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Protection humaine
Auteur : Aigle 
1329/1455

Date :    13-06-2025 06:54:46


INDE
265 morts
et un survivant retrouvé après l’accident du vol 171 d’Air India
. Le nombre de victimes inclut des membres de l’équipage et des passagers
ainsi que des habitants du quartier résidentiel où l’avion s’est écrasé.
Auteur : Aigle 
1330/1455

Date :    13-06-2025 07:51:05


YVELINES
Disparition de Hasfa, 11 ans, :
la jeune fille n’a plus donné signe de vie depuis mercredi soir,
un appel à témoins lancé
commissariat de Saint-Germain-en-Laye au 01 39 10 91 03.
Auteur : Mel_C  
1331/1455

Date :    13-06-2025 14:22:31


OBSEQUES DE PHILIPPE LABRO - Pascal Praud, Michel Drucker, Sophie Davant... Toutes les personnalités réunies :

Nombre d’animateurs et de journalistes étaient présents : Pascal Praud, Nagui, Sophie Davant et son compagnon William Leymergie, Patrick Cohen, Laurent Delahousse, Caroline Ithurbide, Yann Moix, Franz-Olivier Giesbert, Jean-Claude Narcy... Du monde de la culture également. M’église Saint-Germain-des-Prés a accueilli Fabrice Luchini, que Philippe Labro avait révélé mais aussi le chanteur Didier Barbelivien et l’agent publicitaire Jacques Séguéla.
S’il est connu pour sa présence dans le monde des médias, Philippe Labro était également parolier, notamment pour Johnny Hallyday, étant même le premier à écrire un album entier pour ce dernier : Flagrant Délit. Lætitia Hallyday, dernière épouse du chanteur, était présente pour les obsèques de Philippe Labro ce vendredi, au bras de Jean-Claude Camus, l’ancien producteur du taulier. Le gouvernement était représenté en la personne de la ministre de la Culture, Rachida Dati.
La semaione dernière, son décès avait suscité une pluie d’hommages. «Philippe Labro est quelqu’un qui m’a donné envie d’être journaliste, quand j’avais 15 ans, 16 ans, 17 ans. Il y avait une génération exceptionnelle, dans les années 70, celle de Jean-Pierre Elkabbach, Bernard Pivot, Jacques Chancel... Ce sont tous ces gens qui ont été incroyablement inspirants (...). Philippe était un immense journaliste», avait déclaré Pascal Praud, à l’antenne d’Europe 1. Le jour même, Nagui avait également réagi au micro de RTL : «Je suis très triste. Il m’a tout apporté. C’était un être humain exceptionnel.»
«Un grand patron, un homme que nous respections et que nous admirions. Le rencontrer tous les matins dans son bureau-musée était un enrichissement exceptionnel. Merci Philippe de m’avoir fait confiance. Pensées et prières pour sa famille», avait également partagé Jean-Pierre Foucault via une publication X.
Auteur : Mel_C  
1332/1455

Date :    13-06-2025 14:40:02


FRAPPES SUR L'IRAN ...... & DONALD TRUMP - «Il est encore temps de faire que ce massacre cesse» :

°°° Le président américain demande à Téhéran de «conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien».

Le président américain Donald Trump a exhorté vendredi Téhéran à «conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien», après les frappes israéliennes en Iran, prévenant que les prochaines «prochaines attaques» seraient «encore plus brutales».
«Il y a déjà eu énormément de morts et de destructions mais il est encore temps de faire que ce massacre, y compris de prochaines attaques planifiées encore plus brutales, cesse», a-t-il écrit sur son réseau Truth Social.
Dans ce long message, Donald Trump affirme avoir donné à l’Iran «opportunité après opportunité de conclure un accord».
«Je leur ai dit, dans les termes les plus forts: «Faites-le». Mais peu importe à quel point ils ont essayé, peu importe à quel point ils ont été proches, ils ne sont tout simplement pas parvenus à le faire», a-t-il affirmé.
«Je leur ai dit que cela serait bien pire que tout ce qu’ils avaient connu, anticipé ou ce qu’on leur avait dit, que les États-Unis fabriquent les meilleurs équipements militaires et les plus destructeurs que personne d’autre au monde, DE LOIN, et qu’Israël en a beaucoup, et que beaucoup d’autres vont encore arriver – et qu’il savent comment les utiliser».

°°° «Ils sont tous MORTS maintenant»

Selon le président américain, «certains Iraniens de la ligne dure ont parlé avec courage mais ils ne savaient pas ce qui allait arriver. Ils sont tous MORTS maintenant, et cela ne va faire qu’empirer!»
«Plus de mort, plus de destruction, FAITES-LE, AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD», conclut son message.
Plus tôt, Donald Trump avait confié à la chaîne Fox News avoir su en amont qu’Israël allait conduire des frappes en Iran.
«L’Iran ne peut pas avoir la bombe nucléaire et nous espérons revenir à la table des négociations. Nous verrons», avait-il déclaré, cité vendredi par la chaîne de télévision américaine sur son site.
Lors de son premier mandat, Donald Trump avait retiré les États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien (JCPOA), en 2018.
«Il a souligné que les États-Unis étaient prêts à se défendre et à défendre Israël si l’Iran ripostait», d’après la chaîne. Et disait surveiller toutes les représailles, avec le commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) placé en état d’alerte élevé, toujours selon Fox News.
Plus tôt, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio avait souligné que les États-Unis n’étaient pas impliqués dans l’attaque.
Donald Trump réunira vendredi son conseil de sécurité nationale à la Maison-Blanche, à Washington.

°°° «Déclaration de guerre»

Plus tôt, l’Iran a qualifié l’attaque israélienne de «déclaration de guerre» après des frappes massives d’Israël contre une centaine de cibles dont des sites nucléaires, qui ont tué les deux plus hauts responsables militaires de la République islamique.
Alors que les appels à la désescalade se multiplient à travers le monde après cette attaque d’une ampleur sans précédent contre l’Iran, de nouvelles explosions ont été entendues à la mi-journée dans le nord-ouest de l’Iran. Des médias locaux ont fait état d’une nouvelle frappe sur le centre d’enrichissement d’uranium de Natanz (centre), et d’un incendie à l’aéroport de Tabriz (nord-ouest).
Les frappes, notamment sur Téhéran, surviennent alors que la pression ne cessait d’augmenter sur l’Iran pour son programme nucléaire, Israël et des États occidentaux le soupçonnant de vouloir se doter de l’arme atomique, ce que dément Téhéran.
«Mort à Israël, mort à l’Amérique!», ont crié dans la matinée des Iraniens venus manifester dans le centre de la capitale, brandissant des drapeaux iraniens. Ahmad Moadi, un retraité de 62 ans, appelle à une «réponse cinglante» contre Israël, un pays non reconnu par l’Iran.
L’opération a débuté dans la nuit et visé des sites militaires et nucléaires dans plusieurs régions iraniennes. L’armée israélienne a notamment affirmé que les installations souterraines du site de Natanz avaient été touchées.

°°° «De nombreux jours»

Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a averti que l’opération militaire durerait «de nombreux jours», et l’armée israélienne indiqué que ses avions de combat continuaient de frapper le territoire iranien.
Tôt vendredi, le général Hossein Salami, chef des Gardiens de la Révolution, a été tué dans une frappe sur le quartier général des Gardiens de la Révolution à Téhéran, comme un autre dirigeant de la puissante armée idéologique de la République islamique.
Le chef d’état-major iranien, le général Mohammad Bagheri, et six scientifiques du programme nucléaire iranien ont également péri dans des frappes, qui ont aussi blessé un haut conseiller du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, selon des médias locaux.
Au moins 95 personnes ont été blessés à travers le pays, selon la télévision d’État.
Une frappe a notamment touché un immeuble du quartier cossu de Nobonyad, dans le nord de Téhéran. Les secouristes s’affairent au milieu des débris du bâtiment endommagé, tandis que la zone est bouclée par un important dispositif de sécurité. Des familles en pleurs et des badauds se sont rassemblés à proximité.
L’armée israélienne a indiqué qu’environ 200 avions avaient visé une centaine de cibles à travers le pays.
Le site de Natanz a été visé «plusieurs fois» dès le début de l’attaque, selon la télévision d’Etat, qui a montré une épaisse fumée noire s’en élevant.
Les sites nucléaires «ne doivent jamais être attaqués», a dénoncé l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) selon laquelle «aucune augmentation des niveaux de radiation n’a(vait) été observée» sur ce site.
Trois sites militaires dans le nord-ouest ont également été visés, d’après la télévision iranienne.
Israël «a frappé au coeur du programme de missiles balistiques de l’Iran», a affirmé M. Netanyahu, saluant le «succès» de cette opération.
L’armée israélienne a indiqué disposer de renseignements prouvant que Téhéran s’approchait du «point de non-retour» vers la bombe atomique. Selon elle, «le régime iranien avait un plan concret pour détruire l’Etat d’Israël».

°°° «Pas de limites»

Le ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié l’attaque de «déclaration de guerre», et appelé le Conseil de sécurité de l’ONU à réagir.
Les forces armées iraniennes ont averti auparavant qu’elles n’auraient «pas de limites» dans leur riposte. L’ayatollah Ali Khamenei a promis un sort «douloureux» à Israël.
Quant aux États-Unis, allié indéfectible de l’Etat hébreu, ils seront «responsables des conséquences» de l’attaque, a assuré Téhéran.
Quelques heures après les premières frappes, l’armée israélienne a fait état d’«environ 100 drones» lancés par l’Iran vers le territoire israélien et un responsable militaire a indiqué en début d’après-midi que l’armée continuait à en intercepter.
La Jordanie, voisine d’Israël, a déclaré aussi avoir intercepté des drones et missiles qui avaient violé son espace aérien.
La dernière attaque israélienne contre l’Iran annoncée publiquement remonte à octobre 2024 quand Israël avait dit avoir mené des raids aériens sur des cibles militaires en représailles au tir de quelque 200 missiles iraniens vers le territoire israélien, mais elle n’avait pas l’ampleur de celle de vendredi.
Alors que plusieurs pays de la région comme l’Arabie saoudite ou la Turquie ont dénoncé l’attaque israélienne, les dirigeants étrangers ont pour la plupart appelé, à l’instar des Nations unies, à la retenue et à la désescalade.
Le Hamas, en guerre contre Israël à Gaza depuis plus de 20 mois, les rebelles yéménites houthis et le Hezbollah libanais, tous alliés de Téhéran, ont vivement condamné les frappes.
Les cours du pétrole ont flambé de plus de 12%, faisant redouter de fortes perturbations sur les approvisionnements d’or noir.
Signe de l’extrême fébrilité dans la région, les compagnies aériennes dans le Golfe, comme la principale, Emirates, ont annulé plusieurs vols en provenance et à destination de l’Irak, la Jordanie, le Liban, l’Iran et la Syrie. Air France a annoncé la suspension de ses vols entre Paris et Tel Aviv.

°°° Risque de «conflit massif»

Téhéran avait menacé mercredi de frapper les bases militaires américaines au Moyen-Orient en cas de conflit après un éventuel échec des négociations sur le nucléaire entre Washington et Téhéran. Un sixième cycle de pourparlers, à la tenue désormais incertaine, était prévu dimanche à Mascate.
Face au risque d’un «conflit massif» au Moyen-Orient, Washington a réduit son personnel diplomatique dans la région, en Irak notamment. Des ambassades américaines au Moyen-Orient ont appelé leurs ressortissants à faire preuve de prudence.
L’enrichissement de l’uranium est la principale pierre d’achoppement dans les discussions visant à encadrer le programme nucléaire iranien en échange d’une levée des lourdes sanctions imposées au pays.
Washington exige que l’Iran y renonce totalement, ce que Téhéran refuse, y voyant un droit «non négociable».
Téhéran avait dit jeudi vouloir augmenter de manière «significative» sa production d’uranium enrichi avec la prochaine construction d’un nouveau site, en réponse à l’adoption par l’AIEA d’une résolution le condamnant pour «non-respect» de ses obligations en matière nucléaire.
L’Iran est le seul État non doté d’armes nucléaires à enrichir de l’uranium au niveau de 60%, selon l’agence basée à Vienne. Il faut un minerai enrichi à 90% pour fabriquer une bombe atomique.

Auteur : Mel_C  
1333/1455

Date :    13-06-2025 14:45:38


TEHERAN - L’Iran compte faire «regretter» à Israël son attaque massive :

Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a déclaré vendredi que son pays ferait «regretter» à Israël son attaque massive contre l’Iran qui a ciblé notamment des sites nucléaires. «La nation iranienne et les responsables du pays ne resteront pas silencieux face à ce crime, et la réponse légitime et puissante de la République islamique d’Iran fera regretter à l’ennemi son acte insensé», a déclaré M. Pezeshkian dans une allocution vidéo diffusée à la télévision d’État.
Auteur : Mel_C  
1334/1455

Date :    13-06-2025 14:49:10


CRASH D'AIR INDIA - «J’ai ouvert les yeux et réalisé que j’étais toujours en vie» :

°°° Le seul survivant du crash meurtrier a témoigné pour la télévision nationale et reçu la visite du premier ministre Narendra Modi.

«Je me suis retrouvé plus près du sol et il y avait de la place. Quand ma porte s’est ouverte, j’ai vu cet espace et je me suis dit que je pouvais me glisser dehors. Et je l’ai fait», témoigne le miraculé de la catastrophe aérienne du vol 171 d’Air India.
Vishwash Kumar Ramesh, l’unique survivant de l’avion qui s’est écrasé juste après son décollage de l’aéroport d’Ahmedabad, dans le nord-ouest de l’Inde, a raconté vendredi son sauvetage à la télévision nationale DD.
Avec 12 membres d’équipage et 229 autres passagers, ce citoyen britannique de 40 ans d’origine indienne, avait pris place jeudi avec son frère à bord du Boeing 787 à destination de l’aéroport londonien de Gatwick.
Résident de la ville de Leicester, dans le centre du Royaume-Uni, selon l’agence Press Association, il est le seul occupant du «Dreamliner» à avoir échappé à la catastrophe.
Selon le dernier bilan publié par la police locale, les secouristes ont extirpé au total 265 corps calcinés des débris de l’avion et des ruines des bâtiments qu’il a percutés au sol.
M. Ramesh était assis à l’avant gauche de l’appareil, place 11 A, tout près d’une des portes de secours de l’appareil, ont rapporté les médias locaux sur la foi de la carte d’embarquement à son nom, exhibée après la catastrophe.
«Tout s’est passé sous mes yeux et je n’arrive toujours pas à croire comment j’ai pu sortir vivant de tout ça», raconte-t-il de son lit d’hôpital à un journaliste de la chaîne DD.
Selon les éléments livrés après la catastrophe par les autorités de l’aviation civile indienne, l’avion s’est lancé sur la piste d’envol 23 de l’aéroport d’Ahmedabad à 13h39 locales.

°°° «L'avion a semblé accélérer»

«Juste une minute après le décollage, soudain (...) j’ai eu l’impression qu’on restait coincés, que quelque chose n’allait pas», décrit M. Ramesh.
«Et puis tout d’un coup, des lumières vertes et blanches se sont allumées dans tout l’avion (...) l’avion a semblé accélérer et se diriger tout droit vers ce qui s’est avéré être une résidence. J’ai tout vu de l’accident de mes propres yeux».
Le B787 d’Air India retombe lourdement sur plusieurs immeubles d’un quartier résidentiel situé dans le prolongement de la piste d’envol de l’aéroport, dont une résidence hébergeant les médecins d’un hôpital proche.
Les images diffusées juste après montrent l’avion, les réservoirs gorgés de kérosène, exploser en une immense boule de feu orange.
«J’ai d’abord cru que j’allais mourir», poursuit le passager, «mais quand j’ai ouvert les yeux j’ai réalisé que j’étais toujours en vie».
«Devant moi, j’ai vu une hôtesse, des hommes et des femmes (...) j’ai défait ma ceinture de sécurité et j’ai essayé de me sauver. Et c’est ce que j’ai réussi à faire», dit-il, manifestement encore surpris de sa chance et de son sort.
«Je pense que du côté où j’étais je n’étais pas bloqué par la résidence. J’étais plus près du sol et en plus il y avait de l’espace», avance-t-il en guise d’explication. «Quand ma porte s’est ouverte, j’ai vu cet espace et je me suis dit que je pouvais me glisser dehors. Et je l’ai fait».
Les vidéos partagés sur les réseaux sociaux dans les heures qui ont suivi la catastrophe montrent Vishwash Kumar Ramesh, le T-shirt ensanglanté, marcher en boitant dans une rue.
«Ma main gauche a été légèrement brûlée, et une ambulance m’a conduit à l’hôpital», conclut-il, sans plus de détails sur son sauvetage.
«Les gens ici prennent bien soin de moi», assure aujourd’hui le passager miraculé.
«Je n’ai aucune idée de la façon dont je me suis sorti de cet avion», avait quelques heures auparavant confié le survivant à son frère, Nayan Kumar Ramesh, 27 ans, également domicilié à Leicester.
Vendredi matin, il s’est brièvement entretenu avec Narendra Modi, venu sur le site de la catastrophe et au chevet des blessés. Des images montrent le premier ministre en train d’observer un bâtiment de plusieurs étages noirci par la fumée, avec l’empennage de l’avion encastré dans le mur d’un immeuble. Il a parlé de «scène de dévastation», qualifiant ce crash de «tragédie inimaginable».
Auteur : Mel_C  
1335/1455

Date :    13-06-2025 14:52:24


VALAIS (SUISSE) - Applaudissements et ovation pour un «nouveau Blatten» en 2030 :

Blatten a tenu jeudi soir sa première réunion municipale depuis la catastrophe du 28 mai, qui a presque complètement détruit le village haut-valaisan de la vallée du Lötschental. Et? Pas question d’accepter que Blatten soit rayé de la carte: l’heure était manifestement à la ferme volonté d’aller de l’avant, avec un plan de reconstruction en plusieurs étapes.
Le maire Matthias Bellwald, rapporte la SRF, a présenté une feuille de route en plusieurs étapes. D’abord, s’occuper des hameaux isolés qui n’ont pas été touchés, et les développer. L’an prochain, grands travaux: tenter de dégager le centre du village, actuellement complètement enfoui sous le gigantesque amas de roche, de glace et de boue. Dès l’année suivante, 2027, reconstruction d’un nouveau centre villageois et développement de nouveaux quartiers d’habitations autour de différents hameaux. Matthias Bellwald a cité ceux de Weissenried et de Gassen, qui «présentent un potentiel d'extension». Objectif final, enfin, que tous les habitants qui le souhaitent puissent vivre dans «le nouveau Blatten» d'ici 2030. La réunion a eu lieu dans le village voisin de Wiler. Quelque 200 personnes étaient présentes. Ce ne sont là que des premières grandes lignes d’une éventuelle feuille de route, tout reste évidemment à faire. Mais la correspondante de la SRF souligne qu’il était très important pour les habitants de se réunir et de se projeter dans un avenir possible. «Il y a eu de nombreux applaudissements et une ovation debout à la fin de la réunion», a-t-elle rapporté.
Auteur : Mel_C  
1336/1455

Date :    13-06-2025 14:55:23


CRASH EN INDE – Les derniers mots du pilote : «Pas de poussée, perte de puissance» :

°°° La presse indienne a révélé l'ultime message de détresse lancé par Sumeet Sabharwal, quelques secondes après avoir décollé. Et juste avant de se crasher.

Le Boeing 787 d’Air India en pleine perte d'altitude, deux secondes avant de s'écraser sur un quartier résidentiel d’Ahmedabad. 265 personnes au moins ont péri dans le crash du Boeing 787 d’Air India, qui s’est écrasé jeudi dans un quartier résidentiel d’Ahmedabad. Peu avant l'accident, le pilote, Sumeet Sabharwal, a lancé un appel de détresse «Mayday». Les médias indiens ont publié le message radio final: «Mayday… Pas de poussée, perte de puissance, impossible de décoller.» Mais selon la Direction générale de l'aviation civile indienne, le contrôle aérien n'a pas répondu à cet appel.
Le commandant de bord de l'avion était considéré comme extrêmement expérimenté. Sumeet Sabharwal totalisait 8.200 heures de vol et était pilote de ligne depuis plus de 22 ans. Son copilote, Clive Kundar, était également considéré comme expérimenté, avec plus de 1.100 heures de vol à son actif.

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