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çà s'est passé .....
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 23:08:16


15 février 2016

La Bosnie-Herzégovine dépose sa candidature pour adhérer à l’Union européenne.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-02-2025 23:08:49


15 février 2022

Des inondations frappent Petropolis au Brésil, faisant plus de 110 victimes et des dizaines de disparus.
Auteur : Mel_C  
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Date :    17-02-2025 05:52:15


17 février 1600 : Fin tragique de Giordano Bruno

Le 17 février 1600, le philosophe Giordano Bruno est brûlé vif à Rome, sur le Campo des Fiori, après avoir passé huit ans dans les geôles de l'Inquisition...
Auteur : Mel_C  
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Date :    17-02-2025 05:52:54


17 février 1661 : L'empereur Kangxi, le «Roi-Soleil» chinois

Le 17 février 1661, Kangxi (6 ans) devient empereur de Chine. En 62 ans de règne, il portera l'empire à son zénith.

>>> Bon administrateur et lettré

L'empereur Kangxi dans la force de l'âgeLe souverain chinois est le fils du fondateur de la dynastie Qing. Il appartient de fait à une population barbare, les Mandchous, qui a conquis la Chine.

Kangxi repousse les frontières de l'empire jusqu'en Mongolie et au Tibet. Il restaure la souveraineté de Pékin sur l'île de Taïwan.

Au nord, il se confronte aux Russes dont les avant-gardes ont atteint l'océan Pacifique. Grâce à une artillerie mise au point par ses conseillers jésuites, Kangxi les repousse bien au-delà du fleuve Amour. C'est ainsi que la Chine impériale atteint sa plus grande extension.

Kangxi modernise aussi l'administration et devient lui-même un vrai lettré chinois, amoureux des belles lettres et des arts.

Il fait bon accueil aux Jésuites occidentaux et leur permet de prêcher leur religion en Chine en remerciement des services rendus dans le domaine scientifique (et l'artillerie). Mais le Vatican interdit aux Jésuites de tolérer le culte des ancêtres chez les convertis. Cette «querelle des Rites» contrarie l'empereur qui finit par proscrire la prédication chrétienne.
Auteur : Mel_C  
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Date :    17-02-2025 05:53:52


17 février 1772 : Premier partage de la Pologne

Le 17 février 1772, la Pologne se voit amputer d'un tiers de son territoire par la Prusse de Frédéric II, l'Autriche de Marie-Thérèse et la Russie de Catherine II. C'est le premier des trois partages qui aboutiront en 1795 à sa disparition en tant qu’État.

>>> La Pologne, cible des ingérences de ses puissants voisins

Depuis plus d'un siècle, le vaste royaume de Pologne est l'objet de convoitises et le théâtre d'une lutte d'influence entre ses voisins.

Ses ennuis sont dûs à ce qu’en 1652 a été adopté le Liberum veto, une règle selon laquelle l’élection de son souverain doit se faire à l’unanimité des membres de la Diète, l’assemblée des nobles. Cette disposition condamne la Diète à l’impuissance, et constitue une invitation à intervenir dans les élections pour les puissances voisines. Dès lors, la succession d’un roi polonais dépend des tractations et compromis que la Suède, l’Autriche, la Prusse et la Russie négocient entre elles. C’est ainsi qu’au XVIIe siècle, Stanislas Lezczynski, soutenu par la Suède, alterne sur le trône avec Auguste II, qui bénéficie de l’appui de l’Autriche. Les deux sont définitivement écartés par la Russie, au profit d’Auguste III. À la mort de ce dernier, Russes et Prussiens s’entendent pour faire élire Stanislas II Auguste. Le nouveau souverain tente bien de mettre fin au Liberum veto, mais se heurte aux Russes et Prussiens qui l’empêchent.

>>> Le premier partage et le chemin vers la fin de la Pologne

Ces influences étrangères privent la Pologne de son indépendance. Au tournant des années 1760 et 1770, elle devient un simple enjeu territorial entre la Prusse, la Russie et l’Autriche. Sur une suggestion de Frédéric II, roi de Prusse, les trois puissances annexent le 17 février 1772 un tiers du territoire de la Pologne, comptant 4 millions d’habitants (sur 12).

L’immoralité de ce dépeçage, complètement contraire aux us et coutumes de la diplomatie de l’époque, ne dérange pas le moins du monde les souverains. Ils confirment le partage le 5 août suivant, avec le traité de Saint-Pétersbourg.

La réaction est forte en Pologne, où les élites cherchent à moderniser les institutions politiques, avec le soutien de Stanislas II. En 1788, la Diète vote même une constitution libérale. Mais les voisins de la Pologne ne veulent pas de ce redressement national qui gêne leurs ambitions.

En 1792, à nouveau, d’un commun accord, ils annexent chacun une partie du royaume de Stanislas II. En 1795, ils répartissent entre eux ce qu’il en reste, faisant disparaître l’État polonais pour presque 130 ans.

>>> Les partages de la Pologne

Les ennuis de la Pologne débutent en 1652 avec le « Liberum veto » par lequel la Diète impose un vote à l'unanimité pour toutes les décisions, y compris l'élection du souverain ! Cette disposition réduit l'assemblée à l'impuissance et offre aux voisins des prétextes à intervenir à tout va...
Auteur : Mel_C  
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Date :    17-02-2025 05:54:14


17 février 1864 : Le sous-marin CSS Hunley en action

Le 17 février 1864, en pleine guerre de Sécession, un submersible sudiste, le CSS Hunley, devient le premier sous-marin à couler un navire de guerre ennemi.
Auteur : Mel_C  
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Date :    17-02-2025 05:54:28


17 février 1871 : Adolphe Thiers chef du gouvernement exécutif

Les premières élections générales depuis la chute de Napoléon III se soldent le 8 février 1871 par une écrasante majorité conservatrice et monarchiste. Le 17 février suivants, les députés, réunis à Bordeaux pour cause d'invasion prussienne, désignent Adolphe Thiers (73 ans) comme « chef du gouvernement exécutif de la République française » en attendant de statuer sur la nature du régime futur : monarchie ou république.
Le 31 août 1871, à Versailles, l'assemblée se proclame Constituante et, dans le même temps, donne le titre de président de la République à Thiers.
Auteur : Mel_C  
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Date :    17-02-2025 05:55:13


17 février 1925 : Les Kurdes se rebellent

Le 17 février 1925, à l'appel du prédicateur cheikh Saïd, l'Anatolie orientale, majoritairement peuplée de Kurdes, se soulève contre « les infidèles de la République ». C'est le premier soulèvement kurde contre la République turque et son fondateur Moustafa Kémal.

Dix mille combattants, dont beaucoup de déserteurs de l'armée turque, s'emparent de plusieurs localités. La répression est impitoyable. Le 27 juin 1925, cheikh Saïd et 29 partisans sont condamnés à mort et aussitôt pendus.

Cette révolte survient après l'abolition du califat et l'expulsion du dernier calife par Moustafa Kémal. Bien qu'ayant aidé ce dernier à lutter contre les Grecs et les troupes d'occupation étrangères, les Kurdes en sont bien mal récompensés.

Malgré la répression, la « question kurde » ne cessera plus de hanter la République turque jusqu'à nos jours...

>>> Permanence de la « question kurde »

Le 28 octobre 1927, quelques Kurdes récalcitrants proclament une éphémère République d'Ararat dans les montagnes mais elle est détruite par l'armée turque quelques mois plus tard.

En 1936, les villageois du massif du Dersim (Tunceli en turc), à l'est de l'Euphrate, renouent avec leur tradition rebelle et tiennent en échec l'armée turque. Celle-ci recourt à des bombardements aveugles. Elle enfume aussi les grottes où les insurgés ont trouvé refuge. Le bilan est évalué à quelques dizaines de milliers de morts et autant d'exilés.

La « question kurde » est relancée par Abdullah Öcalan, dit « Apo », jeune militant de la cause kurde, né le 4 avril 1949. Il fonde en 1978 le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) qui se veut marxiste-léniniste. Son activisme s'ajoute à celui de l'extrême gauche et de l'extrême droite turques et, dans la crainte d'une révolution « à l'iranienne », l'armée prend le pouvoir le 12 septembre 1980.

Empêché de s'exprimer dans l'agora politique, le PKK se jette en 1984 dans la lutte armée. Entre coups de main, attentats et répression, celle-ci embrase toute la Turquie orientale et même les métropoles. Elle aurait fait à ce jour 45.000 morts et vaut au PKK d'être classé par les Occidentaux parmi les organisations terroristes.

Öcalan, auquel on attribue de nombreux crimes de guerre et aussi l'assassinat de divers rivaux, est capturé en février 1999. Condamné à mort puis grâcié et détenu sur une île de la mer de Marmara, il négocie de sa prison un cessez-le-feu qui prend effet le 21 mars 2013, à l'occasion de la fête kurde de Newroz.

Mais ce cessez-le-feu, comme les précédents, ne dure pas. Il est brutalement rompu par le président Erdogan, désireux tout à la fois de rehausser son image auprès des nationalistes turcs et de briser le PKK, fort de 5000 combattants. C'est ainsi que le 1er juillet 2015, l'aviation turque bombarde les bases du PKK établies autour de Qandil, dans le Kurdistan irakien.

Amère déconvenue pour le nouveau Parti Démocratique des Peuples (HDP) et son charismatique leader, le député kurde Selahattin Demirtas, qui croyaient pouvoir résoudre pacifiquement la question kurde après leur relatif succès aux élections législatives du 7 juin 2015.

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