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Date : 02-07-2025 18:48:14
AFFAIRE BETHARAM – Un défaut d’action :
Dans leur rapport, les députés pointent un « défaut d’action » de François Bayrou à l’époque, qui a pu laisser les violences « perdurer ».
« Les rapporteurs constatent qu’à défaut d’action, que l’ancien ministre de l’Éducation nationale et (ancien) président du conseil général (du département), alors informé, avait les moyens d’engager, ces violences physiques et sexuelles sur les élèves de Bétharram ont perduré pendant des années », écrivent-ils.
Le rapport indique par ailleurs que « pour le rapporteur Paul Vannier », le Premier ministre a « menti » à la représentation nationale « en niant toute information au sujet de ces violences », mensonge qui « pouvait viser à dissimuler » son « inaction » en tant qu’ancien ministre de l’Éducation nationale (1993-1997) et ex-président du conseil général (1992-2001) « alors qu’il était informé de faits de violences physiques dès 1996 et de faits de violences sexuelles dès 1998 ».
La présidente de la commission d’enquête Fatiha Keloua Hachi (PS) A TOUTEFOIS JUGÉ lundi INSUFFISAMMENT FONDÉE LA DEMANDE DE SIGNALEMENTS à la justice de Paul Vannier, qui suspecte de "FAUX TEMOIGNAGES" TROIS PERSONNES, DONT FRANÇOIS BAYROU.
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