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Date : 20-05-2025 07:34:01
FIN de VIE
Pour la première fois depuis l’ouverture du débat sur le sujet,
les responsables des cultes revendiquent leur position commune contre une loi qui, telle qu’elle s’écrit en ce moment à l’Assemblée,
porte, selon eux, « les dangers d’une rupture anthropologique ».
Ces représentants des cultes dénoncent
une « régression éthique, sociale et médicale »
et l’insuffisance des « garanties éthiques et procédurales » prévues.
« La seule existence d’une telle option peut induire chez des patients une culpabilité toxique, celle d’être un fardeau », estiment les responsables religieux. Parmi leurs nombreux griefs, ils déplorent et un « dévoiement de la médecine » et la « terminologie » adoptée – l’aide à mourir– qui masque la nature de la finalité de la vie
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