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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:15:59


ASSASSINAT DE SAMUEL PATY – Malaise à Conflans après la mise en cause de la mairie par la sœur de l’enseignant :

>>> La procédure lancée par la sœur du professeur assassiné en octobre 2020 secoue la ville depuis mercredi. Personnellement visé, le maire Laurent Brosse se dit « profondément heurté »..

Mickaëlle Paty, sœur de Samuel Paty, professeur assassiné en octobre 2020 par un terroriste, a annoncé mardi 14 janvier lancer un recours administratif contre la municipalité de Conflans-Sainte-Honorine. Elle reproche à la municipalité de ne pas avoir mis en place de protection policière pour son frère.

Par la voix de son avocate, Mickaëlle Paty a annoncé mardi 14 janvier 2025 attaquer en justice la municipalité de Conflans-Sainte-Honorine. Elle reproche à la Ville de ne pas avoir pris les mesures de protection qui auraient permis d’éviter l’assassinat de son frère, Samuel Paty, en octobre 2022 devant le collège où il était professeur. Le recours administratif en responsabilité a été dressé à la ville le 27 décembre 2024, une semaine après le verdict du procès de l’assassinat.

« Le procès de l’attentat terroriste contre Samuel Paty qui a abouti en décembre dernier à la condamnation des complices du terroriste et de ceux qui ont participé à l’attentat en tant que malfaiteurs terroristes, a confirmé que la mairie de Conflans-Sainte-Honorine avait manqué à ses obligations légales de sécurité sur son territoire », précise l’avocate de Mickaëlle Paty.

Elle pointe la responsabilité du maire de la ville, Laurent Brosse : « Il est établi que le maire de Conflans-Sainte-Honorine avait été tenu informé de la gravité des menaces qui pesaient sur le collège du Bois d’Aulne et sur Samuel Paty. Malgré sa connaissance du péril, le premier magistrat de la Ville a pourtant délibérément refusé de mobiliser sa police municipale pour prévenir les risques bien réels d’incidents et d’attaques. »

« Le maire a catégoriquement refusé la mise en place d’une simple mesure de sécurité »

Dans ce recours, l’avocate insiste sur la dangerosité des menaces dont faisant l’objet Samuel Paty et le refus du maire de lui fournir une escorte. « Invité par une élue à faire escorter Samuel Paty lors de son trajet domicile collège, le temps que les menaces de mort contre ce dernier se dissipent, le maire a catégoriquement refusé la mise en place de cette simple mesure de sécurité, et ce, malgré les risques avérés », note l’avocate.

> Contacté par France 3 Ile-de-France, Laurent Brosse n’a pas souhaité s’exprimer.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:19:42


SARTHE - "Je rembourse les dettes d’un escroc" ;
Sa vie est devenue un enfer. Christelle Gillot, une professeure des écoles habitant sans la Sarthe, se retrouve dans une situation financière plus qu’inconfortable après avoir appris qu’elle devait rembourser les 600 000 euros de dettes de son ex-mari, comme elle le raconte au Maine Libre.
Tout commence en 2020, lorsque cette professeure des écoles se renseigne pour faire construire une maison et apprend qu’elle est fichée à la banque de France. En faisant des recherches, elle découvre qu’elle est restée coemprunteur des crédits faits avec son ex-mari lorsqu’ils étaient mariés, et que ce dernier est en situation d’insolvabilité. « Il n’a plus de revenus, donc les banques se tournent vers moi pour obtenir le remboursement des crédits de 600 000 euros », raconte-t-elle à Ici Maine.
Pourtant, lors de leur divorce en 2016, Christelle Girot et l’homme avec qui elle a partagé 25 ans de vie commune s’étaient entendus sur un partage des biens chez le notaire. Lui devait garder deux maisons et les crédits associés et elle devait garder une autre maison. Seul problème, « cet acte-là n’a de valeur qu’entre époux et pas devant les banques » et il ne s’est jamais occupé de la désolidarisation des crédits.
« Mon ex-époux était cadre bancaire, il devait s’occuper de la désolidarisation des crédits, je n’avais pas pris conscience qu’il était susceptible de ne pas faire ces démarches. Quand on ne connaît pas le droit, c’est compliqué », regrette-t-elle. Elle se retrouve donc aujourd’hui coemprunteur des deux crédits immobiliers dont elle se pensait débarrassée, avec un ex-mari incapable de rembourser.
Pire encore, elle découvre que s’il ne rembourse plus ses prêts, c’est parce qu’il est accro aux jeux d’argent en ligne, à tel point qu’il a monté une escroquerie. Alors gérant d’une agence « Meilleurtaux.com », il utilisait les données personnelles de ses clients et détournait l’argent de ces derniers pour contracter des crédits à la consommation dont elle ignorait l’existence. Des faits pour lesquels il a été jugé en novembre 2024 par le tribunal correctionnel du Mans.
« C’est-à-dire que là, je rembourse les dettes d’un escroc. Il est en incapacité de paiement, car il a joué en ligne, il a vécu au-dessus de ses moyens et il a vendu ses maisons sans jamais rembourser les emprunts. Ça me révolte », peste la fonctionnaire. « C’est comme si j’étais condamnée à perpétuité alors que je n’ai rien fait », déplore-t-elle.
>> Depuis sa première plainte déposée en 2020, la mère de famille a dépensé 10.000 euros de frais d’avocats, a écrit à l’Élysée et à des députés, mais rien ne bouge face aux banques et leurs « armées d’avocats ». « Je dois vendre mon pavillon et je vais consacrer une partie de mes revenus à rembourser, quasiment jusqu’à la retraite », constate la quinquagénaire, qui ne pourra rien léguer à ses enfants, son plus grand regret.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:21:59


MARSEILLE - Le videur d’une boîte de nuit à Marseille tué par balles ...... et le suspect toujours en fuite ;
Le videur d’une boîte de nuit de Marseille a été tué dans la nuit de samedi à dimanche par un homme qui venait d’être refoulé de l’établissement en raison de son comportement, a-t-on appris de sources policières.
L’homme, expulsé par le videur de la discothèque le FaraNight, située dans le XIe arrondissement de Marseille, est revenu armé devant la boîte de nuit. Il venait de récupérer une arme longue dans sa voiture, garée à proximité. L’individu, âgé d’une cinquantaine d’années, est revenu sur place et a ouvert le feu à une dizaine de reprises vers l’entrée, selon une source policière.
Les balles ont traversé la porte, atteignant le vigile à la tête. Le tireur a ensuite pris la fuite. Il est toujours activement recherché.
Âgée de 37 ans, la victime est décédée sur place peu avant 4 heures du matin, ont indiqué les marins-pompiers, malgré les efforts du Smur pour le réanimer. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:25:57


U.S.A. - Après la mort de PETER FORREST, alias P. FLUID, un pionnier du rock noir du Bronx :
Sharief Bodden, 29 ans, a été arrêté et inculpé vendredi 17 janvier du meurtre de Peter Forrest, un résident du Bronx de 64 ans connu sous le nom de scène de P. Fluid, le leader du groupe de rock 24/7 Spyz, annonce Associated Press.
Ce groupe du Bronx faisait partie d’une vague de groupes de rock fondés par des Noirs, dont Living Colour et Fishbone, qui ont émergé dans les années 1980, mélangeant des éléments de heavy metal, de funk, de R&B, de punk et bien d’autres genres. Parmi les chansons phares du groupe figurait un remake de « Jungle Boogie » de Kool & the Gang.
Peter Forrest, qui était chanteur du groupe dont il était l’un des membres fondateurs, a quitté les 24/7 Spyz lors de sa tournée de 1990 avec Jane’s Addiction, selon le magazine Rolling Stone.
La Black Rock Coalition, un collectif d’artistes basé à New York, s’est souvenue de Peter Forrest comme d’un « chapitre essentiel d’un groupe essentiel ». « Fluid était l’un des chanteurs les plus créatifs, charismatiques, énergiques et puissants du milieu », a écrit l’organisation sur sa page Facebook. « Sa présence sur scène et sa personnalité dynamique n’étaient égalées que par quelques rares personnes. »
> Selon la police, Peter Forrest a été retrouvé inconscient et battu à l’intérieur de l’ambulance privée qu’il conduisait lundi 13 janvier. Il a été déclaré mort sur place et le bureau du médecin légiste a déterminé qu’il souffrait de blessures contondantes à la tête et au torse.
Une vidéo de surveillance obtenue par News 12 Bronx montre un homme sortir de l’ambulance dans laquelle a été trouvé le corps du chanteur vers 9 heures du matin, avant de monter dans une voiture située juste à côté avec une femme. Environ une heure plus tard, un autre employé de l’entreprise d’ambulance est arrivé et a découvert le corps de Peter Forrest à l’intérieur de la camionnette.
> Sharief Bodden a été arrêté quatre jours après les faits et fait face à des accusations de meurtre, de possession d’une substance illicite et de possession d’une arme.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:31:24


CESSEZ-LE-FEU A GAZA - Les trois premières otages israéliennes viennent d’être libérées .....
À Tel-Aviv, c'est le soulagement après la libération des otages.
Comme l’ont constaté des photographes de l’AFP et Reuters présents place des otages à Tel-Aviv, la libération des trois premières otages a été accueilli par des réactions de soulagement et de joie.
Auteur : Mel_C  
902/1153

Date :    19-01-2025 17:34:11


CESSEZ-LE-FEU A GAZA / 2 - La trêve a débuté avec du retard :
Négocié depuis des semaines, le cessez-le-feu entre l’armée israélienne et les combattants palestiniens du Hamas a commencé à 10 h 15 (heure de Paris), avec 2 heures 45 de retard sur l’horaire prévu. Les bombes doivent se taire dans la bande de Gaza après 470 jours d’une guerre qui a fait près de 50 000 morts et des milliers de déplacés, qui ont commencé à rentrer chez eux.
Auteur : Mel_C  
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Date :    19-01-2025 17:54:23


SCANDALE DES EAUX EN BOUTEILLE -Nestlé visé par une information judiciaire pour tromperie ......

>>> Le tribunal judiciaire de Paris a ouvert, fin décembre, une information judiciaire à l’encontre de Nestlé après le dépôt de plainte de l’ONG Foodwatch dans l’affaire des eaux en bouteilles traitées illégalement.

D’après nos confrères du Monde et de FranceInfo, une information judiciaire a été ouverte fin décembre 2024 par le tribunal judiciaire de Paris. Cela fait suite au dépôt d’une plainte pour tromperie par l’ONG Foodwatch

Contacté par Le Monde, Nestlé indique ne "pas commenter les procédures judiciaires en cours", mais assure "entendre coopérer de manière constructive avec les autorités judiciaires".

> L’État était au courant :

Pour rappel, le scandale des eaux Nestlé a débuté en janvier dernier, lorsque la filiale eau du géant de l’industrie agroalimentaire a reconnu avoir utilisé des méthodes contraires à la réglementation en vigueur jusqu’en 2021. L’eau qu’ils pompaient était contaminée et ils ont eu recours à des systèmes de purification interdits pour continuer de la mettre en bouteille.

L’ONG de défense des consommateurs Foodwatch avait alors déposé deux nouvelles plaintes contre Nestlé et le groupe Alma.

Selon l’ONG, le gouvernement avait été mis au courant de cette affaire en 2021, par l’entreprise Nestlé, lors d’un rendez-vous confidentiel à Bercy. L’État avait alors permis à l’entreprise d’avoir recours à des micro-filtres interdits, sans l’avis de ses administrations telles que l’Agence de sécurité sanitaire.

> Commission d’enquête en cours :

Depuis la mi-décembre, les sénateurs ont lancé une commission d’enquête sur "les pratiques des industriels de l’eau".

Les auditions portent essentiellement sur la fraude déployée par la multinationale suisse, accusée d’avoir installé des filtres interdits par la réglementation dans ses usines du Gard et des Vosges pour purifier des eaux contaminées et continuer à les vendre sous l’appellation d’eaux minérales naturelles.

Contacté par Le Monde et FranceInfo, le rapporteur socialiste Alexandre Ouizille assure que l’ouverture de cette information judiciaire ne "changera rien" au travail des parlementaires : "Notre commission ne saurait se laisser intimider par qui que ce soit. Un industriel comme Nestlé ayant fraudé les consommateurs durant de longues années ne peut s’y soustraire."

Cette "commission d’enquête poursuivra son travail en faisant usage de toutes les voies de droit prévues pour que les informations qui sont nécessaires à sa mission lui soient communiquées", ont souligné les sénateurs dans un courrier adressé à Nestlé Waters.
Auteur : Mel_C  
904/1153

Date :    19-01-2025 17:59:33


PARIS - Les policiers blessent un forcené armé d’un fusil à pompe et soupçonné de violences conjugales....
Une intervention sous haute tension. Samedi après-midi, les policiers ont ouvert le feu sur un homme, retranché et armé d’un fusil à pompe dans les caves d’un immeuble du XIXe arrondissement de Paris. Les fonctionnaires « ont essuyé des tirs d’arme à feu, auxquels ils ont riposté » fait savoir le parquet de Paris, confirmant une information révélée par le site Actu17.
Ils venaient l’interpeller pour des faits de violences conjugales, a-t-on appris de sources concordantes. Grièvement blessé, il a été conduit à l’hôpital avec un pronostic vital engagé. Côté police, aucun blessé n’est à déplorer.
Les faits se sont produits un peu après 16 heures dans un immeuble de la rue Alphonse Karr. Un premier équipage de la BAC se rend alors sur place pour arrêter l’homme « après le dépôt d’une plainte pour violences commises par ex-conjoint », précise le parquet de Paris. Mais à l’arrivée des policiers, le forcené ne semble pas prêt à se rendre et refuse de lâcher son arme. Ces premiers fonctionnaires demandent du renfort pour l’interpeller.
Ils sont rejoints d’abord par le Groupe de soutien opérationnel (GSO) puis par la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), compétents pour intervenir dans ce type de situations à risque. Mais la tension ne redescend pas, au contraire. Vers 16h30, l’homme aurait ainsi fait feu en direction des policiers du GSO qui ont riposté et l’ont blessé au niveau du ventre.
> « Deux enquêtes ont été ouvertes : l’une des chefs de violences par ex-conjoint, détention d’arme et tentative d’homicide volontaire sur personnes dépositaires de l’autorité publique, confiée au 2e district de police judiciaire de Paris, l’autre du chef de violences avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique, confiée à l’inspection générale de la police nationale (IGPN) », indique le parquet.

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