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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
905/1366

Date :    08-10-2024 21:22:46


NOBEL DE PHYSIQUE / 2 - Les débuts balbutiants des réseaux de neurones :

Avec les premiers ordinateurs, dans les années 1950, ces liaisons interneuronales sont devenues plus aisées à réaliser. Chaque neurone artificiel fonctionne comme son équivalent biologique: il s’active ou pas en fonction des signaux reçus au travers de ses connexions.
«En 1957, FRANK ROSENBLATT AVAIT CREE L’ALGORITHME DU PERCEPTRON, un réseau de neurones, dits «formels», qui comportait deux couches, dont une de synapses. Mais en 1969, un livre écrit par Seymour Papert et Marvin Minsky – l’un des pionniers de l’IA – a démontré que le perceptron n’était pas en mesure d’apprendre des fonctions complexes. Les recherches sur les neurones formels se sont arrêtées.»
C’est là, après des décennies de surplace, que John Hopfield et Geoffrey Hinton entrent en scène. En 1982, alors au California Institute of Technology (Caltech), JOHN HOPFIELD A CONÇU UN RESEAU INFORMATIQUE – qui porte désormais son nom – capable de stocker des motifs et de les reconstruire à partir d’une image incomplète ou déformée, sur la base des informations les plus ressemblantes et mémorisées dans le réseau.
John Hopfield s’est inspiré pour cela des propriétés statistiques de la matière, en représentant chaque «neurone» par une particule physique dotée d’une propriété – le spin, en quelque sorte l’orientation vers le haut ou le bas de son magnétisme. L’énergie d’un ensemble de particules est alors décrite par la physique statistique; cette énergie est le fruit de l’interaction entre les spins.
Lors de la phase d’entraînement, le réseau établit des connexions entre ces neurones artificiels, ces particules, de manière à obtenir le plus bas niveau d’énergie possible. Pour l’inférence – la recherche d’information –, le réseau de neurones va évoluer spontanément jusqu’à trouver le niveau le plus bas possible, qui correspond à la meilleure proximité entre ce que l’on recherche et ce que le modèle a mémorisé.
Auteur : Mel_C  
906/1366

Date :    08-10-2024 21:23:21


NOBEL DE PHYSIQUE / 3 - John Hopfield et Geoffrey Hinton ouvrent la voie :

En découvrant les travaux de son collègue américain, Geoffrey Hinton décide d’approfondir le réseau de Hopfield, en l’associant à une équation établie en 1877 par le père de la physique statistique, Ludwig Boltzmann. Cette équation décrit l’évolution des systèmes thermodynamiques hors équilibre. Par exemple, dans un fluide dont certaines régions sont plus chaudes que d’autres, un flux de chaleur va transférer de l’énergie du plus chaud vers le plus froid, jusqu’à retrouver l’équilibre.
Fort de cette équation, toujours en faisant le parallèle entre ces particules et les neurones artificiels représentés dans un ordinateur, GEOFFREY HINTON DECRIT UNE «MACHINE DE BOLTZMANN». Elle repose sur un double ensemble de neurones artificiels. Une version en deux dimensions, en quelque sorte, du réseau décrit par Hopfield trois ans plus tôt. Un modèle capable d’apprendre à partir d’exemples, un embryon d’IA générative. Il a aussi permis, dès les années 1990, de reconnaître les caractères manuscrits, ce qui a révolutionné le tri postal.
En 1982, Hopfield avait dû se contenter d’un réseau de 30 neurones – soit 435 connexions s’ils sont tous reliés entre eux. Un essai avec 100 neurones s’est avéré beaucoup trop complexe pour les ordinateurs de l’époque. Mais à partir des années 2010, tout s’est accéléré. «Aujourd’hui, les modèles d’apprentissage s’appuient sur des milliers de milliards de connexions entre neurones artificiels», rappelle Jean-Gabriel Ganascia.

> Une récompense inattendue :

Ce prix ne récompense donc pas directement une découverte fondamentale de la physique. «C’est ce qui rend ce Prix Nobel un peu surprenant», insiste Jean-Gabriel Ganascia. Geoffrey Hinton semble lui aussi avoir été pris par surprise quand il a reçu, mardi, un coup de fil de Stockholm depuis la salle où se tenait la conférence de presse de l’Académie royale des sciences de Suède. «Je n’imaginais pas une seconde qu’une telle chose puisse arriver. Je dois dire l’immense dette que j’ai envers David Rumelhart et Terry Sejnowski.»
Ces deux chercheurs ont accompagné la mise au point du concept de machine de Boltzmann. «C’est un coup de tonnerre pour moi. Je me trouve dans un motel modeste en Californie, qui n’a pas de connexion internet et a un piètre réseau téléphonique. J’avais rendez-vous pour faire une IRM aujourd’hui, mais je crois que je vais annuler.»
«Aujourd'hui, on ne comprend pas bien comment fonctionnent les IA, comment elles apprennent à distinguer un chien d'un chat, de combien de données a-t-on besoin pour cela, à quel point les algorithmes peuvent être efficaces, souligne Lenka Zdeborova, professeure de physique et d'intelligence artificielle à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). C'est là où le regard porté par la physique statistique est important. C'est d'abord en ce sens que les travaux récompensés par le Nobel sont fondateurs, ils nous aident à mieux comprendre ce que nous faisons aujourd'hui.»
Pendant la séance de questions-réponses avec des journalistes présents à Stockholm mardi, Geoffrey Hinton a souligné l’importance de l’IA. «Son influence sera comparable à celle de la révolution industrielle; nous n’avons aucune expérience de ce que ça représente d’utiliser des machines plus intelligentes que nous, et ce sera sans doute merveilleux à bien des égards.»
Une évolution réjouissante à première vue, notamment en médecine, pour le physicien canadien qui souligne néanmoins «qu’il faudra s’inquiéter d’un nombre de conséquences néfastes, notamment la menace d’IA qui deviendraient incontrôlables.» EN MAI 2023, GEOFFREY HINTON AVAIT FAIT PART, POUR LA PREMIERE FOIS PUBLIQUEMENT, DE SON PESSIMISME. «Je pense parfois que c’est comme si des aliens avaient débarqué et que les gens n’en ont pas pris conscience parce qu’ils parlent un anglais excellent», avait-il confié aux colonnes de MIT Technology Review. Une sorte d'écho aux idées défendues par le Britannique Martin Rees, qui figurait aussi en bonne place sur la liste des nobélisables cette année pour ses contributions majeures à l'astrophysique et la cosmologie. Lui estime qu'il faut repenser notre manière de rechercher des signes de l'existence de civilisations extraterrestres, lesquelles ont très bien pu remplacer toute matérialité par des IA et ainsi se faire discrètes…
Auteur : Mel_C  
907/1366

Date :    08-10-2024 21:24:00


Cabaret "Chez Michou" (PARIS) repris par Gad Elmaleh :

L’acteur et humoriste Gad Elmaleh a été choisi par la justice pour racheter le fonds de commerce de l’emblématique cabaret transformiste parisien «Chez Michou», en liquidation judiciaire, selon le jugement consulté mardi par l’AFP. En reprenant ce lieu iconique de Montmartre et du Paris touristique, Gad Elmaleh «en fera un lieu de comédie et d’humour, tout en gardant l’âme des lieux», a expliqué à l’AFP le service de communication de l’acteur, qui n’a cependant pas racheté la marque «Chez Michou».
> Le fondateur de l’établissement, surnommé Michou, est décédé début 2020. Le cabaret transformiste a ensuite connu des difficultés financières, et a été mis en liquidation judiciaire mi-juillet.
> Gad Elmaleh, 53 ans, a été choisi par le tribunal de commerce de Paris pour reprendre les lieux, fermés depuis la fin juin avant leur 68e anniversaire, et dont les 23 salariés, artistes et personnel de salle, ont été licenciés.
> Pour Catherine Catty-Jacquart, la nièce de Michou, «Gad Elmaleh va continuer à faire vivre le «80 rue des Martyrs» tombé entre de bonnes mains comme Michou l’aurait aimé. On aurait été malheureux que le lieu devienne autre chose qu’un cabaret».
> Avec le fonds de commerce de "Chez Michou", Gad Elmaleh s’offre une adresse internationalement connue, dont l’emblématique fondateur, surnommé «le prince bleu de Montmartre», a inspiré dans les années 1970 «La Cage aux folles»
Auteur : Mel_C  
908/1366

Date :    08-10-2024 21:24:33


AUX PAYS-BAS, UN EMPLOYÉ DE MUSÉE CONFOND UNE ŒUVRE AVEC UN DÉCHET …. ET LA JETE PAR ERREUR AUX ORDURES :

Pensant jeter deux simples canettes de bière vides à la poubelle, c'est en fait une œuvre d'art qu'un employé de musée a mis aux ordures selon l'AFP. Plus précisément, Tous les bons moments que nous avons passés ensemble réalisée par l'artiste français Alexandre Lavet. Cette œuvre exposée dans une cage d'ascenseur en verre, conservée au musée LAM de Lisse représente deux canettes de Jupiler, l'une vide, l'autre écrasée.


Auteur : Mel_C  
909/1366

Date :    08-10-2024 21:24:58


DÉCÉS DE EDNA TEPAVA, MISS FRANCE 1974 :
Cindy Fabre, directrice du comité Miss France depuis 2022, a partagé une triste nouvelle ce lundi 7 octobre: le décès d'Edna Tepava, Miss France 1974. L'ancienne reine de beauté, qui s'est éteinte à 69 ans, avait mené «un long et héroïque combat contre la maladie», selon les déclarations de sa famille. Edna Tepava, atteinte d’un cancer, suivait un traitement par chimiothérapie depuis deux ans. Élue à seulement 18 ans, Edna, représentante de Tahiti, avait marqué l'histoire en devenant la première Polynésienne à remporter la couronne de Miss France. Son héritage familial se perpétue, puisque sa nièce, Mareva Georges, a également été couronnée Miss France en 1991.
Auteur : Mel_C  
910/1366

Date :    09-10-2024 10:46:26


LOT-ET-GARONNE : une cavalière renversée et laissée inconsciente, son cheval poignardé sept fois
Une promenade à cheval, qui se transforme en drame. Alors qu’Audrey et Champion se baladent ce vendredi dans le Lot-et-Garonne, à Bon Encontre près d’Agen, une voiture arrive vite dans son dos. La cavalière de 26 ans voit deux hommes sortir et son cheval, effrayé, s’est mis à cabrer, raconte France 3 Nouvelle-Aquitaine.
Le dernier souvenir d’Audrey sera sa chute. La suite, c’est la propriétaire du lieu qui accueillait le cheval Champion en pension. C’est elle qui a découvert l’animal. "Audrey a dû rester inconsciente. Quand elle s’est relevée, elle ne trouvait pas son cheval. Il y avait du sang partout sur le chemin".
Finalement l’animal est retrouvé un peu plus loin, mort. "Il a été tué à coups de couteau, de manière gratuite. C’est de la barbarie", dénonce-t-elle.
La cavalière, elle, a été prise en charge par les secours. Elle reste très choquée par ce qui est arrivé mais ne présente pas de blessures. Il semble que les agresseurs s’en soient essentiellement pris au cheval. Dans un post publié sur Facebook, la pension équine dénonce l’acte "barbare et lâche" des criminels qui ont tué Champion. "L’endroit des coups portés ne lui laissant aucune chance, ils savaient ce qu’ils faisaient".Une théorie que rejoint un couple présent au moment où le cheval a été retrouvé. Interrogés par France 3, ils ont estimé que "seules des personnes connaissant bien les chevaux ont pu commettre cet acte". La gérante de la pension, interrogée par La Dépêche abonde. "Un pur-sang anglais comme Champion pèse à peu près 500 kg ! Et avec un animal qui se cabre, dans l’énervement, il a fallu que les coups soient portés avec beaucoup de précision".

> Une enquête a été ouverte. La police technique et scientifique a été dépêchée et les investigations sont diligentées par le parquet d’Agen.
Auteur : Mel_C  
911/1366

Date :    09-10-2024 10:49:15


Drame à Millas :
"On a vu le bus pousser tranquillement la barrière" du passage à niveau, ont affirmé mardi deux témoins de l'accident mortel de car scolaire de Millas (Pyrénées-Orientales), au procès en appel de la conductrice, mettant à mal la défense de cette dernière.
En début de journée, Nadine Oliveira, la prévenue, avait commencé son audition par ces mots : "J'ai fait appel parce que les barrières étaient levées". La conductrice de car de 55 ans n'a jamais changé de version depuis sa première garde à vue: selon elle aucun signal, ni sonore, ni lumineux, ni aucune barrière ne l'ont dissuadée de s'engager sur le passage à niveau de Millas.
Le 14 décembre 2017, le car ramenant 23 collégiens chez eux après les cours s'était trouvé au milieu des rails lorsqu'un TER l'avait percuté à 75 km/h, une collision qui a fait six morts et dix-sept blessés, dont certains grièvement. Nadine Oliveira, qui avait dû être hospitalisée après 4 jours d'audience lors du premier procès, avait été condamnée en son absence à 5 ans de prison dont un an ferme.
Mardi matin, elle a été capable de retracer, minute après minute, le déroulé de la journée du drame, ne fondant en larmes qu'à l'évocation de son issue, quand elle s'est réveillée au milieu "des cris et des pleurs des enfants".
La journée du 14 décembre 2017 avait commencé "comme d'habitude", par un état des lieux de son car. Nadine Oliveira était dans un état "normal" selon ses dires. Pour son dernier trajet de la journée, elle n'était "pas pressée", et connaissait par cœur ce parcours qu'elle empruntait quatre fois par jour.
Mais sa version des faits a été largement contredite par l'enquête, et par les différents témoignages des personnes présentes sur les lieux.
Tout d'abord celui d'un employé de la Saur, une entreprise d'assainissement, qui, voyant les barrières du passage à niveau se fermer, attendait avec son collègue de l'autre côté de la route lorsqu'il a vu que "le bus a poussé tranquillement la barrière, comme si on ouvrait une porte".
"On était sidérés avec mon collègue, on s'est demandé 'Qu'est-ce-qu'elle fait, mais qu'est-ce-qu'elle fait?'". Interrogé à plusieurs reprises sur la certitude de ses souvenirs, le témoin a assuré que ce jour était "gravé à jamais" dans sa mémoire : "on était sous le choc, c'est à cause des cris des enfants qu'on a réagi". "Peut-être qu'elle ne l'a pas vue, le bus est tellement haut", a envisagé ce témoin.
Un autre automobiliste, lui aussi arrivé sur les lieux au moment de la fermeture du passage à niveau, a validé cette version : "le bus a poussé la barrière tout doucement, il n'y a pas eu de choc". Le directeur d'enquête, interrogé mardi matin, a confirmé qu'après l'accident, la barrière a été retrouvée "tordue, en position fermée" et qu'aucune défaillance du passage à niveau n'avait été constatée.
Pour expliquer le geste de Mme Oliveira, il a évoqué "la force de l'habitude" : la conductrice avait emprunté ce passage à niveau 400 fois et ne l'avait jamais trouvé fermé. Mais aussi "l'hyperconcentration dont elle a fait preuve pendant sa manœuvre", une manœuvre décrite par tous comme "compliquée" pour aborder le virage devant le passage à niveau, et que la conductrice a détaillé minutieusement aux enquêteurs.
Sept ans après les faits, ce major de gendarmerie plus habitué aux enquêtes criminelles a décrit "une scène de guerre". L'employé de la Saur, "marqué à vie", se souvient toujours d'"une fille blessée à la tête et d'un petit garçon au poignet écrasé, ils pleuraient sans s'arrêter".
Auteur : Mel_C  
912/1366

Date :    09-10-2024 10:52:00


Marseille :
À Marseille, la sidération a laissé place à l’émotion et aux questions. Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées, ce mardi, dans le 14e arrondissement, pour les obsèques de Nessim Ramdane, chauffeur VTC de 37 ans, froidement abattu vendredi dernier par un tueur à gages de 14 ans.
Ce père de famille "faisait l’unanimité", a expliqué Boualem Kathir, imam et directeur de la mosquée, au micro de BFMTV.
"Il s’agit d’une victime qui, ni de près ni de loin, a un quelconque lien avec le trafic de stupéfiants", a souligné le procureur.
Selon le parquet, le chauffeur VTC aurait pris en charge, en effet, le tueur comme client. Il a été abattu parce qu’il refusait de l’attendre, pendant qu’il allait exécuter son contrat.
L’affaire a relancé le débat sur le trafic de stupéfiant qui gangrène la cité phocéenne. Mais, surtout, l’âge du tueur présumé interpellé. Cet adolescent, placé en détention provisoire, fait partie des plus jeunes tueurs à gages recrutés par les gangs, selon une enquête du Parisien.
Mais il est loin d’être un cas isolé. Un mineur de 15 ans recruté par le même commanditaire présumé, un détenu de Luynes, près d’Aix-en-Provence, pour intimider un rival d’un autre gang de dealers, a d’ailleurs été placé sous contrôle judiciaire avec obligation de résider dans un centre éducatif fermé loin de Marseille.
Un autre jeune de 15 ans mandaté pour cette opération d’intimidation a, lui, été tué, poignardé d’une cinquantaine de coups de couteau puis brûlé vif.
Le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, a pointé, dimanche, "un ultra-rajeunissement" des auteurs d’homicides en lien avec le milieu marseillais. Il y a "une perte totale de repères qui va faire que des jeunes garçons vont répondre à des annonces, pour aller ôter la vie d’autrui sans aucun remords, sans aucune réflexion".
Et le "rôle des réseaux sociaux commence à nous questionner", a observé le magistrat, soulignant, au passage, l’"amateurisme effrayant" de ces jeunes.
"Ce sont des jeunes issus en majorité des quartiers populaires, en décrochage scolaire, dont les familles sont pour beaucoup monoparentales", analyse Laëtitia Linon, figure de la lutte contre le narcotrafic marseillais, citée par La Dépêche.
"La plupart du temps, ils débutent au bas de l’échelle, souvent comme guetteurs, puis ils gravissent les échelons. Depuis quelques années, on voit aussi des filles s’impliquer dans le milieu, même si ça reste marginal", explique-t-elle.
L’embrigadement de ces jeunes commence souvent par "des choses simples". "Les gérants des réseaux remarquent les mômes fragiles et s’engouffrent dans la brèche. Ça va commencer par des “Va me chercher un sandwich”, “prends-moi des clopes au tabac”, et puis, c’est la spirale", décrypte Laëtitia Linon, qui plaide pour un renforcement de la prévention, dès l’école primaire.

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