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les journées de .....
Auteur : Aigle  
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Date :    17-06-2016 07:27:33


Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse

Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde.

Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l'Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l'eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, a l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.
La désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s'amenuise et le climat impitoyable fait le reste.
Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Chaque année, ce sont des milliers d'hectares de sols fertiles qui disparaissent.
30% du territoire des États-Unis est affecté par la désertification. Le nombre de personnes touchées directement par le problème est en forte croissance et on estime que 280 000 personnes sont mortes des suites de la sécheresse entre 1990 et 2000.

Quels impacts ?
Les impacts les plus visibles se situent au niveau de l’environnement, car la désertification rend les terrains inondables, ce qui entraîne une salinisation des sols, et donc une détérioration de la qualité de l’eau.
En second lieu, l’impact est aussi économique. En effet, au niveau planétaire le manque à gagner s’élève, selon la banque mondiale, à 42 milliards de dollars pour les régions touchées par la désertification (paradoxalement, le coût annuel de la lutte contre la désertification est seulement de 2.4 milliards)
Enfin, la dégradation des sols entraîne la pauvreté et la migration de masse à cause des famines qu’elle génère. (environ 60 millions de personnes partiront des zones désertifiées de l’Afrique sub-saharienne pour le Maghreb et l’Europe entre 1997 et 2020).

Des pistes de solutions ?
En la matière, la pânacée n'existe pas mais des solutions locales peuvent -et doivent- être mises en oeuvre rapidement pour faire bouger les choses. Parmi elles, et pas forcément très coûteuses, nous pouvons relever la régénération des sols et sa fertilisation grâce au compost et sa matière organique. Le reboisement est aussi une solution car les arbres permettent de fixer les sols, renforcer la fertilité et absorber l’eau lors des fortes précipitations. La technique ancestrale de la jachère constitue aussi une alternative intéressante...

Un site à visiter : www.notre-planete.info
Auteur : Aigle  
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Date :    04-11-2024 06:50:20


Journée du BON SENS

Cela ne vous aura pas échappé, voici une journée qui n'est ni mondiale, ni européenne ni même nationale... à se demander d'ailleurs si elle existe vraiment !

Pourtant on en retrouve une trace sur le site France Inter dans la chronique de Constance en 2018. Extraits :

"Le bon sens, c'est une notion incroyablement subjective, parce que le bon sens des uns n'est pas forcément le bon sens pour les autres. Par exemple, je trouve que quand on a un enfant allergique aux poils de chat, c'est bien plus normal d'abandonner le gamin. ça c'est mon bon sens à moi.

C'est un peu flou comme définition, mais je ne vois pas pourquoi je devrais m'évertuer à définir quelque chose qui est impossible à mettre en boite. C'est un peu comme quand on était enfant et qu'on essayait d'emprisonner nos prouts dans des tupperwares. C'était une belle quête, mais quel échec !"

D'autres attribuent son origine à une campagne de comm des sociétés d'autoroute. Dans ce cas, c'est sur, cela ne va pas dans le bon sens...

Alors nous avons un peu cherché l'origine de cette journée et l'avons trouvée chez nos amis anglo-saxons :

Use Your Common Sense Day
Vous remarquerez que la traduction véritable est assez loin de notre version édulcorée, mais qu'importe, vous avez saisi le (bon) sens.

Un site à visiter : www.daysoftheyear.com
Auteur : Aigle  
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Date :    05-11-2024 06:31:58


Journée mondiale de la langue Romani

"Riche d’une longue histoire migratoire et d’influences nombreuses et diverses, la langue romani – « Romani čhib » – est la langue officielle des Roms du monde entier. C’est aussi, cependant, une langue particulièrement fragile. Parce que la langue est sans doute le premier élément constitutif d’une culture singulière, cette vulnérabilité menace d’affecter la culture rom elle-même. Elle met ainsi en péril un patrimoine unique, qui recèle quantité de savoirs. [...] L’UNESCO entend contribuer à la lutte contre les discriminations et pour des sociétés inclusives, respectueuses de leur diversité culturelle et linguistique."
Message de la Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay, à l’occasion de la journée mondiale de la langue romani

Une reconnaissance de la communauté internationale
Sur 25 pays ayant ratifié la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires, 15 ont officiellement reconnu le romani comme langue minoritaire pratiquée traditionnellement sur leur territoire. Le romani est ainsi la langue qui a recueilli le plus grand nombre de ratifications au titre de la Charte, ce qui reflète, entre autres, son statut de langue européenne.

Le romani est la langue parlée par les groupes composant le peuple Rom. Il existe 17 dialectes différents mais les locuteurs de chacune des variantes peuvent se comprendre entre eux. Un travail considérable a été mené en vue de créer une langue standard, mais il reste encore beaucoup à faire en la matière.

Un site à visiter : fr.unesco.org
Auteur : Aigle  
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Date :    05-11-2024 06:33:33


Journée mondiale de sensibilisation aux TSUNAMIS

Le 26 décembre 2004, un tremblement de terre de magnitude 9,3 se produit au large de l'Indonésie, déclenchant un tsunami dévastateur qui fait plus de 220 000 morts.

Dimanche 26 décembre 2004 - 7h58 heure locale...
La puissance du séisme (le plus important dans le monde depuis 1960) est telle que la terre se soulève, faisant surgir une vague qui dévaste, trente minutes plus tard, la province indonésienne d'Aceh, dans le nord de l'île de Sumatra. Ce sera la région la plus touchée, car, à proximité immédiate de l'épicentre : des dizaines de villages sont rayés de la carte, la puissance de la secousse allant même jusqu'à déplacer des îles. Rien que sur la côte ouest de Sumatra, 131 000 personnes périssent.

La vague déferle ensuite sur l'ensemble du littoral du golfe du Bengale, frappant successivement les côtes de la Thaïlande, de la Birmanie, du Sri Lanka, de l'Inde (notamment les archipels d'Andaman et Nicobar). Environ six heures après le début de la catastrophe, les côtes de l'Afrique de l'Est (Somalie, Tanzanie, Kenya) sont atteintes par le tsunami.

Prévenir les tsunamis
Bien que rares, les tsunamis comptent parmi les catastrophes naturelles les plus dévastatrices qui soient. Ils ne connaissent pas les frontières. Les communautés côtières – souvent concentrées dans des zones de faible altitude et très peuplées – sont les plus vulnérables. La coopération internationale est la clé d’une meilleure organisation des protections contre le phénomène du tsunami et ce sont les systèmes d'alertes installés à des endroits stratégiques du globe qui permettent, seuls, de donner l'alerte à temps.

Une journée pour sensibiliser
En décembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a désigné le 5 novembre comme Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis.

Un site à visiter : fr.unesco.org
Auteur : Aigle  
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Date :    06-11-2024 07:32:29


Journée Mondiale SANS PAPIER

Nous croulons sous le papier, c'est un euphémisme.
Pourtant les différentes tentatives de "bureau sans papier" ou de société sans papier se sont pour le moment révélées être des échecs.

Développement durable
La dématerialisation des documents présente pourtant un intérêt colossal pour les entreprises et la société en général. Enjeu de développement durable quand on songe aux ressources naturelles utilisées pour produire le papier, enjeu économique évident si on pense aux coûts induits par les stockages physiques de documents et le prix des m² ainsi utilisés !

A l'heure de l'informatique "dans les nuages" (Cloud Computing), des solutions se font jour et permettent d'envisager une amélioration dans les années à venir.
PURTANT [i]L' ADEME alerte sur l'impact environnemental croissant du numérique
L'Agence de la transition écologique a publié lundi deux études consacrées aux centres de données et aux besoins en métaux dans ce secteur en constante expansion.[/i]

World Paper Free Day : optimisme mesuré
Mais revenons à notre journée sans papier (à ne pas confondre avec la journée des sans-papiers !), la World Paper Free Day, instaurée pour exhorter les entreprises à abandonner le papier. Notre optimiste semble réservé si on observe que les promoteurs de cette journée prêchent surtout pour leur propre paroisse dans la mesure où on y retrouve des géants du stockage de documents et de la GED (gestion électronique des documents)...
Auteur : Aigle  
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Date :    06-11-2024 07:34:12


Journée Internationale
pour la préservation de l'environnement en temps de guerre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit,
le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

"Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques. Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement."

Dégâts collatéraux
Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

L’environnement est protégé en temps de guerre par un certain nombre d’instruments juridiques, notamment la Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (1976), la Convention sur les armes chimiques et la Convention sur la prohibition des mines antipersonnel (1997). En outre, le Protocole additionnel I aux Conventions de Genève interdit l’utilisation de " méthodes ou moyens de guerre qui sont conçus pour causer, ou dont on peut attendre qu’ils causeront, des dommages étendus, durables et graves à l’environnement naturel " et dispose que " la guerre sera conduite en veillant à protéger l’environnement naturel contre des dommages étendus, durables et graves ". Mais ce qui fait cruellement défaut, ce sont les mécanismes voulus pour assurer l’application de ces conventions. De fait, il faudra peut-être que nous renforcions le chapitre " vert " des règles du droit humanitaire international.

Une convention pour protéger l'environnement
Au niveau pratique, l’ONU réagit de plus en plus activement lorsqu’une guerre entraîne une dégradation de l’environnement : elle s’efforce d’évaluer les dégâts, de nettoyer les zones contaminées et d’aider les pays à se doter des moyens voulus pour gérer leur environnement après le conflit. C’est ce que le Programme des Nations Unies pour l’environnement a fait dans les Balkans et c’est ce qu’il fait aujourd’hui en Afghanistan, en Iraq, au Libéria et dans le territoire palestinien occupé.

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org
Auteur : Aigle  
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Date :    06-11-2024 07:36:43


Mois de l'Economie Sociale et Solidaire

En principe, le site des Journées Mondiales présente surtout des journées...SAUF aujourd'hui où nous avons choisi de vous parler d’un "mois" complet, en l'occurrence le mois dédié à l'Economie Sociale et Solidaire (dîtes ESS si vous voulez paraitre dans le coup !).

Une économie en pleine transition
Le Mois de l’Economie Sociale et Solidaire est un temps annuel se déroulant théoriquement au mois de novembre qui donne l’opportunité de découvrir l’ESS et de comprendre ce que cette forme d’économie peut apporter à notre société en pleine transition.
Le Mois de l’Economie sociale et solidaire vise à attirer l'attention du grand public, des entreprises, des collectivités et des institutions sur l’ESS par l'organisation d'un certain nombre d'actions.

Agir pour l'ESS
Manifestations : portes ouvertes, visites d’entreprises, conférences, forums, ateliers, formations, rendez-vous festifs…
Evénements dans tous les secteurs d’activité : services à la personne, action sociale et solidarité, culture, sport, insertion, développement durable, services aux entreprises, entrepreneuriat…
Médiatisation locale, régionale et nationale sous différentes formes.

Un site à visiter : www.mois-ess.org
Auteur : Aigle  
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Date :    08-11-2024 06:31:37


Journée internationale de la RADIOLOGIE

Depuis 2012, les radiologues célèbrent la journée internationale de la radiologie... ce qui, en soi, procède d'une certaine logique.
L'idée de départ de la profession était de mieux mettre en évidence le rôle de l’imagerie médicale dans la médecine moderne.

L'inventeur en connaissait un rayon...
Le choix de la date du 8 novembre ne doit rien au hasard puisque c'est le 8 novembre 1895 que Wilhelm Conrad Röntgen découvrit l'existence des rayons X. Cette découverte, essentielle, lui valût la reconnaissance de la communauté scientifique et le Prix Nobel de physique en 1901.

Les premiers clichés radiographiques ont été réalisés sur des proches du physicien qui ont permis -à leur corps défendant- le développement de la science. L'illustration de cet article est un "Röntgenogram" de la main d’Albert von Kolliker réalisé le 23 janvier 1896.

Internationalisation
Cette journée mérite bien son qualificatif dans la mesure ou elle est portée par la société européenne de radiologie, la société nord-américaine de radiologie et le collège américain de radiologie ainsi que la fédération européenne des sociétés de manipulateurs radio.

Un site à visiter : www.internationaldayofradiology.com

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