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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-12-2024 22:44:48


PROCES DES VIOLS DE MAZAN - La défense charge le «monstre» Dominique Pelicot :

Les plaidoiries de la défense au procès des viols de Mazan à Avignon se sont conclues vendredi en pointant une énième fois le «monstre» Dominique Pelicot qui aurait manipulé les accusés, «victimes indirectes».
Ce procès hors norme au puissant retentissement national et international entre dans la dernière ligne droite, après un peu plus de deux semaines consacrées à la défense des 51 hommes accusés pour la plupart de viols aggravés sur Gisèle Pelicot, 72 ans, dont son ex-mari Dominique, qui a avoué l’avoir droguée pour la violer et la livrer à des inconnus recrutés sur internet au domicile familial de Mazan.
L’une des dernières avocates à prendre la parole, Me Nadia El Bouroumi, a évoqué durant un peu plus d’une heure ses clients (Omar D., 36 ans, agent d’entretien et Jean-Marc L., retraité de 74 ans, le plus vieil accusé), «des hommes, père, grand-père qui ont une vie simple, tranquille», et leurs parcours de vie «sans faute» jusqu’à leur rencontre avec Dominique Pelicot.
À l’instar de plusieurs de ses confrères et consœurs, elle a opté pour un axe de défense consistant à dédouaner les accusés, aujourd’hui âgés de 27 à 74 ans et de tous milieux sociaux, qui n’avaient selon elle «aucunement conscience» qu’ils agressaient sexuellement Gisèle Pelicot, pour mieux charger «le monstre» Dominique Pelicot, «fin manipulateur» qui «les a sciemment choisis pour pouvoir assouvir ses fantasmes».

>>> «M. PELICOT, C’EST QUELQU’UN DE DANGEREUX» :
«Je défends des hommes qui sont la normalité de cette société et M. Pelicot, c’est l’exception, c’est quelqu’un de dangereux. On a un monstre dans le box», a déclaré l’avocate. D’autres défenseurs ont dépeint ces dernières semaines Dominique Pelicot comme «un loup» ou «un ogre».
Rappelant que Gisèle Pelicot était bien victime «et qu’il n’est nullement question de remettre son non-consentement en doute», elle a défendu que son ex-mari «a utilisé ces hommes comme des objets», des «victimes indirectes».
«Comment on aurait pu comprendre que Mme Pelicot était droguée? La puissance du violeur en série, qui tue, qui la viole, et est capable de lui faire dire que «c’était un chic type» (phrase prononcée par Gisèle Pelicot lors de son audition par les policiers en 2020)? Je vous crois Mme Pelicot, car la puissance de ce type-là a réussi à vous manipuler pendant toutes ces années!», a asséné l’avocate.
«Le violeur en série a une psychologie, un fonctionnement où il manipule» depuis «plus de 30 ans», a-t-elle accusé. Une référence à deux autres dossiers, où le principal accusé est toujours mis en cause par le pôle des affaires classées de Nanterre: un meurtre avec viol à Paris en 1991, qu’il nie, et une tentative de viol en Seine-et-Marne en 1999, qu’il reconnaît, après avoir été confondu par son ADN.

>>> ELLE DEMANDE L'ACQUITTEMENT…
Or, «il n’y a pas de crime sans intention: l’intention c’est quoi? C’est la volonté et la conscience de commettre un crime», a énoncé Me El Bouroumi, demandant à la cour «d’acquitter ces hommes».
Elle a également évoqué les difficultés de la défense. «C’est très dur pour nous de parler, car on a une partie civile qui est une icône et que toute parole est une atteinte à la femme», a expliqué l’avocate.
Remarquant que la cour était sous «la pression du public» mais aussi «médiatique» (166 médias sont accrédités dont 76 étrangers), elle lui a demandé de «garder la tête froide» lors de son verdict pour «revenir aux fondamentaux».

>>> VERDICT ATTENDU JEUDI :
Lundi, Dominique Pelicot et ses coaccusés, des hommes auront la possibilité de s’exprimer une dernière fois avant que les juges de la cour criminelle de Vaucluse ne se retirent pour trancher sur leur culpabilité ou pas et sur les peines à infliger.
Le verdict est attendu jeudi prochain. L’accusation, qui a requis des peines de quatre à vingt ans de réclusion criminelle, a demandé à la cour d’envoyer par sa décision «un message d’espoir aux victimes de violences sexuelles». «Vous signifierez que le viol ordinaire n’existe pas, que le viol accidentel ou involontaire n’existe pas», avait déclaré Laure Chabaud, l’une des deux représentantes du ministère public.
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-12-2024 22:50:18


AUSTRALIE - Tollé contre une loi permettant d’emprisonner des enfants de 10 ans :
Les défenseurs des droits humains dénoncent une loi australienne qui permettra d’infliger à des enfants de 10 ans les mêmes peines d’emprisonnement qu’à des adultes dans le but d’enrayer «la criminalité infantile».
Cette législation, approuvée jeudi par l’assemblée de l’État du Queensland dans le nord-est du pays, supprime le principe selon lequel l’emprisonnement ne doit être qu’un ultime recours pour les mineurs. Elle prévoit que les enfants, dès l’âge de 10 ans, seront passibles des mêmes peines que les adultes pour 13 infractions graves allant de la conduite dangereuse au meurtre.

>>> ENFANTS ABORIGENES EN PREMIER LIGNE :
Cette évolution «constitue la première riposte à la crise de la criminalité juvénile» pour «commencer à rétablir la sécurité», a déclaré le Premier ministre conservateur du Queensland, David Crisafulli. Certes, son administration a reconnu que la loi était «incompatible» avec les droits humains et qu’elle aurait probablement un «impact plus important» sur les enfants aborigènes, mais a décidé de passer outre, en raison d’une criminalité «exceptionnelle». Cette législation a également été soutenue par les parlementaires travaillistes de l’opposition de centre gauche.
Selon les statistiques officielles, le nombre d’enfants délinquants âgés de 10 à 17 ans au Queensland a augmenté de 6% sur un an entre juin 2022 et juin 2023.
Ce virage législatif a suscité un tollé parmi les défenseurs des droits: le Centre juridique indépendant des droits de l’homme d’Australie redoute qu’il conduise à incarcérer un plus grand nombre d’enfants dans des maisons de surveillance peu sûres, ou des prisons pour jeunes délinquants. Tout en pénalisant de manière disproportionnée les enfants aborigènes, population dont les taux d’incarcération sont plus élevés que ceux des autres Australiens.

>>> CONSTERNATION :
«Ces politiques ne s’attaquent en rien aux causes profondes de la criminalité juvénile: traumatismes intergénérationnels, pauvreté, racisme systémique, accès insuffisant à des services de soutien sûrs», a souligné le directeur national de l’organisation, Blake Cansdale.
Ann Skelton, présidente du Comité des droits de l’enfant des Nations unies, a affiché sa «consternation»: «Nous ne pensons pas que de soi-disant circonstances exceptionnelles justifient ce mépris flagrant des droits de l’enfant, ni que cela rendra le Queensland plus sûr», s’est-elle indignée.
Elle a jugé «ahurissant» que le procureur général du Queensland lui-même ait reconnu que les peines les plus sévères du texte violeraient plusieurs dispositions du droit international. Le procureur général avait cependant estimé, dans un avis aux parlementaires, que «la situation exceptionnelle en matière de criminalité juvénile» permettait «d’ignorer» une loi australienne de 2019 sur les droits de l’homme.
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-12-2024 22:53:04


ANTISEMITISME – La Suisse veut renforcer l’arsenal contre les sigles nazis :
Face à la montée de l’antisémitisme, la Suisse veut renforcer l’interdiction de la croix gammée, du salut hitlérien et des autres signes de ralliement des nazis, a annoncé vendredi le Conseil fédéral.
Le gouvernement «considère que l’interdiction des symboles liés au Troisième Reich a pris une urgence particulière du fait de la forte recrudescence des incidents antisémites en Suisse», précise-t-il dans un communiqué.
Il propose d’interdire «sans attendre l’utilisation de symboles nazis en public» et d’assortir l’interdiction d’une amende pour quiconque enfreindrait la future loi. Elle sera de 200 francs.
Il s’agit de combler une lacune du Code pénal, qui permet de punir quiconque utilise «un symbole raciste, extrémiste, nazi ou faisant l’apologie de la violence de manière à propager l’idéologie qu’il représente», mais qui ne fait encourir aucune peine à «une personne qui exhiberait un tel symbole sans intention de propager activement une idéologie».

>>> LES SIGNES PLUS CRYPTIQUES AUSSI :
Outre les symboles nazis les plus connus, Berne veut aussi s’attaquer à des signes de reconnaissance plus cryptiques utilisés par les partisans de l’idéologie nazie.
Ainsi le «18» (première et 8ᵉ lettres de l’alphabet pour Adolf Hitler) ou encore le «88» (pour «Heil Hitler») tomberont également sous le coup de la loi.
«Le contexte jouera en ce cas un rôle décisif», souligne le gouvernement.
Des exceptions sont prévues à fins éducatives, scientifiques, artistiques ou journalistiques mais «dans les limites de ce qu’autorise la liberté d’expression». Quant aux symboles religieux existants qui sont identiques ou semblables à des symboles nazis, ils ne sont pas concernés par l’interdiction proposée, ajoute encore le Conseil fédéral.
La consultation sur ce projet de loi est ouverte jusqu’au 31 mars 2025 et le Conseil fédéral a aussi annoncé qu’il étendrait «cette interdiction à d’autres symboles extrémistes dans une deuxième phase du projet.

>>> FORTE HAUSSE DES INCIDENTS :
Comme ailleurs en Europe, les incidents à caractère antisémite ont fortement augmenté en Suisse ces dernières années et encore plus après le début de la guerre menée par Israël contre le Hamas à Gaza en riposte à l’attaque sans précédent du groupe islamiste en territoire israélien le 7-Octobre.
En 2023, la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation a recensé 944 actes antisémites en Suisse francophone, soit un bond de presque 70% sur un an.
«Cette augmentation considérable est en grande partie due à l’importation du conflit Israël-Hamas, qui a servi et continue de servir de prétexte au déferlement de l’antisémitisme», note l’organisation dans son rapport annuel.
En Suisse allemande et italienne, l’augmentation est un peu moins forte, passant de 910 actes recensés en 2022 à 1130 l’année dernière, selon la Fédération suisse des communautés israélites (FSCI) et la Fondation contre le racisme et l’antisémitisme (GRA).
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-12-2024 23:00:47


FEMINICIDE D'HAYANGE – La perpétuité pour le meurtrier :
La cour d’assises de la Moselle a condamné vendredi Liridon Berisa à la peine maximale encourue, la perpétuité avec période de sûreté de 22 ans, pour le féminicide de sa conjointe, Stéphanie Di Vincenzo en mai 2021 à Hayange.
Le meurtrier, aujourd’hui âgé de 26 ans, avait asséné plusieurs coups de couteau en pleine rue à sa compagne, devant des voisins et sous les yeux de leur petite fille de trois ans.

>>> TEMPERAMENT VOLCANIQUE :
L’accusé au tempérament volcanique, exclu de la salle d’audience à plusieurs reprises mercredi et jeudi, s’est de nouveau montré insultant, provocant et menaçant envers la famille de la victime à l’énoncé du verdict.
À tel point qu’un oncle de la victime présent au premier rang avec la famille a crié «Peine de mort! Peine de mort!».
Dans la nuit du 23 au 24 mai 2021, une violente altercation avait opposé Liridon Berisa à la victime à leur domicile de Hayange, ancienne cité industrielle du nord de la Moselle.

>>> LE COMMISSARIAT ETAIT FERMÉ :
Stéphanie Di Vincenzo, 22 ans, s’était échappée par la fenêtre, affaiblie et ensanglantée. Plusieurs témoins l’ont vue courir en direction du poste de police, situé à 40 mètres du domicile. Mais le commissariat était alors fermé.
Liridon Berisa l’avait rattrapée et lui avait asséné plusieurs coups de couteau, devant des voisins et sous les yeux de leur fille de 3troisans. Il avait ensuite jeté dans une poubelle son arme et s’était enfui.

>>> UNE ACCUMULATION DE RATÉS :
Ce féminicide avait déclenché une polémique en raison de l’accumulation de ratés dans ce dossier puisque les forces de l’ordre étaient intervenues déjà une dizaine de fois au domicile du couple. La victime avait déposé plainte quelques mois auparavant, mais cette plainte n’avait pas été transmise au parquet.
En outre, Liridon Berisa avait arraché son bracelet électronique la veille des faits sans que cela ne déclenche la moindre alarme. Une mission d’inspection, dépêchée ensuite, n’avait relevé «aucun manquement professionnel dans les décisions prises» et avait estimé que le bracelet avait subi un «dysfonctionnement inexpliqué».
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-12-2024 23:26:24


A Alençon, un adolescent héroïque parvient à faire condamner un homme violent :
"Je pense qu’il a eu peur de s’en prendre une et surtout qu’il en avait ras la casquette !" Peu importent ses motivations, le courage d’un adolescent a peut-être sauvé une femme victime de violences conjugales dans l’Orne, rapporte Ouest-France.
Les faits remontent au 30 juillet. Ce soir-là, un homme s’en prend violemment à sa compagne. Il lui tire les cheveux, lui crache dessus, lui jette des objets et la gifle à deux reprises.
C’en est trop pour l’un des deux fils de la victime, âgé de 17 ans. Il laisse son petit frère de 15 ans et court chercher de l’aide. Il trouve une salle de sport ouverte et prévient des témoins de la scène de violences en cours. Les autorités sont contactées, l’homme interpellé.
Un acte salutaire. Et malgré la défense du prévenu, qui a maintenu que "c’était juste une fois", malgré une précédente condamnation pour violences conjugales, il a été reconnu coupable. "Pour moi, il y a un risque imminent de nouvelles violences", a déclaré le juge.
Il écope d’une peine de six mois de prison avec sursis probatoire, assortie d’une obligation de soin. Il est par ailleurs obligé de quitter le domicile de sa compagne.Des faits pour lesquels comparaissait le 12 décembre le compagnon violent au tribunal d’Alençon. Les magistrats n’ont pas manqué de louer la bravoure de l’adolescent héroïque : "Votre fils a eu la présence d’esprit d’aller dans une salle de sport pour demander à quelqu’un de prévenir les gendarmes."
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-12-2024 23:30:57


ENVIRONNEMENT - Tritium dans l'eau du robinet dans le Gard et en Lozère :
Suite à une enquête de Mediapart, pointant des taux allant de 10 à 20 becquerels par litres dans certaines communes du Gard et de Lozère, Midi Libre avait sollicité l'ARS Occitanie en début de semaine. Elle apporte ce vendredi sa réponse.
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-12-2024 23:34:00


RUGBY A XV - Viol en réunion par des rugbymen :
Trois ex-rugbymen de Grenoble ont été condamnés vendredi à des peines de 12 à 14 ans de réclusion criminelle pour avoir violé une jeune femme, en 2017 à Bordeaux, après une soirée très alcoolisée qui avait suivi un match de Top 14.
Après deux semaines de procès à huis clos et plus de neuf heures de délibéré, l'Irlandais Denis Coulson et le Français Loïck Jammes ont été condamnés à 14 ans de prison, et le Néo-Zélandais Rory Grice à 12 ans. Ces condamnations sont conformes aux réquisitions de l'avocat général.
Les faits de "viol en réunion" dont ils étaient accusés sont passibles de 20 ans de réclusion. Coulson est aujourd'hui âgé de 30 ans et reconverti dans le BTP, alors que Jammes (30 ans) et Grice (34 ans) jouent toujours au rugby, le premier à Aix-en-Provence et le second à Oyonnax, deux clubs de Pro D2.
La cour d'assises de Gironde a également condamné l'Irlandais Chris Farrell à 4 ans de prison, dont deux avec sursis, et le Néo-Zélandais Dylan Hayes à deux ans avec sursis, pour avoir assisté à tout ou partie des faits sans intervenir. Farrell, 31 ans, est également joueur d'Oyonnax ; Dylan Hayes, 30 ans (bien 30 ans), a pris sa retraite sportive et est actuellement sans emploi. Aucun des accusés et prévenus n'avait effectué de détention provisoire.
Le 12 mars 2017 au matin, la victime, âgée alors de 20 ans, avait quitté en larmes un hôtel de Mérignac, en périphérie de Bordeaux, où l'équipe de Grenoble avait séjourné après sa défaite contre l'Union Bordeaux-Bègles. L'étudiante avait porté plainte, déclarant avoir rencontré des joueurs dans un bar et les avoir suivis en discothèque lors d'une soirée très alcoolisée, sans se souvenir de la suite.
Elle ajoutait s'être réveillée le lendemain, nue sur un lit avec une béquille dans le vagin, entourée de deux hommes nus et d'autres habillés. Coulson, Jammes et Grice ont reconnu avoir eu des relations sexuelles avec la jeune femme mais assurent depuis le début qu'elle était consentante, prenant même des initiatives, version maintenue au procès.
En se basant notamment sur une vidéo filmée par Coulson, l'accusation a évoqué plusieurs fellations et l'introduction d'une banane, d'une bouteille et de béquilles dans le vagin de la victime. D'après un expert toxicologique, elle aurait eu entre 2,2 et 3 grammes d'alcool par litre de sang.
Selon des images de vidéosurveillance, elle tenait difficilement debout à son arrivée à l'hôtel, au point d'être "constamment maintenue" par un des accusés. Pour la défense, l'attitude de la plaignante durant la soirée puis à l'hôtel, qualifiée de "pilotage automatique" par un expert psychiatre, ne faisait "aucune ambiguïté" pour leurs clients, elle-même ayant confié aux policiers sa "peur" d'avoir été "consentante".
Une position "insupportable" et "infâme" aux yeux de la partie civile, pour qui les accusés auraient dû "protéger" la victime au lieu de "profiter" de son état d'ébriété. Ce verdict intervient trois jours après le non-lieu prononcé par la justice argentine dans la procédure pour viol aggravé qui visait deux internationaux français, Oscar Jegou et Hugo Auradou.
Elle a estimé que leurs relations avec la plaignante, rencontrée en boîte de nuit au soir de leur première sélection en Argentine, avaient été consenties. L'avocate de cette dernière va faire appel.
Auteur : Aigle 
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Date :    14-12-2024 07:40:51


Pas-de-Calais :
112 migrants en difficulté secourus alors qu'ils tentaient de traverser la Manche au large d'Hardelot et Ambleteuse dans le Pas-de-Calais.

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