Auteur : Mel_C  

Mardi 19 Novembre 2024 :

Journée mondiale pour la PREVENTION DES ABUS ENVERS LES ENFANTS :

Journée mondiale pour la PREVENTION DES ABUS ENVERS LES ENFANTS

La Fondation Sommet Mondial des Femmes ( www.woman.ch ) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l'enfant, célébrée -elle- le 20 novembre. Elle a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d'intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l'exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont victimes les enfants font de plus en plus l'objet de révélations, occupant une place plus grande sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l'enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l'enfant, articles 19 et 34 *)

 ARTICLE 19 : Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l'enfant contre toute forme de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu'il est sous la garde de ses parents ou de l'un d'eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.

 ARTICLE 34 : Les Etats parties s'engagent à protéger l'enfant contre toutes les formes d'exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (...)

>>> Agir chaque année sur tous les continents :

Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et

>>> Faisons oeuvre de pédagogie :

De nombreuses associations défendent aujourd'hui la cause des enfants un peu partout dans le monde et nous ne pouvons les citer toutes. Notre attention a cependant été attirée par l'une d'elle, misant sur la pédagogie et la capacité des enfants eux-mêmes à réagir contre les abus : Grandir en sécurité (avec Sima le chien). Savoir / Agir / Aider, tel est le chemin proposé dans leur site, que nous vous invitons à découvrir.

>>> Un site à visiter :

www.grandirensecurite.com

Auteur : Mel_C  

MONTELIMAR - Une adolescente de 16 ans retrouvée morte intoxiquée dans un hall d’immeuble squatté :

Le corps sans vie d’une adolescente de 16 ans a été retrouvé ce lundi à Montélimar, dans la Drôme, rapporte France bleu. Les causes de la mort sont attribuées à des substances toxiques. Selon France Bleu, le corps de la victime se trouvait au niveau de la porte cochère dans le hall d’un immeuble de la rue Pierre Julien, à Montélimar. Le bâtiment est en plein centre-ville.

Auteur : Mel_C  

JUSTICE - Frappée par son époux et ses enfants à Boujan-sur-Libron, la victime a aussi reçu des coups de marteau :
Dix mois de prison avec sursis ont été prononcés contre un jeune de 20 ans et 42 dont six avec sursis probatoire contre son père, selon nos confrères de France bleu. Ils étaient poursuivis pour avoir, à Boujan-sur-Libron, frappé la victime, la mère et l’ex-femme des deux prévenus. Un second enfant, mineur, sera jugé plus tard. Le père a été déchu de son autorité parentale, ajoutent encore nos confrères.
Le 5 novembre dernier, ils avaient roué de coups leur victime. Coups de poing, coups de marteau, saccage de l’appartement de la mère de famille qui a eu cinq enfants avec son bourreau et enfin destruction de la voiture et vols des papiers d’identité et d’une somme d’argent.
Devant le tribunal, le père nie les faits : "Si je lui avais mis un coup de marteau, elle ne serait plus là." Durant une bonne partie du procès, le père, qui est dans le box des prévenus, va tenter d’influencer son ex-épouse. Il finira par être expulsé de la salle d’audience tant il aura énervé le président de l’audience. Le fils aîné finira par craquer et reconnaître ses actes en fin d’audience. Le couple s’est séparé en 2016, alors qu’ils vivaient tous dans le Vaucluse. Sortant de prison, le père (22 condamnations) est venu s’installer dans le Biterrois, en 2024, où s’était réfugiée son épouse avec ses cinq enfants.
Ne supportant pas la séparation, le père aurait tout mis en œuvre pour faire éclater la cellule familiale. "J’ai cru perdre mes enfants, expliquera la mère. Les garçons ne travaillaient plus. Il faisait tout pour nous déstabiliser, leur retourner le cerveau. J’ai vu mes enfants changer. J’ai vu chez eux une violence que je n’imaginais pas. Mais cela ne m’empêche pas de les aimer." La mère de famille a refusé de se constituer partie civile dans cette affaire pour ne pas nuire à ses enfants. Le plus jeune des garçons qui devra s’expliquer plus tard devant la justice a refusé de retourner vivre chez sa mère avec ses trois sœurs et son frère.

Près d'un quart des enfants français
déclare ne pas manger trois repas par jour, d'après un rapport de l'Unicef
Selon ce rapport publié mardi, qui s'appuie sur les réponses de 20 000 enfants, il existe "de fortes inégalités selon la situation familiale".

16,2 % des répondants sont en situation de "privation matérielle", c'est-à-dire qu'ils manquent de place, d'une paire de chaussures ou de vêtements en bon état

Auteur : Mel_C  

Procès des viols de Mazan :
Après l’analyse des victimes, des témoins, et surtout des 51 accusés du procès des viols de Mazan, il tarde à ceux qui suivent ce procès de l’horreur d’entendre un verdict. Plusieurs étapes séparent l’examen des faits et des personnalités d’une éventuelle condamnation :

1. LES REQUISITIONS :
Une fois que la cour aura entendu l’ensemble des accusés, des parties civiles et des experts, le procès entrera dans une nouvelle phase. À partir du 20 novembre, ce sera le temps des plaidoiries et des réquisitions.
Seulement, le procès sera suspendu jusqu’au lundi 25 novembre, où commenceront pour de bon les réquisitions de l’avocat général jusqu’au 28. Suite à quoi débutera la phase de plaidoirie. À commencer par celle de Béatrice Zavarro, pour Dominique Pelicot.
Car une fois les faits connus de tous, il faudra les juger. L’avocat général devra alors prendre ses réquisitions. Autrement dit : "Il propose une peine pour l’accusé ou demande son acquittement", explique le site du service public.

2. LA DEFENSE :
Restera aux avocats des 51 accusés de plaider pour leur défense. Pour rappel jusqu’à maintenant, tous les hommes jugés dans le cadre de ce procès n’ont pas reconnu les faits. Certains prétendent n’avoir rien fait, d’autres admettent partiellement. Ils sont tous présumés innocent jusqu’à la fin du procès.
Les avocats devront, au cas par cas, défendre ces 51 accusés en fonction de leurs déclarations et des faits établis jusqu’à maintenant. Cette phase devrait prendre trois semaines. Suite à quoi ces 51 hommes pourront faire une dernière déclaration.

3. VERDICT :
Une fois tout le monde entendu, la cour ira délibérer en privé. Elle décidera d’une peine et des indemnisations à verser aux parties civiles. Ou bien acquitteront certains accusés. Ils voteront à bulletin secret, et la réponse majoritaire dictera la suite.
À la fin du délibéré, la cour se prononcera sur les éventuelles peines, c’est le verdict. Le procès des viols de Mazan devrait prendre fin le 20 décembre prochain. Après le verdict, les personnes concernées auront dix jours pour faire appel.

Auteur : Mel_C  

VAL D'OISE :
A Montmagny, José N. 58 ans, est jugé pour avoir tué son épouse au cours d’une dispute alors qu’elle était en passe de le quitter. Il s’était déjà montré violent envers une autre femme dans un contexte de rupture.

Les Restos du Cœur lancent leur 40e campagne
en donnant la priorité aux bébés et aux familles monoparentales,
après avoir retrouvé un équilibre financier grâce à la générosité des Français
"C'est insupportable" : 128 000 bébés ont été accompagnés en 2024

Pour cette nouvelle campagne les Restos veulent privilégier les familles monoparentales .....

SANTE
Virus mpox :
l’OMS approuve un second vaccin,
fabriqué par une société pharmaceutique japonaise
Cette autorisation d’utilisation d’urgence (... :huh permet à tous les pays d’approuver et d’importer rapidement le vaccin LC16m8 en vue de sa distribution.