◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄6566676869707172737475►►

Protection humaine
Auteur : Mel_C  
553/638

Date :    02-11-2024 18:51:47


SECTE - TRISTE ANNIVERSAIRE DES MASSACRES DE L'O.T.S. - Les traîtres à Cheiry, les élus à Salvan :

>>> Vingt-trois corps ont été retrouvés à Fribourg, vingt-cinq en Valais. Entre exécutions et suicides, retour sur les morts suisses de l’Ordre du Temple solaire.

Le mercredi 5 octobre 1994 au petit matin, la Suisse et le monde découvraient les massacres de l’Ordre du Temple solaire. À Cheiry, 23 cadavres sont découverts dans une salle secrète de l’OTS, dans la ferme La Rochette. La grande majorité portent des capes rituelles et sont disposés de façon à former une étoile, ce qui marquera les enquêteurs. Vingt personnes ont reçu une ou plusieurs balles dans la tête, trois sont mortes étouffées, un sac plastique sur le visage. Une véritable exécution, plusieurs adeptes étant considérés comme des traîtres. L’enquête établira qu’à Cheiry, les victimes sont mortes entre deux et trois jours avant. Les incendies ont été déclenchés à distance.
À Granges-sur-Salvan, les personnes retrouvées dans les décombres, qui se considéraient commes «des élus», savaient qu’elles allaient mourir. Elles avaient accepté le principe du «transit vers Sirius» prôné par les gourous de la secte, Jo Di Mambro et Luc Jouret, qui comptent parmi les victimes. Tout comme le principal tueur du mouvement, Joël Egger.
L’OTS a également fait des victimes à l’étranger. Quelques jours avant les massacres en Suisse, un couple d’anciens adeptes, qui avait dénoncé les artifices et les supercheries de la secte, et leur bébé de 3 mois, sont assassinés à Morin-Heights, au Canada. Un an plus tard, «la réplique du Vercors» fera 16 victimes, déçues de ne pas avoir fait partie du premier transit et elles aussi criblées de balles, dans une clairière en France. Enfin, en mars 1997, cinq autres membres se suicident à Saint-Casimir, au Québec, avec là encore la volonté de rejoindre Sirius.

[b]>>> BON A SAVOIR : Organisme créé en 2002 et rattaché au Ministère de l'Intérieur par décret n° 2020-867 du 15 juillet 2020 modifiant le décret de création n° 2002-1392 du 28 novembre 2002., la MIVILUDE - Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires - a pour mission d'observer et d'analyser le phénomène des dérives sectaires, d'informer le public sur les risques qu'elles représentent et de coordonner l'action préventive et répressive des pouvoirs publics. [/b]
Site : www.miviludes.interieur.gouv.fr
Auteur : Mel_C  
554/638

Date :    02-11-2024 19:15:02


FUSILLADE A POITIERS :

[i]>>> Dans la nuit du 31 octobre au 1ᵉʳ novembre, une fusillade a éclaté dans le quartier des Couronneries, à Poitiers. La rixe, sur fond de trafic de drogue, a fait cinq victimes, dont un mineur de 15 ans, au pronostic vital engagé. Transporté en urgence absolue à l’hôpital, il a succombé à ses blessures ce samedi 2 novembre.[/i]

1. DÉCÈS DE ANIS, LE MINEUR DE 15 ANS TOUCHÉ PAR UNE BALLE A LA TÊTE :

Anis, 15 ans, touché par une balle à la tête lors d’une fusillade place Coïmbra, dans le quartier des Couronneries à Poitiers, jeudi 31 octobre, A SUCCOMBÉ A SES BLESSURES SAMEDI 2 NOVEMBRE, a annoncé, à la mi-journée, Cyril Lacombe, procureur de la République. Quatre autres mineurs, de 15 et 16 ans, ont également été blessés à l'épaule et à la cheville.
Dans un communiqué publié à la mi-journée, la ville de Poitiers adresse ses "condoléances à la famille, aux proches et aux habitantes et habitants du quartier".
"La mort d’un jeune, dans une situation aussi tragique, doit nourrir notre détermination à lutter contre toutes les formes de violence, en particulier liées au narcotrafic, dans tous les quartiers de Poitiers", ajoute Léonore Moncond’huy, maire de Poitiers, qui réitère son appel à "l’apaisement", "pour qu’aucun épisode de violence ne soit à déplorer dans les jours à venir".
La tante de l'adolescent, rencontrée, hier, devant le CHU de Poitiers par une équipe de France Télévisions, décrit un enfant "intégré", "scolarisé", qui "joue au foot, fait de la natation en club". Elle évoque un "enfant lambda", "quelqu'un de très serviable, aimant, un gentil garçon", sans lien avec le trafic de drogue.
Selon la tante, le jeune garçon était "avec des amis" lorsque la rixe a éclaté. "Ils sont dans le même cadre que lui. Ils vont à l'école, ils ont des activités", précise-t-elle. La victime, elle, "allait s'acheter un sandwich. Il savait qu'il ne fallait pas dépasser les horaires, même en vacances", explique cette tante. "Et nous, on nous appelle vers 23h (...) et ma fille me dit : Anis est par terre, il a pris une balle. On m'a montré la flaque de sang et mon petit neveu allongé place Coïmbra".

2. HOMME ACTIVEMENT RECHERCHÉ :

Selon les informations du parquet, vendredi 1ᵉʳ novembre, l’auteur des tirs se serait “livré à la vente de produits stupéfiants” dans le secteur, “au cours des jours précédents”. Il n'était présent à Poitiers que depuis quelques semaines. Les forces de l’ordre n’ayant pas encore réussi à l’appréhender, il est activement recherché par les enquêteurs. Une enquête a été ouverte, dès hier, pour homicide volontaire. Les images de caméra de surveillance sont en cours d'analyses par les forces de police.
Ce vendredi, lors d’une perquisition au sein d’un logement qu’il aurait occupé, les policiers ont découvert sept munitions de type 22 Long Rifle, qui correspondent aux onze étuis, retrouvés sur la scène de crime. Les enquêteurs ont également retrouvé “des éléments partiels d’une arme démontée”, indiquait, hier, Cyril Lacombe.
Dans ce quartier de Poitiers où la présence policière a été renforcée dès hier soir, l’onde de choc est omniprésente depuis cette nuit violente.
Le préfet de la Vienne, Jean-Marie Girier, a précisé que “deux ou trois points de deal importants”, dans le quartier, mobilisaient la police nationale au quotidien. Pour autant, à l’instar de la députée de la circonscription, Lisa Belluco, il a tenu à rappeler que le quartier était “relativement calme”.

3. UNE ENQUETE POUR HOMICIDE VOLONTAIRE OUVERTE :

Une enquête en flagrance pour tentative d'homicide a été ouverte, indique le procureur de la République de la Vienne. Il ajoute que le tireur de cette fusillade se serait livré à la vente de produits stupéfiants les jours précédents l'incident.
Sur place, les forces de l'ordre ont retrouvé "11 étuis de douilles". Ces douilles proviennent de balles "tirées par une arme semi-automatique de type 22 Long Rifle", précise le procureur.
Une perquisition, réalisée en début de matinée vers 6 h, dans une habitation de Poitiers, a permis de découvrir sept munitions de type 22 Long Rifle ainsi que des éléments partiels d'une arme démantelée.
"Les vidéos surveillances sont en cours d'exploitation", conclut le procureur de la République de la Vienne.
En parallèle, Jean-Marie Girier, Préfet de la Vienne, a renforcé les effectifs avec des brigades BAC et cynophiles complémentaires, et le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a permis le déploiement d’une CRS nouvelle génération, dits CRS84, dès vendredi soir. Cette unité, rapidement mobilisable, est spécialisée dans la lutte contre les violences urbaines et contre le trafic de stupéfiants.
Auteur : Mel_C  
555/638

Date :    02-11-2024 19:25:25


CÔTE D'OR : Un marcassin mort déposé devant une mosquée, Retailleau dénonce un acte anti-musulman « intolérable » :

Une association franco-turque, abritant une mosquée, a été visée par un acte islamophobe. Un marcassin mort a été déposé dans la nuit de vendredi à samedi devant les locaux de cette association située à Saint-Usage, en Côte-d’Or. Un acte « anti-musulman intolérable » et relevant de la « violence barbare », selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.
Le corps de l’animal a été déposé vers 23 heures « devant l’association franco-turque où se trouve une mosquée », à Saint-Usage, un village de 1 300 habitants proche de Dijon, a appris l’AFP auprès de la préfecture de Côte-d’Or.
L’animal, qui présentait une blessure au niveau du museau, a été découvert par un représentant de l’association. La gendarmerie a été immédiatement appelée sur les lieux et une enquête judiciaire a été ouverte, a-t-on précisé.

>>> « Un acte anti-musulman intolérable »

Le ministre Retailleau a évoqué l’affaire samedi matin sur X, dénonçant « un acte anti-musulman intolérable, deux jours après la tentative d’incendie de la Mosquée d’Amiens, pour laquelle une enquête est en cours ». « Je veux exprimer aux croyants de ces communautés mon soutien et celui de l’État. S’attaquer à des lieux de culte est d’une grande lâcheté et relève de la violence barbare », a-t-il ajouté.
D’après les gendarmes, l’association a fait savoir sa volonté de porter plainte. Une enquête pour injure publique discriminatoire est en cours, a confirmé le procureur de la République de Dijon, Olivier Caracotch, auprès de France Bleu Bourgogne. Une marche pourrait être organisée ce dimanche afin de dénoncer les faits, précise au Parisien le ministère de l’Intérieur.

> L’injure publique à caractère discriminatoire commise envers une personne privée est passible d’un an d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende. En décembre 2023, en Essonne, un cadavre de sanglier avait déjà été accroché aux grilles d’une mosquée à Vigneux-sur-Seine. En mars 2024, une tête de sanglier avait été déposée près d’une mosquée de Contrexéville, dans les Vosges.

Auteur : Mel_C  
556/638

Date :    02-11-2024 19:31:58


PAS-DE-CALAIS - Le corps d’un homme découvert sur la plage de Sangatte :
Un nouveau drame sur les côtes du Pas-de-Calais. Le corps d’un homme « de type africain » a été découvert samedi matin sur la plage de Sangatte (Pas-de-Calais) et une enquête a été ouverte, a indiqué à l’AFP le parquet de Boulogne-sur-Mer, trois jours après la découverte de trois migrants décédés sur une autre plage.
Le corps a été découvert sur la plage de la Descenderie où étaient présents une vingtaine de policiers et pompiers, a constaté un correspondant de l’AFP. C’est un promeneur qui l’a découvert vers 8h45, a précisé le parquet à l’AFP, ajoutant que l’identité de cet homme restait inconnue à ce stade. L’enquête a été ouverte pour « recherche des causes de la mort ».
D’après La Voix du Nord, il s’agirait d’un homme entre 30 et 40 ans, mais l’identification est rendue difficile à cause de l’état de décomposition du corps, qui semble être resté plusieurs jours en mer, avant d’être ramené sur la plage par la marée. Cette découverte pourrait être liée à des recherches infructueuses lancées en mer vendredi, selon le journal local. Le patrouiller Cormoran avait signalé un possible corps qui serait à la dérive au large de Sangatte.

> L’ANNÉE 2024, DÉJA LA PLUS MEURTRIÈRE : Au total, au moins 60 personnes ont trouvé la mort dans les tentatives de traversées maritimes de migrants vers l’Angleterre depuis le début de l’année, ce qui fait de 2024 l’année la plus coûteuse en vies humaines depuis l’apparition du phénomène en 2018. Le pire naufrage de l’année remonte au 3 septembre : au moins douze migrants, pour la moitié mineurs, sont morts quand leur embarcation s’est disloquée. Plus de 30 000 migrants sont arrivés illégalement depuis janvier au Royaume-Uni en traversant la Manche sur des canots de fortune, soit davantage que sur toute l’année dernière, selon des chiffres publiés jeudi par le ministère britannique de l’Intérieur. Depuis le début de l’année, plus de 5 600 personnes ont été secourues et ramenées vers les côtes françaises, selon la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.
Auteur : Mel_C  
557/638

Date :    02-11-2024 19:39:00


DRAME DE CRÉPOL (DRÔME) - 9 internautes condamnés pour des messages haineux :
Neuf internautes ont été condamnés jeudi 31 octobre à Paris à des peines allant de 500 € d’amende à quatre mois de prison avec sursis, pour avoir diffusé des messages haineux et les noms et adresses de suspects après la mort du jeune Thomas à Crépol (Drôme) en novembre 2023.
Ils ont été jugés lors de deux audiences séparées en septembre, par la 17e chambre du tribunal correctionnel, soit pour provocation non suivie d’effet à commettre un crime, injure publique en raison de l’origine, divulgation de données personnelles ou encore menaces de mort.
La plupart ont été condamnés à des amendes : 100 jours-amendes de 10 € (c’est-à-dire une amende de 10 € par jour pendant 100 jours), 800 € ou 1 500 €. Le tribunal correctionnel a retenu l’altération du discernement pour l’un d’eux, condamné à 500 € d’amende. Plusieurs doivent également verser quelques centaines d’euros pour préjudice moral aux parties civiles.
Leurs messages avaient été postés sur Facebook ou X en novembre 2023, quelques jours après la mort de Thomas, lycéen de 16 ans mortellement poignardé lors d’un bal à Crépol (Drôme) au cours d’une altercation entre des convives et une dizaine de jeunes extérieurs au village.
Lors du procès de cinq d’entre eux, le 4 septembre, plusieurs ont semblé avoir du mal à comprendre ce qu’ils faisaient là, leurs explications restant confuses.
Le tribunal leur avait rappelé que les familles des suspects avaient reçu des appels et courriers menaçants chez eux.
Le procureur avait requis des peines allant de quatre mois de détention ferme à deux mois avec sursis, ainsi que des stages de citoyenneté à leurs frais pour ces « délinquants de la parole », à l’autre « bout de la chaîne » de l’enquête – toujours en cours – concernant la mort de Thomas.
Auteur : Mel_C  
558/638

Date :    02-11-2024 20:00:54


MEUSE - Disparition en avril & squelette retrouvé par un chasseur :

La disparition inquiétante s’est transformée en enquête pour meurtre. Jeudi, révèle Actu 17, le squelette d’une femme portée disparue a été retrouvé dans un champ dans la Meuse. Deux de ses proches ont été placés en garde à vue.
C’est un chasseur qui a fait cette sordide découverte. Alors qu’il traversait un champ de chaume dans les hauteurs de Verdun, il est tombé nez à nez avec le squelette de la victime.
Les autorités ont été immédiatement contactées et des légistes ont pu procéder à une autopsie. Jeudi, grâce aux tests ADN, ils ont confirmé que ce corps appartenait à la septuagénaire disparue il y a plusieurs mois à Thierville-sur-Meuse.
Dans la foulée, les enquêteurs ont procédé à l’interpellation de deux proches de la victime. Il s’agit de sa fille et du compagnon de cette dernière. Le 24 octobre dernier, avant même que le corps ne soit retrouvé, le parquet avait requalifié l’affaire de disparition inquiétante en homicide volontaire.
Une semaine plus tôt, nos confrères de l’Est-Républicain révélaient que "la fille s’était accusée du meurtre avant de se rétracter". Finalement, "elle a déclaré avoir fait ça pour faire avancer les recherches qu’elle estimait trop longues." Son appartement, où elle vit avec son compagnon, a été perquisitionné.

> Chantal Cattant avait 70 ans. Elle vivait avec sa fille à Thierville-sur-Meuse. Elle avait disparu dans la soirée du 19 avril. Les autorités indiquaient alors qu’elle était "atteinte de troubles psychiques" et pouvait "apparaître désorientée".
Auteur : Aigle  
559/638

Date :    03-11-2024 07:11:44


ESPAGNE
Après les brutales inondations qui ont surpris le sud-est de l’Espagne,
de très nombreuses personnes sont encore portées disparues.
Pour retrouver les corps, les secours doivent sonder les voitures emportées par des torrents de boue et dans des empilement indescriptibles

Des milliers d'habitants et de volontaires se mobilisent pour prêter main-forte aux sinistrés. ils œuvrent à nettoyer les rues des villes touchées
Auteur : Aigle  
560/638

Date :    03-11-2024 07:52:29


ISERE
Un cas de botulisme signalé ,
des conserves artisanales de terrine de porc rappelées
Ce rappel concerne des conserves mises en vente à la ferme "Chez Barbier", au Mottier près de Voiron.

◄◄6566676869707172737475►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »