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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 02:01:00


JUSTICE - La star mondiale de MMA, l'Irlandais Conor McGregor, condamné pour viol :
M. McGregor, 36 ans, était accusé d'avoir "brutalement violé et battu" la plaignante, Nikita Hand, dans une chambre d'hôtel de Dublin. Il avait affirmé de son côté que la relation sexuelle était consentie.
Après un procès d'une dizaine de jours, la Haute Cour de Dublin lui a ordonné de verser 248.603,60 euros à cette femme, une somme qui inclut notamment des frais médicaux.
Nikita Hand, 35 ans, accusait la star des arts martiaux de l'avoir plaquée sur un lit et étranglée à trois reprises avant de la violer. Pendant le procès, il a été indiqué qu'elle souffrait, entre autres, de graves ecchymoses sur les poignets et de douleurs au cou.
Elle accusait aussi un autre homme, James Lawrence, de l'avoir sexuellement agressée dans le même hôtel, mais elle n'a pas obtenu gain de cause à ce sujet.
Mme Hand a fondu en larmes à l'annonce du verdict, soulignant auprès des médias que ce procès avait été pour elle "un cauchemar".
Conor McGregor, surnommé "The Notorious", fait partie des stars mondiales de l'Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus célèbre et rémunératrice ligue en MMA.
Il était présent au tribunal avec sa famille et sa fiancée Dee Devlin. Pendant le procès, ses avocats ont accusé Nikita Hand de tenter de lui "extorquer" de l'argent.
L'ancien champion des poids plumes et des poids légers n'a plus combattu dans l'octogone depuis juillet 2021 en raison d'une blessure à une jambe. Sa reprise, prévue en juin dernier, a été reportée.
En 2020, l'Irlandais était le sportif le mieux payé du monde selon le magazine Forbes, avec 170 millions d'euros de gains.
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 02:19:11


SANTE - Actifed Rhume, Dolirhume, Nurofen Rhume... Les autorités sanitaires envisagent la fin de la vente libre de médicaments jugés dangereux :

"La délivrance de ces médicaments sans prescription médicale n'apparaît aujourd'hui plus adaptée", a estimé jeudi 21 novembre, dans un mail à l'AFP, l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament .
Elle dit envisager le "listage" de ces traitements, une mesure qui prendrait effet immédiatement et aboutirait dans les faits à ce qu'ils ne soient PLUS DISPONIBLES EN VENTE LIBRE EN PHARMACIE.
Ces médicaments ont tous en commun de contenir la molécule pseudoéphédrine. Les principaux s'appellent ACTIFED RHUME, DOLIRHUME, HUMEX RHUME, NUROFEN RHUME et RHINADVIL RHUME.
Disponibles sans ordonnance sous forme de comprimés, ces traitements - aussi vendus par spray nasal sur prescription - visent à décongestionner et désencombrer le nez. Ce sont donc les principaux médicaments utilisés contre le rhume.
Mais ils font l'objet depuis plusieurs années de nombreuses critiques, à commencer par l'ANSM elle-même, car ils peuvent provoquer de GRAVES EFFETS SECONDAIRES COMME DES AVC ET DES INFARCTUS.

> REBOND DES VENTES

La mesure envisagée par l'agence du médicament - relayée ces dernières semaines par des titres spécialisés comme le Quotidien du Pharmacien - est, à ce titre, le dernier épisode d'un long feuilleton qui l'a vu peu à peu durcir ses positions face à cette famille de traitements.
En 2023, elle avait pour la première fois déconseillé explicitement leur utilisation. Cette décision avait, pour un temps, fait décliner les ventes de traitements anti-rhume.
Mais celles-ci rebondissent depuis septembre, une situation que l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament juge particulièrement préoccupante "en amont de la saison hivernale" et son cortège de maladies.
Pourquoi ne pas interdire purement et simplement ces médicaments? Les autorités sanitaires françaises expliquent régulièrement avoir les MAINS LIÉES PAR LA REGLEMENTATION EUROPÉENNE, qui soumet le retrait d'une autorisation à l'avis de l'Agence Européenne du Médicament.

> RAPPORT BENEFICES/RISQUES

Or, celle-ci a estimé l'an dernier que les traitements anti-rhume concernés ne présentaient pas de risques suffisants pour les interdire, même si elle a IMPOSÉ DE NOUVELLES CONTRE-INDICATIONS.
Cet avis s'explique par le fait que les effets secondaires graves restent TRES RARES. Ils sont quelques-uns à être signalés chaque année et, en France, aucun décès n'a été rapporté.
Les autorités européennes et françaises sont donc en désaccord, les secondes estimant que le risque, même faible, est inacceptable au vu du caractère bénin de la maladie traitée: un simple rhume.
"Un trop grand nombre de patients reste ainsi exposé à des risques graves au regard des bénéfices modestes de ces médicaments", juge l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament.

> PHARMACIENS MECONTENTS

Cette position va dans le sens des principales sociétés savantes françaises - ORL, médecins généralistes, pharmaciens - qui s'opposent toutes à l'usage de ces médicaments.
Elle risque en revanche de froisser les pharmaciens, dont nombre de représentants estiment qu'une telle restriction réduit injustement l'éventail de médicaments à proposer à leurs clients enrhumés, dans un contexte marqué par une DIFFICULTÉ RECURRENTE A OBTENIR DES RENDEZ-VOUS MEDICAUX.
"Ça va devenir compliqué pour nous de répondre aux problèmes des patients, les gens n'auront plus de médecin et nous, on ne pourra plus rien conseiller", estime, dans le Quotidien du Pharmacien, Béatrice Clairaz-Mahiou, coprésidente de la Société Francophone des Sciences Pharmaceutiques Officinales.
Mais, pour d'autres observateurs, les autorités sanitaires ont, au contraire, été d'ores et déjà trop longues à réagir. "Les soignants ont mieux à faire que de passer du temps à déconseiller aux patients un médicament qui devrait être retiré du marché", estimait en début d'année la revue indépendante Prescrire, voyant dans la décision européenne une "OCCASION RATÉE (DE) PROTEGER LES PATIENTS".
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 02:28:29


JUSTICE - En Dordogne, un homme est condamné à 30 ans de prison pour le viol et la tentative de meurtre d'une jeune femme en 2021 :
Un homme de 34 ans, jugé pour viol avec violences et tentative de meurtre sur une femme en 2021 à Boulazac en Dordogne, a été condamné vendredi 22 novembre à 30 ans de prison dont 20 ans de peine de sûreté, rapporte France Bleu Périgord(Nouvelle fenêtre). Il devra également suivre, à sa sortie de prison, un suivi socio-judiciaire pendant trois ans. Le procès devant la cour d'assises de la Dordogne s'est déroulé à huis clos à la demande de la victime.
> RAPPEL DES FAITS : Dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 septembre 2021, peu avant 1 heure du matin, une femme de 35 ans a été agressée puis violée en pleine rue. Cette salariée d'un hôtel du centre de Périgueux quittait son travail pour rentrer chez elle, à Boulazac. Sur le trottoir, elle est attrapée par les épaules par un homme qui la met à terre violemment. L'individu lui porte alors de nombreux coups au visage avant de l'agresser sexuellement et de prendre la fuite. La jeune femme a réussi à rentrer chez elle et à prévenir les secours et la police. Aujourd'hui âgée de 38 ans, cette femme reste très éprouvée. Elle a quitté la Dordogne, département dans lequel elle s'était installée avec sa famille en 2020.
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 02:34:58


" DZ MAFIA " A MARSEILLE - Une trentaine d'interpellations dans le cadre d'une enquête sur le racket d'établissements de nuit :

Une trentaine de personnes, soupçonnées d'appartenir à la DZ Mafia et d’être impliquées dans des opérations d’extorsion contre des établissements de nuit à Marseille, ont été interpellées par la police judiciaire marseillaise en début de semaine, a appris franceinfo de source proche du dossier jeudi soir.
Lundi, 28 personnes ont été arrêtées par la Brigade de répression du banditisme de Marseille (BRB), appuyée par la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) et l'Unité d'investigation nationale(UIN). Tous ces suspects sont âgés d’une trentaine d’années. Certains ont été extraits de cellule pour être placés en garde à vue et être entendus par la BRB. L'enquête a été ouverte en juin pour "tentative d'homicide en bande organisée", "extorsion en bande organisée", "dégradation ou détérioration par moyen dangereux en bande organisée", et "direction ou organisation dirigée d'un groupement" ayant pour objet le trafic de stupéfiants.
Depuis plusieurs mois, les enquêteurs de la BRB en sont convaincus : l'un des suspects déjà incarcéré est l'un des leaders de l'organisation criminelle "DZ Mafia", principalement connue pour ses activités dans le trafic de drogue et les règlements de comptes à Marseille. "On a frappé fort", s'est confié un des enquêteurs à franceinfo, "c'est un gros coup porté à la DZ Mafia".
Depuis plusieurs mois, les enquêteurs surveillaient une équipe qui cherchait à mettre la main sur plusieurs discothèques et bars de nuit marseillais. Avec des coups de pression sur le propriétaire d'une dizaine d'établissements. L'un d'entre eux a, par exemple, subi des rafales d'armes automatiques sans qu'il n'y ait de victime. Une vingtaine de ces suspects doivent être présentés à un juge d’instruction.
C'est, à ce stade, le premier dossier judiciaire, hors trafic de stupéfiants et assassinat, où la DZ Mafia est impliquée. Une entreprise pilotée depuis la prison, les enquêteurs en sont persuadés. "On analyse cela comme une possible diversification de l’activité de l’organisation criminelle, qui ne fait plus seulement du stup mais d’autres domaines où il y a de l’argent", explique l'un d'entre eux à franceinfo. La méthode est décrite par un connaisseur : faire placer ses hommes pour assurer la sécurité de l’établissement, ou encore demander une "dîme" aux propriétaires.
Lors des perquisitions, les policiers de la Division de la criminalité organisée et spécialisée (ex-PJ) ont saisi des armes, dont un fusil d’assaut, ainsi que plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 02:41:47


FRANCE - Le sentiment de discrimination persiste voire augmente à la deuxième génération d'immigrés, d'après l'Insee :

Mieux intégrés mais plus discriminés : c'est ce qui ressort de l'une des études du portrait social de la France en 2024 de l'Insee(Nouvelle fenêtre) publiée jeudi 21 novembre sur le sentiment de discrimination qui persiste voire augmente à la deuxième génération d'immigrés.
Selon la définition de l'Insee, un immigré est une personne née étrangère à l'étranger et résidant en France. D'après cette étude, 34 % des enfants d'immigrés originaires d'Afrique ou d'Asie se déclarent plus discriminés que leurs aînés de la première génération (huit points de plus). Quant aux descendants d'immigrés nés en Europe, 19 % se déclarent moins discriminés ces dernières années que les immigrés européens (six points de moins).
Globalement, même si c'est davantage le cas pour les descendants d'immigrés européens, la seconde génération d'immigrés, toutes origines confondues, est pourtant mieux intégrée que ceux de la première génération, en terme de niveau d'études, de métier, de logement et de conditions de vie qui sont bien plus favorables. En revanche, et c'est tout le paradoxe de l'intégration selon l'Insee, malgré de meilleures conditions socio-économiques que leurs aînés, le fait que ces descendants d'immigrés hors Europe soient nés et aient grandi en France, leur citoyenneté française ne les protège pas des discriminations et du racisme. Au contraire même, selon les auteurs de cette étude.
D'après l'Insee, plus on est diplômés, plus on est sensibilisés aux situations de discriminations et d'inégalités et plus on est amenés à les déclarer. Ces discriminations sont plus élevées pour les personnes originaires d'Afrique ou du Maghreb ou les personnes de confession musulmane. Plus ces enfants d'immigrés sont diplômés, plus ils accèdent à des sphères professionnelles élevées. Selon les auteurs de l'étude, ils se retrouvent donc en interaction avec plus de personnes non immigrées et ils se déclarent, dans ce contexte, plus souvent discriminés, avec par exemple des expériences de plafond de verre dans une carrière.

>>> Le "déni de la qualité de Français" :

Ces discriminations se manifestent dès l'école. 19 % des descendants d'immigrés non-européens, et notamment du Maghreb ou d'Afrique, déclarent avoir été moins bien traités dans le cadre d'une orientation par exemple à cause de leur origine ou de leur couleur de peau, contre 8 % des descendants européens. Cette expérience du racisme, jeune, en milieu scolaire fait que ces personnes ont trois fois plus de risques de déclarer avoir subi des discriminations ces cinq dernières années.
Autre enseignement notable de l'étude de l'Insee : le sentiment persistant de ne pas être vus comme des Français comme les autres. C'est le fait d'être fréquemment renvoyés à leurs origines, ce que l'Insee appelle le "déni de la qualité de Français". 29 % des descendants d'immigrés d'origines asiatique et africaine déclarent y être confrontés contre 8 % pour les immigrés européens de la deuxième génération.
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 02:46:37


La loi sur le viol "doit être modifiée" pour y intégrer la notion de consentement, estiment les rapporteures d'une mission parlementaire :
Alors que le procès des viols de Mazan a remis la notion de consentement au cœur du débat public, les rapporteures d'une mission parlementaire portant sur la définition pénale du viol ont estimé, jeudi 21 novembre, que ce "crime de masse" devait "être modifié" pour y intégrer cette notion. Lancée en 2023, cette mission de l'Assemblée nationale a repris début novembre – après avoir été interrompue par la dissolution – et devrait rendre ses conclusions définitives mi-décembre.
"Au terme de plus d'un an de travaux, on a auditionné des juristes, des avocats, des magistrats, des associations qui accompagnent les victimes, des victimes elles-mêmes", a souligné la députée Véronique Riotton (Ensemble pour la République) lors d'un colloque au Sénat. "Autant au début de notre mission, on s'est posé la question de savoir si, oui ou non, il fallait changer la définition pénale du viol, autant nous avons désormais acquis la conviction, quel que soit notre bord politique, que oui", a-t-elle ajouté.

> Une évolution de la loi qui divise les spécialistes :

A l'heure actuelle, l'article 222-23 du Code pénal français définit le viol comme "tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, ou tout acte bucco-génital commis sur la personne d'autrui ou sur la personne de l'auteur par violence, contrainte, menace ou surprise". La notion d'absence de consentement n'y est, elle, pas mentionnée explicitement.
La question d'une modification de la loi actuelle divise juristes, associations féministes, élus et magistrats. Les opposants à une nouvelle définition pointent le risque que cette nouvelle définition desserve les victimes en déplaçant les débats sur le comportement de la victime plutôt que sur celui de l'auteur et mettent en garde contre un renversement de la charge de la preuve.
Il s'agit "de veiller à éviter les pièges", a déclaré la co-rapporteure de la mission, la députée écologiste Marie-Charlotte Garin, rappelant que l'objectif n'était par ailleurs "en aucun cas de remplacer la violence, la contrainte, la menace et la surprise" mais d'"élargir".
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 02:55:08


JUSTICE - 20 ans de réclusion criminelle pour un père qui violait et livrait sa fille à d’autres hommes inconnus :

La cour criminelle du Var a condamné vendredi un homme de 38 ans à 20 ans de réclusion criminelle, la peine maximale, pour avoir régulièrement violé sa fille adolescente et l’avoir livrée à des inconnus qui la violaient.
Dans cette affaire qui, par certains aspects, rappelle celle des viols de Mazan jugée à Avignon, le seul de ces violeurs identifié par les enquêteurs, qui comparaissait libre, a pour sa part été condamné à 16 ans de réclusion criminelle, avec mandat de dépôt à la barre. Des condamnations conformes aux réquisitions de l’avocate générale, Estelle Bois.

> Un contrôle absolu :

Depuis mercredi, le procès a mis en exergue l’emprise du père sur sa fille, sur laquelle il exerçait un contrôle absolu et à qui il a imposé des relations sexuelles très fréquentes à partir de l’âge de 13 ans.
Il l’a aussi conduite auprès d’autres hommes, souvent beaucoup plus âgés, recrutés sur des sites de petites annonces comme Wannonce, où il se présentait avec sa fille comme un couple de jeunes majeurs cherchant à assouvir un fantasme.
Les yeux bandés, la jeune fille devait se soumettre aux désirs de ces hommes, en présence de son père qui dirigeait, participait et filmait. Tout en reconnaissant les faits, le père a assuré avoir une relation sentimentale avec l’adolescente et soutenu n’avoir fait que céder à ses demandes.
"Il ne s’agit pas d’amour mais de pouvoir et de domination. Il n’aime pas (sa fille), il aime avoir tous les pouvoirs sur elle, qu’elle lui appartienne, qu’elle lui obéisse", a martelé Mme Bois.

> Photos et vidéos pornographiques :

L’avocate générale a aussi eu des mots très durs envers l’autre accusé, identifié grâce à la géolocalisation d’une des nombreuses photos et vidéos pornographiques de la jeune fille, des images retrouvées sur les appareils du père.
Ce sexagénaire, père de six enfants, a affirmé avoir été piégé, assurant n’avoir pas douté de l’histoire du fantasme de domination de deux jeunes adultes lors de leurs trois premières rencontres et avoir été dépassé lors de la dernière, dont les enquêteurs ont retrouvé une vidéo qu’ils ont qualifiée de "sordide".
Auteur : Aigle 
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Date :    23-11-2024 06:58:55


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