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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 21:27:02


AUTRICHE - Une «chamane» qui aurait sévi en Suisse traquée partout en Europe :

La police autrichienne recherche une autoproclamée chamane, accusée d’être une arnaqueuse extrêmement efficace. Cette quadragénaire a sévi dans son pays, mais certainement aussi en Allemagne et en Suisse, soutirant à ses victimes des sommes folles. En fuite, elle est depuis le début de semaine ciblée par un mandat d’arrêt européen.
La police du land de Basse-Autriche a communiqué lundi sur cette affaire. Lors d’une perquisition au domicile de la fuyarde, à Mödling, près de Vienne, les enquêteurs ont retrouvé un vrai trésor. Il y avait là des amulettes, cartes de divinations et autres objets occultes, mais aussi plusieurs armes à feu. Et surtout pour plus de 6,5 millions d’euros en espèce – 4,1 millions d'euros et 2,1 millions de francs suisses, a détaillé la police. Sans compter quelque 25 kilos d’or sous diverses formes ainsi que des bijoux et montres de grandes valeurs. Le tout doit être évalué mais pèserait plus de 10 millions d’euros.
La fuyarde, 44 ans, se nomme «Mariana M». C’est une citoyenne autrichienne d’origine serbe, ont expliqué les forces de l’ordre. Elle exerçait comme soi-disant chamane sous le pseudo d’«Amela» et aurait fait des dizaines de victimes.
Son stratagème? La quadragénaire affirmait à ses victimes qu’un de leurs proches était frappé par une malédiction et allait mourir très prochainement. Mais qu’elle était capable de le sauver grâce à un «rituel de purification». Un rituel extrêmement coûteux: une victime dit avoir déboursé 730’000 euros pour sauver un être cher grâce à ce pseudo-rite salvateur, relate la «Kronen Zeitung».
Lors de la conférence de presse sur cette affaire, présentée comme «l'une des plus grandes affaires de fraude» du pays, le ministre de l’Intérieur autrichien Gerhard Karner était présent.
Les autorités ont alors appelé les Autrichiens à la vigilance et ont fustigé les «profiteurs qui prétendent avoir des pouvoirs surnaturels» et autres «gourous ou conseillers spirituels autoproclamés» qui «exploitent la confiance de leurs victimes, qui sont en détresse émotionnelle ou financière».
Les enquêteurs, a-t-il été communiqué, «supposent que l'accusée a causé des dommages financiers massifs à des victimes non seulement en Autriche, mais aussi dans toute la région germanophone, notamment en Suisse et en Allemagne, en utilisant le même modus operandi.»
Les victimes qui resteraient inconnues des enquêteurs ont été priées de se manifester. Quant à Amela, la fausse chamane, elle reste pour l’instant introuvable.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 21:29:42


FRANCE - L’ancien plumassier belge du Lido jugé pour viols sur mineur :

[i]>>> Producteur et ancien danseur professionnel, Dominique de Roo a contribué pendant 50 ans aux costumes féériques du mythique cabaret des Champs-Elysées.[/i]

Le Belge Dominique de Roo, connu pour avoir conçu les costumes en plumes du célèbre cabaret parisien du Lido, sera jugé pour viols sur mineur par la cour criminelle de Paris, après la plainte d’un homme lui reprochant une relation «sous emprise» quand il était un jeune adolescent rêvant de devenir danseur, a appris l’AFP mercredi de source proche du dossier.
Son avocate, Me Christine Méjean «ne souhaite pas s’exprimer sur une procédure judiciaire en cours», rappelant seulement que «la présomption d’innocence de M. De Roo doit prévaloir».
Producteur et ancien danseur professionnel, le septuagénaire a contribué pendant 50 ans aux costumes féériques du mythique cabaret des Champs-Elysées, dans sa boutique-atelier parisienne de plumassier, transformant des plumes d’oiseaux en éléments de costume.
Il accueille en 2007 chez lui à Paris, Baptiste, né en 1993 et qui rêve de devenir danseur. Très vite, selon la plainte de Baptiste fin 2020, une relation «sous emprise» s’installe entre le plumassier et l’adolescent alors âgé de 14 ans.
Fin 2024, un juge d’instruction a renvoyé Dominique de Roo devant la cour criminelle de Paris pour viols et agressions sexuelles sur mineur de 15 ans et par personne ayant autorité, corruption de mineur, mais aussi agression sexuelle par personne ayant autorité sur une deuxième victime.
D’après l’ordonnance du 24 décembre, dont l’AFP a eu connaissance, Dominique de Roo «jouait de son prestige et de son influence pour impressionner» Baptiste en lui «promettant de l’introduire dans le milieu du spectacle parisien».
Le plaignant, souligne le juge, a «dépeint avec cohérence et précision sa relation (...) caractérisée par une dynamique d’emprise».
Le juge relève les «dénonciations constantes» et «circonstanciées» de Baptiste, en «grande vulnérabilité au moment des faits».
L’ordonnance note que si Dominique de Roo a contesté la plupart des faits et évoqué une «relation consentie», l’enquête «a permis de confirmer son attirance pour les mineurs», notamment à travers de témoignages.
Le juge note aussi que Dominique de Roo a «admis avoir dormi dans le même lit que Baptiste qu’il connaissait pourtant à peine et qui n’était âgé que de 14 ans».
«J’ai été le premier à oser porte plainte, et je sais que je ne suis pas seul. Libérez votre parole!», a exhorté Baptiste, sollicité par l’AFP.
«Un procès ne suffit pas à réparer une vie brisée. Nous avons besoin du soutien des institutions, qu’elles cessent de nous ignorer et prennent enfin leurs responsabilités», a-t-il demandé.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 21:33:03


BESANCON - Un père violeur condamné à 15 ans de prison :

Un père de famille de 42 ans a été condamné par la cour criminelle du Doubs à 15 ans de réclusion pour avoir violé, souvent sous soumission chimique, ses filles, des jumelles alors jeunes majeures. La cour a suivi les réquisitions de l’avocate générale Margaret Parietti, qui avait demandé le maximum de la peine encourue pour «viols par ascendant» lors du procès lundi à Besançon.
Les faits se situent entre 2021 et 2023 pour l’une, et 2022 et 2023 pour l’autre, alors que les jumelles avaient 18 et 19 ans, a expliqué Mme Parietti. Elle a évoqué la personnalité de «pervers narcissique» de l’accusé qui a «mis tout le monde sous contrôle», y compris la mère qui avait quitté le domicile en 2009. Des «somnifères» et des «anxiolytiques» qui étaient administrés aux jeunes filles faisaient qu’elles n’étaient au début pas conscientes de ce qu’elles subissaient, selon l’accusation. Selon le quotidien «L’Est républicain» l’accusé a exprimé sa «profonde honte» et ses «regrets» lors du procès.
«Elles étaient dans une surveillance permanente», a expliqué à l’AFP leur avocat Mikaël Le Denmat, ajoutant que le père avait instauré un «climat de possession psychologique avant les faits» sous prétexte de les «protéger des dangers du monde extérieur».
Régulièrement, l’une de ses filles était soumise à des examens digitaux du vagin afin de s’assurer qu’elle n’avait pas eu de relation sexuelle.
Il commence à lui administrer des médicaments qu’il s’était fait prescrire «parce qu’elle avait du mal à dormir» puis «bascule dans l’acte sexuel», a expliqué Me Le Denmat. La première des deux sœurs à avoir été violée se rend compte des agissements de son père quand un jour, il lui parle d’un détail de son anatomie intime.
Les faits avaient été révélés en 2023, grâce à l’intervention d’un détenu de la prison d’Avignon avec lequel l’une des deux sœurs était par hasard entrée en contact en jouant en ligne. Il avait gagné sa confiance et elle avait fini par lui révéler que son père abusait d’elle. Il lui avait alors conseillé de recueillir le sperme de son père pour avoir des preuves.
C’est le 29 mai 2023 qu’elle décide de suivre ses recommandations.
Elle dissimule un flacon dans les toilettes, propose de «prendre la place de sa sœur» puis, une fois l’acte sexuel accompli par son père, prend la fuite avec un petit bocal contenant le sperme vers Marseille, où elle sera prise en charge par l’épouse du détenu. Cette dernière va l’accompagner au commissariat pour déposer plainte.
Le détenu, qui était en possession d’un téléphone dont il faisait usage la nuit pour jouer à des jeux en réseau, a témoigné lundi par visioconférence depuis son lieu de détention. L’homme, lui-même condamné pour un viol qu’il nie avoir commis, a expliqué, selon Me Le Denmat, que le viol intrafamilial était quelque chose qui heurtait sa morale et qu’il avait considéré qu’il devait venir en aide à la jeune fille. Les deux sœurs ont accepté la publicité des débats sauf pendant leur propre déposition devant la cour. Pour expliquer leur impuissance à parler durant de longs mois, elles ont évoqué la «peur», selon l’«Est républicain».
«On est dans l’hyper courage», a estimé Me Le Denmat en commentant la démarche de dénonciation. «Il fallait sortir de l’emprise» et être «sûr que ça s’arrête vraiment» avec le risque «que ce soit pire» si le plan échouait.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 21:36:15


U.S.A. - Au procès de son assaillant, le récit glaçant de Salman Rushdie :

Le procès de Hadi Matar, un Américano-libanais de 23 ans qui a grandi aux États-Unis, s’est ouvert lundi à Mayville, dans l’État de New York, près de la frontière avec le Canada.
Il est accusé d’avoir tenté de tuer le 12 août 2022 l’auteur des «Versets sataniques», ouvrage qui avait valu il y a plus de trente ans à Salman Rushdie une fatwa de l’Iran, qui le jugeait blasphématoire.
Devant les jurés mardi, l’écrivain américano-britannique, né en Inde, a rembobiné les événements survenus devant près d’un millier de personnes. C'était lors d’une conférence sur la protection de la liberté des écrivains, dans cette région paisible de l’Amérique des Grands Lacs.
Vêtu d’un costume sombre, l’œil droit dont il a perdu l’usage caché derrière un verre teinté, il a retracé l’agression lors de laquelle il a été lardé à l’arme blanche.
Il se souvient d’avoir vu «à la dernière minute», son agresseur se «précipiter» sur lui sur sa droite, dans l’amphithéâtre. À ce moment-là, il a raconté aux jurés avoir été choqué par son regard «noir» qui lui a paru «très féroce».

>>> «Mare de sang»
Puis les coups ont plu. «C’était un coup de couteau dans mon œil, extrêmement douloureux, après ça j’ai hurlé de douleur et je ne pouvais plus voir» de cet œil, a détaillé M. Rushdie, aujourd’hui âgé de 77 ans. Il s’est retrouvé dans une «mare de sang».
«Il m’est venu à l’esprit que j’allais mourir», a-t-il assuré.
Hadi Matar est passé «tout près» de tuer Salman Rushdie, avait convenu la veille, à l’ouverture du procès, le procureur Jason Schmidt.

>>> Des semaines d'hospitalisation
L’accusé «a plongé son couteau avec force, efficacité et rapidité», avait décrit l’accusation. «Il a frappé la tête, le cou, l’abdomen et le haut de la cuisse», ce qui a valu des semaines d’hospitalisation à l’écrivain.
Henry Reese, cofondateur de «Pittsburgh Ville Refuge», un projet d’aide aux écrivains en exil, avait aussi été blessé.
Lundi, l’accusé, dont le procès doit durer environ deux semaines, était entré dans le tribunal en lançant les mots «Palestine libre».

>>> Il plaide non coupable
Hadi Matar avait été arrêté dans la foulée de l’attaque. Il a plaidé non coupable devant la justice de l’État de New York des crimes de tentative de meurtre et agression, pour lesquels il encourt respectivement 25 et sept années de prison.
L’une de ses avocates, Lynn Schaffer, a appelé les jurés à ne pas condamner son client à l’avance et à se méfier des a priori.
Quelques jours après les faits, l’accusé avait été interviewé depuis sa prison par le tabloïd «New York Post», auquel il avait confié avoir été «surpris» que Salman Rushdie ait survécu.
Il n’avait pas dit, en revanche, s’il avait été inspiré par la fatwa lancée en 1989 par l’ayatollah Khomeini, à la tête de l’Iran à l’époque, mais souligné qu’il ne l’aimait pas et lui reprochait d’avoir «attaqué l’islam».
Hadi Matar est aussi inculpé devant la justice fédérale américaine pour «acte de terrorisme au nom du Hezbollah», le mouvement chiite libanais soutenu par l’Iran.
Téhéran avait nié toute implication dans l’agression.
Menacé de longue date depuis la fatwa iranienne, l’écrivain avait dû vivre caché pendant des années, avant de s’installer à New York.
En concluant son témoignage mardi, l’écrivain devenu une icône mondiale de la liberté d’expression, a arraché d’une phrase quelques rires étouffés des jurés: «La première chose que j’ai dite après avoir retrouvé la capacité de parler, c’était: "Je peux parler"».
Auteur : Mel_C  
1093/1152

Date :    15-02-2025 21:50:43


TARN-ET-GARONNE - Un homme tente de se suicider au tribunal avec une lame de rasoir cachée dans la semelle de ses chaussures :

Vers 15h30 au tribunal de Montauban, un détenu a tenté de mettre fin à ses jours. L'homme avait dissimulé une lame de rasoir dans la semelle de ses chaussures. Il s'est ensuite tranché les veines du poignet.
L'homme a directement été pris en charge par les agents pénitentiaires. Les pompiers sont ensuite arrivés sur place. L'homme gardait, selon les informations de La Dépêche, les marques de précédentes scarifications au poignet. Il a été transporté aux urgences de l'hôpital de Montauban. Son pronostic vital n'est pas engagé.
Le mis en cause devait comparaître devant la justice montalbanaise ce vendredi 14 février 2025, pour des faits de trafic de stupéfiants et de rébellion à l'encontre de policiers montalbanais. Le procureur de la République de Montauban, Bruno Sauvage, a requis son maintien en détention, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
L'audience devrait être renvoyée le 11 avril 2025. Son avocate a réclamé une expertise psychiatrique de son client "Il s’est déjà scarifié en maison d’arrêt et avait tenté de se blesser lors de son passage devant le juge des libertés et de la détention en se tapant la tête contre les murs", a plaidé l’avocate selon nos confrères de La Dépêche du midi.
Auteur : Mel_C  
1094/1152

Date :    15-02-2025 21:53:18


MONTPELLIER - Elle reconnaît en boîte de nuit l'homme qui l'aurait violée la veille.....

Une jeune femme de 19 ans, qui dit avoir été agressée dans une voiture après une soirée en boîte de nuit à Lattes près de Montepllier, aurait reconnu son agresseur présumé le lendemain des faits.
La veille, la jeune fille qui était sortie d'une boîte de nuit de Lattes près de Montpellier vers 6 heures du matin attendait seule sous la pluie près d'un arrêt de tramway quand elle a été abordée par un automobiliste qui a proposé de la raccompagner. Ce qu'elle a accepté.
Sur le chemin, l'homme se serait ensuite arrêté sur le parking d'un supermarché et l'aurait violée avant de repartir. La jeune femme s'était alors réfugiée dans le PC sécurité d'une grande surface avant de porter plainte.
Le lendemain, la jeune héraultaise était retournée dans la même discothèque. Elle avait appelé la police disant avoir formellement reconnu l'individu qui l'aurait violée la veille. L'homme, un habitant de Sète âgé de 36 ans, a été interpellé. Il a formellement nié l'agression. L'enquête se poursuit.
Auteur : Mel_C  
1095/1152

Date :    15-02-2025 21:56:49


HAUTE-GARONNE - Un homme de 86 ans blessé après une explosion dans sa maison :

Il était 12h30 lorsque les pompiers sont intervenus, avenue de Luchon, sur la commune de Gourdan-Polignan, au sud de la Haute-Garonne pour une explosion dans une maison d'habitation. Un homme de 86 ans, qui y habitait, a été blessé, il a été rapidement pris en charge par les équipes des Sapeurs-Pompiers de Haute-Garonne.
Selon nos confrères d'Ici Occitanie, une gazinière défectueuse pourrait être à l'origine de l'accident. Le maire de la commune, Patrick Saulneron aurait expliqué que "l'habitant avait une petite gazinière, assez vieille, qui pourrait être à l'origine de l'explosion. La victime avait une cuve de gaz et n'était pas reliée au réseau urbain."
La victime a quant à elle été prise en charge par les pompiers. Selon le maire de la commune : "il allait plutôt bien, a été un peu brûlé au cuir chevelu, mais a pu sortir à 15h de l'hôpital".
Au total, 2 fourgons incendies, une ambulance ainsi que 10 personnels spécialisés USAR (unité de sauvetage, d'Appui et de recherche) soit 32 personnes ont été déployées pour l'intervention. La maison n'aurait pas explosé, mais une partie de la structure serait touchée, un arrêté de péril imminent a été mis en place par la mairie.
Auteur : Aigle 
1096/1152

Date :    16-02-2025 07:30:38


Depuis le début de la saison hivernale, 12 personnes sont décédées dans des avalanches,
selon la préfecture de SAVOIE
Ce samedi 15 février, 3 randonneurs sont décédés sous des avalanches
et 2 ont été gravement blessés

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