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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
945/1285

Date :    31-01-2025 19:44:27


CHATEAUDUN (EURE-ET-LOIR) - Le chauffeur du car accidenté avait pris de la résine de cannabis :

>>> La quantité relevée ne correspond pas une consommation passive et l'homme reste en garde à vue. Une lycéenne est morte, 20 enfants blessés.

Le chauffeur du car scolaire avait consommé de la résine de cannabis avant l’accident qui a tué une lycéenne de 15 ans, jeudi à Châteaudun (Eure-et-Loir), selon les résultats des analyses sanguines, a annoncé vendredi le parquet de Chartres dans un communiqué.
La présence de ce produit, avec un seuil supérieur à 0,5 nanogramme, ne peut correspondre à une consommation dite «passive» comme l’affirme le chauffeur, a précisé le procureur de la République de Chartres Frédéric Chevallier, ajoutant que la garde à vue du chauffeur a été prolongée ce matin.

>>> Contaminé par les joints de sa compagne :

Le chauffeur affirme pour sa part «qu’il s’agit non pas d’une consommation de produits stupéfiants, mais d’une contamination passive qui expliquerait la présence ainsi détectée, n’ayant pas consommé de produits stupéfiants depuis le mois de décembre dernier». Il a indiqué que c’était sa compagne, qui consomme régulièrement, «qui pourrait être à l’origine de ce résultat. Il précise qu’il lui arrive d’allumer les joints qu’elle fume». Il s’est réservé le droit de solliciter une contre-expertise, selon Frédéric Chevallier.
Le chauffeur de bus maintient par ailleurs sa version des faits, «celle de la présence d’un véhicule tiers dont la manœuvre l’aurait obligé à dévier sa trajectoire, lui faisant perdre le contrôle de son bus».

>>> Une caméra dans le véhicule qui suivait :

Les auditions de l’ensemble des témoins se poursuivent vendredi, selon le parquet. «Parmi eux, le conducteur d’un véhicule qui circulait derrière le bus disposait d’une caméra dans son véhicule qui permettra peut-être d’apprécier les conditions de l’accident», a-t-il précisé. Selon les premières investigations et exploitations, «le croisement du bus avec un véhicule tiers, au moment de l’accident, ne serait pas confirmé par l’analyse de cette caméra».
L’enquête va se poursuivre sous la direction et le contrôle d’un magistrat instructeur que le parquet de Chartres va saisir vendredi après-midi. Le conducteur sera présenté à un juge et le parquet demandera son placement en détention provisoire, indique le magistrat.
Les faits seront notamment qualifiés d'«homicide involontaire aggravé par le fait que le conducteur conduisait après usage de produit stupéfiant, blessures involontaires aggravées par la même circonstance avec des ITT inférieures à trois mois».
L’autopsie du corps de Joanna, adolescente de 15 ans scolarisée au lycée Émile-Zola de la commune et décédée lors de l’accident, est en cours à l’IML de Garches et les résultats de cet acte médico-légal ne seront connus que vendredi dans l’après-midi.

>>> Tous sortis de l'hôpital :

Aucun des autres enfants blessés n’est plus hospitalisé, l’interruption totale de travail la plus élevée a été fixée à 21 jours pour un d’entre eux.
Le car scolaire s’était couché sur la voie pour une raison encore indéterminée. Vingt élèves ont été blessés dans l'accident.
Auteur : Mel_C  
946/1285

Date :    31-01-2025 20:20:15


VANDALISME - La tombe de Jean-Marie Le Pen a été vandalisée :

La tombe de Jean-Marie Le Pen, décédé le 7 janvier et inhumé au cimetière de La Trinité-sur-Mer (Morbihan), a été dégradée, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie.
«La tombe a été véritablement saccagée, probablement à coups de masse cette nuit», a par ailleurs déclaré à l’AFP Gilles Pennelle, député européen RN et conseiller régional de Bretagne, en dénonçant un acte «odieux, ignoble et abject».
«Le respect des morts est sacré, c’est très profond en Bretagne», a ajouté M. Pennelle, qui a dit avoir été «averti par des Trinitains» dans la matinée. Selon lui, «la pierre centrale est fendue», «la croix cassée», ainsi que «les plaques» en hommage à Jean-Marie Le Pen et à ses parents.
L’une des filles de Jean-Marie Le Pen, Marie-Caroline Le Pen, a posté sur X une photo de la tombe dégradée. «Pas de mot pour qualifier les individus qui s’attaquent à ce qu’il y a de plus sacré. Ceux qui s’attaquent aux morts sont capables du pire contre les vivants», écrit-elle pour accompagner le cliché.
Jordan Bardella a estimé que les dégradations constatées vendredi sur la tombe de Jean-Marie Le Pen à La Trinité-sur-Mer (Morbihan) étaient «un acte inqualifiable, commis par ceux qui ne respectent ni les vivants, ni les morts».
«La morale la plus universelle réprouve déjà ses auteurs: je souhaite qu’ils soient également retrouvés et sévèrement punis par la justice», a ajouté sur X le président du Rassemblement national.Fondateur du Front national, Jean-Marie Le Pen, décédé le 7 janvier à l’âge de 96 ans, a été inhumé dans le caveau familial le 11 janvier dans le cimetière de sa ville natale de La Trinité-sur-Mer (Morbihan).
Tribun provocateur, obsédé par l’immigration et les juifs, Jean-Marie Le Pen a été condamné pour plusieurs de ses déclarations sur la Seconde Guerre mondiale et pour des injures homophobes.
> La brigade de gendarmerie de Lorient a été chargée de l’enquête, ouverte par le parquet de Lorient.
Auteur : Mel_C  
947/1285

Date :    31-01-2025 20:40:58


EXPLOSION D’UNE BOITE AUX LETTRES DANS LE MORBIHAN : le pronostic vital de la victime n’est plus engagé, un suspect recherché :

>>> La victime, un homme de 47 ans, avait été retrouvée en arrêt cardio-respiratoire mercredi soir à l’arrivée des secours. Elle avait été transportée au CHU de Brest.

Le pronostic vital d’un homme, grièvement blessé mercredi soir à Gourin (Morbihan) par l’explosion d’une bombe artisanale placée dans sa boîte aux lettres, n’est plus engagé ce vendredi matin, selon nos informations.

« La boîte aux lettres piégée a explosé et a mis en urgence vitale le locataire des lieux qui venait relever son courrier », avait déclaré le maire de Gourin, Hervé Le Floc’h. L’engin renfermait visiblement des vis et des clous et a explosé vers 21 heures. La détonation a été « énorme » et entendue dans un large périmètre. « J’ai cru que c’était un tremblement de terre ou une météorite », a témoigné un voisin auprès du Télégramme.

À leur arrivée sur les lieux, les gendarmes ont découvert un éparpillement de clous et vis sur la chaussée. Un véhicule de la gendarmerie a même crevé un pneu. Les démineurs de Brest avaient été également appelés sur les lieux. « La rue était jonchée de tire-fonds et j’ai vu que la boîte aux lettres, en bas à gauche, était pulvérisée » , a décrit un riverain à nos confrères. Le quartier a ensuite été entièrement bouclé.

Très grièvement blessé par les projectiles, un homme âgé de 47 ans, retrouvé en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des secours, avait été transporté au CHU de Brest. Ce vendredi matin, le pronostic vital de la victime n’est plus engagé mais elle n’est pas encore en état d’être entendue.

Les premières investigations s’orientent vers un problème de voisinage avéré mais l’enquête devra le confirmer. Ce vendredi, un individu est recherché par les services de gendarmerie.

L’enquête avait été ouverte jeudi pour tentative d’assassinat et fabrication d’engin explosif. Cette enquête a été confiée « à la brigade de recherches de Pontivy, avec l’appui de la section de recherches de gendarmerie de Rennes », indique le procureur de la République de Lorient, Stéphane Kellenberger.
Auteur : Mel_C  
948/1285

Date :    31-01-2025 21:03:20


NIMES - Elle dépose plainte contre son petit ami qui conduit mal et l'abandonne dans la voiture............
Deux femmes et un enfant à l'arrière d'un véhicule ont été abandonnés au milieu de la route. Lundi après-midi, la police municipale de Nîmes a été surprise par l'attitude d'un conducteur... Les policiers ont voulu le contrôler, mais ce dernier a accéléré avant de stopper son automobile à hauteur du quartier du Chemin-Bas-d'Avignon à Nîmes. Deux hommes à l'avant de l'automobile sont parvenus à prendre la fuite en courant.
À l'arrière, deux femmes et un enfant n'ont pas pu quitter l'habitacle. Une des femmes a précisé être la propriétaire de cette automobile qui n'était pas assurée. Elle a donné deux noms dont on ne sait pas encore s'ils correspondent à la véritable identité des fuyards. Elle a également indiqué, furieuse, qu'elle déposait plainte contre le conducteur, c'est-à-dire son compagnon, pour mise en danger de la vie d'autrui. En effet, cette jeune mère de famille venue d'un département voisin était très en colère contre le malotru qui a osé l'abandonner.
Auteur : Mel_C  
949/1285

Date :    31-01-2025 21:07:33


GRAU-DU-ROI - Un commerçant condamné pour avoir exploité un "salarié" non déclaré :

« Il m’a dit je dors dehors sur le sable. Il s’agit d’un échange de bon procédé », certifie devant le tribunal correctionnel de Nîmes le patron d’un hôtel-restaurant du Grau-du-Roi. « Il avait une chambre et il mangeait avec nous. En contrepartie il effectuait du nettoyage ». Le patron de cet établissement ne voit pas le problème sauf que la justice appelle ce « service rendu » du "travail dissimulé" d'autant que son employé travaillait en permanence dans l'établissement et servait des clients.
L’avocat du plaignant, maître Thomas Autric, va beaucoup plus loin : « Vous avez devant votre tribunal un négrier », qui se « servait d’une boniche ». Car le responsable de cet hôtel-restaurant est accablé par de nombreux témoignages, y compris ses salariés, indiquant que celui qui était en situation irrégulière sur le territoire national était un serveur quotidien depuis plusieurs années.
Le plaignant est même capable d'indiquer le prix du menu le plus bas dans l’établissement qui s’élevait au moment du début du conflit entre les parties à 14,90 euros. Des déclarations précises qui prouvent à l'audience qu'il connaît très bien l'établissement. Des témoins estiment que « l’employé » travaillait à temps plein depuis 2 à 3 ans.
« Il travaillait, ce n’était pas un coup de main ponctuel », relance le procureur. Même la police municipale du Grau-du-Roi affirme qu’il s’agissait d’un serveur de cet établissement. Pourtant, le patron n’a fait aucune déclaration aux administrations et n’a pas cotisé pour son salarié.
« Ça lui allait très bien de ne pas être déclaré (...) des témoignages permettent de dire qu’il n’y avait pas de lien de subordination », plaide maître Christelle Lextrait pour le commerçant traduit en Justice.
Le tribunal estime que le lien était pourtant bien établi. Le commerçant doit maintenant passer à la caisse avec une peine à hauteur de 6 mois avec sursis, accompagnée de 10 000 euros d’amende et 1 000 euros à payer à la partie civile. Le conflit n'est pas terminé car maintenant la juridiction sociale est saisie.
Auteur : Mel_C  
950/1285

Date :    31-01-2025 21:10:21


NIMES - Au restaurant du centre-ville, il ne veut pas payer l'addition et casse une dent du serveur
Il avait passé une belle commande, pour 173 euros au total. Des bons petits plats que le consommateur n'a pas voulu payer. Il a été retenu par le personnel de ce restaurant du centre-ville de Nîmes. Le consommateur, très énervé, a décidé d'en venir aux mains et a frappé un serveur en lui cassant une dent.
Le mis en cause a finalement été stoppé dans son élan et placé en garde à vue au commissariat de Nîmes. Le lendemain, la justice l'a libéré en lui signifiant une ordonnance pénale pour cette filouterie.
Auteur : Mel_C  
951/1285

Date :    31-01-2025 21:16:08


ALÈS - Enquête pour enlèvement et séquestration : deux hommes et une femme impliqués :
La police nationale d'Alès est intervenue jeudi en soirée à hauteur de l'avenue Carnot pour une affaire qualifiée à ce stade par la Justice "d'enlèvement, séquestration et menaces de mort".
Au départ deux hommes et une femme, âgés d'une vingtaine d'années, décident de réclamer de l'argent à un quatrième individu. Ils forcent à remettre 90 euros. Rapidement une intervention de la Police nationale a mis fin à cette affaire, grâce aux caméras de la ville d'Alès qui a filmé la scène.
Les protagonistes ont été remis en liberté et ils ont été convoqués devant le tribunal dans quelques mois.
Auteur : Aigle 
952/1285

Date :    01-02-2025 06:57:45


Proche-Orient :
nouvel échange attendu entre des OTAGES israéliens
et des prisonniers palestiniens
Israël et le Hamas doivent procéder, samedi, au quatrième échange de personnes depuis le début de la trêve le 19 janvier, avec la libération de trois otages retenus à Gaza, dont un Franco-Israélien, contre 183 détenus palestiniens.

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