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Protection humaine
Auteur : Aigle 
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Date :    14-09-2024 07:13:37


VIOLS de Mazan :
une manifestation en soutien à Gisèle Pelicot a réuni plusieurs dizaines de personnes à Avignon
Le rassemblement s'est tenu vendredi devant le palais de justice où se déroule le procès du mari de Gisèle Pelicot et de 50 hommes,
jugés pour l'avoir violée alors qu'elle était inconsciente.
Un VIOL est un VIOL et la honte est sur le (les) violeur(s)
Auteur : Aigle 
330/652

Date :    15-09-2024 07:20:43


En écho au procès des viols de Mazan,
des rassemblements féministes dans toute la France
A Paris, Bordeaux ou encore Strasbourg, des milliers de personnes ont apporté samedi leur soutien à Gisèle Pelicot et à toutes les victimes de viols.
Le leitmotiv de cette mobilisation : « La honte doit changer de camp. »
Auteur : Aigle 
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Date :    15-09-2024 07:32:15


Gaza,
la défense civile fait état de onze morts dans une frappe israélienne sur une maison

Le gouvernement du Hamas fait état de
41 182 morts dans le territoire palestinien
et 95 280 blesses
suite à leur attaque du 7 octobre 2023.
Auteur : Aigle 
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Date :    15-09-2024 07:47:10


Migrants :
200 personnes ont été secourues en mer samedi dans le secteur du Pas-de-Calais ET APRES ?? ils reprennent la mer ?...
Les 200 naufragés secourus étaient dans quatre embarcations différentes.
Auteur : Aigle 
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Date :    15-09-2024 08:02:46


FEMINICIDE
Une femme de 46 ans,
qui vivait à Cormontreuil, près de Reims, a été tuée par arme blanche par son conjoint, ce samedi.
Une autre, âgée de 43 ans, est décédée après avoir été poignardée par son compagnon dans le Pas-de-Calais.
Ce sont les 99e et 100e victimes de l’année en France.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:39:13


IRAN - Deux ans après la mort d’Amini, ... les persécutions et esprit de révolte perdurent
Exécutions à grande échelle, impunité pour les auteurs, persécution des proches endeuillés: le bilan est sombre en Iran, deux ans après une révolte populaire dont beaucoup espéraient qu’elle marquerait un tournant dans l’histoire de la République islamique. Qu’ils se trouvent en exil ou derrière les barreaux, les militants antirégime veulent pourtant croire que le mouvement de contestation né après la mort en détention de Mahsa Amini – une Iranienne de 22 ans arrêtée en septembre 2022 pour ne pas avoir respecté le strict code vestimentaire islamique – n’aura pas été vain.
Dénonçant le port obligatoire du voile et le conservatisme religieux, les manifestants, menés par des femmes, avaient défié le pouvoir iranien pendant des mois, au prix d’une lourde répression: au moins 551 personnes avaient été tuées, et des milliers d’autres arrêtées, selon des ONG de défense des droits humains.
Si les protestations sont aujourd’hui limitées et sporadiques, le pouvoir les écrase toujours aussi méthodiquement: l’Iran a exécuté dix hommes condamnés à la peine capitale dans des affaires liées au mouvement, dont le dernier, Gholamreza Rasaei, 34 ans, a été pendu en août, quelques jours après la prise de fonctions du nouveau président, Massoud Pezeshkian.
Les groupes de défense des droits humains dénoncent aussi la multiplication des exécutions pour tous types d’infractions, destinées à créer la peur et dissuader les opposants de toute velléité contestataire.
Selon l’organisation Iran Human Rights (IHR), basée en Norvège, au moins 402 personnes ont été exécutées au cours des huit premiers mois de l’année.
«D’innombrables personnes en Iran continuent de subir les conséquences de la répression brutale des autorités», affirme Diana Eltahawy, d’Amnesty International.
Selon Human Rights Watch (HRW), les proches de dizaines de personnes tuées, exécutées ou emprisonnées pendant les manifestations, ont été menacés, harcelés, voire eux-mêmes arrêtés sur la base de fausses accusations.
«Les autorités iraniennes brutalisent les gens deux fois: elles exécutent ou tuent un membre de leur famille, puis arrêtent leurs proches pour avoir demandé des comptes», déplore Nahid Naghshbandi, chercheuse sur l’Iran à HRW.
Parmi les personnes emprisonnées figure Mashallah Karami, le père de Mohammad Mehdi Karami, exécuté en janvier 2023 à l’âge de 22 ans dans une affaire liée aux manifestations. M. Karami, qui avait mené une campagne pour sauver la vie de son fils, a été condamné à six ans de prison en mai, puis à neuf ans en août.
Pendant ce temps, les autorités s’acharnent à faire respecter la réglementation sur le port obligatoire du hijab, dont l’abolition était une revendication clé des manifestants. Amnesty note une «augmentation visible des patrouilles à pied, à moto, en voiture et en fourgons de police dans les espaces publics».
Pour renforcer ce dispositif, le Parlement devrait adopter sous peu un projet de loi visant à «soutenir la culture de la chasteté et du hijab».
Alors que les véhicules personnels ont longtemps constitué un espace sécurisé pour les Iraniennes, elles sont désormais ciblées dans leurs voitures, souvent à l’aide de technologies de reconnaissance.
Des experts onusiens accusent l’Iran d'«intensifier» la répression contre les femmes, via notamment le recours récurrent à la violence, «coups» ou «gifles» en guise de sanctions.
Amnesty a dénoncé le sort d’Arezou Badri, une femme de 31 ans restée paralysée après s’être fait tirer dessus en juillet par la police alors qu’elle se trouvait en voiture dans le nord de l’Iran lors d’un contrôle en lien avec la réglementation vestimentaire.
Une mission d’enquête de l’ONU a conclu en mars que la répression des manifestations par les autorités équivalait à des «crimes contre l’humanité», mais aucun responsable n’a jamais eu à rendre de comptes.
«Deux ans après les manifestations, les dirigeants de la République islamique n’ont ni rétabli le statu quo ante ni retrouvé leur légitimité perdue», affirme Roya Boroumand, cofondatrice du Centre Abdorrahman Boroumand, basé aux Etats-Unis. Et «de nombreuses jeunes femmes restent contestataires», poursuit-elle.
Si le mouvement de contestation a secoué le régime, il a également souligné les divisions au sein d’une opposition hétéroclite, incapable de s’entendre, en Iran comme à l’étranger.
Le mouvement de protestation «a montré la faillite absolue des alternatives d’opposition au régime», observe le chercheur Arash Azizi, auteur du livre «Ce que veulent les Iraniens».
Mais d’ajouter : «Je continue de croire que l’Iran ne reviendra pas à la situation d’avant 2022. Dans les prochaines années, la République islamique connaîtra probablement des bouleversements fondamentaux».
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:57:07


U.S.A. - Une loutre de rivière attaque un enfant avant de le plonger dans l’eau :
Une attaque rare mais pas inédite s’est produite le 12 septembre 2024 près de Seattle. Une loutre de rivière a attaqué un enfant à la marina de Bremerton, le traînant d’un quai à l’autre avant de le plonger dans l’eau. L’enfant a refait surface après quelques instants. Sa mère est parvenue à le sortir alors que l’animal continuait de mordre et griffer, rapporte Associated Press. En quittant le quai, la loutre les a poursuivis avant de finalement abandonner. L’enfant, souffrant de "blessures mineures grâce à la rapidité d’action de la mère et à sa résilience" a été hospitalisé, selon le sergent Ken Balazs, du serice de la pêche et de la faune. L’animal a ensuite été capturé pour des tests, notamment pour la rage.

> Bien que les attaques de loutres soient rares dans l’État de Washington, avec seulement six incidents en dix ans, ces animaux restent imprévisibles et territoriaux.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 21:00:44


IMMIGRATION - "C’est horrible. C’est une nouvelle perte de vie" : 8 migrants meurent dans la Manche, 46 morts depuis le début de l’année :
Une embarcation surchargée, peu de gilets de sauvetage, et un bateau qui se déchire sur les rochers à peine arrivé en mer : huit migrants sont morts dans ce naufrage dimanche, portant à au moins 46 le nombre de candidats à l’exil vers la Grande-Bretagne décédés dans la Manche en 2024.
Les victimes de ce naufrage survenu en début de nuit au niveau d’Ambleteuse (Pas-de-Calais) sont des "hommes manifestement majeurs", a déclaré le préfet du Pas-de-Calais, Jacques Billant, lors d’un point-presse sur la digue d’Ambleteuse. Six rescapés ont été hospitalisés en urgence relative, dont un nourrisson de dix mois en hypothermie, a-t-il ajouté.
L’embarcation clandestine comptait près de 60 passagers, "originaires d’Erythrée, du Soudan, de Syrie, d’Afghanistan, d’Egypte et d’Iran," et "seule une personne sur six était équipée d’un gilet de sauvetage", a souligné M. Billant.
Parti depuis "le secteur de la Slack", fleuve côtier dont l’embouchure est située entre Wimereux et Ambleteuse, le bateau est "venu s’échouer" sur une pointe rocheuse et "s’est manifestement déchiré sur les rochers", a expliqué le préfet.
Ce drame est survenu moins de deux semaines après le pire naufrage de l’année dans cette région, qui avait fait douze morts le 3 septembre.
Il porte, selon le préfet, à 46 le nombre de décès dans de telles traversées clandestines depuis janvier, confirmant que 2024 est de loin l’année la plus meurtrière depuis le début du phénomène des bateaux de fortune pour traverser la Manche en 2018.
Le parquet de Boulogne-sur-Mer a ouvert une enquête pour "aide à l’entrée et au séjour d’étrangers en situation irrégulière en bande organisée, avec la circonstance aggravante de mise en danger de la vie d’autrui", a indiqué à l’AFP Patrick Leleu, procureur adjoint. Aucune interpellation n’avait eu lieu dimanche en milieu de matinée, a-t-il indiqué à la presse aux côtés du préfet.
"C’est horrible. C’est une nouvelle perte de vie", a réagi David Lammy, chef de la diplomatie britannique, auprès de la BBC. "Les Etats français et britannique doivent repenser leur politique migratoire immédiatement", a réclamé sur X, l’Auberge des migrants, une association d’aide aux exilés, qualifiant la Manche de "frontière meurtrière".
> Des traversées périlleuses : À la faveur d’une fenêtre météo favorable, de nombreuses tentatives de traversée ont eu lieu ces derniers jours. En 24 heures entre vendredi et samedi, "200 naufragés ont été secourus", avait signalé samedi soir la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord (Prémar). Sur l’ensemble de la journée, "18 tentatives de départs d’embarcations ont été suivies" par le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage du cap Gris-Nez, a-t-elle précisé.
À Ambleteuse, après le naufrage de la nuit, un second départ a eu lieu vers 7 h 30 dimanche, a rapporté à l’AFP Christel [BIEN Christel] Leclair, bénévole dans une association locale. Les départs, "c’est tout le temps, hiver, jour, nuit, été", […] dès que la mer est calme", a-t-elle noté.
"Les embarcations sont de plus en plus chargées, ils n’ont pas de gilet de sauvetage, éventuellement une chambre à air, il y a des enfants, des femmes enceintes, des nourrissons", a-t-elle déploré. "On est tristes, démunis."
Selon les chiffres des autorités britanniques, les embarcations arrivées sur les côtes britanniques depuis le 1er janvier comptent en moyenne 52 passagers chacune, contre seulement 13 en 2020.
Cette année, dans le Nord et le Pas-de-Calais, "20 filières d’immigration irrégulière ont été démantelées […], entraînant l’interpellation de 77 personnes et le déferrement de 59", a assuré le préfet Billant.
Faute de voies de passage légales suffisantes, "les gens continuent et continueront à prendre les mêmes risques, peu importe la quantité de contrôles et de moyens déployés à la frontière", a réagi Charlotte Kwantes, coordinatrice nationale d’Utopia 56, une autre association d’aide aux migrants. "Les passeurs ne font que profiter et abuser d’un système qui leur laisse toute la place".
Après le naufrage du 3 septembre, le ministre démissionnaire de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avait appelé à la signature d’un "traité migratoire entre la Grande-Bretagne et l’Union européenne" pour tenter de mettre un terme aux départs clandestins.
Depuis le début de l’année, plus de 22 000 migrants sont arrivés en Angleterre après avoir traversé la Manche en bateau, selon les autorités britanniques.
Élu en juillet, le gouvernement britannique du travailliste Keir Starmer a promis de s’attaquer à l’immigration illégale en augmentant le nombre d’expulsions de migrants et en luttant contre les passeurs.

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