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Protection humaine
Auteur : Aigle 
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Date :    05-11-2024 06:46:02


En Iran,
la jeune fille marchant en sous-vêtements
devient un symbole de la lutte des Iraniennes contre le port obligatoire du voile
La jeune Iranienne incarne déjà, pour beaucoup d’hommes et de femmes issus de la République islamique, la résistance face au joug imposé par le régime.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:11:38


SUISSE - Initiative «anti-burqa» : Il sera interdit de se dissimuler le visage en public dès janvier prochain :

> Le Conseil fédéral a fixé l’entrée en vigueur de la loi mercredi. L’interdiction ne s’appliquera pas dans les avions ou dans les lieux de culte, ni pour des raisons de santé.

Il sera interdit de se dissimuler le visage en public en Suisse dès le 1er janvier 2025. Le Conseil fédéral a fixé mercredi l’entrée en vigueur de la loi mettant en œuvre au niveau fédéral l’initiative dite anti-burqa.
Les infractions à l’interdiction seront dans la plupart des cas punis par une amende d’ordre de 100 francs, payable de suite. En cas de refus de payer l’amende, la procédure ordinaire s’appliquera et la sanction encourue pourra alors atteindre jusqu’à 1000 francs, explique le Conseil fédéral dans un communiqué.
Des exceptions sont prévues. L’interdiction ne s’appliquera notamment pas dans les avions, les locaux diplomatiques ou consulaires et les lieux de culte. Il sera aussi possible de dissimuler son visage pour des raisons de santé, pour garantir sa sécurité, pour se protéger des conditions climatiques, pour entretenir des coutumes locales, ou encore à des fins artistiques ou publicitaires.
Les manifestations bénéficient aussi d’un statut particulier. Le fait de dissimuler son visage sera toujours permis, à condition que les autorités aient donné leur feu vert et que la sécurité et l’ordre publics ne soient pas compromis.

> Le peuple avait accepté l’initiative dite «anti-burqa» à 51,2% en mars 2021.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:14:07


IRANIENNE ARRETEE A TEHERAN - Le comportement de l’étudiante qui s’est dévêtue en public jugé «immoral» :

Le ministre iranien des Sciences, de la Recherche et des Technologies, Hossein Simaei, a affirmé mercredi que le comportement de l’Iranienne qui s’est dévêtue en public samedi devant une université de Téhéran était «immoral».
«Elle a enfreint les normes et son comportement n’était pas fondé sur la charia (ndlr loi islamique), il était immoral et contraire aux coutumes», a déclaré M. Simaei, en marge d’une réunion gouvernementale. L’étudiante n’a «pas» été exclue de son université, a ajouté le ministre.
La vidéo de la jeune femme en sous-vêtements, d’abord assise puis marchant lentement devant l’université Azad à Téhéran, est devenue virale depuis le week-end dernier sur les réseaux sociaux. Des médias en Iran ont diffusé des images de la scène en floutant la jeune fille.
«Ceux qui ont republié ces images ont propagé la prostitution», a fustigé Hossein Simaei, estimant que ce geste n’était justifié «ni sur le plan moral ni sur le plan religieux».
«Les motivations et les raisons de l’acte de cette étudiante font l’objet d’une enquête», a indiqué samedi le responsable des relations publiques de l’université Azad, Amir Mahjoub.
«La sécurité de l’université est intervenue et l’a remise au poste de police», a-t-il écrit sur le réseau social X bloqué en Iran, affirmant que l’étudiante était «sous forte pression et souffrait de troubles mentaux».
La porte-parole du gouvernement iranien, Fatemeh Mohajerani, a démenti mercredi des informations selon lesquelles l’étudiante aurait été arrêtée avec brutalité.
L’organisation Amnesty International, basée à l’étranger, affirme que l’étudiante a «enlevé ses vêtements pour protester contre l’application abusive du port obligatoire du voile par les agents de sécurité» de l’université.
La loi en Iran impose depuis l’instauration de la République islamique en 1979 un code vestimentaire strict aux femmes, sommées de porter le foulard et des vêtements amples dissimulant leurs formes.
Dans un communiqué inhabituel, l’ambassade d’Iran en France a assuré que «cette étudiante souffrait de certains problèmes familiaux et de conditions psychologiques fragiles». Elle annonce également que la jeune femme a été «transférée dans un centre de soins spécialisés».
«L’étudiante en question souffre d’une fragilité psychologique et a été transférée en ambulance des services d’urgence sociale à un centre de soins spécialisés», selon le communiqué, qui affirme qu’il s’agit d’une affaire «d’ordre privé». Il ajoute que «des signes de comportements anormaux avaient déjà été observés par son entourage».
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:28:26


SOUMISSION CHIMIQUE – CONFRONTATION entre le SENATEUR GUERRIAU et la DEPUTEE JOSSO :

Près de quatre heures de face-à-face dans le cabinet du juge d’instruction. La confrontation au tribunal de Paris entre le sénateur Joël Guerriau et la députée Sandrine Josso, qui l’accuse de l’avoir droguée afin de l’agresser sexuellement l’an dernier, est terminée.
« C’est très lourd et compliqué de se retrouver avec son agresseur pendant presque quatre heures », a confié à la presse Sandrine Josso, en sortant du tribunal. « J’ai été comme d’habitude très factuelle », a-t-elle estimé. « La justice fait son travail » mais a « des points à améliorer » : « imposer des confrontations » à des victimes c’est « très traumatisant », a-t-elle ajouté.
« Je suis serein », a déclaré de son côté Joël Guerriau. « Cette confrontation a été très utile », a abondé son avocat, Me Henri Carpentier. « Elle a permis de faire avancer la vérité, et cette vérité-là ne dérange pas M. Guerriau, tout au contraire », a affirmé son conseil, qui le défend aux côtés de Me Marie Roumiantseva.
Cette affaire, qui a éclaté en novembre 2023, a mis en lumière le fléau de la soumission chimique jusque dans les hautes sphères du monde politique. Le 14 novembre, Sandrine Josso, députée MoDem de Loire-Atlantique, s’était rendue au domicile parisien de son « ami politique », comme elle l’a décrit devant les magistrats, qui célébrait sa réélection.
Seule invitée, elle en était ressortie avec 388 ng/ml d’ecstasy dans le sang, d’après les analyses toxicologiques dont l’AFP a eu connaissance mercredi. Une dose bien supérieure à la quantité dite récréative. Ces analyses montraient aussi une absence de stupéfiants pendant les sept mois qui ont précédé cette soirée. Comment l’élue s’est-elle retrouvée, ce soir-là, avec autant d’ecstasy dans le sang ?
Dans ce dossier, l’absorption de drogue et ses effets délétères sur Sandrine Josso, qui souffre un an après d’un stress post-traumatique, ne semblent pas discutés. Tout l’enjeu repose sur l’intention. La confrontation mercredi, devant un juge d’instruction, a notamment porté sur ce qu’a pu voir Sandrine Josso le soir des faits, la plaignante ayant expliqué avoir vu Joël Guerriau manipuler un sachet blanc, d’après une source proche du dossier à l’AFP.
Lors d’un interrogatoire en septembre, Joël Guerriau avait aussi été interrogé sur des recherches suspectes dans son téléphone portable : l’expertise de son mobile a révélé des consultations en ligne autour du viol et des drogues, notamment sur des points de vente, le 9 octobre 2023, près d’un mois avant les faits dénoncés par Sandrine Josso (MoDem).
Lui, conteste les accusations. À Ouest-France, fin septembre, il a affirmé avoir effectué ces recherches après avoir entendu parler d’une « relation proche de quelqu’un de mon entourage » qui avait perdu connaissance.
Depuis sa mise en examen et sa suspension de son parti Horizons et de son groupe parlementaire Les Indépendants République et Territoires en novembre 2023, le parlementaire n’est plus apparu au Sénat. Fin septembre 2024, il a annoncé se mettre « en retrait » des travaux parlementaires et quitter ses fonctions exécutives « à la demande » du président du Sénat. Il a toutefois exclu de démissionner dans un entretien accordé à Ouest-France fin septembre.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:33:12


APPEL A TEMOIN – Après la mort d’un homme dans une rue d’Évreux, LA POLICE LANCE UN APPEL A TEMOINS POUR RETROUVER UNE FEMME :

Qui peut aider les autorités à enquêter sur cette affaire ? La police judiciaire de Rouen lance un appel à témoins après la mort d’un homme, retrouvé grièvement blessé le 29 octobre dernier dans une rue d’Évreux (Eure).
Cet habitant du très populaire quartier de la Madeleine, rendait ce jour-là visite à son frère dans le quartier Saint-Michel, toujours à Évreux. Il y a été découvert vers 14 heures ce mardi-là allongé sur le sol. Transporté à l’hôpital de Rouen, il y est décédé le lendemain, rapporte Paris-Normandie.
Son autopsie, pratiquée lundi, n’a pas permis de comprendre si l’homme était tombé après un malaise ou s’il avait été blessé par un tiers. L’examen médico-légal « ne nous a malheureusement pas apporté d’éléments décisifs, explique le procureur de la République, Rémi Coutin aux médias locaux, dont Paris Normandie. Le médecin légiste a en effet estimé que le décès de la victime pouvait être consécutif à une chute sur le trottoir de sa hauteur, mais que l’intervention d’un tiers ne pouvait être exclue. »
Toujours est-il qu’une enquête pour homicide volontaire a été ouverte et confiée à la police judiciaire de Rouen. Cette dernière lance un appel pour retrouver d’éventuels témoins et particulièrement une femme qui aurait assisté à la scène. Le témoignage de cette femme serait « évidemment essentiel pour la suite de l’enquête »

> Selon le témoignage de l’homme qui a alerté les secours, « elle est descendue de sa voiture et s’est portée à la hauteur de l’homme puis est repartie en indiquant aux témoins arrivés sur les lieux qu’elle l’avait vu tomber au sol. Elle est partie malheureusement sans laisser ses coordonnées, sans doute pressée. »

> Cette femme, d’origine européenne, aux cheveux grisonnants et circulant à bord d’un véhicule sombre « possiblement noir » serait âgée d’environ 60 ans. Les témoins peuvent se faire connaître auprès de la police judiciaire de Rouen à la brigade criminelle au 02 32 81 27 77 ou à l’hôtel de police de Rouen au 02 32 81 25 00.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:36:53


ESPAGNE - 13 tonnes de cocaïne saisies dans une cargaison de bananes :
La police espagnole a annoncé mercredi la saisie record dans le port d’Algésiras, dans le sud du pays, de 13 tonnes de cocaïne, qui étaient camouflées parmi des bananes dans un conteneur en provenance de l’Équateur.
La cargaison a été découverte le 14 octobre dans le port andalou, dans un conteneur qui avait quitté le port de Guayaquil (Équateur) et était destiné « à un importateur espagnol qui recevait, depuis des années, de grandes quantités de fruits de l’Équateur », a précisé la police dans un communiqué.
L’opération a été menée « avec la coopération étroite de la police nationale de l’Équateur », qui a alerté son homologue en Espagne, a-t-on ajouté de même source.
Il s’agit de « la plus grande saisie de l’histoire du trafic de drogue en Espagne » et de « la deuxième plus grande saisie en Europe dans un seul conteneur, et d’une des plus grandes saisies au niveau mondial », selon la police espagnole.
Le précédent record en Espagne datait d’août 2023, avec la découverte de 9,5 tonnes de cocaïne dans un conteneur qui provenait également de l’Équateur. Le même mois, 8 tonnes de cocaïne avaient été saisies aux Pays-Bas dans douze palettes de bananes, venant elles aussi du même pays d’Amérique du Sud.
En juillet dernier, les autorités de Quito avaient déjà saisi 6 tonnes de cocaïne qui devaient être envoyées en Espagne.
> Dans la cargaison trouvée à Algésiras, la cocaïne était cachée dans des paquets à l’intérieur de caisses de bananes, avec des fruits disposés par-dessus « pour dissimuler la drogue », a expliqué la police. Le conteneur avait été envoyé par un exportateur équatorien qui « figurait dans les bases de données douanières et policières avec des antécédents pour trafic illicite », selon le même communiqué.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 19:24:12


JUSTICE - Six ans après le drame de la rue d'Aubagne à Marseille, l'inquiétante proportion de logements indignes à Marseille :

On le surnomme "la dent creuse". A quelques pas du Vieux-Port, un immense espace vide rappelle à tous les passants le drame de la rue d'Aubagne. Le 5 novembre 2018, à 9h05 précises, deux immeubles s'effondrent. Huit Marseillais perdent la vie et des milliers d'autres sont évacués. Six ans après, le procès de l'affaire s'ouvre ce jeudi 7 novembre . Et la question demeure : une telle catastrophe pourrait-elle se reproduire ?
Plus de 130 chantiers ont été lancés par la ville depuis. Parmi eux, un immeuble évacué datant de la fin du 19ᵉ siècle, aux murs complètement infiltrés d'eau, comme on peut le voir dans le reportage en tête de cet article. "Lorsqu'on a cassé une contre-cloison, on s'est rendu compte que le mur était en très mauvais état. Dans un premier temps, on a installé un système qui soutient le mur provisoirement, et nous allons reprendre toute la partie qui est défectueuse par une nouvelle maçonnerie de type béton armé", détaille Pierre Meyssonnier, responsable du service des travaux d'office à la mairie de Marseille.
Il faut agir vite. Plusieurs immeubles de ce quartier populaire sont menacés. "Tous les immeubles sont imbriqués parce qu'il y a un mur qui est mitoyen et qui porte les planchers d'un immeuble puis de l'autre. Donc si ce mur est abîmé, ça porte atteinte à la pérennité de la structure des deux immeubles à la fois", explique Pierre Meyssonnier. Chaque mois, la plateforme pour signaler les logements dangereux reçoit 200 notifications. Mais selon l'adjoint chargé du logement, les résultats sont encourageants. "Depuis plusieurs mois, nous avons moins d'entrées dans les dispositifs de mise en sécurité que de sorties, observe Patrick Amico. La gravité des situations qui rentrent aujourd'hui dans les arrêtés de mise en sécurité a baissé fortement depuis les trois dernières années."
Et pourtant, la deuxième ville de France compte encore 40.000 logements indignes, soit une habitation sur 10, y compris à quelques numéros du drame de la rue d'Aubagne. La présidente du collectif Marseille en colère, Kaouther Ben Mohamed, nous fait la visite au n°43. "Ici, on a des morceaux d'escalier qui sont tombés. Des fissures dans tous les escaliers, notamment au-dessus de nos têtes, avec des fissures qui se sont malheureusement agrandies. Pour finir, ici, nous avons une espèce de caisson et tout s'est effondré". Il y a près d'un an, seul le quatrième étage et le rez-de-chaussée ont été évacués par arrêtés de péril. La visite des experts n'y changera rien. Au deuxième étage, au milieu des cafards et des punaises de lit, ce retraité redoute que son plafond s'effondre à son tour : "Comme tous les étages, il y a des fuites. Ils sont venus, ils ont tapé, ils ont regardé, ils ont mastiqué et après, ça a continué à couler."

Proches de victimes comme Marseillais espèrent du procès de la rue d'Aubagne qu'il deviendra le symbole de la lutte contre l'habitat indigne. Dès jeudi comparaîtront 16 prévenus et 87 parties civiles.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 19:28:31


CORBEIL-ESSONNES (Essonne) - soupçonnée d’actes de torture sur son enfant de 4 ans, une mère placée en garde à vue :

Un enfant de 4 ans a subi des actes de torture à Corbeil-Essonnes (Essonne). Il a été pris en charge par les secours ce lundi soir et a fait l'objet d'un placement provisoire. Sa mère, âgée de 26 ans, a dans le même temps été interpellée et placée en garde à vue, a appris Actu17. Une mesure qui était toujours en cours ce mercredi matin, indique le parquet d'Évry.
Les policiers sont intervenus au domicile de cette femme, situé dans le quartier du Moulin-Galant, vers 20 heures. Les blessures de l'enfant venaient d'être découvertes, sans que les circonstances exactes soient connues à ce stade. "Il présentait des traces de brûlures sur le corps et avait des ongles arrachés", décrit une source proche de l'affaire. "Le petit garçon avait aussi des trous dans le cuir chevelu". La mère de famille, originaire du Cap-Vert, a été interpellée et conduite au commissariat d'Évry.
L'enfant a été transporté à l'hôpital d'Évry où il a reçu des soins. Il a ensuite été conduit à l'aide sociale à l'enfance (ASE). Le parquet d'Évry précise avoir pris une ordonnance de placement provisoire, et confirme qu'il présentait "plusieurs lésions sur le corps".

> Une enquête a été ouverte des chefs d'"actes de torture et de barbarie", "violences habituelles sur mineur de 15 ans par ascendant" et "soustraction de parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de l’enfant". Les investigations ont été confiées à la Division de la Criminalité Territoriale, ex-sûreté départementale.

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