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çà s'est passé .....
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 20:56:57


......................... et aussi ..............................

06 novembre 1956 : L'expédition de Suez tourne au fiasco :

Le 6 novembre 1956, à minuit, prend fin l'expédition de Suez. Les parachutistes français et britanniques doivent cesser le feu quelques heures à peine après avoir sauté sur le canal et défait les troupes égyptiennes.

Imposé par les Soviétiques et les Américains, ce cessez-le-feu sonne pour la France et la Grande-Bretagne la fin de l'ère coloniale et la fin de leur influence au Moyen-Orient. Il annonce aussi l'émergence du tiers monde et des pays arabes ainsi que l'intervention des États-Unis dans la politique moyen-orientale.

>>> Cynisme et arrogance :

Pris de court par la nationalisation du canal par le président égyptien Nasser, les Français et les Britanniques, qui perçevaient les droits de péage sur le canal, avaient d'abord protesté tout en hésitant sur la conduite à tenir.

Là-dessus s'étaient greffés des facteurs extérieurs........

Le socialiste Guy Mollet, chef du gouvernement français, eut l'idée de punir Nasser de son soutien aux indépendantistes algériens. De son côté, le jeune État d'Israël, fidèle allié de la France, manifesta le souhait d'une guerre préventive contre l'Égypte, soupçonnée de vouloir laver l'affront subi par les Arabes en 1948.

Une conférence internationale s'ouvrit à Londres le 16 août en vue de trouver un compromis. Pendant ce temps, dans la discrétion, les militaires français et britanniques acheminèrent des troupes vers Chypre. À Londres, le Premier ministre conservateur Anthony Eden eut plus de difficulté à rallier sa majorité à la perspective d'une guerre.

Le 22 octobre 1956, le Premier ministre israélien David Ben Gourion (70 ans) se rend discrètement en France avec son chef d'état-major Moshe Dayan et Shimon Pérés. La délégation rencontre à Sèvres, près de Paris, Guy Mollet ainsi qu'un représentant britannique.

Il est convenu deux jours plus tard que les Israéliens, décidés à « rompre l'encerclement », attaqueront les Égyptiens et qu'ensuite, Français et Britanniques adresseront un ultimatum aux adversaires et occuperont la zone du canal sous prétexte de les séparer !

Le 29 octobre, les troupes du général Moshe Dayan se lancent dans le Sinaï et mettent en déroute l'armée égyptienne.

Comme prévu, le 30 octobre, Londres et Paris envoient un ultimatum conjoint au Caire et à Tel Aviv, enjoignant aux combattants de cesser le feu et de se retirer à 10 miles du canal.

Israël s'incline mais l'Égypte, comme on peut s'y attendre, rejette l'ultimatum.

Le lendemain 31 octobre, Français et Anglais détruisent au sol les avions égyptiens. Et, les 5 et 6 novembre, les parachutistes sautent sur Port-Saïd, à l'endroit où le canal débouche sur la mer Méditerranée. Personne ne se soucie d'une résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies adoptée trois jours plus tôt, le 1er novembre...

Pendant que l'attention du monde se porte sur le canal de Suez, les chars soviétiques entrent à Budapest et répriment le soulèvement des Hongrois contre leur régime communiste.

>>> Menaces soviétiques :

À peine les paras français et britanniques touchent-ils terre dans la zone du canal que les Soviétiques menacent d'intervenir avec des fusées intercontinentales à tête nucléaire si l'attaque n'est pas stoppée !

Washington fait alors pression sur ses alliés pour arrêter les frais...
Auteur : Mel_C  
218/252

Date :    09-11-2024 00:52:12


9 novembre 1799 : Le Dix-Huit Brumaire inaugure le Consulat

Le 9 novembre 1799 (18 Brumaire An VIII, selon le calendrier républicain), le général Napoléon Bonaparte met fin au régime du Directoire par un coup d'État parlementaire. Il instaure un nouveau régime, le Consulat, qui ouvre la voie à sa propre dictature.

Il s'ensuit cinq années durant lesquelles le Premier Consul Bonaparte va mener à bien les réformes initiées par le Directoire. Il va moderniser les institutions et ramener la paix civile.

Mais il va échouer à faire reconnaître par les autres puissances les conquêtes de la Révolution et ne pourra empêcher la formation d'une nouvelle coalition européenne contre la France...

>>> Vers une dictature de salut public

Dix ans après la prise de la Bastille, la Révolution s'essoufle. Le gouvernement du Directoire est désemparé par les difficultés économiques et militaires, et menacé par un retour prématuré des royalistes. Le Directeur Sieyès dit à qui veut l'entendre qu'il « cherche un sabre » capable de sauver ce qui reste de la Révolution... et en particulier les fortunes des profiteurs.

Le retour d'Égypte du général Napoléon Bonaparte lui offre l'occasion qu'il cherchait. Sieyès voit en ce jeune général couvert de gloire le dictateur de salut public dont la République française a besoin pour éviter le retour de Louis XVIII et de l'Ancien Régime. Il concocte avec lui un coup d'État parlementaire qui passerait par une révision de la Constitution.

Sieyès demande à l'assemblée des Anciens de confier à Bonaparte le commandement des troupes de la capitale et de la garde du Corps Législatif. Puis, le 18 Brumaire, il convainc les deux assemblées des Cinq-Cents et des Anciens de se transporter au château de Saint-Cloud, à l'extérieur de Paris, sous le prétexte d'un « complot des terroristes » (royalistes).

Complices, trois des cinq Directeurs, Sieyès, Barras et Ducos, démissionnent. Les deux autres, Gohier et Moulin, suspects de sympathies jacobines, sont destitués et arrêtés. Le lendemain, la troupe boucle le château de Saint-Cloud. Mais les élus des Cinq-Cents réunis dans la salle de l'Orangerie refusent de modifier la Constitution comme on le leur demande.

Bonaparte, qui a déjà prononcé une médiocre harangue devant les Anciens, fait de même devant les Cinq-Cents. Sa déplorable prestation est accueillie par des huées et les cris : « À bas le dictateur ! »

Violemment pris à partie par les députés et même menacé d'arrestation, il a un moment de faiblesse. Il est sauvé par des grenadiers qui l'amènent hors de la salle. Son frère Lucien qui préside fort opportunément l'assemblée sort à son tour et fait valoir à la troupe que son frère et les élus sont menacés d'assassinat. Le général Murat qui commande les grenadiers leur demande de faire évacuer la salle.

Les députés tout de rouge vêtus sautent à qui mieux mieux par les fenêtres et se dispersent dans le brouillard !

La nuit venue, sur les deux heures du matin, le Conseil des Anciens et quelques élus des Cinq-Cents que l'on a rassemblés manu militari votent enfin une révision de la Constitution. Ils nomment un gouvernement provisoire en la personne de trois Consuls, Napoléon Bonaparte, Emmanuel Joseph Sieyès et Roger Ducos. L'affaire est liquidée et chacun rentre à Paris.

>>> Un Consulat inspiré de la Rome antique

Napoléon Bonaparte, soulagé, fait rédiger à la hâte une nouvelle Constitution. Sieyès, qui se pique de droit constitutionnel, dirige le travail. On s'oriente vers une dictature à la romaine, la Rome antique étant la référence commune à tous les hommes cultivés de l'époque. Le terme inhabituel de consul est lui-même emprunté à l'Antiquité.

Le texte de la Constitution de l'an VIII est réécrit par Daunou, lequel écrit à ce propos : « Il faut qu'une Constitution soit courte et obscure ».

Conformément aux dispositions imposées par Bonaparte, le titre de Premier Consul et la réalité des pouvoirs sont octroyés au vainqueur du 18 Brumaire. Il a 30 ans. À ses côtés figurent deux Consuls qui n'ont qu'un rôle consultatif. Il s'agit de Cambacérès, un ancien conventionnel régicide, et Lebrun, un ancien député de la Constituante, aux penchants royalistes. Les trois consuls sont nommés pour dix ans.

Le pouvoir législatif est réparti entre quatre assemblées : le Sénat conservateur, le Tribunat, le Corps législatif et le Conseil d'État. Les membres de ces assemblées sont choisis par le gouvernement parmi des listes de notabilités. Ces listes elles-mêmes résultent d'un vote des citoyens à plusieurs degrés. Autant dire que l'on est ici très loin de notre conception de la démocratie.
Auteur : Mel_C  
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Date :    09-11-2024 00:53:19


9 novembre 1918 : Abdication de Guillaume II

Honni par les chefs alliés qui voient en lui le responsable de la Grande Guerre, l'empereur allemand Guillaume II se résigne à abdiquer le 9 novembre 1918. Le chancelier Maximilien de Bade se démet également et cède la direction du gouvernement au leader du parti social-démocrate allemande (PSD) Friedrich Ebert.

Dans le même temps, de sa propre initiative, Philipp Scheidemann, autre leader du PSD, proclame du balcon du Reichstag l'avènement de la République allemande. Il appartiendra à une assemblée constituante réunie à Weimar trois mois plus tard d'en poser les fondations.

Pour les sociaux-démocrates comme pour les chefs de l'armée, l'urgence est de prévenir la contagion révolutionnaire qui menace d'emporter le pays après la Russie. Dès le lendemain, les militaires répriment les mouvements spartakistes apparentés aux bolchéviques russes cependant que les gouvernants civils engagent les négociations d'armistice avec les Alliés. 9 novembre 1918 : Abdication de Guillaume II

Honni par les chefs alliés qui voient en lui le responsable de la Grande Guerre, l'empereur allemand Guillaume II se résigne à abdiquer le 9 novembre 1918. Le chancelier Maximilien de Bade se démet également et cède la direction du gouvernement au leader du parti social-démocrate allemande (PSD) Friedrich Ebert.

Dans le même temps, de sa propre initiative, Philipp Scheidemann, autre leader du PSD, proclame du balcon du Reichstag l'avènement de la République allemande. Il appartiendra à une assemblée constituante réunie à Weimar trois mois plus tard d'en poser les fondations.

Pour les sociaux-démocrates comme pour les chefs de l'armée, l'urgence est de prévenir la contagion révolutionnaire qui menace d'emporter le pays après la Russie. Dès le lendemain, les militaires répriment les mouvements spartakistes apparentés aux bolchéviques russes cependant que les gouvernants civils engagent les négociations d'armistice avec les Alliés.
Auteur : Mel_C  
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Date :    09-11-2024 00:54:09


9 novembre 1970 : Mort du général de Gaulle

Le 9 novembre 1970, à 19h15, Charles de Gaulle meurt paisiblement dans sa maison de La Boisserie, à Colombey-les-deux-Églises (Haute-Marne). Il est pris d'un malaise en faisant une réussite aux cartes.
Dignité

L'ancien président de la République était né près de 80 ans plus tôt, le 22 novembre 1890, à Lille. Il s'était retiré avec panache de la vie politique le 28 avril 1969, à la suite d'un référendum perdu.

Renonçant à son traitement en qualité de membre du Conseil constitutionnel, il avait alors pris le temps de découvrir l'Irlande, la terre de ses arrière-grands-parents. Il avait aussi rencontré l'Irlandais Eamon de Valera et l'Espagnol Francisco Franco, survivants de la Seconde Guerre mondiale.

Conformément à sa volonté, il est inhumé le 12 novembre dans le cimetière de Colombey, auprès de sa chère fille Anne (1928-1948). Son cercueil est porté par des jeunes villageois au milieu d'une foule immense et recueillie mais en l'absence de tout officiel.

À Notre-Dame-de-Paris a lieu au même moment une grande cérémonie de recueillement où se pressent des chefs d'État et de gouvernement venus du monde entier en plus grand nombre que jamais.

Deux ans après la mort du général de Gaulle, le 18 juin 1972, une Croix de Lorraine monumentale a été érigée au-dessus du village de Colombey. À son pied, un passionnant Mémorial accueille les touristes et pèlerins depuis 2008.
Auteur : Mel_C  
221/252

Date :    09-11-2024 00:55:51


9 novembre 1989 : Le Mur de la honte s'écroule :

Pour les Allemands, le 9 novembre rappelle tout à la fois l'avènement de la République (1918), le pitoyable «putsch de la Brasserie» (1923), la sinistre «Nuit de Cristal» (1938) et l'heureuse chute du Mur (1989).

>>> Les peuples contre les dictatures :

Dans la nuit du 9 au 10 novembre 1989, devant les caméras du monde entier, de jeunes Allemands de l'Est et de l'Ouest brisent le Mur de la honte qui divise Berlin depuis le 13 août 1961, prenant de court les dirigeants des deux bords.

Réceptifs à la politique de glasnost (transparence en russe) initiée trois ans plus tôt par le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev, les dirigeants hongrois ont été les premiers à soulever la chape de plomb communiste. Le 2 mai 1989, ils annoncent leur intention d'entrouvrir leur frontière avec l'Autriche.

Des centaines d'Allemands de l'Est se précipitent alors en Hongrie dans l'espoir de bientôt passer à l'Ouest. En septembre, ils sont plusieurs milliers à s'enfuir de la sorte.

En République Démocratique Allemande (RDA), à Leipzig puis dans les autres villes du pays, les opposants au communisme quittent le secret des temples luthériens et manifestent au grand jour. Le pouvoir vacille. Erich Honecker laisse la place à Egon Krenz, mais un million de manifestants à Berlin-Est entraînent la démission collective du gouvernement communiste le 7 novembre.

Deux jours plus tard, le gouvernement de RDA autorise les Allemands de l'Est à voyager à l'étranger «sans aucune condition particulière». Le soir même, les douaniers de Berlin, débordés par l'afflux de personnes à la frontière, les laissent simplement passer. Les dizaines de milliers de Berlinois massés près du Mur ouvrent un à un les postes frontière sous le nez des redoutables garde-frontières est-allemands qui, cette fois, gardent l'arme au pied.

La chute du Mur (3,60 mètres de haut, 160 kilomètres de long et 300 miradors) met fin à cinquante ans de séparation et d'antagonismes entre les deux parties de l'Allemagne, la République Fédérale d'Allemagne (RFA) et la République Démocratique Allemande (RDA).
Dans l'enthousiasme général, personne ne s'inquiète encore des lendemains difficiles de la réunification.

>>> De la réunification à la monnaie unique :

Sans perdre de temps, le chancelier fédéral Helmut Kohl impose une unification monétaire puis politique des deux parties de l'Allemagne. L'unité est officielle le 3 octobre 1990, un jour qui devient la fête nationale allemande.

Le président français François Mitterrand, prenant acte du caractère inéluctable de la réunification, va négocier en contrepartie le sacrifice du deutsche Mark sur l'autel de l'union monétaire européenne. Ce projet débouchera sur la signature du traité de Maastricht le 7 février 1992.

>>> 1989, année charnière :

1989 apparaît a posteriori comme l'année clé de la fin du XXe siècle. La chute du Mur liquide les séquelles de la Seconde Guerre mondiale et annonce la mort prochaine de l'URSS et du communisme.

Cependant que s'écroulent les régimes communistes d'Europe les uns après les autres, au Kosovo, un certain Milosevic fait un discours retentissant devant une foule de Serbes en délire... De nouvelles guerres se préparent cette année-là, qui vont opposer des ethnies et des religions les unes aux autres.
Auteur : Mel_C  
222/252

Date :    10-11-2024 23:29:50


10 novembre 496 : Bataille de Tolbiac

La bataille de Tolbiac (Joseph Blanc, 1846-1904, toile marouflée, Panthéon, Paris)Quinze ans après son accession au trône, Clovis, roi des Francs saliens, reçoit un appel à l'aide de son homologue, le roi des Francs rhénans. Celui-ci est menacé par les Alamans, une tribu germanique à laquelle nous avons emprunté le nom de l'Allemagne.

Le jeune roi accourt à son secours. Il veut prendre à revers les Alamans qui assiègent son allié dans la place forte de Tolbiac (en allemand, Zülpich), près de Cologne. Mais peu avant son arrivée, son allié se rend aux Alamans et ceux-ci se retournent contre les Francs saliens, inférieurs en nombre. Le choc survient, croit-on, le 10 novembre 496.

Comme Clovis se retrouve en situation d'être défait, voilà qu'il lève les bras au ciel et implore le secours du Dieu de Clotilde, sa femme chrétienne. Il prend alors la résolution de se convertir en cas de victoire. À peine a-t-il fait ce voeu que le roi des Alamans est frappé à mort d'un coup de hache ! Les Alamans se débandent aussitôt. Clovis est vainqueur !

C'est du moins ce que raconte le chroniqueur Grégoire de Tours, auteur au siècle suivant d'une Histoire des Francs. Cette péripétie lui a été de façon évidente inspirée par le souvenir de l'empereur Constantin au pont Milvius.
Auteur : Mel_C  
223/252

Date :    10-11-2024 23:30:08


10 novembre 1444 : Défaite des croisés hongrois à Varna

Le 10 novembre 1444, une coalition de croisés hongrois et polonais est mise en déroute par les janissaires du sultan Mourad II, près de Varna, sur les bords de la mer Noire.

Le roi de Pologne Ladislas III Jagellon (20 ans) est tué dans la bataille. Son allié, le roi de Hongrie Jean Hunyade, est défait une nouvelle fois par le sultan à Kossovo Polié en 1448. Plus rien ne s'oppose désormais à la conquête de Constantinople par les Ottomans.
Auteur : Mel_C  
224/252

Date :    10-11-2024 23:30:45


10 novembre 1630 : Richelieu et la « Journée des Dupes »

Le 10 novembre 1630, en présence de Louis XIII, le cardinal de Richelieu se confronte à la reine mère Marie de Médicis qui est devenue son adversaire le plus déterminé. Il l'emporte le lendemain, au terme d'une « Journée des Dupes », et peut dès lors mettre toute son intelligence au service de la monarchie.

Louis XIII remet à Poussin le brevet de premier peintre du Roi en présence de Richelieu, Jean-Joseph Ansiaux, 1817.
Un cardinal à poigne

À la tête du Conseil du roi, ou Conseil d'En Haut, depuis 1624, Armand Jean du Plessis, cardinal et duc de Richelieu, a mis au pas la noblesse, prompte aux duels et aux révoltes.

Il a aussi combattu avec efficacité les protestants de l'intérieur et leurs alliés anglais. Après le siège de La Rochelle et l'Édit d'Alès, il ne reste plus grand-chose de l'ancienne grandeur des protestants français.

Richelieu voudrait maintenant garantir la tranquillité de la France sur ses frontières. Il se dispose à combattre la maison catholique des Habsbourg qui, d'un côté, gouverne l'Espagne et, de l'autre, les États autrichiens.

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