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Protection humaine
Auteur : Aigle 
569/1260

Date :    13-12-2024 07:14:36


Dans le Pas-de-Calais,
120 migrants ont été secourus lors de tentatives de traversée de la Manche
Le préfet maritime de la Manche et de la mer du Nord a alerté sur les risques encourus par les personnes qui tentent de traverser la Manche, dans un communiqué diffusé jeudi.
Auteur : Aigle 
570/1260

Date :    13-12-2024 07:25:44


En Libye,
plus de 30 migrants en détresse ont été secourus au large des côtes par SOS Méditerranée
La plupart des rescapés sont originaires de Syrie et de Gambie et sont désormais "sains et saufs", a précisé SOS Méditerranée, jeudi.
"originiares de Syrie" ; fuyants leurs culpabilités et probables accusations ? ? ?
Auteur : Aigle 
571/1260

Date :    13-12-2024 07:36:03


ITALIE :
si l'accès gratuit au système de santé est inscrit dans la constitution,
4,5 millions d'Italiens ont renoncé à se faire soigner
Il manque 20 000 médecins et 60 000 autres soignants dans le pays.
ET en France ???
Auteur : Mel_C  
572/1260

Date :    13-12-2024 22:26:18


ALLEMAGNE - Les réfugiés syriens « intégrés » en Allemagne restent « bienvenus », soutient Scholz :

Alors que l’Allemagne a décidé de geler les demandes d’asile des réfugiés syriens depuis la chute de Bachar al-Assad en Syrie, Olaf Scholz, chancelier allemand, a affirmé que les réfugiés syriens « intégrés » dans le pays restaient les « bienvenus ».
Auteur : Mel_C  
573/1260

Date :    13-12-2024 22:34:48


NANCY - Trente ans de prison pour une mère infanticide :
Ingride Jesus Van Der Kellen a été condamnée à 30 ans de réclusion avec une période de sûreté de 15 ans pour avoir tué ses deux jeunes enfants dans un coup de folie en 2022. Le jugement a été prononcé vendredi par la cour d’assises de la Meurthe-et-Moselle.
Cette ancienne chercheuse de 37 ans encourait la perpétuité. Dévastée, elle a répété durant le procès qu’elle ne comprenait pas comment elle avait pu commettre de tels gestes et étouffer ses deux enfants de deux ans et demi et neuf mois. Très fragile psychologiquement, elle a déjà fait cinq tentatives de suicide depuis le début de son incarcération, il y a deux ans.
Auteur : Mel_C  
574/1260

Date :    13-12-2024 22:44:48


PROCES DES VIOLS DE MAZAN - La défense charge le «monstre» Dominique Pelicot :

Les plaidoiries de la défense au procès des viols de Mazan à Avignon se sont conclues vendredi en pointant une énième fois le «monstre» Dominique Pelicot qui aurait manipulé les accusés, «victimes indirectes».
Ce procès hors norme au puissant retentissement national et international entre dans la dernière ligne droite, après un peu plus de deux semaines consacrées à la défense des 51 hommes accusés pour la plupart de viols aggravés sur Gisèle Pelicot, 72 ans, dont son ex-mari Dominique, qui a avoué l’avoir droguée pour la violer et la livrer à des inconnus recrutés sur internet au domicile familial de Mazan.
L’une des dernières avocates à prendre la parole, Me Nadia El Bouroumi, a évoqué durant un peu plus d’une heure ses clients (Omar D., 36 ans, agent d’entretien et Jean-Marc L., retraité de 74 ans, le plus vieil accusé), «des hommes, père, grand-père qui ont une vie simple, tranquille», et leurs parcours de vie «sans faute» jusqu’à leur rencontre avec Dominique Pelicot.
À l’instar de plusieurs de ses confrères et consœurs, elle a opté pour un axe de défense consistant à dédouaner les accusés, aujourd’hui âgés de 27 à 74 ans et de tous milieux sociaux, qui n’avaient selon elle «aucunement conscience» qu’ils agressaient sexuellement Gisèle Pelicot, pour mieux charger «le monstre» Dominique Pelicot, «fin manipulateur» qui «les a sciemment choisis pour pouvoir assouvir ses fantasmes».

>>> «M. PELICOT, C’EST QUELQU’UN DE DANGEREUX» :
«Je défends des hommes qui sont la normalité de cette société et M. Pelicot, c’est l’exception, c’est quelqu’un de dangereux. On a un monstre dans le box», a déclaré l’avocate. D’autres défenseurs ont dépeint ces dernières semaines Dominique Pelicot comme «un loup» ou «un ogre».
Rappelant que Gisèle Pelicot était bien victime «et qu’il n’est nullement question de remettre son non-consentement en doute», elle a défendu que son ex-mari «a utilisé ces hommes comme des objets», des «victimes indirectes».
«Comment on aurait pu comprendre que Mme Pelicot était droguée? La puissance du violeur en série, qui tue, qui la viole, et est capable de lui faire dire que «c’était un chic type» (phrase prononcée par Gisèle Pelicot lors de son audition par les policiers en 2020)? Je vous crois Mme Pelicot, car la puissance de ce type-là a réussi à vous manipuler pendant toutes ces années!», a asséné l’avocate.
«Le violeur en série a une psychologie, un fonctionnement où il manipule» depuis «plus de 30 ans», a-t-elle accusé. Une référence à deux autres dossiers, où le principal accusé est toujours mis en cause par le pôle des affaires classées de Nanterre: un meurtre avec viol à Paris en 1991, qu’il nie, et une tentative de viol en Seine-et-Marne en 1999, qu’il reconnaît, après avoir été confondu par son ADN.

>>> ELLE DEMANDE L'ACQUITTEMENT…
Or, «il n’y a pas de crime sans intention: l’intention c’est quoi? C’est la volonté et la conscience de commettre un crime», a énoncé Me El Bouroumi, demandant à la cour «d’acquitter ces hommes».
Elle a également évoqué les difficultés de la défense. «C’est très dur pour nous de parler, car on a une partie civile qui est une icône et que toute parole est une atteinte à la femme», a expliqué l’avocate.
Remarquant que la cour était sous «la pression du public» mais aussi «médiatique» (166 médias sont accrédités dont 76 étrangers), elle lui a demandé de «garder la tête froide» lors de son verdict pour «revenir aux fondamentaux».

>>> VERDICT ATTENDU JEUDI :
Lundi, Dominique Pelicot et ses coaccusés, des hommes auront la possibilité de s’exprimer une dernière fois avant que les juges de la cour criminelle de Vaucluse ne se retirent pour trancher sur leur culpabilité ou pas et sur les peines à infliger.
Le verdict est attendu jeudi prochain. L’accusation, qui a requis des peines de quatre à vingt ans de réclusion criminelle, a demandé à la cour d’envoyer par sa décision «un message d’espoir aux victimes de violences sexuelles». «Vous signifierez que le viol ordinaire n’existe pas, que le viol accidentel ou involontaire n’existe pas», avait déclaré Laure Chabaud, l’une des deux représentantes du ministère public.
Auteur : Mel_C  
575/1260

Date :    13-12-2024 22:50:18


AUSTRALIE - Tollé contre une loi permettant d’emprisonner des enfants de 10 ans :
Les défenseurs des droits humains dénoncent une loi australienne qui permettra d’infliger à des enfants de 10 ans les mêmes peines d’emprisonnement qu’à des adultes dans le but d’enrayer «la criminalité infantile».
Cette législation, approuvée jeudi par l’assemblée de l’État du Queensland dans le nord-est du pays, supprime le principe selon lequel l’emprisonnement ne doit être qu’un ultime recours pour les mineurs. Elle prévoit que les enfants, dès l’âge de 10 ans, seront passibles des mêmes peines que les adultes pour 13 infractions graves allant de la conduite dangereuse au meurtre.

>>> ENFANTS ABORIGENES EN PREMIER LIGNE :
Cette évolution «constitue la première riposte à la crise de la criminalité juvénile» pour «commencer à rétablir la sécurité», a déclaré le Premier ministre conservateur du Queensland, David Crisafulli. Certes, son administration a reconnu que la loi était «incompatible» avec les droits humains et qu’elle aurait probablement un «impact plus important» sur les enfants aborigènes, mais a décidé de passer outre, en raison d’une criminalité «exceptionnelle». Cette législation a également été soutenue par les parlementaires travaillistes de l’opposition de centre gauche.
Selon les statistiques officielles, le nombre d’enfants délinquants âgés de 10 à 17 ans au Queensland a augmenté de 6% sur un an entre juin 2022 et juin 2023.
Ce virage législatif a suscité un tollé parmi les défenseurs des droits: le Centre juridique indépendant des droits de l’homme d’Australie redoute qu’il conduise à incarcérer un plus grand nombre d’enfants dans des maisons de surveillance peu sûres, ou des prisons pour jeunes délinquants. Tout en pénalisant de manière disproportionnée les enfants aborigènes, population dont les taux d’incarcération sont plus élevés que ceux des autres Australiens.

>>> CONSTERNATION :
«Ces politiques ne s’attaquent en rien aux causes profondes de la criminalité juvénile: traumatismes intergénérationnels, pauvreté, racisme systémique, accès insuffisant à des services de soutien sûrs», a souligné le directeur national de l’organisation, Blake Cansdale.
Ann Skelton, présidente du Comité des droits de l’enfant des Nations unies, a affiché sa «consternation»: «Nous ne pensons pas que de soi-disant circonstances exceptionnelles justifient ce mépris flagrant des droits de l’enfant, ni que cela rendra le Queensland plus sûr», s’est-elle indignée.
Elle a jugé «ahurissant» que le procureur général du Queensland lui-même ait reconnu que les peines les plus sévères du texte violeraient plusieurs dispositions du droit international. Le procureur général avait cependant estimé, dans un avis aux parlementaires, que «la situation exceptionnelle en matière de criminalité juvénile» permettait «d’ignorer» une loi australienne de 2019 sur les droits de l’homme.
Auteur : Mel_C  
576/1260

Date :    13-12-2024 22:53:04


ANTISEMITISME – La Suisse veut renforcer l’arsenal contre les sigles nazis :
Face à la montée de l’antisémitisme, la Suisse veut renforcer l’interdiction de la croix gammée, du salut hitlérien et des autres signes de ralliement des nazis, a annoncé vendredi le Conseil fédéral.
Le gouvernement «considère que l’interdiction des symboles liés au Troisième Reich a pris une urgence particulière du fait de la forte recrudescence des incidents antisémites en Suisse», précise-t-il dans un communiqué.
Il propose d’interdire «sans attendre l’utilisation de symboles nazis en public» et d’assortir l’interdiction d’une amende pour quiconque enfreindrait la future loi. Elle sera de 200 francs.
Il s’agit de combler une lacune du Code pénal, qui permet de punir quiconque utilise «un symbole raciste, extrémiste, nazi ou faisant l’apologie de la violence de manière à propager l’idéologie qu’il représente», mais qui ne fait encourir aucune peine à «une personne qui exhiberait un tel symbole sans intention de propager activement une idéologie».

>>> LES SIGNES PLUS CRYPTIQUES AUSSI :
Outre les symboles nazis les plus connus, Berne veut aussi s’attaquer à des signes de reconnaissance plus cryptiques utilisés par les partisans de l’idéologie nazie.
Ainsi le «18» (première et 8ᵉ lettres de l’alphabet pour Adolf Hitler) ou encore le «88» (pour «Heil Hitler») tomberont également sous le coup de la loi.
«Le contexte jouera en ce cas un rôle décisif», souligne le gouvernement.
Des exceptions sont prévues à fins éducatives, scientifiques, artistiques ou journalistiques mais «dans les limites de ce qu’autorise la liberté d’expression». Quant aux symboles religieux existants qui sont identiques ou semblables à des symboles nazis, ils ne sont pas concernés par l’interdiction proposée, ajoute encore le Conseil fédéral.
La consultation sur ce projet de loi est ouverte jusqu’au 31 mars 2025 et le Conseil fédéral a aussi annoncé qu’il étendrait «cette interdiction à d’autres symboles extrémistes dans une deuxième phase du projet.

>>> FORTE HAUSSE DES INCIDENTS :
Comme ailleurs en Europe, les incidents à caractère antisémite ont fortement augmenté en Suisse ces dernières années et encore plus après le début de la guerre menée par Israël contre le Hamas à Gaza en riposte à l’attaque sans précédent du groupe islamiste en territoire israélien le 7-Octobre.
En 2023, la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation a recensé 944 actes antisémites en Suisse francophone, soit un bond de presque 70% sur un an.
«Cette augmentation considérable est en grande partie due à l’importation du conflit Israël-Hamas, qui a servi et continue de servir de prétexte au déferlement de l’antisémitisme», note l’organisation dans son rapport annuel.
En Suisse allemande et italienne, l’augmentation est un peu moins forte, passant de 910 actes recensés en 2022 à 1130 l’année dernière, selon la Fédération suisse des communautés israélites (FSCI) et la Fondation contre le racisme et l’antisémitisme (GRA).

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