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Protection humaine
Auteur : Aigle 
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Date :    24-01-2025 07:50:44


GRIPPE
L'épidémie de grippe est d'une "sévérité marquée" cet hiver,
L'épidémie continue de progresser chez les moins de 15 ans, alors qu'elle marque le pas chez les plus âgés,
selon Santé publique France.

La majorité des hospitalisations pour grippe ou syndrome grippal, i se situent désormais
"à un niveau d'intensité très élevé chez les moins de 15 ans", contre "modéré chez les plus de 15 ans", relève SPF.
Par ailleurs, l'indicateur grippe/syndrome grippal de SOS Médecins est à "un niveau très élevé chez les moins de 5 ans"
et "élevé chez les 15-64 ans",
contre "modéré chez les 65 ans et plus". .... ceux qu'on "tance" pour qu'ils se fassent vacciner grippe ET covid
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-01-2025 21:37:30


ASSISES DE L'HERAULT - verdict implacable pour la mère d’Amandine

>>> Au terme d’une semaine de procès éprouvante et d’un réquisitoire implacable, la mère d’Amandine a été condamnée à la perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de 20 ans, pour avoir provoqué la mort de sa fille.

Le verdict a été rendu après environ trois heures de délibéré par la cour d’assises de l’Hérault, à Montpellier, ce vendredi 24 janvier 2025 après-midi : Sandrine Pissara, 54 ans, la mère d’Amandine morte de faim à l’âge de 13 ans dans un cagibi de la maison familiale de Montblanc, en août 2020 a été condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité avec une peine de sûreté de vingt ans.
Pour Jean-Michel Cros, son concubin, beau-père de la collégienne qui pesait 28kg pour 1,55m le jour où elle a été retrouvée morte, la cour et les jurés sont allés au-delà du réquisitoire de l’avocat général qui avait demandé une peine de 18 ans : il écope de 20 ans de réclusion criminelle. Le procès s’était ouvert lundi 20 janvier 2025. Après les parties civiles, l’avocat général Jean-Marie Beney avait comparé les maltraitantes et les souffrances de l’adolescente « à celles infligées dans un régime totalitaire », qualifiant l’accusée de « tyran domestique et de dictateur de l’intérieur ».
L’avocat général a été implacable. Fixant Sandrine Pissara, tête baissée dans le box, il a lancé : « Vous avez depuis cinq jours pénétré dans l’enfer, dans l’impensable, dans l’indicible. Vous avez pénétré dans le système Pissara, dans la dictature familiale, vous avez pénétré dans un monde inimaginable », avant de se tourner vers le second accusé, le beau-père d’Amandine : « Dans tout système totalitaire, il y a des collabos, et j’en vois un dans le box, c’est vous, monsieur Cros. Si on a une once d’humanité, on réagit. Vous n’avez pas empêché ce crime ».
Jean-Marie Beney a assuré « ne pas croire en la défense de la mère qui a expliqué reproduire les violences, dont elle a dit avoir été victime lors du procès ». Jamais lors de l’enquête, ni durant l’instruction, Sandrine Pissara avait fait état de violences de sa mère quand elle était très jeune. Les avocats de la partie-civile ont également fortement douté de ces déclarations et ont longuement insisté sur le martyre, la lente descente aux enfers jusqu’à une mort horrible d’Amandine.
« Comment peut on la défendre ? Mais elle n’est pas indéfendable et c’est un honneur de la défendre. Défendre n’est pas cautionner. Il ne faut pas être contaminés par la dictature de l’émotion, je défends une femme qui a libéré sa parole. Qui a avoué les faits. Comment expliquer la trajectoire de cette femme? y a forcément des choses. Ces violences maternelles, elles ne tombent pas du ciel », a notamment plaidé en défense Me Louis Dolez, un des deux avocats des accusés, qui ont dix jours pour interjeter appel du verdict.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-01-2025 21:40:01


ASSISES DE L'HERAULT - le procès de la mère et du beau-père d'Amandine, 13 ans, morte affamée :
L’affaire effrayante jugée depuis ce lundi 20 janvier 2025 devant la cour d’assises de l’Hérault, à Montpellier, avec un verdict prévu vendredi soir avait ému la France entière, lorsqu’elle avait été révélée en été 2020 : la mort de faim d’une adolescente âgée de 13 ans, morte affamée et assoiffée dans le huis clos familial de Montblanc, entre Béziers et Pézenas.
Le procès de l’horreur s’est ouvert ce lundi après-midi avec dans le box des accusés la maman de la victime, Amandine, Sandra Pissara qui est âgée de 54 ans et son compagnon de l’époque âgé de 49 ans, Jean-Michel Cros. Elle est poursuivie pour actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner : elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Lui, doit répondre de privation volontaire de soins ou d’aliments et de n’avoir rien fait pour sauver sa belle-fille d’une mort certaine, ce qui peut lui valoir trente ans de réclusion criminelle. Les accusés seront fixés sur leur sort, vendredi soir, après le réquisitoire de l’avocat général, les plaidoiries de la partie civile et de la défense, l’appel à la barre des nombreux témoins et experts.
Le 6 août 2020, quand on découvre Amandine beaucoup trop tard, sans vie, une adolescente chétive à l’état de santé très dégradée, puisqu’elle ne pèse que 28 kg pour 1,55 m, c’est la stupeur, l’incompréhension, la colère. Les experts qui l’examinent longuement concluent à des conséquences d’un état « cachectique », à savoir un amaigrissement extrême, associé à une septicémie et à un possible syndrome de renutrition inappropriée, ajoutent les médecins légistes de l’hôpital Lapeyronie, à Montpellier qui ont réalisé l’autopsie.
Lors de l’examen médico-légal, il ressort qu’Amandine a perdu des dents et a eu les cheveux arrachés. Sa mère, Sandrine Pissarra était placée en garde à vue rapidement, assurant qu’Amandine souffrait de troubles alimentaires, une version qui a toujours été remise en cause.
En mai 2021, la mère de l’adolescente était mise en examen et incarcérée, présumée accusée de l’avoir notamment « affamé ». Ancienne serveuse de bar, mère de huit enfants nés de trois unions, elle est jugé par ailleurs pour violences volontaires habituelles sur Amandine entre 2014 et 2020.
Depuis 2016, elle avait trouvé un nouveau concubin, qu’elle hébergeait à Montblanc, Jean-Michel Cros, « Il ne fait aucun doute qu’Amandine a enduré de la part de (sa mère) des violences destructrices et paroxystiques, dont le seul dessein a été la volonté de l’entraîner dans une agonie honteuse et humiliante« , selon l’ordonnance de renvoi devant les assises du juge d’instruction du tribunal judiciaire de Béziers.
L’enquête de gendarmerie a établi que depuis son plus jeune âge, Amandine était la souffre-douleur de sa mère, multipliant les vexations, les humiliations, les coups, la privant de nourriture, l’abreuvant de punitions d’écriture, comme le sont des « colles » à l’école, l’enfermait dans un débarras digne d’un cachot, où elle surveillait ses faits et gestes grâce à une caméra de surveillance, une webcam…
Aujourd’hui quinquagénaire, elle a assisté à la déchéance et à la mort lente de sa fille, sous les yeux de son nouveau compagnon, qui a gardé le silence. Les experts psychiatriques décrivent Sandrine Pissarra comme colérique et violente, ayant pu transposer sa haine du père d’Amandine sur le corps de sa fille.
L’instruction a révélé que les faits présumés les plus violents qui n’ont plus cessé ont éclaté en mars 2020, lors du premier confinement dû à la Covid : à cette époque et durant de longs mois, Amandine n’avait plus mis les pieds au collège. Elle était interne et quand le confinement a été mis en pieuvre en mars 2020, elle est venue vivre avec sa mère et son beau-père à Montblanc. Pendant le confinement, dans son cachot où elle était affamée et assoiffée, sa sœur de 15 ans et son frère de 11 ans vivaient tranquillement à l’étage de la maison avec la mère et le beau-père.
Sa mère et son concubin la cachait, la privait de sorties, ce qui n’avait pas éveillé l’attention et les soupçons des proches et des voisins. Qui aurait pensé qu’une adolescente de 13 ans pouvait mourir de faim, volontairement affamée par sa mère, dans les années 2000 quelque part en France ? Après le verdict, le père biologique d’Amandine qui s’attend à entendre des horreurs durant la semaine au procès tentera de récupérer son corps pour organiser une inhumation digne : depuis quatre ans, elle est enterrée dans le caveau familial de son ex-femme, ce qui est pour lui insupportable.

Auteur : Mel_C  
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Date :    24-01-2025 21:46:10


Enlèvement de David Balland - pourquoi le discret entrepreneur en crypto a-t-il été pris pour cible ?

Finalement libéré. Mercredi 22 janvier, David Balland, cofondateur de Ledger, société spécialisée dans la sécurisation des cryptoactifs, a été libéré grâce à une intervention du GIGN. La veille, dans la matinée, l’entrepreneur et sa compagne avaient été enlevés à leur domicile dans le Cher avant d’être séquestrés. David Balland a été enfermé à Châteauroux, tandis que sa compagne a été transportée dans plusieurs lieux. Les ravisseurs réclamaient une rançon en cryptomonnaie.
L’alerte a été donnée par Eric Larchevêque, également cofondateur de Ledger, connu pour sa participation à l’émission Qui veut être mon associé sur M6. Eric Larchevêque avait reçu une vidéo montrant un doigt mutilé de David Balland, accompagnée d’une demande de rançon «importante», selon le parquet. Une partie de cette rançon a été versée durant les négociations avec les forces de l’ordre, mais «la majorité des cryptomonnaies ont été saisies et gelées», a indiqué la procureure de Paris lors d’une conférence de presse tenue le 23 janvier. Mais, pourquoi les ravisseurs ont-ils ciblé David Balland ?
David Balland a été libéré mercredi avant d’être hospitalisé pour sa mutilation. Pendant ce temps, les forces de l’ordre ont interpellé trois suspects entre mercredi et jeudi. Sa compagne a été retrouvée dans une commune de l’Essonne, «ligotée dans le coffre d’un véhicule». Six autres suspects ont été arrêtés par la suite, portant le nombre total d’interpellations à dix. Une information judiciaire a été ouverte le vendredi 24 janvier pour neuf chefs d’accusation, dont «enlèvement et séquestration en bande organisée», accompagnés «d’actes de torture ou de barbarie» et «d’extorsion avec arme». Finalement, sept suspects ont été placés en détention provisoire, tandis que trois autres ont été relâchés sans poursuite. Les investigations se poursuivent pour identifier d’éventuels commanditaires, y compris à l’étranger.
Une figure emblématique de la tech française. David Balland, 36 ans, originaire de Vierzon, a d’abord cofondé la plateforme Chronocoin.fr avec deux associés, Joël Pobeda et Vanessa Rabesandratana. Ils ont ensuite été rejoints par Nicolas Vacca, fondateur de BTChip. Ces deux sociétés ont fusionné avec la Maison du Bitcoin, créée par Eric Larchevêque et Thomas France, pour donner naissance à Ledger en 2014, réunissant un total de huit associés. L’entreprise, aujourd’hui valorisée à 1,3 milliard d’euros, est le leader mondial de la conception de portefeuilles physiques de cryptomonnaies. Ledger a vendu plus de sept millions d’appareils dans plus de 180 pays, traduits en 10 langues. Elle sécurise environ 20% des actifs numériques mondiaux et compte plus de 100 clients institutionnels.
Cette affaire d’enlèvement liée aux cryptomonnaies fait écho à celle d’un homme de 56 ans, retrouvé début janvier dans le coffre d’une voiture près du Mans, à plusieurs centaines de kilomètres de son domicile situé dans l’Ain. Selon plusieurs médias, il s’agissait d’un influenceur en cryptomonnaies basé à Dubaï, qui publie régulièrement des vidéos sur ses gains. Là encore, les ravisseurs avaient formulé une demande de rançon. Interrogé, le parquet de Paris n’a toutefois établi aucun lien entre les deux affaires.
A l’étranger, des cas similaires ont également été recensés. En Belgique, en décembre 2024, la compagne de Stéphane Winkel a été victime d’un enlèvement avec demande de rançon en cryptomonnaies. Son mari, se présentant comme «cryptomillionnaire», est à la tête d’une chaîne YouTube où il conseille ses abonnés. De l’autre côté de l’Atlantique, à Toronto, Dean Skurka, PDG de la société de cryptomonnaies WonderFi, a été kidnappé par des ravisseurs puis libéré en novembre 2024 après le versement d’une rançon d’un million de dollars. Un mois auparavant, à Montréal, Kevin Mirshahi, un influenceur en cryptomonnaies, a été retrouvé mort après avoir été enlevé et séquestré en juin 2024. Mirshahi conseillait sa communauté via un groupe Telegram privé et payant. Le tribunal administratif des marchés financiers québécois lui avait ordonné d’arrêter ses activités dès 2021. L’enquête est toujours en cours.
Il faut dire que les cryptomonnaies offrent une facilité et une discrétion de transfert bien supérieures à celles des monnaies classiques, ce qui les rend particulièrement attractives pour ce type d’extorsion. Par ailleurs, leur valeur a fortement progressé ces dernières années. En décembre 2024, par exemple, le Bitcoin a franchi la barre symbolique des 100 000 dollars l’unité, contre seulement 15 000 dollars en novembre 2022. L’Ethereum, deuxième cryptomonnaie en termes de capitalisation, continue également de croître.
En Europe, le règlement sur les marchés de cryptoactifs (MiCA), en vigueur depuis le 30 décembre 2023, impose désormais de fournir davantage d’informations sur l’origine et la destination des cryptoactifs transférés. Cette mesure vise à renforcer la traçabilité des transactions et à limiter leur usage frauduleux.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-01-2025 21:51:54


U.S.A. - Documents déclassifiés par Trump :
Donald Trump a promulgué, le 23 janvier, un décret exécutif ordonnant la déclassification totale des archives du gouvernement américain sur les assassinats du président John Fitzgerald Kennedy (JFK), en 1963, de son frère le sénateur Robert F. Kennedy, en 1968, ainsi que du leader du mouvement pour les droits civiques, Martin Luther King, la même année.
“Beaucoup de gens attendent ça depuis des années, des décennies”, a déclaré le président américain au moment de signer ce décret dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche, ajoutant que “tout sera[it] révélé”, rapporte le quotidien USA Today.
Ces assassinats politiques soulèvent, depuis des décennies, d’innombrables spéculations aux États-Unis. Donald Trump lui-même “a colporté des théories du complot, notamment sur l’assassinat, en 1963, de JFK”, souligne The New York Times. Le quotidien new-yorkais rapporte également que Robert F. Kennedy Jr. – neveu de JFK et fils du sénateur Robert F. Kennedy – nommé par Trump pour diriger le ministère de la Santé, a fait état dans le passé de “preuves accablantes de l’implication de la CIA” dans l’assassinat de son oncle JFK. Il a aussi évoqué des indices “très convaincants” de l’implication supposée de la même CIA dans celui de son père.
Robert Kennedy Jr., qui avait 14 ans lorsque, en juin 1968, son père est mort après s’être fait tirer dessus dans un hôtel de Los Angeles dans la foulée d’un meeting, a notamment déclaré qu’“il pensait qu’un deuxième tireur était impliqué et que l’assassin condamné, Sirhan B. Sirhan, n’était pas celui qui avait tué son père”.
> Concernant l’assassinat de JFK, la commission d’enquête officielle avait conclu en 1964 que Lee Harvey Oswald, un ancien marine américain qui avait vécu en Union soviétique, avait agi seul.
Le texte du décret exécutif de Donald Trump stipule que “les familles et le peuple américain méritent la transparence et la vérité”. Et qu’il est “dans l’intérêt national de rendre publiques toutes les archives liées à ces assassinats sans délai”.
Par ce décret, le locataire de la Maison-Blanche ordonne notamment au ministre de la Justice et au directeur du renseignement national de présenter un plan dans les quinze jours “pour la divulgation complète des documents relatifs à l’assassinat du président John F. Kennedy”. Ces mêmes responsables ont quarante-cinq jours pour présenter un plan “pour la divulgation complète et intégrale” des documents relatifs aux assassinats du sénateur Kennedy et de Martin Luther King, poursuit le quotidien new-yorkais.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-01-2025 21:57:25


NANTERRE - Le corps d’un jeune homme découvert non loin de l’Arena après le concert :
Un show exceptionnel mais la fête a malgré tout été gâchée. Le corps d’un jeune homme a été découvert ce vendredi un peu après 1 heure du matin, dans la rue, à Nanterre, non loin de Paris La Défense Arena, où se tenait le gala des Pièces jaunes. Le corps gisait sur la voie publique, rue Salvador Allende, à environ deux centres mètres de l’enceinte sportive et salle de concerts.
La macabre découverte a été faite au moment où les 35 000 spectateurs du gala quittaient les lieux, après 3h30 de concert. Selon une source proche de l’affaire, la victime aurait bien assisté au spectacle, qui a réuni une affiche internationale de prestige avec notamment Katy Perry, John Legend, Rosé. À ce stade, on ignore s’il existe un lien entre le décès de ce jeune homme, les marques relevées sur son corps et la soirée de l’Arena.
Selon une source policière, des traces de coups étaient visibles sur la victime, et elle avait saigné du nez. Mais pour l’heure, on ne sait pas si le jeune homme a été agressé, s’il aurait été blessé dans une bousculade pendant ou juste après le concert, ou même s’il a fait un malaise.
Sa jeunesse et les blessures constatées ont convaincu le médecin légiste de mettre un « obstacle médico-légal ». Aussi, le corps a été transporté à l’institut médico-légal pour y subir une autopsie, dans le cadre de l’enquête ouverte à ce stade pour « recherches des causes de la mort ». Le commissariat de Nanterre est chargé de l’enquête. Les conclusions de l’autopsie devraient pouvoir orienter leurs investigations.
Auteur : Mel_C  
943/1153

Date :    24-01-2025 21:59:31


JUSTICE ENGORGEE - Condamné pour viol sur mineure, il est libéré .....

Un homme emprisonné et condamné il y a peu à une longue peine de prison pour viol vient de retrouver la liberté. La raison? La lenteur et l’engorgement de la justice.

En janvier 2024, ce quadragénaire avait été reconnu coupable par la cour d’assises des Yvelines d’avoir violé sa nièce mineure, 13 ans. Il avait écopé de 10 ans de réclusion criminelle, explique «Le Parisien».

Mais l’homme avait fait appel de cette condamnation. Or «comme le veut la loi, son procès en appel aurait dû se tenir dans un délai maximum d’un an», explique BFMTV. Avec une justice débordée en France, aucune date n’a pu être fixée dans ce délai. Et la justice a refusé une requête de «prolongation exceptionnelle de la détention» du Parquet. L’homme est donc libre, depuis le 8 janvier dernier.

La presse française précise que, dans ce genre de cas précis, la justice ne prévoit pas de contrôle judiciaire.

Une date est désormais agendée pour le procès en appel: juin prochain. Mais d’ici-là, note BFMTV, «l'homme, d'origine malienne, peut quitter à tout moment le territoire national faute de contrôle judiciaire.»

Auteur : Mel_C  
944/1153

Date :    24-01-2025 22:05:42


IRAN - Deux femmes arrêtées pour avoir dansé dans un cimetière ......
La police iranienne a arrêté deux jeunes femmes après la diffusion d’une vidéo dans laquelle elles dansent dans un cimetière de Téhéran sans respecter le strict code vestimentaire du pays, ont rapporté vendredi des médias locaux.
«Il y a peu de temps, deux personnes, dans le cimetière des martyrs à Téhéran, ont, sans tenir compte du caractère sacré du lieu, enregistré un clip vidéo avec des vêtements inappropriés et des mouvements contraires aux coutumes et à la charia», la loi islamique, a déclaré la police dans un communiqué cité par l’agence de presse Tasnim.
Leurs agissements «ont provoqué de vives protestations publiques, notamment de la part des familles des martyrs, et les deux personnes ont été arrêtées par la police puis remises aux autorités judiciaires», a ajouté la police.
Depuis la Révolution islamique de 1979, les femmes en Iran ont l’obligation de dissimuler leurs cheveux dans les lieux publics, où elles n’ont pas non plus le droit de danser. Mais de plus en plus de femmes apparaissent désormais sans voile depuis la mort de Mahsa Amini, en signe de défiance à l’encontre d’un des piliers idéologiques de la République islamique.
La mort de cette jeune Iranienne, arrêtée pour une infraction supposée au code vestimentaire, avait entraîné une vague de contestation sans précédent en septembre 2022. La répression du mouvement a fait plusieurs centaines de morts et provoqué l’arrestation de milliers de personnes, selon des ONG.

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