◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄3334353637383940414243►►

Protection humaine
Auteur : Mel_C  
297/1224

Date :    08-10-2024 21:11:26


:HUH: A TOURCOING, UNE ÉLÈVE AURAIT GIFLE UNE PROF QUI LUI DEMANDAIT DE RETIRER SON VOILE :
Une élève du lycée Sévigné, à Tourcoing, a été placée en garde à vue lundi soir. Elle est soupçonnée d’avoir giflé une enseignante qui lui aurait demandé de retirer son voile qu’elle venait de revêtir au moment de quitter l’établissement, a-t-on appris mardi de source policière. Cette enseignante en sciences techniques aurait demandé à cette élève de retirer son voile religieux dans la cour de l’établissement, a indiqué cette source à l’AFP, mais la lycéenne, qui s’apprêtait à sortir, aurait refusé. L’élève aurait alors giflé sa professeure, qui aurait répliqué par une gifle, selon la source policière. L’élève lui aurait ensuite porté plusieurs coups. Majeure et inconnue des services de police, l'étudiante aurait ensuite pris la fuite. Elle a finalement été interpellée à son domicile et placée en garde à vue. Selon Jean-François Carémel, secrétaire académique du syndicat des enseignants, qui confirme l’agression, une plainte a été déposée par l’institutrice.
«Un mesure conservatoire a d’ores et déjà été prise à l’encontre de l’élève en cause pour lui interdire l’accès à l’établissement jusqu’à réunion de son conseil de discipline», a indiqué la ministre de l’Éducation Anne Genetet. «J’ai demandé à ce que des sanctions disciplinaires très fermes soient prononcées compte tenu de la gravité des faits», a-t-elle ajouté, précisant qu’une «équipe mobile de sécurité» avait été déployée sur place mardi matin par le rectorat.
«L’École de la République ne laissera passer aucune atteinte à ses principes et à ses valeurs. Nous ne transigerons jamais. Je ne laisserai rien passer», a souligné la ministre.
«Je veux apporter tout mon soutien à cette enseignante de Tourcoing qui, alors qu’elle faisait simplement respecter la laïcité – notre bien commun – a été frappée par une élève», a réagi pour sa part l’ancien ministre de l’Intérieur et élu de Tourcoing Gérald Darmanin. «Tout le monde doit soutenir nos enseignants et condamner cette violence contre la République elle-même», a ajouté le député.
«Tout mon soutien à l’enseignante agressée», a réagi le président de la Région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, «la laïcité est un des piliers de l’école de la République, elle ne se négocie pas».
Auteur : Mel_C  
298/1224

Date :    08-10-2024 21:11:50


APRÈS LA MORT D’UN MOTARD DANS UN ACCIDENT A FRONTIGNAN, le parquet de Montpellier lance un appel à témoins :
Un appel à témoins est lancé par le parquet de Montpellier ce mardi 8 octobre dans le cadre d’une enquête qui a démarré il y a un mois. Le 1er septembre dernier, un accident mortel s’est produit sur la commune de Frontignan. Vers 22 h, sur la RD 612 au-dessus du pont sur la voie ferrée (avant le rond-point Barnier), une collision semble-t-il, frontale entre une moto et une voiture a fait un mort. Le motard n’a pu être ranimé malgré l’intervention des secours. L’automobiliste avait été blessé, légèrement.
La police nationale chargée des investigations sur les circonstances de l’accident, recherche plus particulièrement l’homme qui a prodigué les premiers soins au motocycliste et qui a été en contact téléphonique avec les sapeurs pompiers jusqu’à leur arrivée sur les lieux de l’accident.
> Toute personne susceptible d’apporter des éléments pouvant intéresser l’enquête peut contacter la Brigade accidents du Bureau de Police de Frontignan aux numéros suivants 04 86 94 96 95 ou 04 86 94 96 92, du lundi au vendredi de 08 h 30 à 17 h 15 ou par courriel dipn34-sete-secteur-frontignan@interieur.gouv.fr.
Auteur : Mel_C  
299/1224

Date :    08-10-2024 21:12:19


AGRESSIONS DE MÉDECINS :
Rendu traditionnellement en octobre, le bilan de l’Observatoire Annuel de la Sécurité des Médecins a été publié ce mardi 08 octobre, quelques jours après qu’une femme de 20 ans a été condamnée à un an de prison ferme pour avoir commis des violences sur une généraliste des quartiers nord de Marseille qui avait refusé une ordonnance.
Le constat de l’Ordre des Médecins, qui a réalisé l’enquête avec le concours d’Ipsos, est "alarmant". "L’enquête, basée sur les déclarations d’incidents et d’agressions signalées aux conseils départementaux de l’Ordre, fait état de 1’581 cas en 2023, contre 1244 en 2022", soit une hausse de + 27 %.
Auteur : Mel_C  
300/1224

Date :    08-10-2024 21:12:27


MALTRAITANCES EN CRÈCHE :
Dix mois de prison avec sursis pour deux ex-salariées de People&Baby. Dans une décision rendue lundi, le tribunal correctionnel de Lille a déclaré une ancienne directrice et une infirmière coupables de violences sur des bébés. Elles se voient interdire d’exercer pendant trois et cinq ans.
Auteur : Mel_C  
301/1224

Date :    09-10-2024 10:41:39


HAUTS-DE-FRANCE - Il se fait mordre par un rat en lui donnant un coup de pied et meurt de la leptospirose...
Les habitants du quartier se plaignaient des rats depuis des semaines, l’un d’entre eux en est mort. Selon l’Union, l’ARS des Hauts-de-France confirme la cause du décès d’un quadragénaire à Soissons. Mordu par un rat, il est mort de la leptospirose en août. Exaspérée, la victime avait donné un coup de pied à un rat au mois d’août, en sortant de son logement. Tardant à faire examiner sa blessure chez le médecin, il a contracté la leptospirose. Quand son généraliste a vu la plaie, il l’a immédiatement orienté vers les services d’urgences de Soissons. Le quadragénaire était sérieusement infecté et a finalement été transféré au centre hospitalier universitaire d’Amiens, où il est mort. L’ARS indique que son cas est isolé. Aucun malade n’avait été identifié à proximité. La "maladie du rat" qu’il a contractée n’est pas le signe d’une épidémie.
Si la leptospirose n’est pas fréquente dans l’immeuble, les rongeurs qui transmettent cette maladie oui. Les riverains déplorent un grand nombre de rats dans les parties communes : "Dans le hall, au rez-de-chaussée. Ils n’ont plus peur des hommes. Une fois mon voisin a essayé d’en faire partir un avec un balai, il est allé dans les caves. C’est de pire en pire", raconte une habitante. Le cas de son voisin l’inquiète : "Sa mort me fait peur."
Il est obligatoire de déclarer toute infection à la leptospirose, "l’objectif est de mieux recenser les cas afin de prévenir les risques d’épidémie", note l’ARS.

> Qu’est-ce que la leptospirose ? "La leptospirose est une maladie infectieuse grave, parfois mortelle, responsable de plusieurs centaines de cas par an en France métropolitaine et dans les départements et collectivités d’Outre-mer, où elle est un problème de santé publique important", indique l’ARS Occitanie.
C’est une zoonose : le pathogène passe d’un animal à l’Homme. Il s’agit là d’une bactérie, le leptospire. Les symptômes apparaissent une à deux semaines après la contamination : une forte fièvre et des douleurs musculaires et crâniennes. En l’espace de quelques jours, elle peut infecter les méninges, le foie, les reins et les poumons.
Auteur : Mel_C  
302/1224

Date :    09-10-2024 10:49:25


Drame à Millas :
"On a vu le bus pousser tranquillement la barrière" du passage à niveau, ont affirmé mardi deux témoins de l'accident mortel de car scolaire de Millas (Pyrénées-Orientales), au procès en appel de la conductrice, mettant à mal la défense de cette dernière.
En début de journée, Nadine Oliveira, la prévenue, avait commencé son audition par ces mots : "J'ai fait appel parce que les barrières étaient levées". La conductrice de car de 55 ans n'a jamais changé de version depuis sa première garde à vue: selon elle aucun signal, ni sonore, ni lumineux, ni aucune barrière ne l'ont dissuadée de s'engager sur le passage à niveau de Millas.
Le 14 décembre 2017, le car ramenant 23 collégiens chez eux après les cours s'était trouvé au milieu des rails lorsqu'un TER l'avait percuté à 75 km/h, une collision qui a fait six morts et dix-sept blessés, dont certains grièvement. Nadine Oliveira, qui avait dû être hospitalisée après 4 jours d'audience lors du premier procès, avait été condamnée en son absence à 5 ans de prison dont un an ferme.
Mardi matin, elle a été capable de retracer, minute après minute, le déroulé de la journée du drame, ne fondant en larmes qu'à l'évocation de son issue, quand elle s'est réveillée au milieu "des cris et des pleurs des enfants".
La journée du 14 décembre 2017 avait commencé "comme d'habitude", par un état des lieux de son car. Nadine Oliveira était dans un état "normal" selon ses dires. Pour son dernier trajet de la journée, elle n'était "pas pressée", et connaissait par cœur ce parcours qu'elle empruntait quatre fois par jour.
Mais sa version des faits a été largement contredite par l'enquête, et par les différents témoignages des personnes présentes sur les lieux.
Tout d'abord celui d'un employé de la Saur, une entreprise d'assainissement, qui, voyant les barrières du passage à niveau se fermer, attendait avec son collègue de l'autre côté de la route lorsqu'il a vu que "le bus a poussé tranquillement la barrière, comme si on ouvrait une porte".
"On était sidérés avec mon collègue, on s'est demandé 'Qu'est-ce-qu'elle fait, mais qu'est-ce-qu'elle fait?'". Interrogé à plusieurs reprises sur la certitude de ses souvenirs, le témoin a assuré que ce jour était "gravé à jamais" dans sa mémoire : "on était sous le choc, c'est à cause des cris des enfants qu'on a réagi". "Peut-être qu'elle ne l'a pas vue, le bus est tellement haut", a envisagé ce témoin.
Un autre automobiliste, lui aussi arrivé sur les lieux au moment de la fermeture du passage à niveau, a validé cette version : "le bus a poussé la barrière tout doucement, il n'y a pas eu de choc". Le directeur d'enquête, interrogé mardi matin, a confirmé qu'après l'accident, la barrière a été retrouvée "tordue, en position fermée" et qu'aucune défaillance du passage à niveau n'avait été constatée.
Pour expliquer le geste de Mme Oliveira, il a évoqué "la force de l'habitude" : la conductrice avait emprunté ce passage à niveau 400 fois et ne l'avait jamais trouvé fermé. Mais aussi "l'hyperconcentration dont elle a fait preuve pendant sa manœuvre", une manœuvre décrite par tous comme "compliquée" pour aborder le virage devant le passage à niveau, et que la conductrice a détaillé minutieusement aux enquêteurs.
Sept ans après les faits, ce major de gendarmerie plus habitué aux enquêtes criminelles a décrit "une scène de guerre". L'employé de la Saur, "marqué à vie", se souvient toujours d'"une fille blessée à la tête et d'un petit garçon au poignet écrasé, ils pleuraient sans s'arrêter".
Auteur : Mel_C  
303/1224

Date :    09-10-2024 11:18:37


JUSTICE - Une femme attaquée, humiliée et tondue ...
" 15 minutes c'est le temps précis du calvaire d'une jeune femme de 20 ans", "elle est recouverte de coups", souligne le conseil de la partie civile, Maître Ludivine Gloriès. "Si elle n'est pas là c'est par honte de présenter son visage aujourd'hui. Elle ne dort plus, elle ne sort plus, elle a perdu son travail et elle craint des répercussions sur sa vie et pourtant il s'agit de la victime", poursuit l'avocate nîmoise de Karen*, une jeune femme de 20 ans. Cette apprentie coiffeuse a été lynchée en garrigue le 30 septembre dernier et a été retrouvée dénudée et tondue sur la commune de Caveirac...
Il s'agit " d'un acte prémédité, réfléchi, organisé", affirme le procureur Willy Lubin qui ne trouve aucune circonstance atténuante au couple de prévenus. Au départ Aimad, 23 ans, le mis en cause appelle une copine Karen pour fixer un rendez-vous.
"Mais pourquoi un rendez vous dans la garrigue", interroge le procureur? "C'était une habitude, elle voulait un endroit discret", indique le prévenu qui est en couple avec une autre jeune femme Dolorès... Cette dernière est également renvoyé devant la Justice pénale car elle n'a pas apprécié cette éventuelle relation entre son compagnon et Karen* . Elle a commis des violences qu'elle avoue à la barre du tribunal ce mardi.
Car le rendez-vous va rapidement dégénérer. Dans la voiture qui mène Karen vers les bois, Dolorès se cache. Arrivée en garrigue c'est une avalanche de coups que reçoit la victime. "Monsieur a joué le rôle d'appât, il a monté le coup c'est lui qui appelle la victime", enchaine le procureur Lubin à l'encontre d'Aimad. Il est requis 3 ans à son encontre dont une année de sursis probaroire et d'une incarcération immédiate. Le parquet réclame aussi 14 mois de révocation de deux précédents sursis liés à d'autres délits. "Vous avez amené la victime à la boucherie", conclut-il.
Il souhaite également condamnation pour la prévenue jalouse d'une éventuelle relation entre son compagnon et Karen. il propose au tribunal correctionnel une peine de 3 ans dont une année avec sursis pour Dolorès dont le casier judiciaire est vierge et qui est maman de deux enfants, âgés d'un an et de deux mois. La prévenue a reconnu sa responsablilité et les coups mais la défense nie une préméditation ou un guet-apens. Elle souffrirait également de dépression post-natale, selon des indications de son conseil maître Agathe de Batz.
" Les faits sont graves, mais reconnus dès le départ et encore confirmé aujourd'hui à l'audience. Elle ne cherche pas à minimiser, mais elle n'a pas la dimension historique et la référence sur les femmes tondues dans une période sombre de notre histoire", plaide pour la jeune mise en cause, Maître Agathe de Batz.
Pour le prévenu Maître Essaki complète : " Au départ, il voulait désamorcer des tensions entre les deux femmes, il a été dépassé. Monsieur n'est pas l'auteur de violences ou complice de ces violences".

> Le tribunal a condamné ce mardi le couple. Ils écopent l'un comme l'autre de la même sanction et sont condamnés à 2 ans de prison dont une année avec un sursis probatoire de deux ans. Ils sont placés en détention immédiatement. Monsieur est reconnu couplable de complicité de violence, et le tribunal n'a pas révoqué ses deux autres sanctions. Madame est punie pour les violences aggravées.

*prénom modifié
Auteur : Mel_C  
304/1224

Date :    09-10-2024 13:17:38


JUSTICE / SOCIETE - Un fils d’Oussama Ben Laden interdit de séjour en France, annonce Bruno Retailleau

Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite.
Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente.
Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr.
En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ».
Omar Ben Laden, un fils du djihadiste Oussama Ben Laden, s’est vu notifier une interdiction administrative de séjour sur le territoire français par les autorités, qui ont obtenu son départ du territoire, a annoncé le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, mardi 8 octobre.
« Installé dans l’Orne depuis plusieurs années en tant que conjoint de ressortissante britannique », Omar Ben Laden « a accueilli sur ses réseaux sociaux en 2023 des propos relevant de l’apologie du terrorisme », a justifié sur X le ministre. « En conséquence, le préfet de l’Orne a pris une OQTF », une obligation de quitter le territoire français, et « obtenu le départ » d’Omar Ben Laden, a-t-il ajouté dans son message.
« La justice a confirmé la régularité de cette décision prise pour la sécurité nationale. L’interdiction administrative du territoire vient garantir l’impossibilité pour M. [Ben Laden] de revenir en France pour quelque motif que ce soit », a poursuivi le ministre.
Fondateur de l’organisation djihadiste Al-Qaida et cerveau des attaques du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, Oussama Ben Laden a été tué en 2011 au Pakistan par les forces spéciales américaines.
Né en Arabie saoudite, où il a passé ses premières années, son fils, Omar Ben Laden, 43 ans, a aussi vécu au Soudan puis en Afghanistan. Après avoir quitté son père à l’âge de 19 ans, il a vécu une vie d’itinérance dans plusieurs pays arabes jusqu’à son arrivée en France et son installation en Normandie en 2016, avait-il détaillé à l’Agence France-Presse en 2022.

> L’annonce de son expulsion intervient alors que Bruno Retailleau réunit mardi, à partir de 10 heures, les préfets des vingt et un départements les plus concernés par les problématiques d’immigration clandestine.

◄◄3334353637383940414243►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »