Auteur : Mel_C  

FINLANDE - Une attaque au couteau dans une école fait trois blessés :

Trois adolescentes d’un établissement scolaire de Pirkkala (sud-ouest) en Finlande ont été blessées mardi par un élève. Ce dernier est soupçonné d’avoir annoncé son geste, a indiqué la police.
Les trois jeunes filles n’ont pas subi de blessures mettant leur vie en danger et le suspect a été arrêté peu après l’attaque, a déclaré aux journalistes un responsable de la police, Jari Kinnunen.
Il n’a pas voulu s’exprimer sur le mobile du suspect, mais a déclaré que la police estimait qu’il était l’auteur d’un «manifeste» envoyé à plusieurs médias. «Le manifeste comporte des indications selon lesquelles certaines filles ou femmes ont été délibérément choisies», a déclaré M. Kinnunen qui n’a pas voulu dire si le suspect connaissait les victimes et comment il les avait choisies.
La police n’a fourni aucun détail sur les blessures des jeunes filles ni sur l’arme utilisée lors de l’attaque, mais elle a indiqué qu’elle enquêtait sur trois tentatives de meurtre.
Selon la chaine publique Yle, l’une d’elles a été blessée au cou, une autre à la main et une troisième à la taille et le suspect est âgé de 16 ans. La police a seulement confirmé qu’il s’agissait d’un «garçon», élève de l’école, âgé de moins de 18 ans.
L’école primaire et secondaire Vahajarvi, située dans la ville de Pirkkala, dans le sud-ouest de la Finlande, compte environ 1250 élèves âgés d’environ six à 15 ans.
Une vidéo de l’attaque aurait circulé en ligne, mais M. Kinnunen a déclaré que la police n’avait pas encore déterminé si elle était authentique. Selon Yle, cette vidéo montre une personne vêtue de vêtements sombres, le visage couvert, se déplaçant dans les locaux de l’école et attaquant les élèves. À la fin de la vidéo, on entend une bagarre et des cris.
Plusieurs médias finlandais ont déclaré que le manifeste leur avait été envoyé. Yle affirme qu’il décrit les raisons de son attaque et qu’il prévoyait d’utiliser un couteau.
L’auteur du texte allègue également qu’il n’avait pas d’amis et qu’il n’en voulait pas, et qu’il planifiait son acte depuis approximativement six mois, selon la chaine.
La police a déclaré avoir été alertée de l’attaque à 10h42 (09h42 heure suisse), et le suspect a été arrêté près de l’école huit minutes plus tard.
En avril 2024, un garçon de 12 ans a tué par balle un camarade de classe et blessé deux filles dans une école en Finlande.

Auteur : Mel_C  

VANNES / JUSTICE - Le Scouarnec estime être responsable de la mort de deux victimes :

°°°°° L’ex-chirurgien jugé à Vannes pour des viols et agressions sur 299 personnes s'est exprimé mardi.

L’ex-chirurgien Joël Le Scouarnec, jugé à Vannes pour des viols et agressions sur 299 personnes, a estimé mardi qu’il était «responsable» de la mort de deux de ses victimes pendant l’instruction. «Vous est-il arrivé de penser parfois à certaines des victimes ?», demande à l’accusé la présidente de la cour criminelle du Morbihan lors de son dernier interrogatoire. Il répond conserver notamment le souvenir des deux jeunes hommes dont les photos ont été projetées à l’audience. «Ils sont morts: j’en suis responsable», lâche-t-il, la voix tremblante. Il s’agit de Mathis Vinet, mort d’une overdose en 2021 et dont les proches estiment qu’il s’est suicidé, et d’Alan Roux, retrouvé pendu à son domicile en 2020.

Auteur : Mel_C  

DORDOGNE - Au volant d'une tractopelle, il manque de tuer onze personnes :

°°°°° Sa femme avait menacé de le quitter. Ivre dans une chargeuse, son périple l'a transformé en meurtrier potentiel. Verdict vendredi.

Son périple de sept kilomètres, ivre au volant d’une tractopelle, a failli coûter la vie à onze gendarmes et automobilistes: un homme de 58 ans comparaît pour tentatives de meurtre mercredi devant la cour d’assises de la Dordogne.
Lors de ce procès, prévu jusqu’à vendredi, l’accusé répondra aussi de la destruction de quatre véhicules, d’un garage et d’un poteau électrique, ainsi que du vol d’un engin de chantier de 15 tonnes, le 3 mai 2019, malgré une alcoolémie de 2,48 grammes par litre de sang.
Ce soir-là à Saint-Astier, près de Périgueux, une dispute éclate au domicile de cet ouvrier de l’usine de chaux voisine, marié depuis 15 ans et père de deux fils de 17 et 13 ans. Son épouse veut rompre en raison de son alcoolisme. Il menace de se suicider avec un couteau, elle se blesse à un doigt en tentant de le lui enlever.
La mère appelle les pompiers, qui la transportent à l’hôpital de Périgueux et alertent les gendarmes. Les enfants doivent être confiés à leur grand-mère maternelle, mais le père, «bourré de chez bourré» selon le témoignage de l’aîné, refuse.
Insultant puis menaçant les militaires stationnés devant la maison, il sort par l’arrière et revient au volant d’une chargeuse, un engin de type tractopelle, emprunté à son entreprise. Il fonce alors sur la voiture des gendarmes et la percute, avec deux volontaires adjoints à l’intérieur.
Leur véhicule est poussé sur 32 mètres, avant un deuxième choc qui le projette encore sur 11 mètres et le renverse sur le flanc. Ses occupants s’extirpent in extremis de la carcasse, écrasée par la machine.
Des renforts sont appelés, mais le forcené, toujours au volant, attaque une autre voiture de gendarmerie quand elle arrive sur les lieux, puis prend la route.
Lors de son périple, la tractopelle écrase jusqu’au pare-brise la berline d’une particulière, qui en percute dangereusement une autre; il heurte aussi un poteau électrique et détruit un muret. Les forces de l’ordre le rattrapent sept kilomètres plus loin, à Saint-Germain-du-Salembre, et vont à pied à la rencontre du forcené.
Ils le somment de se rendre, en vain: l’engin s’éloigne, fait demi-tour et charge à nouveau les gendarmes, qui tirent alors à trois reprises – en état de légitime défense, concluront les enquêteurs. La chargeuse finit par s’encastrer dans un garage quelques centaines de mètres plus loin.
L’homme, blessé à un bras et au ventre, est placé en garde à vue le lendemain à l’hôpital. Il affirme ne se souvenir de rien, alors que huit canettes de bière à 7,9 degrés d’alcool, achetées l’après-midi des faits, ont été retrouvées vides au domicile familial.
Mis en examen, il est placé en détention provisoire pendant huit mois, puis sous contrôle judiciaire.
Durant l’instruction, son entourage familial et professionnel évoque «une personnalité forte, vantarde», un homme «rendu dépressif» par la rupture conjugale, et surtout un problème d’alcoolisme récurrent, que lui-même dit vouloir soigner.
Il ressort aussi que l’accusé «maniait la chargeuse et son godet avec aisance».
Son amnésie sur les faits est restée constante, mais l’accusation retient «une preuve de lucidité évidente» quand la tractopelle entre en scène, le père demandant à l’un de ses fils de s’écarter pour ne pas être blessé.
Pour la juge chargée du dossier, «la volonté homicide ne fait aucun doute», tant envers les neuf gendarmes qu’envers les deux automobilistes.
L’accusé encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

Auteur : Mel_C  

ALÈS - Un conducteur refuse le contrôle ... Un policier blessé :

Le chauffard sera poursuivi pour refus d'obtempérer et des violences sur une personne dépositaire de l'autorité publique.

Un homme a refusé un contrôle de la Police Nationale, dimanche, à hauteur de la rocade de la ville. Il a continué sa route sans vouloir stopper son véhicule. Il a finalement été interpellé après avoir blessé légèrement un policier à la main. Le mis en cause sera poursuivi ultérieurement devant le tribunal correctionnel cévenol pour "refus d'obtempérer" et "violences sur une personne dépositaire de l'autorité publique".

Auteur : Mel_C  

LEDIGNAN - Un jeune conducteur roule à 152 km/h pour une vitesse limitée à 80 km/h .....

Sur la Départementale 6110, à hauteur de Ledignan, ce dimanche 18 mai 2025, les gendarmes du Gard ont contrôlé un jeune conducteur. Ce dernier roulait à 152 km/h pour une vitesse limitée à 80. Il s'est vu retirer son Permis et sa voiture est partie en fourrière. À NOTER - d'autres infractions relevées lors de la même opération de contrôle : un excès de vitesse de plus de 40 km/h, une conduite sous stupéfiant et deux excès de vitesse entre 20 et 40km/h au-delà de la limite.

Auteur : Mel_C  

CALVISSON - Un cycliste de 55 ans blessé grièvement à la tête transporté au CHU de Nîmes ...

Les sapeurs-pompiers du Gard sont intervenus ce dimanche en fin de journée à Calvisson pour prendre en charge une victime après un accident de VTT dans un massif forestier difficilement accessible. L'engagement d'un détachement de secours à personne de Vergèze appuyé par une équipe de secours en milieu périlleux a été nécessaire pour prendre en charge la victime. Elle a été extraite du massif forestier par brancardage avant d'être conditionnée dans l'hélicoptère du SAMU. Le cycliste, un homme de 55 ans, blessé grièvement à la tête, a été transporté sur le CHU de Nîmes.

Auteur : Mel_C  

VERGEZE - "La vérité pour les salariés de Perrier" exige le syndicat Force Ouvrière !

Force Ouvrière exige "la vérité pour les salariés de Perrier" ce mardi dans un communiqué. Le syndicat de l'usine d'eaux minérales, à Vergèze dans le Gard, demande des réponses après le rapport du Sénat, dévoilé ce lundi. Selon l'enquête sénatoriale, des noms de bactéries et de pesticides ont été effacés d'un rapport de l'Agence régionale de santé d'Occitanie concernant la qualité des eaux Perrier, à la demande du groupe Nestlé, dont fait partie l'usine Perrier.
"Une nouvelle fois, la direction a dissimulé une situation grave à ses salariés ainsi qu’à ses élus", s'indignent les syndicalistes de Force Ouvrière dans leur communiqué. Ils précisent qu'ils ne savaient rien de la situation sanitaire qui touche l'usine Perrier : "Malgré nos multiples demandes lors de nos nombreuses réunions avec la direction, il n’a jamais été mentionné un quelconque risque sanitaire ou dissimulation et non-respect de la législation en la matière", ajoute FO.

Auteur : Mel_C  

ALES - Un appel à témoins lancé après l'accident qui a coûté la vie à Aïvy, 7 ans, à Alès :

°°°°° Un appel à témoins est lancé ce mardi 20 mai, pour essayer de faire la lumière sur l'accident qui a causé la mort d'Aïvy, 7 ans, lors d'un accident de la route sur la rocade d'Alès, ce vendredi 16 mai.

La juge d'instruction en charge de l'enquête autour de la mort d'Aïvy, 7 ans, lance un APPEL A TEMOINS. L'objectif est d'avoir plus d'éléments pour faire la lumière sur la mort de la petite fille, dans un accident de la route, survenu vendredi dernier, le 16 mai.

Si vous en avez été témoin, vous pouvez contacter le commissariat d'Alès au 04 66 78 14 86 ou au 04 66 78 14 35. Les policiers sont disponibles de 08h00 à 12h00, et de 14h00 à 17h00 du lundi au vendredi.