Auteur : Mel_C  

MAINE-ET-LOIRE --- Retrouvé bourré de médicaments, il avait tué sa fille de 13 ans…

Une adolescente de 13 ans a été tuée par son père à Murs-Erigné (Maine-et-Loire), a annoncé dimanche le parquet d'Angers, précisant que l'homme avait reconnu les faits et avait été hospitalisé «sous contrainte».
Vendredi, «l'absence d'une mineure de 13 ans dans son collège a conduit l'établissement scolaire à alerter sa maman, laquelle a tenté de contacter l'enfant ainsi que son père chez qui elle se trouvait», a indiqué dans un communiqué le procureur de la République d'Angers, Eric Bouillard.
«Ayant découvert un message du père sur les réseaux sociaux, (la mère) a provoqué l'intervention des secours qui ont découvert le corps sans vie de la jeune fille», dont la mort «remonterait au 7 mai en soirée», a-t-il expliqué.
Le père «était retrouvé en vie bien qu'ayant visiblement absorbé des médicaments». Placé en garde à vue, il a été, après quelques heures, hospitalisé «sous contrainte», a précisé le magistrat.
«Les parents de la jeune fille étaient séparés depuis 2018» et la victime faisait l'objet d'une garde alternée, a-t-il ajouté.
L'homme, âgé de 42 ans, a reconnu les faits «dans un courrier» saisi à son domicile «ainsi que sur son site internet», selon le procureur qui n'a pas précisé la manière dont le meurtre avait été commis. «Ce mercredi 7 mai 2025, je me suis donné la mort après avoir commis un infanticide en la personne de ma fille», a-t-il écrit, dans un message retrouvé par l'AFP sur ce site.
L'individu avait été condamné pour menaces de mort et harcèlement de la Chambre des notaires de Maine-et-Loire fin mars, a précisé Eric Bouillard, ajoutant que l'enquête se poursuivait.
«Tu es ma seule et unique fille je ne t'oublierai jamais on se retrouvera un jour en haut», a écrit la mère de la victime sur Facebook.

Auteur : Mel_C  

EUROVISION --- L’UER répond à Nemo, qui demande d'exclure Israël de l'Eurovision :

°°° L’Union européenne de radio-télévision défend l’inclusion malgré les appels à disqualifier l'État hébreu.

Nemo a remporté l'Eurovision pour la Suisse en 2024, ce qui a permis au Concours de s’installer à Bâle cette année. Mais l'artiste originaire de Bienne n’a pas pour autant rangé sa liberté de parole dans une loge. Dans une interview accordée au HuffPost UK, Nemo a exprimé son désaccord avec la participation d’Israël: «Je pense personnellement qu’il n’est pas logique qu’Israël participe à cette édition. Et à l’Eurovision en général, en ce moment», a déclaré l’artiste. «Je soutiens l’appel à l’exclusion d’Israël du Concours Eurovision de la chanson. Les actions d’Israël vont fondamentalement à l’encontre des valeurs que l’Eurovision prétend défendre – la paix, l’unité et le respect des droits humains.»
Plus de 70 artistes ont récemment signé une lettre ouverte allant dans le même sens. Ce n’est pas la première fois que Nemo affiche sa solidarité avec la cause palestinienne: l’an dernier, avant le concours, l’artiste faisait partie des neuf participants à avoir signé une déclaration commune sur le sujet.
Face à cette déclaration, l’Union européenne de radio-télévision (UER), organisatrice du concours, a réagi cette semaine avec fermeté. Dans un communiqué transmis aux médias, l’organisation rappelle son engagement en faveur de la diversité: «Notre mission est de veiller à ce que le concours reste avant tout un événement universel qui favorise les liens, la diversité et l'inclusion par la musique. Nous aspirons à unir le monde et à le montrer tel qu’il pourrait être, et non tel qu’il est inévitablement.»
L’UER précise aussi respecter la liberté d’expression de Nemo. Et malgré le désaccord sur ce point sensible, elle souligne avec diplomatie: «Nous sommes également impatients de revoir Nemo sur scène à Bâle.»
Pendant ce temps, la délégation israélienne, portée cette année par Yuval Raphael, se prépare pour sa prestation du 15 mai.

Auteur : Mel_C  

AFGHANISTAN --- Désormais interdit par les talibans : JOUER AUX ÉCHECS !!...

°°° Jusqu'à nouvel ordre, ont décidé les autorités, les échecs «sont considérés comme un moyen de parier de l’argent».
Le gouvernement taliban a ajouté à sa liste des activités interdites les échecs, assimilés jusqu’à nouvel ordre à un jeu d’argent contraire à la loi sur les mœurs, a indiqué dimanche un responsable à l’AFP.

Les échecs «sont considérés comme un moyen de parier de l’argent», ce qui est interdit d’après la loi sur la Propagation de la vertu et la prévention du vice (PVPV) adoptée l’an dernier, a déclaré à l’AFP Atal Mashwani, porte-parole de la Direction des sports.
Faisant l’objet d'«enjeux religieux», «les échecs seront suspendus en Afghanistan tant que ces enjeux ne seront pas traités», a ajouté M. Mashwani, sans préciser la sanction en cas de violation.
Patron d’un café de Kaboul où les clients s’adonnaient volontiers à ce jeu, Azizullah Gulzada, 46 ans, indique qu’il fera respecter l’interdiction mais ne se dit pas convaincu par les arguments religieux.
«De nombreux pays musulmans ont des joueurs d’un niveau international qui participent à des rencontres internationales», relève-t-il auprès de l’AFP.
«De nombreux (jeunes) venaient ici tous les jours, sans paris d’argent», ajoute-t-il, regrettant qu’ils aient désormais moins de prétexte pour se rassembler. «Les gens qui sont passionnés d’échecs sont possiblement tristes».
Après avoir repris le pouvoir en 2021, les autorités talibanes ont progressivement imposé leur vision ultra-rigoriste de l’islam, interdisant certaines activités et certains sports.
En 2024, les compétitions de MMA (arts martiaux mixtes) ont été bannies, le gouvernement estimant qu’elles étaient trop «violentes» et «problématiques vis-à-vis de la charia», tandis que la pratique du cricket est encore très répandue, mais seulement chez les hommes.

Les femmes ont été progressivement ostracisées par les talibans, qui les ont interdites d’accès aux parcs, aux salles de sport, aux instituts de beauté et aux universités, poussant l’ONU à dénoncer un «apartheid de genre».

Auteur : Mel_C  

DRÔME --- Un fou du volant pincé à 256 km/h !?!?......

L'affolant excès de vitesse a été mesuré dans la Drôme. La Lamborghini a fini à la fourrière.

Effrayant excès de vitesse dans la Drôme, sur l’autoroute A7. Jeudi dans la soirée, vers 22h30, un automobiliste a été flashé à 256 km/h.
Après cette mesure ahurissante, les gendarmes de l'Escadron départemental de sécurité routière ont intercepté vers Pont-de-l'Isère le fou du volant, qui fonçait au volant d’une Lamborghini Urus, relate ici Drôme Ardèche.
La vitesse retenue est de 237 km/h. Le chauffard, 36 ans, filait vers le sud, voulant rejoindre Cannes, sur la Côte d'Azur. Mais son permis a été saisi et son bolide emporté à fourrière, en attendant la suite de la procédure.
«Le Dauphiné» ajoute que lors de cette même soirée, 15 autres excès de vitesse ont été constatés, donc un conducteur de BMW mesuré à 191 km/h.

Auteur : Mel_C  

VALENCE (DRÔME) --- Un homme se juche sur le soufflet d'un TGV et survit :

Un homme de 42 ans est monté sur le toit, à l'extérieur d'un TGV à Paris. Il a voyagé entre deux voitures du train à grande vitesse sur plus de 500 kilomètres avant d'être repéré ce jeudi en gare de Valence, dans la Drôme, a appris «ici Drôme Ardèche» (ex France Bleu) auprès de la gendarmerie. Il a été hospitalisé.
L'homme a voyagé au-dessus d'un soufflet, entre la motrice de queue et la dernière voiture, selon des témoins. Il est resté ainsi juché sur plus de 500 kilomètres sans arrêts et à plus de 300 km/h. Selon France Bleu, il a été retrouvé «transi de froid, mais vivant» par les contrôleurs, «évidemment très surpris», lors de l'arrivée en gare.
La gendarmerie a confirmé à France 3, qui rapporte aussi l'incident, être intervenu en fin de matinée en gare de Valence et avoir constaté la situation. «L'homme a réussi à s'installer dans une sorte d'anfractuosité, particulièrement inconfortable. Pour l'instant, on ne sait pas comment il a tenu.».
Ce passager clandestin a apparemment échappé aux contrôles en gare de Lyon à Paris en se cachant dans un dépôt qui sert de garage aux rames entre deux voyages. L'homme n'a pas voulu décliner son identité avant son hospitalisation. La destination finale du train était Barcelone.

Auteur : Mel_C  

AUSTRALIE --- L'empoisonneuse au Wellington avait envoyé ses enfants au cinéma :

L’Australienne accusée d’avoir tué trois personnes, dont ses beaux-parents, en leur servant un «repas spécial» aux champignons vénéneux a envoyé deux de ses enfants au cinéma pour qu’ils n’y assistent pas, a déclaré sa jeudi fille, en tant que témoin au procès de sa mère.
Erin Patterson, 50 ans, est accusée de trois meurtres dont le mobile est inconnu, en juillet 2023, lors de ce procès très suivi par les médias et qui doit durer six semaines dans l’État australien de Victoria. Elle doit répondre également d’une tentative de meurtre sur le pasteur Ian Wilkinson, seul survivant du repas.
Ian et Heather Wilkinson avaient été invités par Erin Patterson à un déjeuner dans le village de Leongatha, dans le sud-est de l’Australie. Elle leur avait servi un bœuf Wellington, une spécialité de la cuisine anglaise à base de viande de bœuf et de pâte feuilletée, mais avec des champignons vénéneux.
«Ma mère m’a dit qu’elle voulait déjeuner avec mes grands-parents», a confié la jeune fille à la justice, dont le nom ne peut être donné pour des raisons légales. «Elle a dit qu’elle voulait leur parler de trucs d’adultes et qu’on allait aller au cinéma», a poursuivi l’enfant.
La fille d'Erin Patterson raconte qu’elle et un de ses frères et sœurs ont été déposés dans un restaurant McDonald’s pour le déjeuner, avant d’aller au cinéma pour regarder un film d’animation. Elle a précisé que sa mère avait commencé à se sentir mal après le déjeuner, dont les enfants ont ensuite mangé une partie des restes.
«Je ne me souviens pas quand elle a commencé à se sentir malade. Mais je pense qu’elle a commencé à se sentir malade le lendemain», a déclaré la fille à la police. Erin Patterson s’était, elle aussi, rendue à l’hôpital deux jours après son déjeuner, disant ne pas se sentir bien. Elle s’était montrée réticente à laisser les médecins examiner ses enfants, affirmant qu’elle avait enlevé les champignons de leurs repas parce qu’ils étaient difficiles en ce qui concerne la nourriture.
Le mari de l’accusée, Simon Patterson était séparé d’elle depuis 2015 et avait décliné l’invitation au repas. À l’ouverture du procès la semaine dernière, la quinquagénaire a plaidé non coupable de tous les chefs d’accusation, sa défense affirmant qu’il s’agissait d’un «terrible accident».
Le parquet considère qu’Erin Patterson a délibérément empoisonné ses invités et qu’elle a veillé à ce que ni elle ni ses enfants ne consomment les champignons mortels.

Auteur : Mel_C  

HAUTS-DE-SEINE --- Un adolescent de 17 ans tue son frère jumeau :

°°° Le drame aurait eu lieu lors d'une dispute entre les deux frères, en région parisienne. La victime a été frappée à la gorge par une arme blanche.

Un adolescent de 17 ans est mort mardi à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine, en région parisienne. Il a été tué par son frère jumeau, manifestement lors d’une dispute.
Le drame a eu lieu mardi en début d’après-midi, vers 13h30. Le tout jeune homme s’est écroulé dans une rue, près de barres d'immeubles, «une plaie béante à la gorge», rapporte «Le Parisien». Il est décédé peu après, malgré l’intervention des secours.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’ado a été tué par son frère jumeau, d’un coup porté avec une arme blanche. Ce serait l’issue tragique d’une dispute entre les deux frères, dont on ne connaît pas le motif pour l’instant.
Le tueur présumé a été arrêté peu après. Il était avec son père. Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête pour homicide volontaire.
Ce quartier est dépeint comme calme et les deux frères décrits comme tranquilles, sans problème. C’est évidemment la stupéfaction parmi les riverains. «Déjà, on a du mal à imaginer un crime, mais entre jumeaux, cela semble encore plus aberrant», lâche dans le quotidien français une habitante choquée.

Auteur : Mel_C  

COUP DE FILET EN SUISSE --- Un réseau franco-israélien d'escrocs a aussi sévi en Suisse :

°°° Une douzaine de personnes ont été arrêtées lundi après avoir arnaqué 121 victimes dans au moins huit pays.

Une douzaine de personnes ont été interpellées, la plupart en Israël et trois en région parisienne, dans le cadre du démantèlement d’un vaste réseau d’escroquerie en bande organisée ayant arnaqué plus d’une centaine de victimes en France et dans huit autres pays, dont la Suisse, a-t-on appris mercredi auprès des enquêteurs.
Les longues investigations, déclenchées en 2022 à la suite d’une plainte du Stade Toulousain, cible des escrocs, ont permis d’identifier 121 victimes dans au moins huit pays, pour un préjudice total estimé à 14,4 millions d’euros, selon les mêmes sources.
Une opération menée conjointement en France et en Israël lundi matin a conduit à l’interpellation des suspects et à la saisie d’environ 20願 euros et d’un compte bancaire crédité de 248願 euros, ainsi que d’un véhicule et de matériel informatique. Le dossier a été confié aux enquêteurs de la police judiciaire de Toulouse, sous la direction d’un magistrat de la Juridiction inter-régionale spécialisée du tribunal judiciaire de Bordeaux.
Fausse facture pour le Stade Toulousain
Tout est parti de la plainte du club de rugby de la Ville rose. Le Stade Toulousain «a payé une facture de 208願 euros transmise par un prestataire qui réalisait des travaux pour nous», a précisé à l’AFP le secrétaire général du Stade Toulousain, Jean-Philippe Rey. Cette facture, transmise depuis la boîte mail du directeur administratif et financier de la société, comportait un faux relevé d’identité bancaire. Un mois plus tard, quand l’entreprise l’a relancé pour le paiement, le club a pris conscience de l’arnaque et averti la police.
«Nous avons pu récupérer environ 70願 euros grâce à des rappels bancaires. Nous sommes très contents que l’enquête ait abouti, on ne désespère pas d’être remboursés», a ajouté l’ancien directeur financier du Stade Toulousain, qui compte se constituer partie civile. Un des malfrats a essayé d’arnaquer le club une seconde fois en se faisant passer, en vain, pour le notaire de son président Didier Lacroix.
Après cette plainte, les policiers ont pu «dérouler la pelote» et identifier 121 victimes, dont des entreprises domiciliées en France et un peu partout dans le monde (Belgique, Colombie, Danemark, Espagne, Mexique, Pérou, Suisse et Venezuela), ont précisé ces sources. Dans l’Hexagone, les opérations frauduleuses menées par ce réseau ont surtout visé des clients d’entreprises du BTP et des collectivités territoriales.
L’enquête porte sur des faits d’escroquerie, mais aussi de blanchiment aggravé, association de malfaiteurs en vue de commettre un crime et usurpation d’identité. Elle a permis d’éviter que 18,7 millions d’euros supplémentaires ne soient dérobés par les auteurs des fraudes, ajoutent ces sources.
Les hommes interpellés, tous originaires de région parisienne et de nationalité israélienne ou franco-israélienne, sont toujours en garde à vue et les trois suspects détenus en France, dont deux reconnaissent les faits, devraient être mis en examen mercredi, a ajouté une source.