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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:05:15


FRANCE - «Brûler vif, tuer, violer»: un influenceur sera jugé lundi :

>>> L'homme arrêté vendredi près de Grenoble devra répondre de «provocation directe à un acte de terrorisme».

Un influenceur algérien connu sous le nom d’Imad Tintin, soutien d’un autre Algérien déjà poursuivi à Brest pour apologie de terrorisme, a été présenté à un juge dimanche en vue d’une comparution immédiate lundi pour «provocation directe à un acte de terrorisme», a indiqué le parquet de Grenoble.
Imad Tintin a été interpellé vendredi soir à Echirolles, près de Grenoble, après avoir publié une vidéo, retirée depuis, appelant à «brûler vif, tuer et violer sur le sol français», selon une capture d’images reprise par le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui a dénoncé des propos «ignobles».
Contrairement aux réquisitions du parquet, qui avait demandé la détention provisoire, le juge des libertés et de la détention a décidé dimanche de placer l’influenceur sous un simple contrôle judiciaire, a indiqué le parquet de Grenoble. Sa comparution immédiate est cependant confirmée pour lundi 13h30.
Âgé de 31 ans, il a soutenu Youcef A., alias Zazou Youssef, autre influenceur algérien vivant en France, placé en détention provisoire jusqu’à son procès le 24 février par le tribunal de Brest pour apologie d’un acte de terrorisme, après avoir appelé à des actes violents via des vidéos.

> Vidéo aux plus de 800願 vues

Imad Tintin est entré en France en décembre 2021 et a demandé en août 2023, sans succès, un titre de séjour après son mariage avec une Française. Il est, comme Zazou Youssef, sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français).
Il a été interpellé avec son frère jumeau, selon une source policière qui précise qu’une perquisition de leur domicile a permis de retrouver les décors utilisés pour la vidéo aux plus de 800願 vues. Le parquet de Grenoble n’a pas précisé la situation du frère jumeau.
De leur côté, le maire de Montpellier Michaël Delafosse (PS) et le préfet de l’Hérault François-Xavier Lauch ont signalé samedi «au procureur de la République la publication sur le réseau social TikTok d’une vidéo émanant d’un influenceur résidant à Montpellier», a indiqué dimanche le parquet de Montpellier à l’AFP.
«Tuez-le, laissez-le souffrir», lance notamment cet influenceur algérien, évoquant un manifestant algérien anti-régime. Le parquet a immédiatement saisi «le commissariat de Montpellier d’une enquête du chef de provocation publique et directe et non suivie d’effet à commettre un crime».
«Les investigations sont en cours», a précisé le parquet de Montpellier.

> «Guerre menée en France»

Michaël Delafosse avait rappelé samedi sur X que «l’incitation à la haine est un délit» et qu’à ce titre «cette vidéo ne fait aucun doute». Vidéo qualifiée par le préfet de l’Hérault, sur le même réseau social, d'«intolérable».
La préfecture de l’Hérault a par ailleurs fait savoir à l’AFP qu’elle étudiait la possibilité de retirer son titre de séjour à cet influenceur et de prendre à son encontre une OQTF.
«Les services de renseignement étudient ces affaires de très près», a pour sa part déclaré l’entourage du ministre de l’Intérieur.
Zazou Youssef et Imad Tintin ont rejoint «la guerre menée en France par le régime algérien» qui mobilise un nombre «important» d’influenceurs appelant à «la violence», a estimé auprès de l’AFP Chawki Benzehra, opposant algérien réfugié en France après avoir pris part aux manifestations prodémocratiques contre le pouvoir en 2019. Chawki Benzehra a dit avoir porté plainte vendredi à Lyon pour des menaces proférées contre lui par Imad Tintin.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:06:48


IRAN - Chiffre record de 31 femmes exécutées en 2024 :

>>> Pour l'ONG Iran Human Rights, la discrimination et l’inégalité entre les sexes sont enracinées dans le système judiciaire iranien.

Les autorités iraniennes ont exécuté au moins 31 femmes en 2024, selon Iran Human Rights, un chiffre record depuis que cette organisation non gouvernementale a commencé en 2008 à recenser l’application de la peine capitale dans la république islamique.
«L’exécution de femmes en Iran révèle le caractère brutal et inhumain de la peine de mort, et démontre à quel point la discrimination et l’inégalité entre les sexes sont enracinées dans le système judiciaire» iranien, a déclaré le directeur de l’IHR, Mahmoud Amiry-Moghaddam.
L’IHR, dont le siège est en Norvège, a recensé au total 241 femmes exécutées entre 2010 et 2024, dont 114 pour meurtre et 107 pour des affaires de drogue. «De nombreuses femmes exécutées pour meurtre étaient des victimes de violences domestiques ou d’abus sexuels agissant par désespoir», a déclaré l’IHR.

> Le qisas

La loi islamique du talion, appliquée en Iran et connue sous le nom de qisas, stipule qu’un meurtre doit être «payé» par la perte d’une autre vie, sauf si la famille de la victime pardonne ou accepte un paiement compensatoire. Cette règle implique que «le système judiciaire iranien considère rarement (l’existence de violences familiales) comme des circonstances atténuantes» selon Iran Human Rights.
L’IHR cite le cas de Zahra Esmaili, forcée d’épouser son voisin, fonctionnaire au ministère des renseignements, après être tombée enceinte parce qu’il l’avait violée. Cette femme a été accusée d’avoir tué son mari, violent contre elle et ses enfants, en 2007. «La famille de son mari a insisté sur le qisas, sa belle-mère se chargeant personnellement de l’exécution en 2021. Son avocat a révélé par la suite que Mme Esmaili avait été victime d’une crise cardiaque après avoir vu un groupe d’hommes exécutés avant elle. «Ils ont pourtant pendu son corps sans vie», selon l’ONG.

> «Sept hivers à Téhéran»

L’une des affaires les plus retentissantes a été la pendaison en octobre 2014 de Reyhaneh Jabbari, 26 ans, reconnue coupable du meurtre d’un ancien agent des services de renseignement qui, selon elle, avait tenté de l’agresser sexuellement. La jeune femme a déclaré avoir été torturée pour lui arracher des aveux. La famille de la victime a insisté sur son exécution parce qu’elle maintenait avoir agi en légitime défense. Son cas a fait l’objet d’un documentaire, «Sept hivers à Téhéran», présenté au festival du film de Berlin en 2023.
Les défenseurs des droits humains s’inquiètent de façon générale du nombre croissant d’exécutions en Iran, soupçonnant les autorités islamiques d’utiliser la peine capitale pour instiller la peur dans la société, en particulier à la suite des manifestations de protestations en 2022-2023.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:13:11


PAYS-BAS - Un homme qui tuait «au hasard» a été arrêté :
La police néerlandaise a déclaré vendredi avoir arrêté un homme soupçonné d’avoir tué trois individus par balle dans la ville de Rotterdam au cours des deux dernières semaines.
Ces meurtres présumés, commis a priori «au hasard», ont semé la terreur chez les habitants de la ville portuaire et fait la une des journaux aux Pays-Bas, où la violence armée est généralement liée au crime organisé.
La police a arrêté jeudi soir un homme de 24 ans sans lieu de résidence fixe. Une arme a été trouvée sur les lieux de l’arrestation.
Le procureur général Hugo Hillenaar a déclaré à la presse qu’il n’y avait pas d’indication sur le mobile de l’attaque.
«C’est un cauchemar pour tous les habitants de Rotterdam, mais aussi pour moi personnellement et pour tous les professionnels concernés, car quelqu’un se promenait librement en tirant sur des victimes au hasard», a déclaré M. Hillenaar.
Le procureur a précisé que le suspect était né sur l’île antillaise de Curaçao, et qu’il avait grandi aux Pays-Bas. Il était connu de la police pour des délits mineurs.
Les meurtres présumés ont commencé le 21 décembre, lorsqu’un homme de 63 ans a été abattu d’une balle dans la tête, succombant à ses blessures.
Une semaine plus tard, un homme de 58 ans a été tué dans des circonstances similaires dans le même quartier.
Le chef de la police de Rotterdam, Fred Westerbeke, a déclaré que son équipe avait rapidement établi un lien entre les deux meurtres, mais qu’elle n’avait pas été en mesure d’empêcher le troisième, lorsqu’un homme de 81 ans a été abattu par balle jeudi.
La police avait appréhendé le suspect dans un magasin jeudi soir, mais n’était pas parvenue à l’identifier comme l’individu apparaissant sur une photo de faible qualité prise par une caméra de sécurité, a déclaré M. Westerbeke.
Après avoir pris une photo du suspect et recueilli des informations sur son identité, la police a pu l’arrêter plus tard en soirée, a ajouté le chef de la police.
Les autorités n’ont trouvé aucun lien entre les trois victimes et supposent «qu’elles ont été choisies au hasard», a ajouté M. Westerbeke.
La maire de Rotterdam, Carola Schouten, a déclaré que l’arrestation du suspect avait suscité un «grand soulagement» dans la ville.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:16:52


ROYAUME-UNI - Le père et tortionnaire de la petite Sara attaqué en prison :

Urfan Sharif, récemment condamné à la prison à vie à Londres pour avoir torturé et tué sa fille Sara, a été attaqué par deux détenus de la prison de Belmarsh, rapporte vendredi le quotidien britannique «The Sun».
Les deux hommes ont agressé Urfan Sharif, 43 ans, le 1er janvier avec le couvercle tranchant d’une conserve de thon, le coupant au visage et dans le cou, précise le tabloïd.
Sara, petite fille anglo-pakistanaise de 10 ans, était morte sous les coups en août 2023 après des années de mauvais traitements dont les détails, révélés au procès, ont bouleversé les Britanniques.
La police de Londres a confirmé enquêter sur l’agression d’un «prisonnier de 43 ans, dont les blessures ne mettent pas sa vie en danger» à la prison de haute sécurité de Belmarsh, au sud-est de Londres.

>>> Un procès qui a bouleversé le Royaume-Uni :

Un porte-parole de l’administration pénitentiaire a également confirmé l’agression d’un prisonnier sans l’identifier.
Le père et la belle-mère de Sara Sharif, Beinash Batool, âgée de 30 ans, ont été condamnés mi-décembre à la prison à vie à Londres pour le meurtre de la fillette.
Le procès de ces tortionnaires a bouleversé le Royaume-Uni, tant à cause des violences infligées à Sara qu’en raison des occasions manquées qui auraient pu la sauver.
«Il n’est pas exagéré de qualifier de torture», ce qu’a enduré la petite fille, avait déclaré le juge, rappelant un à un les sévices insoutenables qui lui ont été infligés.
L’oncle de Sara Faisal Malik, 29 ans, qui vivait avec le couple à Woking (sud-ouest de Londres), a lui été condamné à 16 ans de prison pour avoir «causé ou rendu sa mort possible».
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:18:16


NOUVELLE-CALEDONIE - Attaque de requin :
Un requin a tué jeudi un homme de 40 ans dans le nord de la Nouvelle-Calédonie, a annoncé le procureur de la République.
L’homme, originaire de l’île de Maré, dans l’est du territoire français ultramarin du Pacifique, se trouvait en compagnie de sa famille sur l’îlot Kendek où il pratiquait la pêche sous-marine, selon un communiqué de presse diffusé vendredi.
Grièvement blessé au niveau du bras par un requin et inconscient, le quadragénaire a été transporté par ses proches vers la ville voisine de Koumac, sur la Grande Terre, l’île principale de la Nouvelle-Calédonie, avant d’être pris en charge par les sapeurs-pompiers et des sauveteurs bénévoles.
Le service des urgences de l’hôpital de Koumac étant fermé depuis le 1er janvier, faute de personnel médical, une équipe de médecins d’urgence a été dépêchée depuis Nouméa. Le médecin urgentiste a constaté le décès à 18h40, malgré les tentatives de réanimation.
Le procureur de la République a ouvert une enquête pour déterminer les causes de la mort et tenter d’identifier l’espèce du requin mis en cause.
En juin 2024, une attaque de squale avait eu lieu à Poindimié, dans le nord-est de la Grande Terre. Selon les éléments communiqués par le procureur de la République, un homme, qui pratiquait alors le kitesurf, s’était noyé avant que son corps ne soit attaqué par plusieurs requins.
Auteur : Mel_C  
790/1156

Date :    06-01-2025 21:31:29


PARIS - Attaque au hachoir visant Charlie Hebdo :
Au premier jour du procès de l’attaque à la feuille de boucher devant les anciens locaux de «Charlie Hebdo» en septembre 2020, le principal accusé a demandé lundi «pardon» aux victimes et à leur famille.
«Ce sont des faits vraiment graves. Je demande pardon aux victimes, à leur famille et aux gens à qui j’ai fait mal», a dit Zaheer Mahmood, qui aura 30 ans le 25 janvier.
Le jeune Pakistanais, chemise blanche et jeans bleus, courte barbe et cheveux bruns, comparaît avec cinq co-accusés, tous Pakistanais, devant la cour d’assises spéciale des mineurs de Paris pour tentatives d’assassinats terroristes et association de malfaiteurs terroriste criminelle.
Les victimes «ne méritaient pas ça», a ajouté maladroitement, dans un français hésitant, Zaheer Mahmood, pouvant ainsi laisser entendre qu’elles auraient pu le «mériter» si, comme le ressortissant pakistanais le pensait à l’époque des faits, elles avaient travaillé pour «Charlie Hebdo».
L’ouverture de ce procès coïncide avec le 10e anniversaire de l’attentat jihadiste qui a décimé une partie de la rédaction de l’hebdomadaire.
Les autres accusés, dont deux comparaissent libres, sont poursuivis pour participation à une association de malfaiteurs terroriste.
Trois des accusés étaient mineurs au moment des faits. Une demande de huis clos a été présentée en début d’audience par des avocats de la défense, mais la cour a rejeté cette requête en arguant que tous les accusés étaient désormais majeurs et que la seule obligation légale était de ne pas révéler leur identité.
L’interrogatoire des accusés sur le fond n’est pas attendu avant la semaine prochaine.
L’attaque au hachoir avait eu lieu le 25 septembre 2020, en plein procès des attentats de janvier 2015 ayant ciblé notamment «Charlie Hebdo». L’hebdomadaire satirique faisait l’objet de nouvelles menaces depuis qu’il avait republié les caricatures de Mahomet qui en avaient fait la cible des jihadistes, le jour de l’ouverture de ce procès le 2 septembre.
Aux alentours de 11 h 40 ce 25 septembre, Zaheer Mahmood arrive devant un immeuble de la rue Nicolas-Appert (XIe arrondissement de Paris), armé d’un hachoir, et blesse grièvement deux employés de l’agence de presse Premières Lignes qui se trouvaient sous le porche pour fumer une cigarette.
Les deux victimes, une femme de 28 ans et un homme de 32 ans, avaient été grièvement blessées au visage.
Zaheer Mahmood, arrivé clandestinement en France en 2018, pensait s’attaquer à des salariés de «Charlie Hebdo», ignorant que le journal avait quitté ses locaux après l’attentat de 2015.
«Ce que j’ai fait, c’est bien. Je me sens mieux. Je considère qu’ils sont bien punis. On ne se moque pas de la religion», avait-il déclaré en garde à vue.
«Dans notre islam, on dit que si quelqu’un insulte ou se moque de notre Prophète, il faut tuer ceux qui l’ont insulté», avait-il souligné.
Aux enquêteurs, Zaheer Mahmood a expliqué son geste par la colère ressentie lors de la nouvelle publication des caricatures de Mahomet.
Cette publication avait entraîné des manifestations dans plusieurs pays musulmans, dont le Pakistan, où le blasphème est passible de la peine de mort.
Les perquisitions et analyses des nombreux téléphones et du matériel informatique trouvés au domicile de M. Mahmood ont permis d’identifier cinq personnes qui l’auraient «motivé et soutenu dans son processus idéologique devenu un engrenage violent».
L’enquête a démontré des contacts réguliers entre Zaheer Mahmood et ces hommes avec notamment l’échange de vidéos de prêches prônant la décapitation pour les blasphémateurs.
> Le procès est prévu jusqu’au 24 janvier.
Auteur : Aigle 
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Date :    07-01-2025 08:19:30


Mpox :
un premier cas du nouveau variant identifié en France
Le ministère de la santé a été informé « d’un premier cas humain de mpox de clade 1b sur le territoire national, en Bretagne ».
Le risque d’infection de ce variant en Europe est considéré comme faible.
« Le cas déclaré concerne une personne n’ayant pas voyagé en Afrique MAIS a toutefois été en contact avec deux personnes de retour d’Afrique centrale»
Auteur : Aigle 
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Date :    07-01-2025 08:32:56


L'Iran
a exécuté 31 femmes en 2024,
un nombre jamais atteint depuis 2008, selon une ONG
"De nombreuses femmes exécutées pour meurtre étaient des victimes de violences domestiques ou d'abus sexuels agissant par désespoir", souligne l'ONG Iran Human Rights.

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