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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-11-2024 19:21:23


VAL D'OISE - Inégalités :
La Dalle d’Argenteuil, un « désert alimentaire » à quelques kilomètres de Paris ...... Dans le quartier du Val-Nord d’Argenteuil (Val-d’Oise), l’unique supermarché a fermé ses portes au printemps 2023 et aucune enseigne n’a repris le bail. Les habitants, contraints de prendre le bus ou la voiture pour faire leurs courses, subissent la situation et les prix chers.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-11-2024 19:23:39


BUDGET DE LA SECURITE SOCIALE : le Sénat débute son examen, le gouvernement en quête de 15 milliards d’euros d’économie /

Après l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale à l’Assemblée nationale, où les députés n’étaient pas parvenus au bout dans les délais impartis, une situation inédite sous la Ve République, le Sénat a démarré l’examen du texte, lundi 19 novembre.
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En raison de l’absence de vote sur le texte au Palais Bourbon, c’est le texte initial du gouvernement qui est discuté par les sénateurs. Alors que plus de 800 amendements ont été déposés, l’examen du PLFSS s’étendra jusqu’à vendredi ou samedi. Premier signal positif pour le gouvernement dans un Sénat : deux motions de rejet préalable du texte ont été repoussées, recueillant chacune moins de 100 voix sur 348.
Le premier ministre, Michel Barnier, en quête de 15 milliards d’euros d’économie sur le budget de la Sécurité sociale, dispose en théorie d’un soutien clair au Sénat, dominé par les Républicains et leurs alliés centristes. « Nous devons être prudents et faire preuve de courage. Ce sera certainement douloureux, mais le pire serait de ne pas avoir la volonté et le courage de faire les propositions à la hauteur des enjeux », a assuré Elisabeth Doineau, la rapporteure (UDI) du texte au Sénat.
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés En 2025, une baisse du remboursement par la « Sécu » des consultations et des médicaments
Plusieurs mesures sont en effet en débat, comme l’allègement des cotisations patronales ou le report de l’indexation des retraites sur l’inflation. Sur ce premier dossier, le gouvernement propose de limiter et de répartir différemment ces exonérations, notamment pour les salaires au niveau du smic. L’exécutif, qui voulait initialement retirer 4 milliards d’euros de cette mesure, a finalement proposé dimanche de diminuer de moitié l’effort demandé, à 2 milliards d’euros. Le Sénat, lui, a proposé en commission une voie intermédiaire, chiffrée à 3 milliards d’euros, qui passerait par un rééquilibrage en faveur des allègements sur les salaires proches du smic.
Sur les retraites, le sujet a quasiment été réglé par un accord entre la droite et le gouvernement pour augmenter toutes les retraites de la moitié de l’inflation au 1er janvier, avant un complément pour les plus petites pensions au 1er juillet.
Encore faut-il que le dispositif, censé rapporter environ 3,5 milliards d’euros, soit adopté en séance publique, où la gauche dénoncera une « arnaque ». « Le gouvernement sans majorité à l’Assemblée peut compter ici sur ses soutiens pour faire le sale boulot », a regretté lundi la sénatrice (PCF) Cathy Apourceau-Poly, qui a fustigé « un budget d’austérité dont les deux tiers des économies reposent sur les assurés sociaux ».
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés En marge des discussions sur le budget de la santé, la question des contraintes à l’installation des médecins fait débat
Les débats au Sénat remettront également sur la table la proposition décriée de créer une deuxième journée de solidarité au profit du grand âge sous la forme d’un forfait de sept « heures solidarité » annuelles – une mesure à laquelle le président du Sénat, Gérard Larcher (LR), a apporté son soutien –, et plus largement la question du temps de travail, un marqueur fort de la droite. Sur la prévention, les sénateurs devraient s’accorder sur une hausse de la fiscalité sur les boissons sucrées, le tabac ou les jeux d’argent. Et les échanges s’annoncent vifs sur les aides à l’apprentissage ou les arrêts de travail. Le texte final restera-t-il compatible avec le projet gouvernemental ? Le vote solennel prévu le 26 novembre en dira en tout cas beaucoup sur l’unité du camp Barnier.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-11-2024 19:27:51


HAUTS-DE-SEINE - "Une économie sur le dos des enfants" :
La ville de Courbevoie (Hauts-de-Seine) vient d’annoncer une décision qui a suscité de vives réactions parmi les parents d’élèves. Alors qu’une école de onze classes devait être démolie puis reconstruite, elle va finalement simplement disparaître et les 250 élèves répartis dans d’autres établissements à la rentrée prochaine, annonce Le Parisien dans un article publié mercredi 25 septembre 2024.
« C’est la douche froide, très froide », a réagi un membre du collectif formé par les parents d’élèves auprès de nos confrères. De son côté, le maire (LR), Jacques Kossowski, justifie sa décision par la baisse du nombre d’enfants à Courbevoie. Selon lui, les écoles de la ville ont perdu « 300 élèves entre 2022 et 2024 » et 44 classes ont fermé en l’espace de dix ans.
Interrogée par le quotidien francilien, une mère de famille a dénoncé un manque de concertation. Même son de cloche du côté d’Aurélie Taquillain (Renaissance), l’élue d’opposition. « La mairie fait une économie sur le dos des enfants et des familles », a-t-elle déploré. En colère, les parents envisagent de manifester devant l’hôtel de ville.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-11-2024 19:42:27


EN FINIR AVEC LA "CULTURE DU VIOL" - Une vague violette contre les violences faites aux femmes :

« La honte doit changer de camp ! » De Paris à Marseille, des dizaines de milliers de personnes, dont 80 000 dans la capitale - ont défilé ce samedi 23 novembre pour réclamer un « sursaut » contre les violences faites aux femmes, sur fond d’onde de choc provoquée par le procès hors norme des viols de Mazan. À Paris, les associations et collectifs féministes dénoncent la « culture du viol » qui persiste dans l’ensemble de la société.

Des dizaines de personne se pressent depuis le parvis de la gare du Nord. Armées de leur pancarte, elles se faufilent entre les passants pour rejoindre le boulevard Magenta. Sur place, l’ambiance est électrique. Des militantes du collectif féministe NousToutes distribuent des pancartes violettes le long de l’avenue. Des slogans tels que « Le féminisme est anti-raciste et anti-fasciste » et « La transphobie tue » flottent dans l’air glacial.
Brandies par des centaines de personnes, les pancartes forment une immense vague violette qui s’étale sur une centaine de mètres. Entièrement vêtue de cette couleur symbolique de la défense des droits des femmes, Mélodie zigzague entre les manifestants.
« Je dois rejoindre mon groupe de Batucada en tête de cortège », dit-elle essoufflée en pointant l’immense batterie qu’elle porte sur le dos. Sur celle-ci, la jeune femme de 33 ans, illustratrice de profession, a scotché un carton où elle a peint le visage de Gisèle Pélicot. « Si je manifeste aujourd’hui, c’est évidemment pour toutes les femmes, mais aussi tout particulièrement pour Gisèle Pélicot, confie Mélodie. Je ne sais pas si la médiatisation actuelle du procès ouvrira une plus grande prise de conscience. En tout cas, pour moi, il y a un avant et un après. Aujourd’hui, je n’accepte plus d’entendre certains propos qui valorisent la culture du viol ! »
Le cortège, qui a rassemblé 80 000 personnes, s’élance en direction de la place de la République. « En France, toutes les deux minutes trente, est commis un viol ou une tentative de viol ! » lance une militante de NousToutes, juchée à l’arrière d’un camion. Une centaine de manifestants se sont arrêtés pour l’écouter. « Un adulte sur dix est victime d’inceste dans son enfance ! » poursuit-elle. Patrice Thébault l’écoute religieusement. À 44 ans, ce développeur informatique, secrétaire général du syndicat CGT Airbus dans les Yvelines, est un habitué des cortèges.
S’il convient d’une meilleure prise de conscience vis-à-vis des violences faites aux femmes, Patrice fustige la « culture du silence » qui règne au travail : « Dans les entreprises, et chez les dirigeants, il y a beaucoup de féminisme washing ! Mais dès qu’une affaire qui concerne des violences sexuelles commence à circuler, on fait tout pour l’étouffer. » À l’instar de Mélodie, la médiatisation de l’affaire Pélicot lui a permis de prendre du recul : « J’ai réalisé que les violeurs ne sont pas des monstres mais des hommes ordinaires. » En face de lui, dans le sillage du camion de NousToutes, des dizaines de manifestants chantent à tue-tête : « Violeur, t’es foutu, on est toutes dans la rue ! »
Reconnaissables à leurs t-shirts roses, des militants de SOS Homophobie défilent le sourire aux lèvres. « C’est très important pour nous d’être là aujourd’hui. Il faut qu’on soit ensemble pour changer la société ! » explique Véronique Cerasoli, 49 ans, porte-parole de l’association, qui plaide pour une meilleure prise en compte des violences visant les minorités de genre. « Il est impératif de visibiliser les violences que subissent les femmes lesbiennes et transgenres qui sont souvent invisibilisées », complète-t-elle.
Un constat que partage également Ève Derriennic, 44 ans, coordinatrice générale Paris à Médecins du Monde : « Si toutes les femmes sont victimes de violences sexistes et sexuelles, certaines y sont plus exposées que d’autres, notamment celles qui vivent dans la précarité. Ce sont les femmes à la rue, exilées et les travailleuses du sexe. » Et la responsable associative de réclamer des efforts « pour que ces femmes soient mieux prises en charge par les professionnels du soin et de la justice ».
Aux côtés des militants et des syndicats, de nombreux jeunes brandissent des pancartes et crient des slogans. Mélanie, 16 ans, lycéenne dans les Hauts-de-Seine, en est. « Pour moi, c’était une évidence de venir pour défendre nos droits. L’égalité femmes-hommes est loin d’être encore acquise ! » explique-t-elle.
Son amie, Lina, qui l’accompagne, ajoute : « Nous voulions également rendre hommage à la mémoire de ces femmes, victimes de violences sexuelles et sexistes, qui ne sont plus là pour le dire ! » Sa pancarte « My body, my choice » (mon corps, mon choix) rappelle que des droits essentiels comme celui de procréer ou pas, d’avoir un rapport sexuel, ou pas, restent à défendre en 2024. Pour la jeune génération, le combat ne fait que commencer.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-11-2024 19:56:33


PEOPLE - le rappeur Kanye West accusé d’agression sexuelle et d'étranglement :
Les faits se seraient produits à l’hôtel Chelsea à New York, selon une plainte qui a été déposée devant le tribunal du district sud de New York, alors que le rappeur est déjà accusé d'agression sexuelle par son ancienne cheffe du personnel. La plaignante, Jenifer An, est une mannequin qui était actrice dans le fond du clip d’un autre chanteur dans lequel Kanye West était invité, selon les informations du média américain NBC. Elle accuse le rappeur d'agression sexuelle "d’une manière similaire aux bâillonnements pornographiques/gorge profonde/fétichisme BDSM".
Selon la plaignante, lorsque Kanye West est arrivé, il a pris le contrôle de la production. Il aurait ainsi demandé aux actrices de se "mettre en rang dans le couloir". Une fois mises en rang, Kanye West aurait ordonné à deux femmes de les suivre avant de déclarer "donne moi la fille asiatique", la plaignante donc qui dit être habillée avec de la "lingerie révélatrice". Elle explique l’avoir suivi, mal à l’aise, dans une suite avec un canapé et une caméra.
Kanye West aurait ensuite positionné deux chaises face à face et aurait "commencé à étrangler la plaignante d’une main". "Il a ensuite enroulé son autre main autour de son cou et a continué à l’étrangler avec ses deux mains" pour ensuite lui enfoncer "plusieurs doigts dans sa gorge, les faisant entrer et sortir en continu, et l’a bâillonnée pour imiter une fellation forcée".
Selon le rapport, Kanye West aurait crié ensuite "C’est de l’art. C’est de l’art de merde. Je suis comme Picasso". La mannequin précise qu’elle avait "l’impression d’avoir perdu connaissance temporairement" après s'être retrouvée pleine de salive et de maquillage. La maison de disques du rappeur Universal Music Group est également citée dans la plainte et accusé de ne pas avoir enquêté sur l’affaire.
Dans un communiqué la plaignante déclare que "les femmes qui travaillent dans les industries de la musique et du divertissement sont victimes d’abus sexuels depuis des années, sans aucun recours pour dénoncer ces abus ou faire changer les choses".
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-11-2024 20:22:13


LES VOSGES - Une autostoppeuse mortellement percutée par une voiture .... alors que ses deux amis regardent impuissants le conducteur s’enfuir :
Le groupe de trois personnes se trouvait au bord de la RN 57, dans le sens Epinal-Remiremont à hauteur de la commune de Pouxeux au moment des faits. La bande d’amis faisait du stop quand un conducteur a percuté une femme âgée d’une quarantaine d’années. Ses deux amis, épargnés par le véhicule fou, ont immédiatement appelé les secours. Le Smur s’est rendu sur place dans la foulée mais le médecin n’a rien pu faire pour la réanimer. Elle a été déclarée morte sur place.
> Le conducteur responsable du drame ne s’est pas arrêté. Une enquête a été ouverte pour les chefs de délit de fuite et d’homicide involontaire par conducteur. La brigade de recherche de Remiremont a été chargée du dossier.

> Que risque le suspect en fuite ? "Le fait, pour tout conducteur d’un véhicule ou engin terrestre, fluvial ou maritime, sachant qu’il vient de causer ou d’occasionner un accident, de ne pas s’arrêter et de tenter ainsi d’échapper à la responsabilité pénale ou civile qu’il peut avoir encourue, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende", pose l’article 434-10 du Code Pénal.
Concernant le deuxième chef : "L’homicide involontaire commis par un conducteur est puni jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. S’il y a une circonstance aggravante, le conducteur peut être puni d’une peine pouvant aller jusqu’à 7 ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende", d’après l’article 221-6-1 du même texte.
Auteur : Aigle 
503/1229

Date :    25-11-2024 06:47:09


Journée Internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes

Appelez le 3919
Vous êtes victime ou témoin d'une agression ?
Un numéro de téléphone dédié a été créé à l'inititative du mouvement Soroptimist Internationial Union Française. Utilisez-le, sans modération...
Auteur : Aigle 
504/1229

Date :    25-11-2024 07:03:37


HAITIl
a moitié des membres de gangs sont des enfants, alerte l’Unicef
Selon l’organisation onusienne, le nombre d’enfants recrutés par des groupes armés a augmenté de 70 % sur un an dans ce pays des Caraïbes ravagé par les violences.

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