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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 20:36:56


attentat de Munich - Une mère et sa fille de 2 ans décèdent après l’attentat de Munich :

Une petite fille de deux ans et sa mère de 37 ans, qui figuraient parmi la quarantaine de blessés dans l’attentat à la voiture bélier commis jeudi en pleine rue à Munich, sont décédées samedi, a annoncé la police locale.
«Orientation islamiste»
«Nous devons malheureusement confirmer le décès aujourd’hui» de ces deux personnes, qui figuraient parmi les 39 personnes blessées lors du drame survenu lors d’une manifestation organisée par le syndicat allemand des services Verdi.
L’auteur présumé des faits, présenté par la justice allemande comme Farhad N., et dont le nom complet est Fahrad Noori selon le quotidien «Bild», est un Afghan de 24 ans, arrivé dans le pays en 2016.
Selon les enquêteurs, il a reconnu et revendiqué les faits, affirmant avoir agi par «motivation religieuse». La police a parlé d’une «orientation islamiste» de l’auteur présumé, qui se serait autoradicalisé. Il a crié «Allah Akbar» (Dieu est grand) après son arrestation sur les lieux de l’attentat et a prié devant les policiers.
L’homme ne faisait pas partie, selon le Parquet, d’une organisation islamiste connue. Sur le plan administratif, sa demande d’asile en Allemagne avait été rejetée, mais il était «toléré» comme résident, car il affirmait travailler, principalement comme vigile.
Cet attentat est intervenu dix jours avant la tenue d’élections législatives en Allemagne, déjà dominées par les questions d’immigration et d’insécurité, après plusieurs actes meurtriers récents commis par des étrangers. L’opposition conservatrice allemande et l’extrême droite sont nettement en tête des sondages avant le scrutin du 23 février, et progressent, avec respectivement 32% et 21%, selon la dernière enquête pour le compte de la chaîne de télévision publique ARD.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 20:48:18


DOPAGE DANS LE TENNIS - Stan Wawrinka dégoûté par l’issue de l’affaire Jannik Sinner :

Jannik Sinner sera privé de compétition pendant trois mois. Testé positif au clostebol en mars 2024, l’Italien, vainqueur de l’Open d’Australie 2025, a trouvé un accord avec l’Agence mondiale antidopage pour une suspension de trois mois. Celle-ci prendra fin le 4 mai 2025, la veille du Masters 1000 de Rome.
Le numéro un mondial pourra donc participer à ce tournoi ainsi qu’à Roland-Garros. Cette décision a suscité de très nombreuses réactions dans le monde du tennis. Parmi les joueurs les plus connus à avoir réagi, il y a Stan Wawrinka, triple vainqueur en Grand Chelem.
Le Vaudois, connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, n’a pas caché son dégoût quant à l’issue de l’affaire Jannik Sinner. «Je ne crois plus en un sport propre», a-t-il simplement écrit sur X. Son message a été lu par un million de personnes.
Feliciano Lopez, ancien douzième meilleur joueur du monde et actuel directeur du Masters 1000 de Madrid, lui a répondu. «J’y crois encore. Il est très clair qu'il n'a rien fait pour améliorer ses performances, c'est prouvé. Il assume l'entière responsabilité des erreurs des autres et de la suspension de 3 mois qui en résulte, a souligné l’Espagnol. Une suspension plus longue aurait rendu le sport plus propre? Je ne pense pas.»
Nick Kyrgios ne lâche pas l’affaire
D’autres joueurs partagent l’avis de Stan Wawrinka. À l’image de Nick Kyrgios. Très virulent sur ce sujet, l’Australien n’a pas manqué d’en remettre une couche sur X.
«De toute évidence, l'équipe de Sinner a fait tout ce qui était en son pouvoir pour aller de l'avant et prendre une suspension de 3 mois, sans perdre de titre, sans perdre de prix en argent, a-t-il critiqué. Coupable ou pas ? Triste journée pour le tennis. L'équité dans le tennis n'existe pas.»
L’Association des joueurs de tennis professionnels (PTPA), fondée par Novak Djokovic, tient une position similaire sur le cas Sinner. Dans son communiqué de presse, elle a pointé le manque de transparence des instances.
«Cette partialité est inacceptable pour tous les athlètes et constitue un manque de respect pour tous les sports et leurs supporters. Il est temps que les choses changent. Et nous le ferons», a assuré la PTPA.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 21:00:54


R.D.C. - Le chef de l’ONU veut «éviter à tout prix une escalade régionale» :

Cette déclaration d'Antonio Guterres intervient alors que alors que des combattants du M23 alliés à des troupes rwandaises sont entrés la veille dans Bukavu.
Le groupe armé M23 ("Mouvement du 23 mars" soutenu par le Rwanda a pris fin janvier le contrôle de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu, avant de progresser dans la région voisine du Sud-Kivu. Les récents affrontements dans cette région, secouée par des violences depuis trente ans, ont fait au moins 2.900 morts, selon l’ONU.
Vendredi, le M23 et les troupes rwandaises ont pris le contrôle de l’aéroport de Bukavu, la capitale du Sud-Kivu, site stratégique, où étaient positionnées les forces armées congolaises. Puis, selon des sources sécuritaire et humanitaire, une avant-garde a pénétré dans la ville par ses quartiers nord-ouest.
La chute imminente de Bukavu, déjà tombée en 2004 aux mains de soldats dissidents de l’armée congolaise, donnerait au M23 et aux troupes rwandaises le contrôle total du Lac Kivu, qui s’étire le long de la frontière rwandaise.
En face, l’armée congolaise est notamment soutenue par des troupes sud-africaines et burundaises.
Des tirs sporadiques ont résonné encore à Bukavu samedi matin, selon des journalistes de l’AFP. Les habitants restent majoritairement terrés chez eux. Les rues sont quasi désertes, il n’y a pas de circulation. Des pillages survenus au cours de la nuit ont été signalés.
La situation humanitaire dans l’est de la RDC est «très précaire», s’est alarmée samedi auprès de l’AFP la Première ministre congolaise Judith Suminwa Tuluka.
Tandis que le secrétaire général de l’ONU a exhorté à «respecter» la «souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC», l’Union européenne a dit examiner «en urgence» toutes les options.
«La violation en cours de l’intégrité territoriale de la RDC ne restera pas sans réponse», a affirmé samedi sur X un porte-parole de l’UE pour les Affaires étrangères, Anouar El Anouni, tout en blâmant des «forces du M23, soutenues par le Rwanda». «L’UE examine en urgence toutes les options à sa disposition», a-t-il poursuivi.
Pour M. Guterres, interrogé par l’AFP lors d’une conférence de presse, «la clé de la solution du problème» en RDC est en Afrique.
Paris a de son côté appelé samedi à l’arrêt «immédiat» de l’offensive du M23 sur Bukavu et demandé «le retrait sans délai» des forces rwandaises soutenant ce groupe armé.
Environ 4.000 militaires rwandais interviennent dans l’est de la RDC, selon l’ONU.
Ce conflit fait planer le risque d’une guerre régionale, plusieurs des voisins de la RDC, immense pays de l’Afrique centrale, ayant une présence militaire sur le sol congolais.
Depuis la récente intensification du conflit, et alors que Kinshasa réclame en vain des sanctions internationales contre Kigali, les appels de la communauté internationale à une désescalade et à un cessez-le-feu se sont multipliés, notamment de la part des dirigeants d’Afrique de l’Est. Mais ils sont restés lettres mortes.
Félix Tshisekedi n’a pas pris part à une réunion du Conseil paix et sécurité de l’UA vendredi et était à une conférence sur la sécurité, organisée à Munich (Allemagne), d’où il a dénoncé les «velléités expansionnistes» du Rwanda et appelé à le «mettre à l’index».
Il était initialement annoncé présent au sommet des chefs d’Etats ce week-end, mais y a finalement renoncé.
L’UA a été critiquée dans certaines de ses positions, jugées trop timorées et favorables à Kigali. Certains communiqués du président sortant de la Commission de l’UA, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, s’ils appelaient à la fin des combats, ne mentionnaient pas le Rwanda.
Samedi, le ministre des Affaires étrangères djiboutien Mahmoud Ali Youssouf, a été élu à la tête de la Commission de l’UA.
Le diplomate de carrière, âgé de 59 ans, a notamment battu le vétéran de l’opposition kényane Raila Odinga, 80 ans, qui faisait figure de favori.
Le poste était réservé à un représentant de l’Afrique de l’Est.
Le président angolais João Lourenço, très impliqué depuis plusieurs années dans les tentatives de médiation entre RDC et Rwanda, a pris samedi, à la suite du chef de l’Etat mauritianien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, la présidence tournante de l’UA, un rôle honorifique.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 21:03:28


PALESTINE – Libération de trois otages contre des centaines de palestiniens :

L’accord de trêve est entré en vigueur le 19 janvier après 15 mois d’une guerre dévastatrice à Gaza entre Israël et le Hamas, déclenchée par une attaque d’une ampleur et d’une violence sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien le 7 octobre 2023.
Après 498 jours de captivité à Gaza, Sacha Trupanov, un Israélo-Russe de 29 ans, Yaïr Horn, un Israélo-Argentin de 46 ans, et Sagui Dekel-Chen, un Israélo-Américain de 36 ans, ont été libérés à Khan Younès (sud).
Ils sont apparus en meilleure forme physique que les trois otages au visage émacié libéré une semaine plus tôt.
Avant d’être remis à la Croix-Rouge internationale et transférés par l’armée en Israël, les trois otages ont été exhibés sur un podium, entourés de combattants du Hamas et du Jihad islamique, un mouvement palestinien allié.
Ils ont été contraints de dire quelques mots au micro, en hébreu, devant la foule encadrée par les hommes armés lors d’une mise en scène organisée à chaque libération.
Les trois Israéliens, qui doivent subir des examens médicaux, avaient été enlevés au kibboutz Nir Oz (sud d’Israël) lors de l’attaque du 7-Octobre. Sur 251 personnes alors emmenées à Gaza, 70 sont toujours détenues, dont au moins 35 mortes, selon l’armée.
Leur libération est intervenue alors que le secrétaire d’Etat Marco Rubio est attendu en soirée en Israël. Il doit rencontrer le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a dit vouloir oeuvrer avec l’allié américain pour libérer «aussi vite que possible» tous les otages.
Les médiateurs égyptien et qatari ont redoublé d’efforts pour préserver la trêve, après que le Hamas a menacé ces derniers jours de suspendre les libérations et Israël de reprendre la guerre, chaque camp accusant l’autre de violations de l’accord.
A Tel-Aviv, des Israéliens, ont suivi en direct les libérations à Gaza sur des écrans géants, au milieu de prières, étreintes et larmes de joie.
A quelques kilomètres plus au nord, à Kfar Saba, des proches de Yaïr Horn ont pleuré à la vue des otages libérés.
La femme de Sagui Dekel-Chen, Avital, qui a donné naissance à leur troisième fille deux mois après l’enlèvement de son mari, l’a accueilli dans une base militaire dans le sud d’Israël.
«Je respire à nouveau. Il est si beau», a-t-elle déclaré, cité par la chaîne publique israélienne Kan.
Après les libérations, l’association du Forum des familles d’otages a appelé Israël et le Hamas à ne pas laisser la trêve «s’effondrer».
«Nous sommes si heureux à chaque fois qu’un (otage) revient. Mais ensuite, nous pensons à tous ceux qui sont restés» et qui «attendent d’être libérés», a confié à l’AFP Ronli Nissim, membre du Forum, évoquant des «montagnes russes émotionnelles».
Israël a confirmé avoir libérés 369 prisonniers palestiniens.
A bord de bus, les ex-prisonniers ont été transférés principalement dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967, où iles ont été accueillis par des foules en liesse.
A Ramallah en Cisjordanie, les prisonniers libérés, portant le keffieh, ont été hissés sur les épaules et ont enlacé des proches. Quatre d’entre eux ont été hospitalisés, selon le Croissant-Rouge palestinien.
Parmi ceux libérés, 24 devraient être expulsés, d’après le Club des prisonniers.
D’après une source proche des négociations, les médiateurs qatari et égyptien ont assuré au Hamas qu’Israël «autoriserait l’entrée des caravanes et des équipements lourds une fois le processus d’échange de prisonniers achevé». L’accord prévoit une aide accrue au territoire palestinien en proie à un désastre humanitaire.
La première phase de la trêve, qui doit s’achever le 1er mars, a déjà permis la libération de 19 otages israéliens et 1134 Palestiniens.
Durant cette phase, 33 otages israéliens au total, dont huit décédés, doivent être remis à Israël contre la libération de 1900 prisonniers palestiniens.
Selon une source proche des négociations, les médiateurs espèrent entamer «la semaine prochaine à Doha» les pourparlers sur la deuxième phase.
Celle-ci est censée permettre la libération de tous les otages et la fin définitive de la guerre, avant une dernière phase consacrée à la reconstruction de Gaza, un chantier gigantesque estimé par l’ONU à plus de 53 milliards de dollars.
Sur le sort à plus long terme de Gaza, un sommet de cinq pays arabes est prévu le 20 février à Ryad, pour répondre au plan du président américain Donald Trump d’une prise de contrôle du territoire palestinien par les Etats-Unis et du déplacement de sa population en Egypte et Jordanie.
Le plan a été refusé par ces deux pays et décrié à l’international. Israël l’a salué.
L’attaque du 7 Octobre a entraîné la mort de 1.211 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité.
L’offensive israélienne de représailles à Gaza a fait au moins 48.264 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU, et provoqué un désastre humanitaire.
Auteur : Mel_C  
1029/1285

Date :    15-02-2025 21:05:23


AIDE INTERNATIONALE – Genève octroie 10 millions de francs à des ONG privées d’aide U.S. :

>>> La Cité de Calvin abrite quelque 40 organisations internationales et 476 ONG dont beaucoup dépendent des fonds versés par les États-Unis et bloqués par Trump.

Le gouvernement régional de Genève a voté vendredi un soutien financier d’urgence de 10 millions de francs suisses pour les ONG internationales basées dans la ville et affectées par les coupes américaines.
Le Grand conseil de Genève a adopté la proposition par 60 voix pour et 33 voix contre. Les fonds, limités à une période de trois mois, serviront notamment à payer les salaires des employées.
Peu de temps après son investiture le 20 janvier, le président Trump a signé un décret gelant quasiment toute l’aide internationale pour 90 jours, le temps de s’assurer que chaque dollar américain était utilisé en conformité avec ses priorités.
Cette décision affecte tout particulièrement Genève, qui abrite quelque 40 organisations internationales et 476 ONG, selon l’agence de presse Keystone-ATS. Beaucoup sont très dépendantes des fonds versés par les États-Unis, y compris pour payer leur personnel.
Delphine Bachman, membre du Conseil d’État du canton de Genève, à la tête du département de l’économie et de l’emploi, avait mis en garde avant le vote sur le risque de licenciements massifs ou d’impossibilité de payer les salaires. «Des annonces de licenciements concernant plusieurs dizaines de personnes ont déjà été faites», avait-elle prévenu mercredi.
Auteur : Mel_C  
1030/1285

Date :    15-02-2025 21:08:19


BERNE (SUISSE) - Une première étape vers la légalisation du cannabis en Suisse :

>>> La commission de la santé du Conseil National a adopté vendredi un projet qui prévoit d’accorder un accès strictement réglementé à la substance.

Un projet a été adopté vendredi par la commission de la santé du Conseil national. Il prévoit d’accorder un accès strictement réglementé au cannabis, sans en encourager la consommation.
«Afin que la consommation ne soit pas encouragée, les produits cannabiques ne doivent pas être vendus dans un but lucratif et doivent être soumis à une taxe d’incitation», explique la commission dans un communiqué.
C’est «un moment historique pour la politique suisse en matière de cannabis», a réagi dans un communiqué Elias Galantay, président d’IG Hanf, l’association professionnelle de l’industrie suisse du cannabis.
Depuis 2023, les consommateurs de cannabis peuvent en acquérir de manière contrôlée dans le cadre d’essais pilotes limités dans le temps.
La proposition de la commission n’est que la première étape d’un processus parlementaire qui pourrait être long, d’autant que l'UDC entend se battre contre ce projet, estimant qu’il banalise les dangers de la drogue.
À ce stade, en Suisse, la culture, la fabrication, le commerce et la consommation de cannabis à des fins non médicales sont interdits. Sa consommation est passible d’une amende d’ordre, mais la possession d’une petite quantité n’est pas punissable.
Selon l’enquête sur la santé de 2022, 4% des 15 à 64 ans en ont consommé au cours du dernier mois, indique le communiqué.
La commission parlementaire estime que «le marché illégal doit être endigué», et considère qu’une légalisation permettrait de mieux protéger la population contre «les effets néfastes du cannabis».
À ses yeux, il doit toutefois «continuer à être considéré comme un stupéfiant, car sa consommation nuit à la santé».
Le projet prévoit qu’une personne soit autorisée à cultiver au maximum trois plantes de cannabis femelles à des fins d’auto-approvisionnement, ainsi que des quantités maximales pour la possession à titre privé et dans l’espace public.
La production commerciale à but lucratif serait autorisée, avec des «exigences de qualité», et les personnes qui cultivent du cannabis et fabriquent des produits cannabiques devraient obtenir l’autorisation des autorités.
Les produits cannabiques seraient vendus dans des emballages neutres, sans éléments de marque spécifiques, avec une mise en garde. Toute forme de publicité serait interdite.
La vente serait sans but lucratif et soumise à un monopole étatique: les produits pourraient être achetés dans un nombre limité de points de vente titulaires d’une concession et auprès du titulaire unique d’une concession pour le commerce en ligne.
Auteur : Mel_C  
1031/1285

Date :    15-02-2025 21:12:18


SUISSE - Du cannabis trouvé dans des fromages introduits en prison :

>>> Le service pénitentiaire valaisan tente de lutter contre l'introduction de drogue dans ses geôles. Une prise récente est relatée.

Comment faire entrer de la drogue en prison? Il y a sans doute de multiples manières de faire pour déjouer les contrôles. En Valais, certains ont tenté d'approvisionner un détenu en cachant des morceaux de cannabis dans un fromage. «Le Nouvelliste» relate cette prise effectuée au mois d'octobre dernier, qui s'intègre dans un cadre plus général de lutte contre la consommation de drogue en prison.
Dans les geôles valaisannes, la règle est l'abstinence et les contrôles d'urine sont fréquents pour les détenus, notamment lorsqu'ils bénéficient d'une sortie. Mais les visiteurs peuvent amener des compléments alimentaires ou des cigarettes. L'histoire ne dit pas quel fromage a été choisi pour y cacher les morceaux de cannabis, six au total, qui ont été découverts lors d'une fouille. Peut-être était-ce du raclette AOP valaisan, mais peut-être aussi de l'Emmental, dont les trous peuvent servir de cachettes pour la précieuse résine, et dont l'odeur acidulée peut perturber la truffe des chiens de détection.
Une enquête a été ouverte pour trouver quel était l'instigateur de cette tentative astucieuse d'introduire de la drogue en prison au milieu de la gomme. Selon le quotidien valaisan: «Le livreur affirme que le fromage lui a été remis par un tiers qui, à son tour, explique avoir reçu le colis d’une personne dont il ignore l’identité». Pas facile face à l'omerta du milieu de trouver le coupable. Ce cas bagatelle a été finalement classé par une ordonnance de non-entrée en matière.
Dans cette lutte de plus en plus intensive contre le deal dans les prisons, Georges Seewer, chef du Service valaisan d’application des peines, précise que différents moyens sont mis en place pour «soutenir les détenus dans leur chemin vers l’abstinence». Un chemin qui s'annonce long pour ceux qui sont accros à certaines variantes.

Auteur : Mel_C  
1032/1285

Date :    15-02-2025 21:14:21


GUINEE - Sept enfants meurent ensevelis .... alors qu'ils jouaient près d'une mine :

Sept enfants âgés d’un à six ans sont morts jeudi dans l’éboulement d’une mine d’or artisanale à Bouré Kourouda dans le nord-est de la Guinée, a appris l’AFP vendredi auprès de la Croix Rouge et des sources sécuritaires.
Les mines artisanales où les orpailleurs travaillent dans des conditions précaires sont régulièrement le théâtre d’éboulements mortels dans ce pays d’Afrique de l’Ouest producteur d’or.
Neuf enfants jouaient sous un abri rocheux qui s’est effondré et les a ensevelis, à quelques mètres de là où leurs mères travaillaient, selon des secouristes qui sont intervenus.
«Sept enfants ont perdu la vie et deux autres ont été légèrement blessés au cours de cet éboulement», a affirmé une source sécuritaire.
Il y a un mois, l’éboulement d’une mine a fait une dizaine de morts et de nombreux disparus au Mali voisin.

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