◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Salon de thé
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄130131132133134135   ►►

çà s'est passé .....
Auteur : Mel_C  
1065/1078

Date :    07-07-2025 00:14:31


7 juillet 2016

A Dallas, aux Etats-Unis, cinq policiers sont tués par deux snipers dans une fusillade durant une manifestation pacifique. Six autres policiers seront blessés. L’un des snipers sera abattu par un robot tueur télécommandé.
Auteur : Mel_C  
1066/1078

Date :    07-07-2025 00:14:46


7 juillet 2017

Le traité sur l’interdiction des armes nucléaires est adopté par 122 pays sur les 192 présents à l’ONU.
Auteur : Mel_C  
1067/1078

Date :    07-07-2025 00:15:54


7 juillet 1415 : Le réformateur Jan Hus est brûlé vif

Le 7 juillet 1415, le prédicateur tchèque Jan Hus (44 ans) est brûlé vif à Constance, en Allemagne. Mais ses idées et ses convictions évangéliques vont lui survivre et même connaître un regain de popularité après sa mort parmi les Tchèques.

°°°°° Un prédicateur populaire

Jan Hus se rend au bûcher avec la tiare des hérétiquesRecteur de l'Université de Prague, Jan Hus prêchait en langue tchèque, ce qui lui valait une grande popularité auprès des habitants de Bohème.

Suite au mariage de la soeur du roi de Bohème Wenceslas IV avec le roi d'Angleterre Richard II, il avait noué des relations intellectuelles avec le réformateur anglais John Wyclif.

S'inspirant de l'enseignement de son homologue anglais, il avait réclamé le retour à la pureté évangélique pour relever une Église en pleine crise, partagée entre plusieurs papes et antipapes.

Jan Hus est excommunié en 1412 mais poursuit néanmoins sa prédication. Celle-ci se solde par une grande effervescence populaire et même des soulèvements en Bohème et jusqu'en Pologne et en Hongrie. Avec un sauf-conduit de l'empereur Sigismond, le prédicateur se rend à Constance où se tient un concile. Mais là, malgré la protection de l'empereur d'Allemagne, il est condamné pour hérésie, livré au bras séculier et brûlé vif. Sa mort est un commencement...

°°°°° Des guerres hussites à la Réforme

Jan Hus est aussitôt proclamé martyr par l'Université de Prague et, dans toute la Bohème, ses partisans se soulèvent contre la papauté et le Saint Empire romain germanique.

Jan Hus sur le bûcher (d'après le Jena Codex, manuscrit de la fin du XVe siècle, Prague)Certains, les taborites (du nom de Tabor, petite ville de Bohème) n'hésitent pas à revendiquer une société de type communiste, fondée sur les valeurs évangéliques.

Les insurgés tirent parti de la rivalité entre le roi Wenceslas et son frère, l'empereur Sigismond.

Les guerres hussites se terminent le 5 juillet 1436 avec la reconnaissance de Sigismond comme nouveau roi de Bohème et la confirmation des compactata de Prague.

Ce texte du 30 novembre 1433 concède aux hussites modérés le droit de communier sous les deux espèces (l'hostie et le vin)... comme c'est le cas aujourd'hui dans l'ensemble des églises chrétiennes.

Malgré leur défaite, les idées hussites vont continuer à se répandre en Europe centrale. Elles faciliteront, un siècle plus tard, le développement du protestantisme.
Auteur : Mel_C  
1068/1078

Date :    07-07-2025 00:16:37


7 juillet 1438 : « Pragmatique Sanction » de Bourges

Le 7 juillet 1438, le roi Charles VII publie à Bourges la « Pragmatique Sanction », qui régit les relations entre l'Église gallicane (c'est-à-dire française) et le pape. Plusieurs fois amendé, abrogé et rétabli, ce texte va souffrir d'une mauvaise application jusqu'au Concordat de Bologne de 1516. Il n'en constitue pas moins un pas important dans l'émancipation de la monarchie à l'égard du Saint-Siège.

Au Moyen Âge, les papes s'attribuaient le droit de régenter les monarchies chrétiennes mais le Grand Schisme d'Occident (1378-1417) avait beaucoup réduit leurs prétentions. Charles VII en profite pour enlever au pape tout ce qui relève de l'administration des diocèses et des abbayes en lui laissant ce qui relève de la foi. Cette manière de voir est ce que l'on appelle le « gallicanisme ».

La « Pragmatique Sanction » retire ainsi au pape le droit de nomination des évêques et abbés : les évêques sont désormais élus par les chanoines de leur cathédrale et les abbés par leurs religieux. Elle prévoit aussi de supprimer les annates, autrement dit l'année de recette que tout nouveau titulaire d'un siège ecclésiastique (abbé, évêque) devait verser au Saint-Siège. Dans les faits, détournant ces dispositions, le roi et ses familiers vont s’immiscer dans les élections et imposer leur candidat, sans égard pour leurs aptitudes, en vue de s'approprier les revenus des diocèses et des monastères.
Auteur : Mel_C  
1069/1078

Date :    07-07-2025 00:17:05


7 juillet 1456 : Réhabilitation de Jeanne d'Arc

En reconnaissance de son action, Jeanne Darc a été anoblie, ainsi que sa famille, par Charles VII le 24 décembre 1429 (son nom, Darc, est dès lors devenu d'Arc).

Mais c'est seulement un quart de siècle après sa mort que son rôle sera pleinement reconnu. Le pape Calixte III, à l'initiative de la mère de Jeanne, constitue à Rouen un tribunal ecclésiastique destiné à réexaminer les conditions du premier procès.

Les juges voient défiler à la barre des centaines de témoins, compagnons d'enfance et compagnons d'armes de Jeanne. Tous sont unanimes à célébrer sa piété, sa vertu et la force de ses convictions... En foi de quoi, le 7 juillet 1456, les juges déclarent le procès de 1431 «entaché de vol, calomnie, iniquité».
Auteur : Mel_C  
1070/1078

Date :    07-07-2025 00:17:40


7 juillet 1792 : Le « baiser Lamourette »

Le 7 juillet 1792, les gouvernants français sont aux abois. L'ennemi est aux frontières et, à l'Assemblée Législative, à Paris, les représentants de la Nation se déchirent entre Feuillants, Fayettistes, Brissotins, Montagnards...

C'est alors que le député Antoine-Adrien Lamourette, évêque constitutionnel de Lyon, monte à la tribune et en appelle à la réconciliation par un discours si émouvant que tous ses collègues tombent dans les bras les uns des autres. Ils réclament la publication de l'appel de Lamourette. Une délégation conduite par Lamourette va même au palais des Tuileries chercher le roi Louis XVI. Celui-ci se rend à l'Assemblée et, attendri, la félicite pour son esprit de fraternité.

Mais dès le lendemain, au club des Jacobins, refuge des sans-culottes et des révolutionnaires les plus endurcis, Jacques Billaud-Varenne remet les pendules à l'heure : « À voir certains membres se jeter dans les bras d'autres membres, il me semble voir Néron embrassant Britannicus et Charles IX tendant la main à Coligny ». En définitive, le brave Lamourette meurt sur l'échafaud dix-huit mois plus tard, le 11 janvier 1794.
Auteur : Mel_C  
1071/1078

Date :    07-07-2025 00:18:08


7 juillet 1904 : Les congrégations religieuses interdites d'enseignement

Le 7 juillet 1904, les congrégations religieuses n'ont plus le droit d'enseigner. Au nom de la laïcité, le président du Conseil, Émile Combes, peut annoncer : « L'anticléricalisme est l'oeuvre la plus considérable et la plus importante pour l'émancipation de l'esprit humain ». Après avoir supprimé l'enseignement religieux, le gouvernement français songe à l'abrogation du Concordat de 1802 et à la séparation des Églises et de l'État.
Auteur : Mel_C  
1072/1078

Date :    07-07-2025 00:19:10


7 juillet 1807 : Le traité de Tilsit

Le 7 juillet 1807, le tsar Alexandre Ier et l'empereur Napoléon Ier, les deux plus puissants souverains d'Europe continentale, signent un traité secret à Tilsit, une petite ville fortifiée de Prusse-orientale (on écrit aussi Tilsitt).

Avec ce traité et celui, public, qui sera signé deux jours plus tard, c'en est fini de la quatrième coalition européenne contre la France qui a vu la défaite de la Prusse à Iéna et celle de la Russie à Friedland. Les deux nouveaux alliés se promettent « paix et amitié ». Mieux que cela, ils s'engagent sur un partage du continent : à l'Empereur l'Occident, au tsar l'Orient et Constantinople. Mais ces engagements ne dureront guère.
Entrevue de Napoléon et Alexandre à Tilsit le 7 juillet 1807 (Pierre Bergeret, 1810, château de Versailles)

°°° Une amitié démonstrative

Quelques jours plus tôt, le 25 juin, les deux souverains se sont rencontrés pour la première fois à proximité de là, sur un radeau au milieu du Niemen, à la frontière de l'empire russe.

Le tsar, battu à Austerlitz, Eylau et Friedland, souhaite gagner du temps dans la guerre contre l'usurpateur français. Il feint en conséquence de se réconcilier avec lui et il ne lui déplairait pas d'en tirer profit en étendant la domination de la Russie à Constantinople, capitale d'un empire ottoman décati.

De son côté, Napoléon croit possible d'en finir avec la résistance de l'Angleterre, maîtresse des mers depuis la bataille de Trafalgar, en associant la Russie au « Blocus continental » destiné à ruiner son économie.

Il s'agit d'interdire aux Européens de commercer avec les Anglais. Les Espagnols et les Portugais, très dépendants du commerce britannique, y rechignent mais Napoléon ne s'en inquiète pas et se dit qu'il saura les y contraindre le jour venu. Et pour rallier l'Europe du Nord au blocus, rien ne vaut le concours de la Russie...

◄◄130131132133134135   ►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »