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Protection humaine
Auteur : Aigle 
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Date :    19-01-2025 07:43:02


CALAIS
Les secours sauvent 68 migrants à bord d'une embarcation en mer au large de Calais Les 68 personnes ont été déposées à quai à Calais, avant d'être prises en charge par les secours.
Auteur : Mel_C  
834/1316

Date :    19-01-2025 16:57:37


HAUTS-DE-SEINE - Overdose de GHB à Clichy :
Un homme de 41 ans devant la justice après la mort de son amant de 17 ans ..... Le quadragénaire est poursuivi pour avoir incité son jeune partenaire rencontré sur une application de rencontres à consommer du GHB, un puissant psychotrope utilisé en anesthésie, dans une chambre d’hôtel de Clichy (Hauts-de-Seine). Cet agent hospitalier est mis en examen dans une affaire similaire à Paris.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 16:58:59


HAUTS-DE-SEINE - Colombes ;
L’escort-girl et sa complice transsexuelle braquent un client et finissent en garde à vue .... Une jeune femme prétendant être escort-girl a piégé un de ses clients pour lui soutirer de l’argent. Elle et sa complice présumée, qui l’ont menacé avec un couteau, ont été interpellés.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:01:23


ESPAGNE - Accident de télésiège à Astún ;
La station de ski espagnole d’Astún, dans les Pyrénées, a rouvert dimanche au lendemain d’un accident de télésiège qui a fait 30 blessés, dont deux toujours hospitalisés. Des investigations ont été lancées. La station, proche de la frontière française, montre une activité normale avec des télésièges en fonctionnement et des skieurs qui dévalent les pistes, selon les images de la télévision publique TVE.
La remontée mécanique accidentée est, elle, restée fermée pour permettre le travail des enquêteurs qui tentent d’éclaircir les circonstances du dysfonctionnement, a indiqué Andres Pita, le directeur-adjoint de la société qui gère la station, Eivasa. L’accident, qui s’est produit samedi matin, est arrivé après une avarie sur une poulie du télésiège qui transportait alors 80 personnes, entraînant une perte de tension du câble, la chute de certains télésièges et la forte déstabilisation d’autres.
Sur les 30 blessés, dix ont été hospitalisés dont deux l’étaient toujours dimanche pour des traumatismes à Saragosse, la capitale de la région d’Aragon où se situe la station de ski.
Dans un communiqué publié dans la nuit de samedi à dimanche, la société Eivasa a déclaré « ne pas connaître les causes de l’accident qui sont en cours d’investigation ». Trois investigations parallèles ont été lancées, a expliqué Andres Pita : celle de la police, une autre dirigée « par le gouvernement d’Aragon et la nôtre, réalisée par nos techniciens et le fabricant » des télésièges.
> « Toutes les installations », pas seulement celle qui a été impliquée dans l’accident, « mais toutes les installations sont à jour et ont fait l’objet des inspections requises par la loi. La loi sur le transport par câble en Aragon est très exigeante », a assuré Andres Pita.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:03:45


BOUCHES-DU-RHÔNE - Incendie criminel de Miramas :
Le bilan s’alourdit. Un enfant de cinq ans, grièvement brûlé vendredi dans un incendie criminel qui a coûté la vie à sa mère à Miramas (Bouches-du-Rhône), est décédé à son tour de ses blessures dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris auprès du procureur d’Aix-en-Provence. « Le petit garçon de cinq ans est décédé cette nuit », a déclaré à l’AFP le procureur de la République Jean-Luc Blachon.
Quatre membres d’une même famille, les parents et leurs jumeaux de 5 ans, avaient été brûlés à différents degrés dans la nuit de jeudi à vendredi dans l’incendie de leur appartement, situé au rez-de-chaussée d’un immeuble de sept étages à Miramas, à une soixantaine de km au nord-ouest de Marseille.
La mère de famille, âgée de 41 ans, était morte de ses blessures samedi à l’hôpital. L’état de santé de la petite fille, toujours hospitalisée, « n’inspire plus d’inquiétude », a précisé le procureur. Le père, brûlé au visage et aux mains selon les pompiers, a pu sortir de l’hôpital. « Les premières investigations ont permis de conclure avec certitude que l’incendie était d’origine criminelle », avait déclaré samedi le procureur, estimant que l’appartement de la famille était « ciblé ».
Il n’a pas donné d’indications sur les motifs qui auraient pu pousser le ou les incendiaires à viser cette famille. « L’enquête est toujours en cours », a-t-il insisté, estimant qu’il s’agissait d’un « crime d’une absolue gravité ». L’enquête pour homicides, tentative d’homicides en bande organisée et incendie volontaire en bande organisée a été confiée à la police judiciaire.
Newsletter Enquête en cours
Une plongée dans l’actualité des faits divers, pour éclairer la face sombre de notre époque
>>> Selon les premières pistes qui se dégagent des investigations, ce crime illustre aussi les limites franchies depuis plusieurs mois par les voyous, qui n’hésitent plus à s’en prendre aux familles de leurs rivaux.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:05:28


SEONE-SAINT-DENIS ;
Il est incolore, inodore, mais potentiellement mortel. Le monoxyde de carbone a fait une nouvelle victime ce samedi soir en Seine-Saint-Denis.
Il était un peu plus de 21 heures ce samedi lorsqu’un habitant du quartier de la Plaine à Saint-Denis, à quelques encablures du Stade de France, a été découvert sur le lit, inconscient, par sa conjointe qui venait de regagner leur domicile. Pris en charge par les secours, il a été transporté à l’hôpital de Garches (Hauts-de-Seine). Son pronostic vital est engagé.
Selon les premiers éléments recueillis sur place, il aurait fait usage d’un brasero dans l’appartement pendant une partie de l’après-midi pour se chauffer. L’utilisation de brasero en intérieur est particulièrement dangereuse. En décembre déjà, deux hommes avaient trouvé la mort dans des circonstances similaires à Noisy-le-Sec.
Un phénomène qui ne se limite évidemment pas au 93. Début janvier, plusieurs personnes avaient également été intoxiquées à Saint-Leu (Val-d’Oise) pour les mêmes raisons. Selon la dernière enquête de l’ARS (Agence régionale de santé), 519 personnes ont été victimes d’intoxication au monoxyde dans la région en 2023, dont 135 à cause de braseros ou de barbecues utilisés en intérieur.
>>> En Seine-Saint-Denis, 39 affaires d’intoxications ont été recensées sur la même période, 18 d’entre elles concernaient l’usage de braseros ou de barbecues. Au total 115 personnes ont été intoxiquées dans le département à des degrés divers cette année-là.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:11:29


MACON - Retailleau annonce l’envoi de « forces de l’ordre supplémentaires » :

Des violences urbaines, ayant entraîné des dégradations sur des bâtiments publics, ont éclaté dans la nuit de samedi à ce dimanche à Mâcon (Saône-et-Loire), a indiqué la préfecture du département. Ces violences ont eu lieu dans le quartier sensible des Saugeraies et une personne a été interpellée.
Un « premier bilan fait apparaître trois bâtiments publics dégradés » ainsi que « trois véhicules de police endommagés », selon la préfecture. Par ailleurs sept véhicules légers ont été incendiés, une pelleteuse ainsi que des poubelles ont été brûlées. En réaction, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a annoncé ce dimanche midi sur BFMTV que des « forces de l’ordre supplémentaires » allaient être envoyées. Il s’agira d’une demi-compagnie de CRS, a précisé par la suite le ministère de l’Intérieur.
Le calme était revenu ce dimanche à 5 heures et le préfet Yves Séguy a levé le centre opérationnel qui avait été activé à 2 heures « afin de suivre l’évolution de la situation en présence du maire de Mâcon et des représentants des services concernés ».

> Le préfet a pris plusieurs arrêtés de dimanche 8 heures à mardi 23 heures pour « l’interdiction de détention, de transport d’armes, toutes catégories confondues, de munitions et d’objets pouvant constituer une arme concernant les communes de Mâcon, Sancé et Charnay ». Il avait alors demandé le renfort des forces mobiles de sécurité pour la nuit à venir.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:15:59


ASSASSINAT DE SAMUEL PATY – Malaise à Conflans après la mise en cause de la mairie par la sœur de l’enseignant :

>>> La procédure lancée par la sœur du professeur assassiné en octobre 2020 secoue la ville depuis mercredi. Personnellement visé, le maire Laurent Brosse se dit « profondément heurté »..

Mickaëlle Paty, sœur de Samuel Paty, professeur assassiné en octobre 2020 par un terroriste, a annoncé mardi 14 janvier lancer un recours administratif contre la municipalité de Conflans-Sainte-Honorine. Elle reproche à la municipalité de ne pas avoir mis en place de protection policière pour son frère.

Par la voix de son avocate, Mickaëlle Paty a annoncé mardi 14 janvier 2025 attaquer en justice la municipalité de Conflans-Sainte-Honorine. Elle reproche à la Ville de ne pas avoir pris les mesures de protection qui auraient permis d’éviter l’assassinat de son frère, Samuel Paty, en octobre 2022 devant le collège où il était professeur. Le recours administratif en responsabilité a été dressé à la ville le 27 décembre 2024, une semaine après le verdict du procès de l’assassinat.

« Le procès de l’attentat terroriste contre Samuel Paty qui a abouti en décembre dernier à la condamnation des complices du terroriste et de ceux qui ont participé à l’attentat en tant que malfaiteurs terroristes, a confirmé que la mairie de Conflans-Sainte-Honorine avait manqué à ses obligations légales de sécurité sur son territoire », précise l’avocate de Mickaëlle Paty.

Elle pointe la responsabilité du maire de la ville, Laurent Brosse : « Il est établi que le maire de Conflans-Sainte-Honorine avait été tenu informé de la gravité des menaces qui pesaient sur le collège du Bois d’Aulne et sur Samuel Paty. Malgré sa connaissance du péril, le premier magistrat de la Ville a pourtant délibérément refusé de mobiliser sa police municipale pour prévenir les risques bien réels d’incidents et d’attaques. »

« Le maire a catégoriquement refusé la mise en place d’une simple mesure de sécurité »

Dans ce recours, l’avocate insiste sur la dangerosité des menaces dont faisant l’objet Samuel Paty et le refus du maire de lui fournir une escorte. « Invité par une élue à faire escorter Samuel Paty lors de son trajet domicile collège, le temps que les menaces de mort contre ce dernier se dissipent, le maire a catégoriquement refusé la mise en place de cette simple mesure de sécurité, et ce, malgré les risques avérés », note l’avocate.

> Contacté par France 3 Ile-de-France, Laurent Brosse n’a pas souhaité s’exprimer.

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