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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
1449/1461

Date :    02-07-2025 17:48:50


CANICULE - Les Français de tous âges affectés par la vague de chaleur :

L'agence française de santé publique prévient ce mercredi 2 juillet que les températures très élevées de ces deniers jours se sont traduites par une augmentation des affections liées à la chaleur dans toutes les tranches d'âge, et pas juste la population la plus âgée en France.

Grâce à un indicateur qui permet de mesurer la fréquence des passages aux urgences et des consultations auprès de SOS Médecins, l'agence sanitaire indique que les consultations ont nettement augmenté en fonction des températures, notamment lors du week-end du 28 juin.

Les recours quotidiens aux soins d'urgence ont doublé chez les plus de 75 ans et, le 30 juin, chez les moins de 15 ans et les 15-44 ans une hausse conséquente des recours aux urgences a été "particulièrement marquée".
Auteur : Mel_C  
1450/1461

Date :    02-07-2025 17:55:14


GRÈVE DES CONTROLEURS AÉRIENS PRÉVUE DÈS JEUDI / 1– Dénonciation de « sous-effectif structurel », de « projets techniques en échec » et de « management toxique » :

°°° Quelles sont les causes de la grève ?

Après deux réunions de « conciliation » infructueuses avec la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), le deuxième syndicat d’aiguilleurs du ciel, l’UNSA-ICNA, a maintenu son appel à la grève jeudi 3 et vendredi 4 juillet 2025. L’organisation syndicale, qui a rassemblé 17 % des voix aux dernières élections professionnelles, a estimé que l’administration n’avait formulé « aucune réponse aux alertes transmises pourtant depuis des semaines », et cité parmi ses griefs un « sous-effectif structurel », des « projets techniques en échec » et un « management toxique ».
L’Unsa-Icna « appelle à un changement de cap pour renforcer les effectifs, faire aboutir les projets de modernisation technique, et remettre les priorités opérationnelles au cœur des décisions » de la Direction générale de l’Aviation civile (DGAC), avait indiqué la semaine dernière le syndicat dans un communiqué transmis à l’AFP.
« La DGAC reconnaît les difficultés liées à la situation de sous-effectif chronique, qui affectent la qualité du service rendu aux compagnies aériennes. C’est précisément pour y remédier qu’elle défend un plan de recrutement ambitieux, inscrit dans une stratégie pluriannuelle, afin de garantir un service performant et sécurisé », avait fait valoir l’administration.
L’UNSA-ICNA a été rejointe dans ce mouvement par le troisième syndicat de contrôleurs, l’USAC-CGT (16 % des suffrages), qui avait dénoncé lui aussi un « contexte social fortement dégradé » à la DGAC, mais appelé à la grève le jeudi seulement. Le premier syndicat de contrôleurs, le SNCTA (60 % des voix), a indiqué à l’AFP ne pas appeler à la grève.
Faut-il interdire la grève dans les transports publics pendant les périodes de grands départs ?
Pour la DGAC, les revendications portent sur « le contrôle de présence des contrôleurs, les rémunérations, et le recrutement ». Elle a, par ailleurs, rappelé mercredi dernier avoir signé en 2024 un accord avec la majorité des syndicats, qui « a permis des revalorisations salariales pour les contrôleurs aériens ». « Malgré un contexte budgétaire difficile pour l’État, certaines de ces mesures sont déjà mises en œuvre et les autres seront appliquées », a ajouté l’administration.
Auteur : Mel_C  
1451/1461

Date :    02-07-2025 18:01:25


GRÈVE DES CONTROLEURS AÉRIENS PRÉVUE DÈS JEUDI / 2 – Dénonciation de « sous-effectif structurel », de « projets techniques en échec » et de « management toxique » :

°°° Quelles sont les réactions ?

Le chef de file du secteur aérien français a jugé « incompréhensible » l’appel à la grève d’aiguilleurs du ciel à l’orée des vacances scolaires d’été. L’aérien ne peut se développer que s’il peut « compter sur des services de navigation aérienne performants », a déclaré Pascal d’Izaguirre, président de la Fédération nationale de l’aviation et de ses métiers (Fnam) lors du con-grès annuel de son organisation à Paris.
Or, cette performance se dégrade en Europe, a-t-il pointé : l’été 2024 a été le « pire depuis 25 ans avec 4,6 minutes de retard par vol en route » dû au contrôle aérien, soit « 52 % de plus qu’à l’été 2023 » et « 59 % de plus qu’à l’été 2019 ». « Une minute de retard c’est 100 € de coût pour une compagnie aérienne », a remarqué Pascal d’Izaguirre, appelant à « poursuivre la modernisation de la navigation aérienne française et européenne ».
De son côté, le ministre des Transport, Philippe Tabarot a dénoncé des revendications « inaccep-tables », « tout comme le choix de faire cette grève au moment des grands départs en congés ». « Je suis résolu à tenir bon face à ce mouvement et notamment face à la demande d’abandon d’un certain nombre de dispositions qui avaient pourtant été actées et qui ne sont pas respectées », a-t-il martelé. « Je pense notamment à la demande d’abandon de pointeuses pour les contrôleurs », a poursuivi le ministre, en jugeant que cette revendication constituait, pour les syndicats appelant à la grève, « un symbole de leur volonté d’accomplir ou de ne pas accomplir leur travail comme ils devraient le faire ».

°°° Une réforme est en cours pour établir un pointage des contrôleurs à la prise de poste, à la suite d’un « in-cident grave » à l’aéroport de Bordeaux fin 2022, quand deux avions ont failli entrer en collision. Le Bu-reau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile (BEA), dans un rapport, en a fait peser la responsabilité sur une organisation défaillante du travail de contrôleurs, en dehors du cadre légal et sans respect du tableau de service. « Il en va de la sécurité des vols et du sérieux de la profession, et je ne céderai pas sur cette réforme indispensable qui a été engagée depuis un certain nombre de mois », a insisté Philippe Tabarot.
Auteur : Mel_C  
1452/1461

Date :    02-07-2025 18:05:15


Vaccin contre le chikungunya :

°°° L’Agence du Médicament a rapporté ce mercredi 2 juillet que sur les 18 cas d’effets indésirables graves rapportés après l’administration du vaccin Ixchiq contre le chikungunya, un lien avec le vaccin a été établi pour la moitié d’entre eux.

Près de la moitié des cas d’effets indésirables graves, rapportés après l’administration du vaccin Ixchiq contre le chikungunya, ont établi un lien avec la vaccination, d’après une évaluation pharmacologique consultée par l’Agence France-Presse (AFP) ce mercredi 2 juillet 2025.
Cette enquête pilotée par l’Agence du médicament (ANSM) rapporte que « 47 cas d’effets indésirables ont été déclarés et analysés sur l’ensemble du territoire français » entre le 7 mars et le 2 juin 2025, dont « 18 cas graves », qui ont concerné des patients âgés en moyenne de 74 ans, selon l’agence.

--- Trois décès de personnes âgées :

« L’évaluation pharmacologique montre qu’il existe un lien entre le vaccin et les effets indésirables graves pour neuf de ces patients », souligne l’ANSM. 77 % des cas proviennent de La Réunion et les principaux effets indésirables graves observés sont similaires aux symptômes d’une forme grave d’infection au virus chikungunya, précise le communiqué. Parmi les 18 cas graves, trois décès ont été rapportés chez des personnes de plus de 65 ans atteintes d’autres pathologies.
Pour l’un des décès, le lien avec le vaccin semble « très vraisemblable » tandis que pour les deux autres, l’imputabilité du vaccin n’est pas établie « à ce jour ». Ces effets indésirables font désormais l’objet d’investigations complémentaires au niveau national et européen.

--- De potentiels « mésusages » :

L’enquête met également en lumière de potentiels « mésusages » du vaccin. Certains signalements d’effets indésirables sont consécutifs à l’administration du vaccin Ixchiq chez des patients possiblement immunodéprimés, alors que son administration est formellement contre-indiquée chez les personnes immunodéficientes.

Depuis le 26 avril, les autorités sanitaires françaises RECOMMANDENT DE NE PLUS VACCINER LES PERSONNS DE 65 ANS ET PLUS, présentant ou non des comorbidités. La vaccination contre le chikungunya à La Réunion est ainsi devenue presque inexistante alors que plus de 200 000 personnes auraient été atteintes de la maladie depuis le début de l’année 2025, selon les autorités locales.
Auteur : Mel_C  
1453/1461

Date :    02-07-2025 18:14:25


CANICULE - A Nîmes, le CHU Carrémau mobilise des lits supplémentaires:

Dans le contexte des fortes chaleurs persistantes sur le territoire et face à l’affluence exceptionnelle de patients observée ces derniers jours au service d’accueil des urgences du CHU de Nîmes, l’établissement a déclenché, ce mercredi 2 juillet 2025, le niveau 2 du plan « hôpital en tension ». Le niveau élevé des températures entraîne une hausse marquée des passages aux urgences, en particulier chez les personnes âgées, les patients chroniques, et les publics vulnérables. Cette situation engendre des tensions importantes sur les capacités d’accueil et d’hospitalisation en aval, en particulier dans les services de médecine.
Pour répondre à cet afflux, le CHU de Nîmes a mis en œuvre une série de mesures visant à adapter son organisation et garantir la continuité des prises en charge. Dans le cadre du niveau 2 du plan Hôpital en Tension (HET), les mesures suivantes sont activées :

- Mobilisation de lits supplémentaires habituellement dédiés à l’hospitalisation programmée de semaine ;
- Révision de la planification d’accueil des malades programmés, afin de libérer des lits en aval des urgences ;
- Dédoublement de lits dans certaines unités de médecine, pour renforcer l’offre disponible.

Le CHU de Nîmes travaille en lien étroit avec les hôpitaux publics du groupement hospitalier de territoire Cévennes-Gard-Camargue (Alès, Bagnols-sur-Cèze, Uzès, Pont-Saint-Esprit) et avec l’ARS Occitanie pour assurer le suivi en temps réel de la situation et optimiser l’orientation des patients nécessitant une hospitalisation. La cellule de crise, réunie ce jour à 12h15 au sein du CHU, permet d’adapter les mesures en fonction de l’évolution des flux et des besoins médicaux.

Face à cette situation exceptionnelle, le CHU de Nîmes appelle à la vigilance de chacun. Il est vivement recommandé d’éviter les expositions prolongées à la chaleur, en particulier pour les personnes fragiles, et de veiller à une hydratation régulière. En cas de besoin médical non urgent, il est conseillé de contacter en priorité son médecin traitant. En l’absence de disponibilité, la carte des lieux de soins peut être consultée. En cas d’urgence vitale uniquement, il convient d’appeler le 15 avant tout déplacement aux urgences.
Auteur : Mel_C  
1454/1461

Date :    02-07-2025 18:21:01


FUSILLADE A VALDEGOUR - "La sécurité doit être la priorité numéro 1" pour Julien Plantier :

Après la dramatique fusillade dans le quartier Valedegour à Nimes vendredi dernier, Julien Plantier, président de Nîmes Avenir, candidat aux municipales, s'est rendu sur le quartier afin de rencontrer des responsables associatifs.
"À la suite du dramatique événement survenu, une nouvelle fois, dans le quartier sur fond de narcotrafic et de guerre de territoires, j’ai rappelé le caractère inadmissible de ces agissements. Je le répète, ces agissements sont intolérables et inacceptables. J’apporte tout mon soutien aux familles, à la population de ces quartiers qui constituent d’ailleurs les premières victimes. Ces jeunes sont « des enfants de la République ». Je le dis sans détours, une personne touchée, c’est le quartier qui est touché et c’est toute la ville qui est concernée" explique l'ex-premier adjoint.
"Dans notre pays, dans notre ville, nous avons un besoin d’autorité, nous avons la nécessité de mettre un cadre plus strict. Malheureusement, cela n’est pas assez le cas aujourd’hui. La sécurité doit être la priorité numéro 1, nous ne pouvons plus seulement constater ces faits. Il faut agir en profondeur, nous ne règlerons pas la problématique du trafic dans ces quartiers de manière instantanée, mais nous devons agir. Certes, la rénovation urbaine est en cours, il faut réinvestir l’espace public au sein de nos quartiers, les faire vivre de manière continue, il faut soutenir plus significativement les associations présentes. Elles sont indispensables en ce qu’elles sont le lien avec les populations, il faut aussi une présence de la police H24 au sein de ces quartiers. C’est pourquoi j’en appelle, depuis longtemps, à ce que l’État décide, de manière ferme et concrète, que soit fidélisée sur Nîmes une UFM (Unité de Forces Mobiles)."
Et de conclure : "Dans le même temps, il faut impérativement concrétiser la création d’un poste de police partagé - Police Nationale et Police Municipale – cet équipement doit être opérationnel sur les quartiers ouest tout comme il faudrait aussi l’envisager à l’est de la ville. Je le redis, nous avons besoin d’autorité. Agissons."
Auteur : Mel_C  
1455/1461

Date :    02-07-2025 18:28:45


MARCOULE - Le niveau de sûreté nucléaire est "globalement satisfaisant" selon L’ASNR (*) :

La division territoriale de Marseille de l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) a présenté ce mardi matin son bilan 2024 de l’état du niveau de sûreté nucléaire des installations de la région Sud PACA, ex-Languedoc-Roussillon et Corse. Parmi elles, on retrouve celles de Marcoule.
À commencer par le centre CEA, dont les activités sont dans la recherche et le développement sur le cycle du combustible nucléaire. Avec « des sujets transverses », présente le chef de la division de Marseille de l’ASNR Mathieu Rasson. Le premier d’entre eux est le « gros travail mené depuis plusieurs années pour évaluer l’incidence globale de la plateforme de Marcoule, à savoir les impacts sur l’environnement cumulés des différents exploitants présents sur la plateforme. Nous avons demandé au CEA de réaliser une tierce-expertise, réalisée par un organisme externe, elle nous a été remise fin 2024, et nous sommes en train de l’instruire », précise-t-il.
Autre sujet, la gestion des situations d’urgence. « Nous avons noté que l’organisation de crise restait perfectible sur certains points, notamment il s’agit de bien définir les fonctions des différents intervenants qui agiront en cas de crise », avance Mathieu Rasson, avant de se focaliser sur plusieurs installations du centre CEA.
La première est le laboratoire de recherche sur le cycle du combustible Atalante. « Son niveau de sûreté, nous le jugeons assez satisfaisant, présente-il. Nous avons légèrement dégradé notre appréciation en raison d’un incident relatif à la gestion du risque de criticité qui a eu lieu début 2024. » Le risque de criticité est le risque de déclenchement d’une réaction nucléaire en chaîne non contrôlée. L’incident en question est que « certains mouvements de matières fissiles n’ont pas été correctement préparés », précise l’ASNR, tout en rajoutant que « ces incidents n’ont pas eu d’impact ni sur les personnes ni sur l’environnement, parce que les autorisations n’ont pas été dépassées, mais ce défaut de préparation est au coeur de l’incident. » Incident classé au niveau 1 de l’échelle internationale des événements nucléaires INES, qui en compte 7. « Le CEA a immédiatement pris les décisions opérationnelles pour s’assurer de la non-aggravation et surtout du diagnostic de la situation », rajoute-il.
Autre installation, le réacteur Phénix, un ancien réacteur de recherche à neutrons rapides refroidi par du sodium, en cours de démantèlement. L’ASNR juge la sûreté nucléaire au niveau globalement satisfaisant. « À noter cependant, dans le cadre du démantèlement, une révision de l’ordre des étapes des actions de démantèlement, afin de prioriser le traitement du sodium encore présent sur l’installation », précise toutefois le chef de la division de Marseille de l’ASNR. Le traitement de ce sodium passe par la mise en service de l’installation NOAH, au sein du CEA Marcoule, dont les essais de mise en service sont en cours.
Troisième installation : DIADEM, la seule installation capable d’entreposer des déchets de moyenne activité à vie longue. Elle est en cours de construction, et l’ASNR a noté « des progrès dans la gestion de projet. »
Concernant Orano Melox, usine de fabrication de combustible pour centrales nucléaires MOX à partir de combustible usagé, « depuis plusieurs années, Orano rencontrait des difficultés dans la bonne production du combustible MOX, et ces difficultés avaient pu créer des risques de saturation d’entreposage au sein du cycle du combustible français et pouvaient créer un risque de déséquilibre de ce cycle à l’échelle nationale, rappelle Mathieu Rasson. Nous notons depuis plusieurs années que la situation de production se rétablit, ce qui stabilise le cycle du combustible, mais nous restons vigilants à la pérennisation de cette amélioration. » Son niveau de sûreté nucléaire et de radioprotection est jugé par l’ASNR globalement satisfaisant.
Dernière installation : Centraco, exploitée par la filiale d’EDF Cyclife qui traite des déchets nucléaires de très faible, faible et moyenne activité. L’avis de l’ASNR est globalement satisfaisant, « néanmoins nous notons une répétition d’événements significatifs qui a eu lieu début 2024 et qui a mis au jour une lacune dans la préparation des opérations de maintenance. » Ces éléments ont aussi fait l’objet d’un avis d’incident.
Le nucléaire, c’est aussi le médical. La radioprotection dans ce domaine est jugée globalement satisfaisante par l’ASNR, qui soulève toutefois plusieurs « signaux faibles » : « des tensions sur les effectifs médicaux, une externalisation mal maîtrisée de certaines missions, notamment en imagerie, ainsi qu’une progression rapide de la téléradiologie contribuent à une complexification des organisations de soins et à une dilution des responsabilités. »

(*) Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection
Auteur : Mel_C  
1456/1461

Date :    02-07-2025 18:44:10


AFFAIRE BETHARAM – Rapport d’enquête sur les violences en milieu scolaire :

La commission d’enquête parlementaire sur les violences en milieu scolaire, créée dans la foulée du scandale de Bétharram, appelle à « reconnaître la responsabilité de l’État » et à créer « un fonds d’indemnisation et d’accompagnement » des victimes, dans son rapport publié mercredi 2 juillet 2025.
Le rapport parlementaire, qui liste 50 recommandations, préconise aussi notamment d’effectuer des contrôles « chaque année » dans les établissements avec internats du primaire et « au maximum tous les trois ans » dans le secondaire (collèges et lycées). Il demande aussi « au moins un contrôle périodique complet des établissements privés tous les cinq ans au plus ».
Les rapporteurs Paul Vannier (LFI) et Violette Spillebout (Renaissance) soulignent en outre dans leurs conclusions « la persistance de violences multiformes dans tous les types d’établissements scolaires » et un « État défaillant » pour contrôler, prévenir et traiter ces violences.
La commission d’enquête est née du scandale autour des révélations sur l’affaire des violences sexuelles et physiques qui se sont poursuivies pendant des décennies à Notre-Dame-de-Bétharram
L’affaire a éclaboussé le Premier ministre François Bayrou, qui était ministre de l’Éducation au moment des premières révélations sur l’établissement privé catholique du Béarn, où plusieurs de ses enfants ont été scolarisés.

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