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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    27-05-2025 17:59:21


ZERMATT (VALAIS) - Trois des cinq victimes sont des trentenaires suisses

Trois des cinq personnes retrouvées sans vie samedi en Valais, au Rimpfischhorn, près de Zermatt, ont désormais été identifiées. Il s’agit d’une Suissesse de 34 ans et de deux Suisses de 35 et 38 ans, communique la police cantonale valaisanne ce lundi en fin d’après-midi. «Selon les premières investigations, cinq alpinistes ont quitté la cabane Britannia, dans la région de Saas-Fee, vers 4 h 30, dans le but de gravir le Rimpfischhorn. Après avoir déposé leurs skis, ils ont poursuivi leur ascension à pied en direction du sommet. Ils auraient ensuite été emportés par une avalanche», indiquent les forces de l’ordre. Les deux autres personnes décédées sur le glacier de l'Adler restent donc à identifier, mais tous les défunts faisaient manifestement partie du même groupe. La police valaisanne précise qu’elle ne communiquera aucune autre information sur ce drame pour l’instant. Dimanche, c’est un alpiniste suisse de 29 ans qui a péri dans une avalanche, sur le Morgenhorn, qui surplombe Kandersteg, dans le canton de Berne.
Auteur : Mel_C  
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Date :    27-05-2025 18:10:32


FRANCE - Quelque 300 écrivains dénoncent un «génocide» à Gaza :

Quelque 300 écrivains francophones, dont deux prix Nobel de littérature, Annie Ernaux et Jean-Marie Gustave Le Clézio, dénoncent dans une tribune parue mardi le «génocide» de la population à Gaza et demandent «un cessez-le-feu immédiat».
«Tout comme il était urgent de qualifier les crimes commis contre des civils le 7 octobre 2023 de crimes de guerre et contre l’humanité, il faut aujourd’hui nommer le «génocide»», écrivent-ils dans cette tribune publiée par le quotidien français Libération.
«Plus que jamais, exigeons que soient imposées des sanctions à l’État d’Israël, demandons un cessez-le-feu immédiat − qui garantisse la sécurité et la justice pour les Palestiniens, la libération des otages israéliens, celle des milliers de prisonniers palestiniens détenus arbitrairement dans les prisons israéliennes, et qui mette un terme, sans délai, à ce génocide», ajoutent-ils.
On retrouve parmi ces signataires des auteurs récemment prix Goncourt, comme Hervé Le Tellier, Jérôme Ferrari, Laurent Gaudé, Brigitte Giraud, Leïla Slimani, Lydie Salvayre, Mohamed Mbougar Sarr, Nicolas Mathieu ou Éric Vuillard.
En réponse à l’attaque sans précédent menée le 7 octobre 2023 dans le sud d’Israël par des commandos du Hamas infiltrés depuis la bande de Gaza voisine, l’armée israélienne mène depuis plus de 19 mois une offensive sur ce territoire palestinien assiégé, affamé et dévasté.
Depuis le 17 mai, Israël a intensifié son offensive pour libérer les derniers otages israéliens, prendre le contrôle de tout Gaza et anéantir le Hamas, mouvement islamiste au pouvoir depuis 2007.
Le terme de «génocide», vivement récusé par Israël, divise les observateurs de cette guerre. Les accusations se multiplient, venant de l’ONU, de groupes de défense des droits humains, et de pays de plus en plus nombreux.
Cette qualification «n’est pas un slogan», estiment les signataires de la tribune, qui refusent de «faire montre d’une empathie générale et sans objet, sans qualifier cette horreur, ni préciser de quoi il s’agit».
L’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 57 sont toujours retenues en otage, dont 20 vivantes «avec certitude», selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Les représailles israéliennes ont fait au moins 53.977 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les dernières données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Auteur : Mel_C  
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Date :    27-05-2025 18:15:45


ROYAUME-UNI - Voiture-bélier à Liverpool :

Quatre personnes sont toujours hospitalisées dans un état grave mardi après qu’une voiture a foncé sur la foule qui célébrait la victoire du club de foot de Liverpool en première division anglaise lundi soir, faisant près de 50 blessés au total. «Il y a encore quatre personnes qui sont hospitalisées dans un état grave et nous espérons qu’elles s’en sortent très, très rapidement», a déclaré mardi Steve Rotheram, le maire de la région de Liverpool, au lendemain de ce drame, que la police ne considère pas comme terroriste. Quatre enfants figurent parmi les blessés, dont l’un est dans un état grave, selon le dernier bilan des services ambulanciers. «Horreur» est le mot qui s’étale mardi en Une des quotidiens britanniques. Toutes affichent en grand des photos des blessés évacués portant l’écharpe rouge du club de la ville et les images effroyables saisies par des témoins du véhicule sombre qui a percuté la foule.
Les termes employés sont souvent les mêmes pour résumer le sentiment général: «Horreur quand une voiture percute des supporters» titre le tabloïd The Sun, «Horreur à la parade de Liverpool» pour le Times, «L’euphorie puis l’horreur» pour le Daily Mirror, «Carnage à la parade» pour le Daily Mail, «La gloire de Liverpool tourne à l’horreur» pour le Telegraph... Le journal local, le Liverpool Echo, reprend le bilan de la soirée: «Au moins 47 blessés blessés dans l’horreur de la parade des Reds», le surnom des joueurs du club.
Malgré une pluie battante, des centaines de milliers de personnes, beaucoup en famille, s’étaient rassemblées lundi pour célébrer le triomphe de Liverpool FC en Premier League. Les joueurs du club, dont les stars Mohamed Salah et Virgil van Dijk, ont défilé dans un bus à impériale pendant environ quatre heures, ralenti par la foule festive. Tout a basculé vers 18h locales, alors que la parade, s’étendant sur 16 kilomètres, touchait à sa fin. Des images circulant sur les réseaux sociaux montrent une voiture sombre entourée d’une foule de gens, dont certains tapent sur l’habitacle, qui fait marche arrière puis fonce dans le public. On y voit des gens projetés sur les côtés et sur le capot du véhicule, puis des dizaines de personnes s’en prendre à la voiture, probablement pour la stopper ou arrêter le conducteur.
La police a rapidement précisé avoir arrêté «un homme blanc britannique de 53 ans de la région de Liverpool». «Nous pensons qu’il s’agit d’un incident isolé, et nous ne cherchons actuellement personne d’autre. L’incident n’est pas traité comme un acte de terrorisme», a déclaré Jenny Sims, la cheffe de la police du Merseyside, lors d’une conférence de presse tard dans la nuit. Elle a appelé le public à «ne pas faire de spéculation ou répandre de la désinformation sur les réseaux sociaux».
Un témoin cité par l’agence britannique PA a dit avoir vu la voiture, «extrêmement rapide», percuter la foule puis «des gens allongés par terre, des gens inconscients». «C’était horrible. Tellement horrible», a dit ce témoin, Harry Rashid, 48 ans, à la parade avec ses deux filles et son épouse.
«J’ai réussi à attraper ma fille qui était avec moi et à me jeter sur le côté», a raconté Matt Cole, un journaliste de la BBC présent avec sa famille,
«Les scènes qui se sont déroulées à Liverpool sont épouvantables», a réagi le Premier ministre Keir Starmer dans un communiqué, assurant la ville de la solidarité du «pays tout entier».
L’émotion est vive dans le monde du football, plusieurs clubs rivaux de Liverpool, comme Manchester United, Manchester City ou Everton, adressant leurs «pensées» aux victimes, le président de la Fifa Gianni Infantino faisant part lui aussi de ses «pensées et prières à tous ceux qui ont été affectés». Il n’y avait pas eu de parade lors de la dernière victoire du club, en 2020, en raison du Covid-19. C’était la première fois en 35 ans que les fans pouvaient célébrer ensemble un titre de Premier League. Les supporters de foot à Liverpool ont déjà connu un drame, qui continue de marquer la ville portuaire.
En 1989, 97 supporters du club étaient morts dans une bousculade lors d’un match dans le stade de Hillsborough à Sheffield. Plus de 760 personnes ont également été blessées dans cette catastrophe, la plus meurtrière de l’histoire du sport britannique.
Auteur : Mel_C  
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Date :    27-05-2025 18:17:52


FRANCE - Les députés votent sur la création d’un droit à l’aide à mourir .....

°°° Réforme sociétale majeure du second quinquennat d’Emmanuel Macron, la création d’un droit à l’aide à mourir pourrait franchir mardi une étape cruciale.

Réforme sociétale majeure du second quinquennat d’Emmanuel Macron, la création d’un droit à l’aide à mourir pourrait franchir mardi une étape cruciale, en étant adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale.
Les députés voteront en fin d’après-midi sur deux textes: une proposition de loi d’Annie Vidal (Renaissance) relative à l’accompagnement et aux soins palliatifs, et une autre d’Olivier Falorni (groupe MoDem) créant un «droit à l’aide à mourir», après des explications de vote communes.
Si la première devrait être approuvée à l’unanimité, le vote de la seconde est plus incertain, même si la ministre de la Santé Catherine Vautrin «s’attend à ce qu’elle soit adoptée», selon son entourage.
Une dichotomie illustrée par François Bayrou, historiquement réticent à l’aide à mourir: sur RMC et BFMTV mardi matin, le Premier ministre a affirmé avoir toujours des «interrogations» sur le texte de M. Falorni et indiqué que s’il était député, il «s’abstiendrai(t)".
«J’ai confiance dans la démarche parlementaire pour que toutes les interrogations soient levées», a-t-il ajouté, évoquant le passage du texte au Sénat, dominé par la droite et le centre et nettement moins acquis à cette réforme.
A l’Assemblée, chaque groupe laissera la liberté de vote à ses membres, mais l’hémicycle devrait grosso modo se partager entre d’un côté la gauche et le «bloc central», favorables au texte, de l’autre la droite et l’extrême droite, qui y sont hostiles.
La proposition de loi de M. Falorni crée un «droit à l’aide à mourir» consistant à «autoriser et à accompagner une personne qui a exprimé la demande à recourir à une substance létale», qu’elle devra s’administrer ou se faire administrer «lorsqu’elle n’est pas en mesure physiquement d’y procéder».
Elle définit cinq critères cumulatifs, dont le fait d’être atteint «d’une affection grave et incurable» qui «engage le pronostic vital, en phase avancée» ou «terminale», et présentant «une souffrance physique ou psychologique constante».
Mme Vautrin a défendu ce week-end dans La Tribune Dimanche une loi ouvrant la voie à un «modèle français» d’aide à mourir, «strict et encadré».
Le gouvernement a obtenu au cours des débats l’approbation d’un certain nombre d’amendements, de sorte que «le texte est revenu dans son esprit originel», se félicite l’entourage de la ministre.
La proposition de loi de M. Falorni est en effet issue d’un projet de loi dont les grandes lignes avaient été présentées par Emmanuel Macron en mars 2024. Défendu à l’Assemblée par Mme Vautrin, son examen avait été interrompu par la dissolution.
Soumis à une forte pression des députés, François Bayrou a remis l’ouvrage sur le métier, scindant le texte en deux de manière à laisser la liberté aux députés de voter pour un texte mais pas pour l’autre.
Un amendement du gouvernement a refait de l’auto-administration du produit létal la règle, et de l’administration par un médecin ou un infirmier l’exception, alors que la commission des Affaires sociales avait décidé de laisser le libre choix au patient.
Le gouvernement a aussi fait préciser un des critères d’éligibilité. Tenant compte d’un avis de la Haute Autorité de Santé, le texte affirme désormais que la phase «avancée» d’une maladie se caractérise par «l’entrée dans un processus irréversible marqué par l’aggravation de l’état de santé de la personne malade qui affecte sa qualité de vie».
Les députés ont également approuvé un amendement du président de la commission des Affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), renforçant la collégialité de la procédure, et un autre du gouvernement rétablissant un délai minimum de deux jours pour que le malade confirme sa décision.
«C’est un texte qui est profondément équilibré» avec des «critères strictement définis», a défendu devant la presse mardi M. Falorni, soulignant que certains parlementaires avaient pu trouver pendant les débats la loi «trop restrictive» et d’autres «trop permissive».
Auteur : Mel_C  
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Date :    27-05-2025 18:20:29


POLEMIQUE / ARDISSON COMPARE GAZA A AUSCHWITZ – Léa Salamé se dit «mortifiée» :

Deux semaines après une séquence vivement critiquée, Léa Salamé a pris la parole en ouverture de son émission «Quelle époque!», samedi 24 mai, pour revenir sur les propos polémiques tenus par Thierry Ardisson, et sa propre décision de ne pas couper la scène au montage.
«Je sais que cette séquence a choqué, je sais qu’elle a blessé des gens», a-t-elle reconnu. L’animateur, invité du programme, avait comparé la situation actuelle à Gaza à celle d’Auschwitz, affirmant: «C’est Auschwitz, voilà, c’est tout ce qu’il y a à dire.» Des propos qui ont immédiatement suscité une vague d’indignation.
L’équipe de l’émission avait déjà publié un message sur X, le 11 mai, dans lequel elle insistait sur le fait que «la Shoah ne saurait être banalisée». Mais avec une semaine de décalage, liée à la diffusion de l’Eurovision, Léa Salamé a voulu apporter sa propre explication et faire part de son ressenti personnel.
«Cela me mortifie parce que je rejette toute banalisation de l’abomination ultime que fut la Shoah», a-t-elle affirmé, visiblement émue. Pour appuyer ses propos, la journaliste a rappelé son engagement de longue date contre l’antisémitisme: «Je n’ai cessé ici et dans tout mon parcours de journaliste de rappeler le mal absolu que fut le génocide nazi, et de faire témoigner les derniers rescapés.»
Elle a également évoqué son histoire familiale: «Tout ce que je suis, mes origines, l’histoire de ma famille – du génocide arménien dans ma famille maternelle aux guerres du Proche-Orient de mon enfance (…) – je me suis battue contre les haines entre les peuples et entre les religions.»
Et de conclure avec détermination: «Je continuerai toute ma vie à essayer de faire entendre une voix de paix et d’apaisement, c’est mon combat.»
Dans un souci d’apaisement, Léa Salamé a aussi défendu Thierry Ardisson, niant toute intention antisémite dans ses propos. «On comprend quand on a écouté l’intégralité de ces propos que Thierry Ardisson laisse éclater son émotion et son indignation à la fois devant la souffrance des Juifs de France comme la souffrance des civils de Gaza.»
Pour rappel, Thierry Ardisson avait présenté ses excuses dès le 11 mai: «L’émotion était sans doute trop forte et mon propos exagéré», avait-il écrit dans un communiqué adressé à «ses amis juifs». Enfin, Léa Salamé a reconnu que la séquence aurait dû être retirée du montage, tout en soulignant que sa reprise partielle sur les réseaux sociaux avait amplifié le malaise. Un épisode qui, selon elle, interroge sur les limites de la technique face aux «dérapages» à l’antenne.
Auteur : Mel_C  
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Date :    27-05-2025 18:25:57


JUSTICE - Le procès de l’auteur de BD Bastien Vivès s’est ouvert :

°°° Le dessinateur de 41 ans comparaît jusqu’à mercredi pour «fixation et transmission en vue de la diffusion d’images à caractère pédopornographique».

Dessins potaches ou pédopornographiques? Le procès de l’auteur de bande dessinée Bastien Vivès, accusé par plusieurs associations d’avoir réalisé et diffusé des dessins à caractère pornographique de mineurs dans deux de ses albums, s’est ouvert mardi devant le tribunal judiciaire de Nanterre.
Le dessinateur de 41 ans comparaît jusqu’à mercredi pour «fixation et transmission en vue de la diffusion d’images à caractère pédopornographique», un délit passible de cinq ans d’emprisonnement et 75願 euros d’amende.
Les éditions Les Requins Marteaux et Glénat, qui ont publié les deux albums incriminés, comparaissent elles pour diffusion de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique.
Bastien Vivès, présent à l’audience, n’a pas souhaité s’exprimer avant le début de son procès.
En janvier 2023, une enquête avait été ouverte à la suite d’une plainte de plusieurs associations de protection de l’enfance.
Elle visait trois ouvrages du dessinateur: «Les Melons de la colère» (paru en 2011), «La Décharge mentale» (2018) et «Petit Paul» (2018). Ce sont ces deux derniers albums qui seront au cœur des débats.
«Petit Paul», qui avait déjà fait l’objet de deux signalements en 2018 et 2020, classés sans suite par le parquet de Nanterre, met en scène un enfant au pénis démesuré ayant des relations sexuelles avec des femmes majeures.
«La Décharge mentale» évoque un homme ayant des relations sexuelles avec de jeunes filles mineures.
Dans sa plainte, l’association Fondation pour l’enfance dénonçait des «représentations de mineurs dans des situations sexuellement explicites, présentant indubitablement un caractère pornographique», ce que la défense dément.
«Il n’y a jamais eu aucune incitation et aucune apologie de la pédophilie par Bastien Vivès dans ses œuvres», a assuré à l’AFP Me Richard Malka, avocat du dessinateur.
«Un auteur de polar n’est pas responsable du meurtre de ses personnages», a-t-il insisté mardi devant la salle d’audience, décriant la manière dont les associations de protection de l’enfance selon lui «défendent des enfants d’encre et de plume» à défaut «d’enfants réels».
Pour Me Cécile Astolfe, qui défend la Fondation pour l’enfance, ce procès est pourtant la résultante d’une «stricte application de la loi».
«La représentation d’un mineur de moins de 15 ans présentant un caractère pornographique est interdite», a-t-elle insisté.
Trois autres associations, L’enfant bleu, Innocence en danger et Face à l’inceste, sont également parties civiles dans l’affaire.
Une dizaine de témoins sont également attendus parmi lesquels, côté défense, l’ancienne ministre de la Culture Françoise Nyssen (2017-2018) et le directeur de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, Riss.
En 2018, après la parution de «Petit Paul», les éditions Glénat avaient affirmé que cet album n’avait «jamais» eu «pour vocation de dédramatiser, favoriser ou légitimer l’abus de mineur de quelque manière que ce soit».
Dans un entretien avec l’AFP, la directrice de la maison d’édition, Marion Glénat-Corveler, a assuré qu’elle défendrait la liberté d’expression à l’audience, «une des valeurs fondamentales de (son) métier d’éditeur».
Plusieurs autres œuvres du dessinateur, à l’instar des «Melons de la colère», vague parodie des «Raisins de la colère» où plusieurs hommes violent une adolescente paysanne, avaient suscité l’indignation d’associations et de militants.
Le Festival international de la BD d’Angoulême avait d’ailleurs déprogrammé une exposition consacrée à Bastien Vivès prévue lors de son édition 2023, en raison de «menaces physiques» proférées contre lui.
En juin 2024, cinq personnes ont été condamnées à Paris à des peines de prison avec sursis pour menaces de mort ou violence sur l’auteur.

Auteur : Mel_C  
1335/1427

Date :    27-05-2025 18:32:03


NIMES - Trottinette percutée, garde à vue d'un un automobiliste de 30 ans

Un automobiliste de 30 ans est en garde à vue après un accident de trottinette survenu le samedi 24 mai 2025 à Nîmes. Il s'est rendu de lui-même ce lundi au commissariat de police de Nîmes. Il a reconnu les faits. Après l'accident, il avait pris la fuite après avoir percuté un jeune d'une vingtaine d'année qui circulait à trottinette, place Jules-Guesde.
Auteur : Mel_C  
1336/1427

Date :    27-05-2025 18:38:00


PERRIER /// SCANDALE DES EAUX EN BOUTEILLE : la consommation de Perrier en baisse de 14% depuis le début de l'année :

Le scandale des eaux en bouteille Nestlé a des conséquences sur les marques du groupe, notamment Perrier : la consommation de la marque d'eau gazeuse a baissé de 14% depuis le mois de janvier, et de 23% sur un an. De manière générale, le marché des eux en bouteille est en baisse sur un an.
Le scandale des eaux en bouteille du groupe Nestlé, révélé par Radio France et Le Monde, fait plonger Perrier. La consommation des eaux de la marque a baissé de 14% depuis le mois de janvier, par rapport à la même période de 2024, selon les chiffres récoltés par le Syndicat des eaux de source et des eaux minérales naturelles révélés par franceinfo ce mardi. Selon ces chiffres, compilés par le cabinet Circana, expert de la consommation dans la grande distribution, la consommation de Perrier a chuté de 23% en un an, entre avril 2024 et avril 2025.
Mais "ce désaveu ne touche pas l'ensemble du secteur", souligne Christophe Lekieffre, le délégué général du Syndicat des eaux de source et des eaux minérales naturelles. Il note que l'an dernier, les ventes d'eaux en bouteille, toutes marques confondues, ont baissé de 3,3% par rapport à 2023, mais pour lui, cette baisse s'explique par une météo peu favorable l'été dernier.
La tendance est repartie à la hausse cette année, avec une progression de 2,5% sur les quatre premiers mois par rapport à la même période de 2024, à la faveur d'un printemps 2025 plus doux. "Si vous avez une baisse d'un côté pour une marque, mais sur un marché global en croissance, cela veut dire que le marché s'est reporté sur d'autres marques", analyse Christophe Lekieffre. "Le côté 'tous punis' est visiblement évité", estime-t-il.
Le cabinet Circana précise que le marché des eaux plates en bouteille a baissé de 3,5% en 2024, et que celui des eaux gazeuses est en baisse de 2,5% sur un an.
Après le scandale des eaux Nestlé, le ministère de la Santé a ordonné une inspection de toutes les usines de conditionnement d'eau en France d'ici fin 2026, avec à la clé, si besoin, l'interdiction d'afficher la dénomination eau minérale naturelle, voire des fermetures d'usines.

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