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çà s'est passé .....
Auteur : Mel_C  
321/1019

Date :    18-01-2025 04:41:37


18 janvier 2015 : Mort suspecte du procureur Alberto Nisman en Argentine

Le 18 janvier 2015, Alberto Nisman est retrouvé à son domicile de Buenos Aires sans qu'on sache s'il s'est suicidé ou a été assassiné. Une fraction de l'opinion publique penche pour la deuxième hypothèse et en accuse rien moins que la présidente Cristina Kirchner.

Le procureur se disposait en effet à remettre au Parlement ses conclusions sur deux attentats à la voiture piégée contre l'ambassade d'Israël le 17 mars 1992 (29 morts) et une association juive de Buenos Aires le 18 juillet 1994 (84 morts). Il accusait la présidente d'avoir entravé l'enquête pour protéger les liens commerciaux entre l'Argentine et l'Iran, soupçonné d'être le commanditaire de l'attentat.

Cette affaire, quelques mois avant les élections présidentielles, achève de discréditer les présidences de Cristina Kirchner et de son mari qui l'a précédée.
Auteur : Mel_C  
322/1019

Date :    18-01-2025 04:42:27


18 janvier 1994 : Berlusconi change l'Italie

Le 18 janvier 1994, Silvio Berlusconi, connu pour être un richissime entrepreneur de télévision, annonce la création d'une nouvelle formation politique, Forza Italia.

Silvio Berlusconi fonde le parti Italia Forza en 1994.Contre toute attente, il remporte les élections législatives des 27 et 28 mars 1994 et, le 10 mai 1994, est appelé à former un gouvernement de coalition avec ses alliés de droite ou d’extrême-droite : la Ligue du Nord d’Umberto Bossi et l’Alliance nationale de Gianfranco Fini. C’en est fini de cinq décennies de pouvoir sans partage de la Démocratie chrétienne.

Lui-même rendra les armes, le 13 novembre 2011, sous la pression des marchés financiers et de l'Union européenne, sans avoir été désavoué par les électeurs.

>>> Une audace sans bornes

Né le 26 septembre 1936, Silvio Berlusconi est issu d’une famille modeste de Milan. Entrepreneur du bâtiment et promoteur immobilier, il s'enrichit rapidement et ses adversaires soupçonnent déjà une accointance avec les milieux mafieux.

Sa réussite lui vaut en 1977 d’être nommé Chevalier de l’Ordre du Travail. D’où l’épithète «Il Cavaliere» dont il s’honore, à défaut d’un titre universitaire plus prestigieux.

Dans le même temps, anticipant le formidable développement de la télévision privée par câble et la fin du monopole d’État sur la télévision, il crée un premier réseau câblé en Lombardie.

L’année suivante, en 1978, il fonde à Milan une banque d’affaires Fininvest qui reçoit des fonds de Sicile. Il adhère aussi à la sulfureuse loge maçonnique Propaganda Due (P2), ce qu'il niera plus tard.

La fortune vient avec la fondation en 1980 de «Canale 5», première chaîne privée nationale. Il parie sur les jeux populaires, avec cadeaux à la clé, et met en avant des présentatrices plantureuses. C’est d’emblée le succès.

Le groupe Fininvest devient l’une des principales entreprises du pays et fait de Berlusconi l’une des trois premières fortunes d’Italie, sinon la première (son patrimoine a été évalué en 2004 à 12 milliards de dollars).

Alors arrive le temps des scandales. Son ami le socialiste Bettino Craxi, président du Conseil de 1982 à 1987, est gravement compromis dans le scandale de l’Ambrosiano et doit s’enfuir en Tunisie. Berlusconi, également menacé par la justice, se lance quant à lui dans la politique à seule fin d’échapper à la prison.

>>> Victoire éclair

Au terme d’une campagne-éclair de deux mois, le voilà qui entre au palais Chigi, siège de la Primature (la présidence du Conseil) en mai 1994. Mais l’expérience est de courte durée. Sa mésentente avec Umberto Bossi entraîne une rupture de la coalition et la perte du pouvoir au bout de huit mois seulement.

Il devient le chef de l’opposition face à Romano Prodi, chef de la coalition de centre-gauche de «L’Olivier». Maître des grands médias populaires, il fédère les droites à la tête d’une nouvelle formation, «Il Popolo della Libertà» (Le Peuple de la Liberté).


C'est ainsi que Silvio Berlusconi accède deux fois encore à la présidence du Conseil, le 11 juin 2001 (jusqu’au 17 mai 2006) et le 8 mai 2008.

Entachés par les scandales en tous genres et les démêlés avec la Justice, les deux présidences ne se signalent par aucune grande réforme, sinon, sur la fin, le vote d'un plan de rigueur exigé par Bruxelles.

Malgré cela, l’Italie poursuit cahin-caha son chemin. Comme les autres pays de l’Europe méditerranéenne, qualifiés avec mépris de «Club Med» par les Allemands, elle s’endette, vieillit et se dépeuple, voit son administration se désagréger... Mais elle ne s’effondre pas. Son tissu industriel de petites et moyennes entreprises familiales résiste à toutes les bourrasques et continue de nourrir les exportations.

Mais les marchés boursiers internationaux se montrent méfiants. Ils obtiennent de Silvio Berlusconi, le dimanche 13 novembre 2011, ce que les élus et les citoyens italiens n'ont pu obtenir, à savoir qu'il remette sa démission au président de la République Giorgio Napolitano.
Auteur : Mel_C  
323/1019

Date :    18-01-2025 04:43:26


18 janvier 1800 : Naissance de la Banque de France

La Banque de France est créée par Napoléon Bonaparte le 18 janvier 1800 (28 nivôse an VIII). Cette initiative du Premier Consul, à peine installé au pouvoir, fait suite à une proposition du financier suisse Jean-Frédéric Perregaux.

Celui-ci a fait fortune en spéculant sur les assignats de la Révolution. Ces billets sans valeur ont dégoûté les Français du papier-monnaie. Ils ont rapidement disparu et laissé la place aux pièces en or ou en argent.

Sous le Directoire, tandis que les affaires reprennent, le manque de monnaie se fait sentir. Jean-Frédéric Perregaux fonde alors à Paris une banque de dépôts, la « Caisse des Comptes courants ».

Avec un groupe d'amis banquiers, il propose au Premier Consul d'octroyer à son établissement l'autorisation d'imprimer à nouveau des billets de banque. Ce droit d'émission vise à collecter l'épargne et à augmenter la quantité de monnaie en circulation.

La Banque de France (hôtel de Toulouse, rue de Vrillière)C'est ainsi qu'est créée par décret la Banque de France. Le nouvel établissement absorbe la Caisse des Comptes courants et installe son siège dans l'hôtel de Toulouse, rue de la Vrillière.

La Banque de France obtient un droit d'émission prudent, limité dans un premier temps à Paris. Elle peut imprimer autant de billets qu'elle veut mais à une condition: il faut que toute personne qui présente un billet à la banque puisse l'échanger, si elle le désire, contre une quantité d'or de la même valeur.

Cela va donner aux Français confiance dans les billets de banque et, petit à petit, la nouvelle monnaie remplacera les pièces en métaux précieux. Les premiers billets sont imprimés à l'encre noire sur un papier blanc filigrané, sur une seule face.

>>> Heurs et malheurs de la Banque de France

Pour faire face aux demandes de remboursement, la Banque de France reçoit à sa création 30 millions de francs (une très grosse somme pour l'époque). Ce capital lui est apporté par de riches bourgeois tels que Perregaux. Le Premier Consul lui-même place des fonds à la Banque de France en témoignage de confiance. En échange de leur argent, les actionnaires obtiennent le droit de nommer les directeurs de la Banque.

La Banque de France n'est pas une banque ordinaire. En raison du droit d'émission qu'elle est la seule à posséder dans le pays, on l'appelle «banque centrale». Ses clients sont les banques commerciales ordinaires dont le métier est de prêter de l'argent aux particuliers et aux entreprises. Les gens qui empruntent de l'argent à ces banques signent un papier qui contient la promesse de les rembourser. C'est ce qu'on appelle un effet de commerce.

En attendant d'être remboursées par leurs clients, les banques commerciales peuvent avoir besoin d'argent pour faire de nouveaux prêts. Elles se tournent alors vers la Banque de France et lui achètent des billets. Elles lui donnent en échange les effets de commerce dont elles disposent. C'est ainsi que s'accroît la quantité d'argent dans le pays.

Après les moments difficiles de la Révolution, la Banque de France va aider les Français à se remettre au travail. Elle va encourager le commerce et l'industrie en facilitant les emprunts et en augmentant la quantité de monnaie en circulation.

Beaucoup de Français s'enrichiront et comme ils deviendront plus riches, ils devront payer davantage d'impôts au gouvernement. Ce sera tout bénéfice pour le Premier Consul qui pourra ainsi financer son armée en vue de nouvelles guerres contre les voisins européens.

Les premières années de la Banque de France seront difficiles. Sous le Premier Empire, il arrivera que de nombreux clients doutent de la valeur de leurs billets et exigent de les échanger contre de l'or.

Pour surmonter la crise, Napoléon Ier renforcera son autorité sur la Banque de France. Il en confiera la direction à un gouverneur et deux sous-gouverneurs nommés par lui-même. Dès lors, l'assemblée des actionnaires n'aura plus de pouvoir sur la banque centrale.

En 1848, sous la Seconde République, les Français ne pourront plus obtenir le remboursement de leurs billets de banque contre de l'or. Mais la confiance dans le papier-monnaie sera assez bien établie pour que personne ne s'inquiète de cette mesure.

Par une loi du 12 mai 1998, la Banque de France a dû céder son droit d'émission à la Banque Centrale européenne, à Francfort. Celle-ci se présente comme la filiale des onze banques centrales de la zone euro, y compris la Banque de France.

Avec la création de la nouvelle monnaie européenne, la Banque de France et ses 14 000 salariés bien lotis s'interrogent sur leur raison d'être et leur avenir.
Auteur : Aigle 
324/1019

Date :    19-01-2025 08:33:22


19 janvier 1903 :
Naissance de l'Académie Goncourt

Le 19 janvier 1903, un décret du président du Conseil Émile Combes officialise l'Académie Goncourt, en application du testament d'Edmond de Goncourt (1822-1896).
Cette assemblée est composée de dix hommes de lettres recevant une pension annuelle de 6 000 francs leur garantissant de vivre de leur plume « sans être forcés de perdre leur temps et leur talent dans le travail d’un ministère ou dans les œuvres basses du journalisme ».

L'Académie a vocation de promouvoir de jeunes talents littéraires en remettant chaque automne un prix à un auteur d'avenir. Son choix se fait depuis 1914 à l'issue d'un déjeuner des académiciens dans le restaurant Drouant, rue Gaillon (Paris). À la différence de sa rivale du quai de Conti (l'Académie française), elle ne craint pas d'étaler les conflits de personnes ni d'être suspectée de compromissions commerciales avec les grands éditeurs. Ses choix n'en sont pas moins heureux.
C'est par le Prix Goncourt que Proust et Malraux ont été révélés au grand public.
Auteur : Mel_C  
325/1019

Date :    19-01-2025 19:13:45


19 janvier 1419 : Rouen se livre aux Anglais

Vainqueur à Azincourt, Henri V de Lancastre assiège Rouen. Pourvus d'une centaine de canons et conduits par un chef énergique, Alain Blanchard, les Rouennais supportent le siège pendant sept mois. Ils poussent hors de la ville 12.000 bouches inutiles, femmes, vieillards et enfants, mais le roi Henri V, impitoyable, les laisse mourir de faim dans les fossés. Le 19 janvier 1419, après avoir en vain attendu des secours, réduits à la famine, ils se résignent à livrer leur ville.
Auteur : Mel_C  
326/1019

Date :    19-01-2025 19:14:09


19 janvier 639 : Mort de Dagobert Ier

Tombeau de Dagobert Ier dans la basilique Saint-Denis.Le roi Dagobert Ier, lointain descendant de Clovis, meurt à 36 ans, le 19 janvier 639, à Braine, en Picardie. Il est le premier roi à être inhumé dans l'abbaye de Saint-Denis, qu'il a richement dotée.

Sitôt après sa mort, Pépin de Landen et Arnould, influents conseillers du roi, quittent Paris pour Metz, capitale de l'Austrasie, l'un des royaumes francs qu'a réunis Dagobert sous son sceptre. À la tête de l'Austrasie, le défunt roi a placé son fils Sigebert III comme roi. Il n'a que 10 ans et les deux compères profitent de sa jeunesse pour gouverner à sa place. Pépin, ancêtre des Pippinides et de Charlemagne, exerce la fonction officielle de « maire du palais » (ou majordome) et la transmet à son fils Grimoald (ou Grimaud).

Clovis II, autre fils de Dagobert, est reconnu quant à lui roi de Neustrie et de Bourgogne. Le Regnum Francorum mérovingien est à nouveau divisé et, plus gravement, ses souverains perdent le pouvoir effectif au profit de leur maire du palais. Cela leur vaudra la réputation de « rois fainéants ». Notons que seul celui de Neustrie conservera le titre de « roi des Francs », avec Soissons ou Paris pour capitale.
Auteur : Mel_C  
327/1019

Date :    19-01-2025 19:15:10


19 janvier 1794 : Les « colonnes infernales » de Turreau

Après dix mois de guerre civile en Vendée entre républicains et insurgés royalistes, les députés de la Convention et le Comité de Salut public donnent carte blanche au général Louis-Marie Turreau, le 19 janvier 1794, pour appliquer sa politique d’extermination. Elle prend la forme de « colonnes infernales », qui vont ravager le pays vendéen...

Massacre du Moulin-de-la-Reine, le 5 avril 1794, 22 femmes et enfants sont fusillés, vitrail de l'église de Montilliers (Maine-et-Loire), Jean Clamens, 1901.

>>> Une rébellion vite matée

Près d'un an plus tôt, les paysans de l'ouest de la France s'étaient soulevés contre le pouvoir révolutionnaire parisien au nom de leurs libertés religieuses et par haine de la conscription militaire.

La terrible bataille de Savenay a vu l'écrasement de la « Grande Armée Catholique et Royale » après neuf mois d'exploits et de péripéties. Au début de l'année 1794, le général en chef Henri de La Rochejaquelein a été tué au détour d'un chemin par un Bleu en embuscade. D'Elbée a été quant à lui capturé et fusillé sur la plage de Noirmoutier.

L'insurrection vendéenne semble définitivement matée. Pas assez cependant de l'avis des députés de la Convention qui ont du mal à se remettre de leurs frayeurs. On fusille 2 000 Vendéens, dont la moitié de femmes à Angers, 1 500 à Noirmoutier, 1 800 aux carrières de Gigant près de Nantes. Le représentant en mission Carrier fait noyer 4 000 personnes dans la Loire. Ce n'est pas encore assez pour certains républicains...

>>> Les « colonnes infernales »

C'est alors que le général Louis-Marie Turreau, un Normand de 37 ans, présente son plan d'extermination. Le 15 janvier 1794, il écrit aux représentants en mission : « Mon intention est de tout incendier et de ne préserver que les points nécessaires à établir nos cantonnements propres à l'anéantissement des rebelles, mais cette grande mesure doit être prescrite par vous. Je ne suis que l'agent du Corps législatif, que vous devez représenter en cette partie. Vous devez également décider sur le sort des femmes et des enfants que je rencontrerai en ce pays révolté. S'il faut les passer tous au fil de l'épée, je ne puis exécuter une pareille mesure sans un arrêté qui mette à couvert ma responsabilité ».

Les colonnes infernales de Louis-Marie Turreau en Vendée, 1794. Agrandissement : Massacre d'une trentaine de villageois au Carrefour-des-chats par les soldats de la colonne Bonnaire, vitrail de l'église de La Salle-de-Vihiers (Maine-et-Loire), R. Desjardins, 1931.Comme ses interlocuteurs ne paraissent pas convaincus par l'argumentation, le fougueux général écrit directement au Comité de Salut Public, à Paris : « Je le répète. je regarde comme indispensable de brûler villes, villages et métairies, si l'on veut entièrement finir l'exécrable guerre de Vendée, sans quoi je ne pourrais répondre d'anéantir cette horde de brigands. J'ai donc lieu d'espérer que vous l'approuverez. Je vous demande la grâce de me répondre par retour du courrier ».

La réponse vient enfin le 19 janvier : « Tu te plains, citoyen général, de n’avoir pas reçu du Comité une approbation formelle à tes mesures. Elles lui paraissent bonnes et pures mais, éloigné du théâtre d’opération, il attend les résultats pour se prononcer : extermine les brigands jusqu’au dernier ; voilà ton devoir ».

C'est ainsi que vingt-quatre colonnes pénétrent en Vendée avec la consigne de tout brûler et de tout massacrer. Les horreurs perpétrées par ces colonnes leur vaudront dans l'Histoire le qualificatif d'infernales.

Comme Turreau l'avait prévu, la Vendée est mise à feu et à sang. Dans une seule journée, le 28 février 1794, à la suite d'une attaque par les troupes de Charette, les colonnes des généraux Cordellier-Delanoüe et Crouzat massacrent en représailles aux Lucs-sur-Boulogne 563 femmes, enfants et vieillards.
Auteur : Mel_C  
328/1019

Date :    19-01-2025 19:15:40


19 janvier 1903 : Naissance de l'Académie Goncourt :

Le 19 janvier 1903, un décret du président du Conseil Émile Combes officialise l'Académie Goncourt, en application du testament d'Edmond de Goncourt (1822-1896). Cette assemblée est composée de dix hommes de lettres recevant une pension annuelle de 6 000 francs leur garantissant de vivre de leur plume « sans être forcés de perdre leur temps et leur talent dans le travail d’un ministère ou dans les œuvres basses du journalisme ».

L'Académie a vocation de promouvoir de jeunes talents littéraires en remettant chaque automne un prix à un auteur d'avenir. Son choix se fait depuis 1914 à l'issue d'un déjeuner des académiciens dans le restaurant Drouant, rue Gaillon (Paris). À la différence de sa rivale du quai de Conti (l'Académie française), elle ne craint pas d'étaler les conflits de personnes ni d'être suspectée de compromissions commerciales avec les grands éditeurs. Ses choix n'en sont pas moins heureux. C'est par le Prix Goncourt que Proust et Malraux ont été révélés au grand public.

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