novembre Le Dauphiné.
Sur tout le territoire, des Français, âgés, malades ou handicapés, subissent "une véritable assignation à résidence", contre laquelle entend lutter une proposition de loi du député de l'Eure Philippe Brun, en imposant "des obligations de réactivité" et des sanctions dissuasives envers les sociétés de maintenance.
Chaque année, 1,5 million de pannes d’ascenseur sont signalées en France et certaines pannes persistent jusqu’à 10 mois, souligne en préambule le texte qui sera présenté le 23 janvier à l'Assemblée nationale par le député PS Laurent Lhardit.
"Il y a en France des milliers et des milliers de personnes qui chaque année sont entravées dans leur liberté de circulation parce qu'elles habitent dans des logements qui nécessitent des ascenseurs qui fonctionnent et il faut que ça change", affirme l'élu marseillais.

"C'est une façon de faire bouger les professionnels."
Laurent Lhardit, député PS des Bouches-du-Rhône

La situation n'est pas nouvelle, ces pannes anormalement longues sont récurrentes depuis plus de 20 ans.
Au cours d'auditions réalisées l'automne dernier, les parlementaires ont identifié divers dysfonctionnements : absences de signalement des pannes, délais interminables pour commander des pièces, etc. Autant de leviers sur lesquels la loi veut agir pour réduire l'attente des habitants. Elle prévoit pour cela d'inclure des obligations contractuelles draconiennes, assorties de sanctions financières et pénales dissuasives en cas de non-respect. Ainsi, si la panne n’est pas réparée dès la première intervention, les ascensoristes disposeront de huit jours ouvrés supplémentaires pour résoudre le problème. Passé ce délai, ils seront sanctionnés par une astreinte de 1 000 euros par jour de retard.
Pointée également du doigt, l'absence de stock de pièces détachées qui permet aux sociétés de maintenance pour être plus compétitives. Les opérateurs devront constituer un stock suffisant, où ils s'exposeront à une amende de 1% sur leur chiffre d'affaires.
Passé un certain délai, la copropriété ou le bailleur pourra se substituer à l'ascensoriste, pour mettre en place un système de portage pour les occupants à mobilité réduite, en payant des services de livraison de courses ou de médicaments par exemple. "La question est de savoir qui prend en charge ce que coûte le fait d'accéder aux étages, que ce soit pour les locataires comme les prestataires de service, et que ce soit pris en charge par la copropriété qui peut ensuite se retourner contre l'ascensoriste", selon Laurent Lhardit.

> Dans un communiqué, la Fédération des ascenseurs juge cette proposition de loi "excessive", mettant en avant la vétusté du parc. Dans 40% des cas, les pannes sont dues à la vétusté. La moitié des ascenseurs existants a plus de 30 ans, la moitié a même dépassé 40 ans. La fédération pointe aussi "les dégradations volontaires et répétées, notamment dans les quartiers sensibles". Elle estime "que la proposition de loi fragiliserait les ETI et PME françaises et entraînerait un renchérissement des coûts des contrats d'entretien, au détriment des usagers, notamment les plus vulnérables".

> Près de 80% de ces appareils sont installés dans des copropriétés, parfois très dégradées et très endettées. Certaines comme celle du Mail, à Marseille, sont placées sous administrateur judiciaire. Pour les promoteurs de la loi, la question du coût n'est pas un obstacle. Le contrat de maintenance d’un ascenseur représente un coût moyen compris entre 1 500 et 2 500 euros par an. La hausse de coût est chiffrée à 15%, selon Laurent Lhardit, soit autour de 300 euros. "Répartie dans une copropriété de vingt ou de trente appartements ou dans une tour de logements sociaux, on ne peut pas dire que cette somme entraînera une augmentation importante des loyers", argumentent les promoteurs de la loi.
Auteur : Mel_C  
831/1156

Date :    10-01-2025 00:46:03


AFFAIRE PELICOT - "Personne ne mérite le Prix Nobel de la paix plus que Gisèle Pelicot" : une pétition en ligne est lancée :

"Il est difficile de penser à une forme de violence qui pose un plus grand défi à la paix que la violence sexuelle". Ce sont les premiers mots d'une pétition en ligne, lancée pour réclamer l'attribution du Prix Nobel de la paix à Gisèle Pelicot. Le Prix Nobel de la paix 2024 a été décerné à l'organisation japonaise anti armes atomiques Nihon Hidankyo, mais pour l'année 2025, les nominations sont ouvertes jusqu'au 31 janvier. Seuls les membres de gouvernements peuvent demander la nomination de quelqu'un à ce prix.
Cette pétition montre le rayonnement mondial du procès des viols de Mazan qui a duré près de quatre mois, au tribunal d'Avignon. Violée pendant dix ans par son mari et au moins cinquante autres hommes à son domicile, Gisèle Pelicot est devenue une figure internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes.
La pétition a été publiée le 20 décembre 2024, le lendemain du verdict du procès hors norme des viols de Mazan. Elle a été écrite par une auteure et activiste féministe britannique : Catherine Mayer. Elle souligne que la violence sexuelle est genrée, endémique et "déployée comme une arme de guerre". Cette violence détruit donc la paix "chaque minute, chaque jour, partout dans le monde" souligne-t-elle.

"Une femme sur quatre et un homme sur vingt-six seront victimes d'un viol ou d'une tentative de viol au cours de leur vie."
Catherine Mayer

Catherine Mayer dénonce le fait que les politiciens ne placent jamais les violences sexuelles dans leurs priorités principales. Et de reprendre : "Gisèle Pelicot a brisé le brouillard de la désinformation en renonçant à son anonymat lors du procès de ses agresseurs." "Personne ne mérite le Prix Nobel de la paix plus que Gisèle Pelicot", indique cette pétition, en rappelant les mots de Gisèle après le verdict : "quand j'ai ouvert les portes de ce procès, j'ai voulu que toute la société soit témoin des débats qui ont eu lieu ici. J’ai confiance à présent en notre capacité à saisir collectivement un avenir dans lequel chacun, femme et homme, puisse vivre en harmonie dans le respect et la compréhension mutuelle."

> Ce jeudi 9 janvier 2025, la pétition en ligne a récolté 22 520 signatures.
Auteur : Aigle 
832/1156

Date :    10-01-2025 06:57:35


Dans la bande de Gaza,
70 personnes ont été tuées au cours des dernières vingt-quatre heures. Cela porte le bilan total à 46 006 morts depuis le début de la guerre

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