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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-01-2025 22:27:19


CHÔMAGE :
Violences, charge de travail, mal-être : alerte sur la santé des agents de France Travail .... Alors que France Travail doit absorber de nouvelles missions depuis le 1er janvier, une expertise indépendante sur les risques psychosociaux, réalisée en Occitanie après le suicide d’un agent en 2024, livre des conclusions inquiétantes.
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-01-2025 22:32:42


[B]HUMILIATIONS SUR INTERNET – A Nice, deux influenceurs de la controversée plateforme Kick placés en garde à vue puis relâchés[/B]

Les deux hommes, suivis par 160.000 abonnés, maltraitaient en direct des personnes vulnérables ou handicapées, encouragés par des dons des spectateurs.

La plateforme Kick fait parler d’elle. Deux influenceurs basés à Nice, nés en 2002 et 1998, ont été interpellés et placés en garde à vue ce mercredi à la suite d’une enquête relative à la diffusion de vidéos de violences et d’humiliations visant des personnes vulnérables sur le service de vidéo en direct Kick, annonce le parquet de Nice dans un communiqué. Un local de tournage situé à Contes a été également été perquisitionné.

Une annonce consécutive à une enquête de Médiapart mi-décembre, qui faisait «état de vidéos diffusées sur le réseau Kick, conçues par des individus présentés comme des influenceurs niçois», affirme le parquet. L’article rapportait les agissements de «Naruto» et «Safine» sur leur chaîne, «Jeanpormanove», la première de France avec plus de 160.000 abonnés sur la plateforme lancée il y a deux ans. Chaque soir, en direct pendant plusieurs mois, les deux hommes ont profité de la modération bien plus lâche sur Kick que sur les autres plateformes comme Twitch pour humilier physiquement et psychologiquement des individus et récolter des dons.

Les deux «personnes susceptibles d’être vulnérables faisaient l’objet de violences et d’humiliation», confirme le parquet, et les spectateurs - qui se comptaient parfois en dizaines de milliers en direct - effectuaient «des versements d’argent». Selon Mediapart, les deux streamers auraient reçu près de 13.000€ pour le mois de novembre.

Une enquête de police a été ouverte le 16 décembre, confiée au service local de police judiciaire (SLPJ) de Nice, des chefs de «provocation publique par un moyen de communication au public par voie électronique à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur handicap», de «violences volontaires en réunion sur personnes vulnérables ayant entraîné une ITT inférieure à 8 jours».
L’enquête de police portait également sur la «diffusion d’enregistrement d’images relatives à la commission d’infractions d’atteintes volontaires à l’intégrité de la personne prévues par les articles 222-1 et suivants du code pénal, sciemment enregistrées par quelque moyen et sur tout support que ce soit», complète le communiqué.

Les personnes «apparaissant comme victimes des violences et humiliations étaient entendues», mais «tant les personnes susceptibles d’être mises en cause que celles d’être victimes contestaient la commission d’infractions». Les gardes à vue des deux influenceurs ont été levées. La chaîne «Jeanpormanove», elle, a été bannie entre les 2 et 9 décembre, avant d’être de nouveau accessible pour les utilisateurs de Kick.
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-01-2025 22:39:26


MARSEILLE - Sébastien Delogu jugé ce mardi pour "violences volontaires" :

Sébastien Delogu doit comparaître ce mardi 7 janvier après-midi devant le tribunal correctionnel de Marseille. Le député insoumis marseillais doit répondre de violences volontaires pour avoir frappé un proviseur adjoint et une CPE d’un lycée du 15ᵉ arrondissement de Marseille, lors d'un blocus contre la réforme des retraites en mars dernier. France 3 Provence-Alpes vous détaille ce qu'il faut savoir de cette affaire.

Le député LFI de la 7ᵉ circonscription des Bouches-du-Rhône est visé par deux plaintes déposées par le proviseur adjoint et de la conseillère principale d'éducation (CPE) du lycée Saint-Exupéry, dans les quartiers nord de Marseille pour des faits qui se sont déroulés vendredi 10 mars 2023, en pleine mobilisation lycéenne contre la réforme des retraites.
Vers 7 heures du matin, les élèves bloquent l'entrée de l'établissement. La tension monte et des échauffourées éclatent devant l'établissement. Présent sur place, Sébastien Delogu arborant son écharpe tricolore, s'interpose avec les membres de la direction et les policiers qui veulent empêcher la mise en place du blocus. Dans ce contexte, le proviseur adjoint et la CPE accusent l'élu de leur avoir porté des coups de pied.
Le parquet de Marseille a ouvert une enquête, pour "violence volontaire par personne chargée d’une mission de service public sur personnel travaillant dans un établissement d’enseignement scolaire, aux abords d’un établissement d’enseignement scolaire, ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) n’excédant pas huit jours".

Le ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye avait apporté son "soutien aux membres de l’équipe éducative du lycée Saint-Exupéry à Marseille agressés ce matin par un député de la République", expliquant que "le droit à manifester s'arrête où la violence commence".

Sébastien Delogu nie les faits qui lui sont reprochés. L'élu insoumis affirme s'être interposé pour "protéger l'intégrité physique des lycéens". "Le proviseur et son adjointe s'en sont pris à cet élève. Et aussi à moi-même en me bousculant très violemment".

Sur France Bleu Provence, Sébastien Delogu évoquait à l'époque un "coup de pied malheureux" qu'il aurait envoyé alors qu'il tentait de s'extraire de la bousculade.

Dans un communiqué, Sébastien Delogu "dément fermement toutes les accusations mensongères qui peuvent être faites" à son égard. "J’ajoute, avec l'appui de dizaines de témoins, que j’ai moi-même été pris à partie physiquement par un membre de la direction". Le député a d'ailleurs lui aussi déposé plainte.

Le procès du parlementaire marseillais, proche de Jean-Luc Mélenchon a été renvoyé une première fois en décembre 2023 à la demande de son avocat qui demandait un supplément d'information concernant les images de vidéosurveillance du lycée, qui filme la voie publique. La vidéo ne permettait d'apercevoir que les mollets des protagonistes.
Repoussée au 25 juin 2024, l'audience a été renvoyée une seconde fois. L'avocat de député fait valoir le contexte de la campagne pour les législatives des 30 juin et 7 juillet.
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-01-2025 22:40:28


EDUCATION & ENSEIGNEMENT SUPERIEUR :
Le plus gros lycée de Saint-Denis menacé de fermeture à cause de son bâti vétuste ... Après le passage d’une commission de sécurité au lycée Paul-Éluard de Saint-Denis, la région est sommée de faire des travaux. Faute de quoi l’établissement de 2 000 élèves pourrait ne pas rouvrir en septembre. Un coup de pression de plus pour cet établissement notoirement dégradé.
Auteur : Mel_C  
765/1262

Date :    08-01-2025 22:40:44


EDUCATION & ENSEIGNEMENT SUPERIEUR :
Le plus gros lycée de Saint-Denis menacé de fermeture à cause de son bâti vétuste ... Après le passage d’une commission de sécurité au lycée Paul-Éluard de Saint-Denis, la région est sommée de faire des travaux. Faute de quoi l’établissement de 2 000 élèves pourrait ne pas rouvrir en septembre. Un coup de pression de plus pour cet établissement notoirement dégradé.
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-01-2025 22:44:17


VAUCLUSE - Une jeune femme enceinte de 8 mois se tue après une chute dans sa salle de bain :
Mardi 7 janvier, aux alentours de 21 heures, un homme appelle les pompiers pour prévenir que sa femme, âgée de 29 ans et enceinte, vient de faire un malaise dans la salle de bain à Uchaux (Vaucluse). Elle est déclarée décédée à l'arrivée des secours.
Après avoir prévenu les secours, le mari commence à faire un massage cardiaque à sa compagne, dont le terme de la grossesse est prévu dans sept jours. Sur place, pompiers, Samu, Smur ainsi qu’une équipe prénatale d’Avignon sont dépêchés, en plus de la gendarmerie. Les différents professionnels ne peuvent que constater le décès de la victime, malgré les efforts de son mari en attendant les secours. L’équipe d’urgence pédiatrique réalise une césarienne pour tenter de sauver le bébé. En vain, il est, lui aussi, déclaré mort.
Les gendarmes confirment que "tous les éléments nous dirigent vers un malheureux accident, bien que les investigations soient toujours en cours. Pour l’instant, tout corrobore les dire du mari, mais nous poursuivons les investigations pour fermer toutes les portes." Une autopsie est programmée pour connaître les circonstances de l’accident.
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-01-2025 22:50:23


NARCOTRAFIC - " La DZ, elle aime qu'on parle d'elle " : discothèques, supérettes… le racket signé DZ Mafia fait régner la terreur :

Des menaces, du racket et tentatives d'extorsion... Et toujours le même nom. DZ Mafia. Dernier méfait en date, le patron d'une discothèque d'Aix-en-Provence a reçu un message personnel signé du gang qui domine le marché marseillais de la drogue, l'invitant à verser la somme de 80 000 euros en l'échange de la protection de son club. Cette information du Figaro a été confirmée à France 3 Provence-Alpes par une source policière.

Comme l'expliquent nos confrères, cet avertissement a été suivi d'autres messages de menaces envers le gérant de la boîte de nuit et ses proches. Ce dernier a déposé plainte, une enquête est en cours. Selon la police, rien ne permet d'affirmer qu'il s'agit bien de membres de la DZ Mafia à l'origine de cette tentative d'extorsion. Un travail de recoupement est alors nécessaire, mais porte ses fruits. "Après enquête, nous arrivons à savoir à qui on a affaire", note Bruno Bartocetti, responsable de la zone Sud du syndicat Unité SGP Police-FO.

Comme en décembre, lors d'un fait divers révélé par Le Parisien au scénario ressemblant. Le propriétaire d'une épicerie dans le centre de Marseille avait lui reçu un SMS lui réclamant 250 0000 euros sous peine de représailles envers lui et sa famille. Les enquêteurs avaient finalement identifié l'auteur du SMS : un homme connu de la justice, mais sans lien avec la criminalité organisée. Rien à voir avec la DZ Mafia.

Pour le moment, l'organisation criminelle n'a pas publié de démenti quant à la tentative d'extorsion de la boîte de nuit d'Aix-en-Provence. "Elle aime bien faire parler d'elle", analyse Bruno Bartoccetti. "Beaucoup se retranchent derrière la DZ, qui a bon dos. Et de plus en plus, elle laisse faire. Ainsi, elle est hyper présente. C'est une stratégie de puissance. On est dans le même schéma qu'en Amérique latine, c'est la mexicanisation des méthodes.".

L'organisation laisse faire. Sauf quand cela porte atteinte à sa réputation. Ce fut le cas en octobre dernier, lors du meurtre d'un chauffeur de VTC, abattu par un mineur de 14 ans. Le commanditaire, un détenu de Luynes, s'était présenté comme un membre de la DZ, mais le gang avait démenti en postant la vidéo d'une conférence de presse, avec armes et cagoules, à la façon des indépendantistes corses du FLNC. "Aujourd'hui notre nom est utilisé par de nombreuses personnes malveillantes et malintentionnées qui n'ont aucun rapport avec nous", expliquait alors la DZ dans cette vidéo.

Cette usurpation d'identité est bien le signe de la montée en puissance du gang marseillais, responsable d'un grand nombre de fusillades autour de points de deal. Des règlements de compte sanglants pour étendre son pouvoir sur le territoire. L'année 2024 a néanmoins marqué un tournant pour la DZ. Les opérations anti-drogue ont fortement dérangé le business des narcotrafiquants, forcés de trouver nouvelles sources de profits. D'où les tentatives d'intimidation, le racket et l'extorsion de fonds visant les établissements de nuits.

En novembre dernier, vingt-huit personnes soupçonnées d'avoir participé à des extorsions en bande organisée pour le compte du clan de trafiquants marseillais, ont été interpellées.
Auteur : Mel_C  
768/1262

Date :    08-01-2025 22:56:26


TABAC - les consommateurs font grise mine après une nouvelle hausse du prix des cigarettes :

"Je crois que je vais arrêter de fumer" résume déconfit un client d'un bureau de tabac de Nice, constatant que son paquet de cigarettes vient d'augmenter de cinquante centimes, le portant à 13 €.
Alors c'est la résolution de beaucoup de fumeurs en découvrant la hausse du prix des cigarettes. "C'est beaucoup trop cher" lance avec un sourire crispé cette autre cliente.
Laëtitia Giacomello est gérante d'un bureau de tabac à Nice depuis moins d'un an. Le problème reste la proximité avec l'Italie où le tabac coûte moitié moins qu'en France : "Aujourd'hui, il y a un vrai besoin de développer d'autres produits pour justement attirer nos consommateurs dans nos points de vente sur d'autres choses comme la boisson, le vapotage, de développer une offre sur la papeterie pour capter le consommateur dans nos points de vente".

>>> Prohibition :

Pour la fédération des buralistes des Alpes-Maritimes, c'est l'avenir même de la profession qui est menacée : "on est en train de reproduire ce qui s'est passé aux États-Unis du temps de la prohibition" explique Claude Ferreri, son vice-président, "si on veut faire des réseaux de contrebande de cigarettes, c'est ainsi qu'il faut procéder !"
Selon Santé Publique France, c'est en région PACA qu'on fume le plus, un adulte sur trois le fait quotidiennement.
Pour mémoire, le tabac est à l'origine de 75 000 décès par an. Sa consommation avait baissé entre 2016 et 2019, avant de se stabiliser pendant la pandémie de Covid-19, la prévalence du tabagisme quotidien diminue à nouveau depuis 2021. Le coût du paquet de cigarettes n'y est sans doute pas étranger.

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