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çà s'est passé .....
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:37:38


24 mars 1801 : Assassinat du tsar Paul Ier

Le tsar Paul 1er de RussieLe 24 mars 1801, le tsar Paul Ier (46 ans) est étranglé après cinq ans de règne dans un complot aristocratique auquel s'est vraisemblablement associé son fils et héritier, le futur tsar Alexandre 1er, adversaire de Napoléon Ier !

Paul Ier est le fils de la Grande Catherine et du tsar Pierre III qui fut, lui, déposé et assassiné par sa propre épouse : on ne s'étonnera pas dans ces conditions qu'il fut fantasque et tyrannique !

Son entourage lui reproche avant tout d'avoir, en octobre 1799, projeté un rapprochement avec la France révolutionnaire et la constitution d'une « ligue des neutres » pour barrer la route au commerce anglais dans la Baltique...
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:38:40


24 mars 1829 : Émancipation des catholiques anglais

Le 24 mars 1829, le parlement britannique vote l'acte d'émancipation des catholiques en abolissant le «Test Act» de 1672. Il met fin à une discrimination remontant au XVIIe siècle.

>>> Le rejet du «papisme» au XVIIe siècle

Charles II, bien que tolérant en matière religieuse (il se convertit au catholicisme romain sur son lit de mort), a dû accepter en 1672 le vote du «Test Act», de son nom officiel : «loi pour prévenir les dangers que peuvent susciter les réfractaires papistes [catholiques]».

Le texte entre en application l'année suivante. Il contraint les titulaires de charges publiques à prêter serment d'allégeance et de suprématie au monarque, et à rejeter solennellement la Transsubstantiation (dogme catholique selon lequel le corps du Christ est présent dans l'hostie consacrée).

Ils doivent également communier selon les rites de l'Église anglicane dans les trois mois qui suivent leur entrée en fonction. Le frère du roi, le duc Jacques d'York, qui plus tard succédera à Charles sous le nom de Jacques II, démissionne alors de sa charge de Grand amiral, révélant ainsi son catholicisme.

En 1678, l'obligation de rejeter la «Transsubstantiation» est étendue aux pairs et aux députés de la chambre des Communes, qui en étaient à l'origine dispensés. En parallèle, des lois écartent également les non-conformistes de la vie publique.

>>> Les catholiques à l'écart de la société anglaise

Cette exclusion contraint les catholiques, peu nombreux du reste, à mener une vie retirée des affaires publiques, à l'exception de certains nobles protégés par leur rang, comme les très importants ducs de Norfolk. Alexander Pope, auteur en 1720 d'une traduction de l'Iliade qui reste considérée comme l'une des plus importantes œuvres du siècle, est un des rares intellectuels catholiques anglais de cette époque.

Le séminaire de Douai, en France, où sont formés les prêtres, est le haut lieu de la vie culturelle et religieuse de la communauté catholique depuis le XVIe siècle jusqu'à sa fermeture sous la Révolution française, bien que des mesures aient été prises pour interdire aux catholiques d'envoyer leurs enfants recevoir une éducation catholique à l'étranger. C'est à Douai qu'est réalisée la traduction anglaise de la Bible utilisée par les catholiques jusqu'au XXe siècle : la première version paraît par étapes entre 1580 et 1610, puis est profondément révisée par l'évêque Challoner entre 1749 et 1752.

>>> L'essor du catholicisme au XIXe siècle

La Révolution française contraint de nombreux catholiques à fuir en Angleterre, où l'hostilité aux événements fait qu'ils sont bien accueillis.

De plus, l'Acte d'Union de 1801, en créant le Royaume Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande, augmente fortement le nombre de catholiques, bien que les Irlandais soient dans leur majorité considérés comme des citoyens de second rang. C'est d'ailleurs l'Irlandais Daniel O'Connell, critique virulent de l'Acte d'Union, qui mène durant les années 1820 une campagne d'opinion pour permettre aux catholiques de siéger au Parlement.

Le ministre de l'intérieur, Robert Peel, pourtant jusque là farouchement hostile à cette évolution, finit par céder par crainte d'une révolution en Irlande et accepte en 1829 que les catholiques puissent participer à la vie publique. Le premier ministre, le duc de Wellington, doit peser de tout son poids pour convaincre le parlement et le roi d'accepter le Catholic Relief Act, ce qui est chose faite le 24 mars 1829.

L'influence irlandaise en Angleterre, mais aussi au Pays de Galles et en Écosse, s'accroît avec l'immigration irlandaise lors de la Révolution industrielle et à la suite de la «Grande Famine» qui sévit en Irlande entre 1845 et 1852. En parallèle, l'attrait du catholicisme se renforce aussi auprès des classes dirigeantes : l'Église anglicane est en effet traversée par une crise et une division entre la High Church, aux tendances ritualistes et hostile au libéralisme, et la Low Church, plus proche du peuple et des non-conformistes.

L'abolition du «Test Act» en 1829 sanctionne cet essor du catholicisme et accentue le déclin de l'Église anglicane, incapable de s'adapter aux nouvelles réalités. Les mesures de 1828 sur les non-conformistes, dont le nombre augmente également très rapidement, vont dans le même sens...

Durant les années 1830, le mouvement «tractarien» d'Oxford, du nom d'une série de «Tracts for the Times» rédigés par le plus célèbre membre, John Henry Newman, souligne que l'opposition doctrinale entre l'Église anglicane et le catholicisme est beaucoup moins profonde qu'on ne le pense. Newman finit par se convertir au catholicisme en 1845. En 1851 un autre ecclésiastique de premier plan, Henry Manning, se convertit à son tour. Entre temps, en septembre 1850, le pape Pie IX rétablit la hiérarchie catholique en Angleterre, un événement qui suscite une forte opposition parmi les Anglicans, très hostile à l'influence du pape.

L'abolition du «Test Act» n'a pas levé toutes les discriminations puisque, de nos jours encore, l'Acte d'Établissement («Act of Settlement») de 1700-1701 interdit à toute personne qui ne partage pas la communion de l'Église anglicane de monter sur le trône. On a récemment suggéré de supprimer cette interdiction, mais les débats ont alors montré que l'antipapisme demeure virulent en Grande-Bretagne : affaire à suivre...
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:39:03


24 mars 1882 : Découverte du bacille de la tuberculose

Le biologiste allemand Robert Koch réussit à isoler et à cultiver in vitro la bactérie responsable de la tuberculose, une maladie encore très meurtrière au XIXsiècle. Le 24 mars 1882, il présente ses résultats à la Société de physiologie de Berlin (Etiologie de la tuberculose).
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:39:47


24 mars 1976 : Une junte prend le pouvoir à Buenos Aires

Le 24 mars 1976, le gouvernement d'Isabel Perón, au pouvoir en république Argentine depuis la mort de son mari Juan Perón en 1974, est renversé par un coup d'État mené par le général Jorge Rafael Videla (49 ans), commandant en chef de l'armée de terre.

Inspirée par la phobie du communisme, la junte prend le pouvoir en vue de mettre fin à l'instabilité ministérielle et aux rébellions, devenues monnaie courante depuis les émeutes du 20 juin 1973, lors du retour d'exil de Juan Perón.

>>> « Une lutte contre la subversion »

Jorge Rafael Videla (3 octobre 1925 _ 17 mai 2013)Sitôt après son coup d'État, Videla est nommé président de la République. Il dissout le Congrès, remplace la Cour suprême, impose la loi martiale et ne gouverne plus que par décrets.

Avec ce « Processus de réorganisation nationale » - selon ses termes -, la junte inaugure ce que l'on appelle aujourd'hui la « guerre sale ». Ce drame douloureux, qui va durer sept ans, est concomitant d'autres conflits entre extrême-droite et extrême-gauche dans le cône sud-américain, au Chili, où sévit la dictature d'Augusto Pinochet, et en Uruguay, où frappent les terroristes Tupamaros.

Une violente répression s'engage contre les mouvements et partis d'opposition. Certains sont interdits, comme le Parti communiste révolutionnaire ou le Parti socialiste des travailleurs, leurs membres sont au mieux intimidés, au pire torturés et exécutés. La peine de mort est rétablie et les journaux censurés.

L'enseignement étant considéré comme une source de la subversion, les frais de scolarité sont augmentés afin de minimiser le nombre d'étudiants, les cursus sont revus à la baisse et certaines universités sont tout simplement fermées.

Après les opposants politiques directs, certains syndicats, avocats ou religieux sont eux aussi pourchassés.

>>> Enlèvements et tortures

Les enlèvements ont lieu en masse. Des centres de détentions clandestins sont créés à l'image de l'Esma, l'école de mécanique de la marine, où les opposants au régime sont retenus prisonniers, torturés ou assassinés. La junte pratique les « vols de la mort » : les prisonniers sont drogués et jetés vivants au-dessus de l'océan Atlantique !

Près de 500 bébés sont enlevés en même temps que leurs parents et adoptés par des familles de militaires ou policiers proches du régime en place afin de « purifier idéologiquement la population ». Ces adoptions suscitent la mobilisation des Grands-mères de la place de Mai (la place située devant le palais présidentiel, à Buenos Aires), qui vont s'efforcer pendant des années de retrouver enfants ou petits-enfants.
Quatre juntes en sept ans

En mars 1981, Videla est remplacé par le maréchal Roberto Eduardo Viola. Lui-même est destitué en décembre de la même année par le général Leopoldo Galtieri, commandant en chef des armées. Pour tenter de restaurer le crédit de l'armée, celui-ci entreprend l'année suivante l'invasion des Malouines. Disqualifié par l'échec de l'opération, il est remplacé par Reynaldo Bignone.

Affaiblie par sa défaite militaire, la junte se résigne à organiser des élections et rendre le pouvoir aux civils. Le candidat radical Raul Alfonsín remporte la présidentielle le 10 décembre 1983, mettant un terme à sept années de dictature, permettant au pays de renouer avec la démocratie.

Selon les organisations des droits de l'homme, le régime militaire a été responsable de 30 000 disparus et de l'exil d'un demi-million d'Argentins. Un procès, en 1985, a conduit à la condamnation de Videla à la perpétuité en raison de sa responsabilité directe dans différents crimes.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:40:33


24 mars 1980 : Assassinat de Mgr Romero à San Salvador

Mgr Oscar Romero, archevêque de San Salvador (15 août 1917 ; 24 mars 1980)Le 24 mars 1980, Mgr Oscar A. Romero est tué d’un coup de fusil en pleine poitrine alors qu’il célèbre la messe dans l’hôpital de la Divine-Providence, à San Salvador, capitale du Salvador,.

Cet archevêque de 62 ans était connu pour ses sermons en faveur des droits de l’Homme, dans un contexte de guerre civile et de guérillas touchant toute l’Amérique centrale.

La veille de son assassinat, il avait osé appeler les soldats salvadoriens à désobéir à des ordres injustes : « Un soldat n'est pas obligé d'obéir à un ordre qui va contre la loi de Dieu. »

>>> Un prélat conservateur dans un contexte révolutionnaire

Né dans une famille nombreuse avec un père postier, Oscar Romero s’oriente vers la menuiserie avant d’entrer au séminaire.

Son pays, le Salvador, connaît après la Seconde Guerre mondiale une grande pauvreté et d’énormes inégalités dans la répartition des terres, avec un taux d’analphabétisme de presque 50%. Sur une superficie de 21 000 km² vouée à la culture du café, pour l’exportation vers les États-Unis, il compte dans les années 1970 quatre millions d’habitants, très majoritairement des métis d’Espagnols et d’Indiens (6 millions en 2018).

Il est à cette époque affecté par un conflit entre l’extrême-droite représentée par l’Alliance Républicaine Nationaliste (Arena) et la guérilla marxiste des Forces populaires de Libération Farabundo Marti.

Quand Oscar Romero devient archevêque de San Salvador, le 3 février 1977, sa nomination est bien accueillie par l’oligarchie salvadorienne. Il a la réputation d'être un religieux assez conservateur et se montre même réticent à l'égard de certaines réformes de Vatican II. Il est aussi formellement opposé aux thèses progressistes qui se diffusent dans le clergé latino-américain sous le nom de « théologie de la libération ».
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:40:50


24 mars 2015 : Un pilote jette son Airbus contre la montagne

Le 24 mars 2015, comme à l'accoutumée, l’Airbus A320 de la Germanwings quitte Barcelone pour Düsseldorf avec 144 passagers et 6 hommes d’équipage. Au-dessus des Alpes de Haute-Provence, à 38 000 pieds, le copilote Andreas Lübitz (27 ans) profite de ce qu’il est seul dans le cockpit pour jeter l’avion contre la montagne. Aucun survivant.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:41:23


24 mars 1860 : La France reçoit Nice et la Savoie

Le 24 mars 1860, par le traité de Turin, Nice et la Savoie reviennent à la France.

Napoléon III obtient ces deux territoires en récompense de son intervention militaire contre l'Autriche, aux côtés du royaume du Piémont, et en échange de l'annexion de l'Italie centrale par le Piémont.

>>>> Le « droit des nationalités »

Pour la première fois au monde, l'exécution du traité est subordonnée à son approbation par les populations concernées en vertu du « droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ». Ce principe révolutionnaire à tonalité romantique va éveiller les aspirations nationales au XIXe siècle et au suivant, parfois de façon abusive.

Ce droit avait déjà été appliqué une première fois par le gouvernement français dans le Comtat Venaissin et à Avignon, propriété du Saint-Siège, le 12 juin 1790 Mais ce fut de manière unilatérale et non dans le cadre d'un traité international.
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-03-2025 00:42:53


24 mars 1163 : Maurice de Sully et la première pierre de Notre-Dame de Paris

La cathédrale Notre-Dame de Paris, l'un des plus emblématiques monuments de la capitale, a huit siècles et demi d'existence. Les historiens supposent que son chantier a été inauguré par le pape Alexandre III à l'occasion de son passage à Paris le 24 mars 1163.

Sa construction, de 1163 à 1245 (et au-delà), intervient à un moment charnière de l’histoire de Paris et du royaume de France...

>>> Une époque de foi

Avec la fin de l'anarchie féodale, une paix profite peu à peu au plus grand nombre. La capitale s’enrichit, les campagnes se repeuplent, la population s’accroît, les abbés défrichent… et les caisses de l’évêché se remplissent.

La façade de Notre-Dame de Paris (photo : Florian Cessac)Au même moment, la renommée intellectuelle du chapitre de Notre-Dame dépasse les frontières de France.

La qualité de son enseignement attire rapidement une concentration de collèges sur la rive gauche de la Seine, concourant au rayonnement spirituel et intellectuel de la capitale.

En parallèle, le pouvoir royal s’affermit et se consolide, notamment avec l’avènement du souverain Philippe Auguste qui n’a de cesse de renforcer et développer sa capitale, en la rendant sûre et prospère, protégée par une enceinte massive.

Plus d’argent, plus de clercs, plus de fidèles et un roi entrepreneur et protecteur…

Il n’en faut pas plus pour lancer la plus incroyable des constructions : la plus grande cathédrale dans le style gothique.

Celui-ci, caractérisé par la croisée d'ogives, une nef de grande hauteur et de larges verrières, a été révélé une vingtaine d'années plus tôt, lors de la consécration de l'abbatiale de Saint-Denis.

>>> Un évêque visionnaire

Encore faut-il tomber sur un évêque assez visionnaire pour se lancer dans cette aventure : Maurice de Sully accède, en 1160, à la tête de l’un des plus puissants diocèses de France (*). Il y demeurera jusqu'à sa mort, en 1196.

Vitrail de Maurice de Sully à Notre-Dame de ParisQui est-il vraiment ? Un homme de foi, sans aucun doute, à la parole claire et aux sermons évocateurs – il va même prêcher en Angleterre.

D’origine très modeste (son père est paysan, sa mère bucheronne), il vient au monde près de Sully-sur-Loire et se trouve très tôt placé chez des moines bénédictins.

Il rejoint ensuite Paris pour poursuivre ses études, mendie son pain, fait le ménage chez ses condisciples, devient clerc et intègre le prestigieux chapitre de Notre-Dame qui finit par l’élire évêque.

L’homme est intelligent, humble et pragmatique, un habile administrateur doté sans aucun doute d’un caractère hors du commun.

Lorsqu’il prend les rênes de Paris, il existe déjà une cathédrale romane Sainte-Marie sur l’île de la Cité, qui vient sans doute d’être rénovée si l’on en croit les dernières études archéologiques, flanquée d’une autre église dédicacée à Saint Étienne.

Pourquoi détruire ces édifices ? Sans doute parce qu’ils ne suffisent plus à accueillir à la fois un chapitre prestigieux et une foule de fidèles de plus en plus dense – Paris va bientôt compter cinquante mille habitants.

Un autre argument est d’ordre politique : l’évêque de Paris se doit d’afficher son pouvoir, non seulement face aux puissantes abbayes parisiennes de Saint-Victor, Sainte-Geneviève et surtout Saint-Germain-des-Prés, dont les possessions s’étendent en Anjou, en Berry et même en Suisse ; mais aussi pour tenir son rang devant les autres cités qui se lancent dans des constructions audacieuses comme Saint-Denis, Sens, Noyon ou Senlis. Paris doit prendre le train architectural en marche, si l’on peut dire. Et même le devancer.

>>> Un pape à Paris

De fait, le chantier démarre rapidement, sans doute dès 1162 pour les fondations, et l’évêque organise finement ses finances pour assurer des travaux continus. Ses remarquables talents de gestionnaire vont marquer les trente-six ans de son long épiscopat, durant lequel la nef sera quasiment construite aux trois-quarts.

Pour acheminer les matériaux, il perce une nouvelle voie, la rue Neuve Notre-Dame, large de six mètres, à travers un pâté de maisons situé face à la cathédrale.

Au printemps 1163, entre le 24 mars et le 25 avril très exactement, la tradition veut que le pape Alexandre III lui-même pose la première pierre de l’édifice.

L’événement n’est pas impossible puisque le pape a fui Rome et la fureur de l’empereur du Saint Empire qu’il vient d’excommunier. Il a trouvé refuge en France, entre Tours et Paris, et préside la dédicace du nouveau chœur gothique de l’église abbatiale de Saint-Germain en avril 1163.

En a-t-il profité pour faire un détour pour poser la première pierre de la nouvelle cathédrale ?

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