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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 18:35:11


INDRE-ET-LOIRE - 5 personnes en réanimation après avoir ingéré du pesto, 600 bocaux recherchés :
Cinq personnes sont en réanimation au centre hospitalier de Tours pour une suspicion de botulisme après avoir ingéré des conserves de pesto à l’ail des ours, a annoncé mardi le préfet d’Indre-et-Loire, estimant que « 600 bocaux » étaient recherchés à travers la France. « Deux couples se sont présentés aux urgences samedi » et une cinquième personne dimanche après avoir participé à un même « repas d’anniversaire », a indiqué Patrice Latron lors d’un point-presse. Les patients, tous majeurs, « sont actuellement en réanimation, conscientes, intubées, ventilées » au centre hospitalier de Tours, a-t-il précisé. « Sur la base d’indices convergents », les autorités sanitaires suspectent des cas de botulisme liés à l’ingestion « d’un produit qui s’appelle +Ô p’tits Oignons+, qui est un pesto à l’ail des ours, produit en Touraine », a ajouté le préfet. Ce produit est « fortement suspecté d’être à l’origine de cette contamination », qui peut être mortelle, a-t-il souligné. La priorité est désormais de « valider scientifiquement l’hypothèse du botulisme et puis de leur assurer le meilleur traitement possible » ainsi que de faire de « la prévention pour éviter que d’autres personnes ne consomment le produit » suspecté.
« C’est 600 bocaux que nous cherchons » sur toute la France, et « les personnes qui (les) ont achetés doivent les jeter, les détruire », a-t-il estimé. Ces conserves ont été commercialisées à l’occasion de quatre fêtes ou foires organisées dans le département entre fin mars et septembre, a rappelé le préfet. « Une enquête alimentaire a immédiatement été diligentée, organisée entre l’ARS (l’Agence régionale de santé, NDLR) du Centre-Val de Loire et les services de la Direction départementale de la Protection des Populations », a indiqué M. Latron, confirmant également l’ouverture d’une enquête judiciaire. Le botulisme est une affection neurologique rare et grave, mortelle dans 5 à 10 % des cas, provoquée par une toxine très puissante produite par une bactérie qui se développe notamment dans les aliments mal conservés, faute de stérilisation suffisante. En septembre 2023, seize clients, dont une femme qui en est décédée, ont été identifiés comme « cas suspects de botulisme » après avoir mangé des sardines en conserve de fabrication artisanale dans un restaurant touristique du centre de Bordeaux.
> En France, le botulisme est rare : l’incidence moyenne s’est stabilisée depuis 1980 autour de 20-30 foyers par an, impliquant le plus souvent chacun un à trois malades.
Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 18:38:28


Vie extraterrestre - des scientifiques font une découverte importante :
Durant son survol de la Terre en août dernier, la sonde spatiale européenne Juice a réussi son test en détectant les éléments nécessaires à la vie dans l’atmosphère terrestre, indique mardi l’Agence spatiale européenne (ESA).
Le 20 août 2024, la sonde spatiale Juice a accompli une « première mondiale » en exécutant un passage proche de la Lune puis de la Terre, destiné à faciliter son voyage vers Jupiter. L’opération consistait à passer près d’un corps céleste pour profiter de son attraction gravitationnelle, une force naturelle qui permet de dévier la trajectoire de l’engin spatial et de modifier sa vitesse.
Ce survol représentait une opportunité de tester et calibrer les instruments scientifiques embarqués par la sonde, ainsi que de s’assurer qu’ils étaient prêts pour l’arrivée de Juice sur Jupiter, précise l’ESA.
Deux instruments ont ainsi collecté des données indiquant que la Terre est habitable. Ils ont notamment montré la présence d’eau, de carbone, d’hydrogène, d’azote, d’oxygène, de phosphore ainsi que de soufre dans l’atmosphère, soit les éléments composant le plus couramment les organismes vivants.
Plus importante que cette « découverte » en tant que telle est la confirmation que les instruments de la sonde fonctionnent correctement. « Nous ne sommes évidemment pas surpris par ces résultats », souligne Olivier Witasse, scientifique impliqué dans le projet Juice. « Mais cela indique que les instruments fonctionneront correctement sur Jupiter, où ils devront déterminer si les lunes glacées de la planète pourraient représenter des habitats potentiels pour des formes de vies passées ou présentes. »
Juice (abréviation de « Jupiter Icy Moons Explorer ») a été lancée en avril 2023. Son arrivée sur Jupiter est prévue en 2031. La sonde observera les lunes glacées Europe, Ganymède et Callisto, à la recherche d’environnements propices à l’apparition d’une vie extraterrestre. Ces lunes pourraient en effet contenir des océans d’eau liquide sous leur croûte glacée.
Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 18:41:59


ABBE PIERRE : des documents révèlent que l’Eglise et Emmaüs étaient au courant des abus sexuels
Des documents publiés par la cellule investigation de Radio France ce lundi viennent confirmer ce qu’avançaient en juillet dernier les membres de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise (Ciase) chargés d’enquêter sur les agissements de l’abbé Pierre. « Depuis 1954-1955, des informations reviennent aux oreilles épiscopales sur [le] comportement » du religieux, écrivaient alors les quatre chercheurs dans une tribune au Monde. L’équipe met en lumière plusieurs mises à l’écart de l’abbé Pierre : les évêques informés lui imposent une cure médicale, puis psychiatrique en Suisse (1957-1958). Puis une retraite spirituelle à Béni Abbès (1961), qui « suit la logique de réforme comportementale appliquée par l’Eglise aux prêtres déviants et agresseurs sexuels ».
L’Eglise savait, notent les chercheurs qui ont reçu et analysé pas moins de 1.300 témoignages leur permettant, une première fois en juillet, puis la semaine passée, de mettre en lumière une vingtaine d’abus au total. Le dernier rapport, rendu public le 6 septembre, tient compte de nouveaux témoignages qui font état de contacts « non sollicités sur les seins », de « baisers forcés », de « fellations forcées », de « contacts sexuels répétés sur une personne vulnérable », « d’actes répétés de pénétration sexuelle » ou encore de « contacts sexuels sur une enfant ».
En juillet déjà, les chercheurs de la Ciase pointaient l’immense responsabilité de l’Eglise, mais aussi celle de la hiérarchie du mouvement Emmaüs : « Ce charisme lui a assuré une protection car ceux qui savaient n’ont pas pu ou voulu le mettre en cause publiquement – ses victimes par sidération souvent, les autres par logique institutionnelle. En effet, les évêques informés et les responsables d’Emmaüs ont étouffé les affaires. L’occultation créait un secret partagé, au détriment des agressées, jamais prises en compte. Banale logique de protection de l’institution : la mise en cause publique du charisme risquait de remettre en cause ce qu’il avait permis et permettait de faire. »
Ce lundi, Radio France a publié des lettres manuscrites rédigées par le prêtre, décédé en 2007, dans lesquelles il menace diverses personnes de son entourage mettant en cause son comportement et ses abus. L’une de ces lettres est rédigée en 1955 à l’attention d’un étudiant américain qui a mis en garde un proche de l’abbé des agissements de ce dernier suite à un séjour aux Etats-Unis. Le religieux tente d’impressionner l’étudiant et se montre menaçant : « Tu promettais de ne plus te mêler de cette multitude de choses où tu ne sais accumuler que des ravages, chaos et infection. Sache que pas une récidive ne restera sans réponse, et s’il le faut [mes réponses seront] brutales, chirurgicales. »
Aucune sanction canonique n’a été prise à l’époque par l’Eglise qui avait pourtant été alertée des agissements de l’abbé. La hiérarchie du mouvement Emmaüs n’a pas non plus cherché à alerter les autorités de l’époque ou se mettre en lien avec les victimes. L’équipe de chercheurs poursuit, dans sa tribune : « Les témoignages de la Ciase ont conduit l’un d’entre nous à interroger le diocèse de Grenoble, dont dépendait l’abbé Pierre. Il a reconnu disposer de données, sans les avoir communiquées. Les dirigeants d’Emmaüs se sont contentés de mettre en garde de manière officieuse et elliptique des femmes travaillant pour Emmaüs. »
Ce lundi, Emmaüs International a annoncé – via son directeur général – « réfléchir » à une forme d’indemnisation des victimes du religieux. La fondation Abbé Pierre a quant à elle émis le souhait de changer de nom.

Auteur : Mel_C  
932/1015

Date :    10-09-2024 18:43:04


Visite du Pape François :
Les organisateurs de l’Eucharistie présidée par le pape François le dimanche 29 septembre au Stade Roi Baudouin à Bruxelles ont dégagé 2.500 places supplémentaires, ont-ils annoncé mardi dans un communiqué. Ces places se trouvent le long de la piste du stade et seront attribuées en priorité aux paroisses, aux autres groupes d’Eglise et aux jeunes.
Les paroisses et autres groupes d’Eglise pourront recevoir un maximum de 50 places. Celles et ceux qui n’auront pas pu décrocher le précieux sésame sont invités à organiser une retransmission de l’Eucharistie au sein de leur église paroissiale.
Les jeunes du festival « Hope Happening », quant à eux, bénéficient toujours de 7.500 places. Les places individuelles restantes pourront être réservées dès jeudi à 10h00 via le site www.visitedupape.be.
Le 19 août dernier, le porte-parole francophone de la Conférence épiscopale, Tommy Scholtes, avait indiqué à Belga que les 35.000 places individuelles mises à disposition des fidèles avaient été prises d’assaut. Il avait, dans la foulée, annoncé que les organisateurs allaient tout mettre en œuvre pour trouver de nouvelles places.
Au total, des dizaines de milliers de fidèles pourront assister à la messe géante célébrée dans le cadre de la visite du pape François en Belgique. Le souverain pontife se trouvera sur le territoire belge du jeudi 26 septembre au dimanche 29 septembre à l’occasion du 600e anniversaire de la KU Leuven et de l’UCLouvain.
Auteur : Mel_C  
933/1015

Date :    10-09-2024 18:50:26


TROMPERIE ET FORAGES ILLEGAUX - Nestlé Waters va payer une amende de 2 millions d’euros en France :
Nestlé Waters va payer une amende de 2 millions d’euros après avoir conclu une convention judiciaire d’intérêt public (CJIP) avec le parquet d’Épinal à la suite de deux enquêtes préliminaires, l’une concernant des forages illégaux et l’autre pour tromperie, a annoncé le procureur d’Épinal mardi.
Nestlé Waters doit s’acquitter de cette amende dans un délai de trois mois. La filiale du géant veveysan de l’alimentation s’est également engagée à «la réparation de l’impact écologique par la mise en place d’un ambitieux plan de renaturation et de restauration de la continuité écologique».
Elle va en outre indemniser plusieurs associations de défense de l’environnement à hauteur de 516’800 euros (477’200 francs), a précisé le procureur d’Épinal Frédéric Nahon dans un communiqué.
Cette CJIP est «la plus importante en matière environnementale signée à ce jour en France», selon le parquet d’Épinal.
La conclusion de cette CJIP intervient à la suite de deux enquêtes préliminaires. La première portait sur l’inadéquation des autorisations administratives exigées par la réglementation pour permettre l’exploitation de neuf captages, sur les 130 captages existant aux fins de commercialisation des eaux minérales produites par Nestlé Waters.
La seconde enquête concernait l’utilisation par la multinationale de traitements non autorisés par la réglementation sur les eaux minérales, en l’occurrence, le traitement par ultraviolets et des filtres à charbon actif.
Le parquet d’Épinal note que Nestlé Waters a mis fin aux irrégularités constatées et a cessé les traitements de l’eau non autorisés et a «pleinement coopéré» avec les autorités judiciaires et administratives, et ajoute qu’il n’y a eu aucune conséquence sur la santé publique.
«Compte tenu de ces éléments et de la connexité entre les deux procédures», le procureur d’Épinal explique avoir proposé la conclusion d’une CJIP qui «permet, tout en sanctionnant les non-conformités constatées, de privilégier la régularisation la plus rapide de la situation, la réparation de l’impact écologique et l’indemnisation de plusieurs parties».
Auteur : Mel_C  
934/1015

Date :    10-09-2024 19:24:04


POLEMIQUE - Indochine absent des JO :
Le groupe Indochine n'a pas participé aux cérémonies d'ouverture ou de clôture des Jeux olympiques de Paris 2024. Interrogé sur cette absence étonnante au vu de la popularité du groupe français, Nicola Sirkis a ironisé au micro de nos confrères du Parisien : "On n’a pas reçu le bristol. On ne fait pas partie de ce club parisien, France Inter, Télérama. Je pense qu’ils n’ont même pas pensé à nous", a déclaré le chanteur.
Une déclaration qui a provoqué quelques remous après sa publication puisque certains ne comprenaient pas en quoi des artistes comme Aya Nakamura, Gojira, Céline Dion ou Lady Gaga - invités à performer pendant la cérémonie - représenteraient une forme entre-soi parisien élitiste. La première est née à Bamako, Gojira est un groupe de death metal landais, Céline Dion est Canadienne... et chacun représente différentes formes de musiques très populaires.
Au micro de Flavie Flament, sur RTL, le groupe est revenu sur cette polémique : "[On est dans] un monde de fous depuis longtemps, a tout d'abord acquiescé Nicola Sirkis. Ça nous a donné surtout envie d'arrêter la promo. En fait, le problème, c'est qu'on répond à des questions, on ne se confie pas. Et les journalistes pensent qu'on se confie, mais on ne s'est absolument pas confiés. On a répondu à une question, on nous demande 'Avez-vous été invités ?' Non, nous n'avons pas été invités, mais ce n'était pas grave parce que les Jeux olympiques étaient magnifiques. À quel titre on aurait dû être invité ? On n'a pas ce niveau-là. Après, c'est tout. Mais bon, ce qui est marrant, c'est effectivement ce phénomène de gros titres. C'est toujours ça.
Et Nicola Sirkis de faire l'éloge de la discrétion d'Indochine, l'une des clefs de leur popularité et de leur longévité selon lui. "Donc, nous, on préfère se taire. D'ailleurs, c'est marrant. Les trois artistes préférés des Français, restons humbles, il y a Goldman, nous et Cabrel. C'est les gens les plus discrets. Et donc, il faut faire attention. Ce qui est rare est cher. On se fait discret parce que ça ne sert à rien d'enrichir tout ça. Effectivement, c'est le chaos du monde. C'est Babel", concluait-il en clin d'œil aux thèmes du dernier album du groupe Babel Babel.
Auteur : Mel_C  
935/1015

Date :    10-09-2024 19:27:18


PROCES DES VIOLS DE MAZAN - Quel est le risque à partager la liste des accusés sur les réseaux sociaux ?

Nouveau rebondissement dans le cadre du procès de Mazan. Lundi 9 septembre, plusieurs avocats de la défense ont annoncé avoir déposé plainte en raison de la diffusion d'informations concernant leurs clients.

Isabelle Crépin-Dehaene, l'une des avocates de la défense, a dénoncé la violence subit par les familles : "Des enfants d'accusés ont été pris à partie au sein de leur établissement scolaire, des épouses et proches d'accusés ont été insultés, des appels téléphoniques malveillants reçus par des accusés, avec tentatives d'intrusion à leur domicile."
L'avocate a ajouté qu'une "quinzaine de plaintes seront déposées" et que "d'autres suivront dans les semaines à venir". Dans les faits, que risquent les personnes ayant partagé les listes des accusées du procès des viols de Mazan ?
Contactée par RTL.fr, Évelyne Sire-Marin, magistrate honoraire, rappelle : "Pour la diffusion du nom des hommes accusés, l'un des principes dans ce cas, c'est la présomption d'innocence. Cela pose un problème de divulguer le nom d'une personne si elle n'est pas encore condamnée."

La magistrate poursuit et nuance : "Dans le même temps, les audiences sont publiques, ce qui implique que les citoyens sont en droit de connaître les détails des affaires. Le problème, c'est que le grand public a tendance à faire des raccourcis. 'Elle a été violée par un tel', par exemple. Là, on tombe dans de la diffamation."
L'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse définit la diffamation comme : "Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation."
Ce délit est condamné par une amende de 12.000 euros. S'il y a un motif discriminatoire en plus, la sanction peut s'élever jusqu'à un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.

Depuis le lancement du procès, les internautes et en particulier des collectifs féministes ont fait circuler la liste des prévenus. Au micro de nos confrères de Franceinfo, Blandine du collectif les Amazones d'Avignon a défendu la publication des listes : "L'information doit circuler [mais] il ne faut pas participer au harcèlement contre ces familles qui n'y sont pour rien."
La militante conclut : "Nous considérons les familles comme des co-victimes de ces criminels", assène Blandine. Au-delà de la diffamation, les avocats des 51 personnes accusées pourraient utiliser l'article 223-1-1 du code pénal. Ce dernier renvoie au fait de "diffuser ou de transmettre [...] des informations relatives à la vie privée [...] d'une personne, permettant de l'identifier ou de le localiser".
Ce délit est puni, au maximum, de 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende. Pour la magistrate Évelyne Sire-Marin, lorsque les listes ne présentent pas de mention diffamatoire, l'enjeu sera aussi de "montrer qu'il y a eu une volonté de nuire en publiant les listes".
Auteur : Mel_C  
936/1015

Date :    10-09-2024 19:34:30


TRANSPORTS - Fiabilité : les TER d’Occitanie ont un train de retard selon une nouvelle étude UFC-Que Choisir / 1 :
Malgré les importants investissements réalisés par les régions depuis plus de 20 ans, la qualité des services des TER n’est pas au rendez-vous. C’est ce que démontre une étude de l’association UFC-Que Choisir publiée ce 10 septembre.
L’analyse des chiffres de l’autorité de régulation des transports met en évidence qu’en 2023, 9,6 % des TER ont été déprogrammés ou annulés, et parmi ceux qui ont roulé, 11,2 % sont arrivés à destination avec au moins 5 minutes de retard. Des chiffres très mauvais comparés à nos voisins européens : la France est huitième avec un taux de retard de ses trains régionaux de 11 % en 2023 quand l’Autriche peut se targuer de n’en avoir que 4,3 %.
Dans l’hexagone, un usager qui prend le train tous les jours subit en moyenne deux annulations ou retard chaque semaine.
L’Occitanie figure parmi les plus mauvais élèves avec une ponctualité de 86,5 %, soit le taux le plus faible après celui la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (84,7 %). Un pourcentage que relativise Jean-Luc Gibelin, vice-président en charge des transports Région Occitanie pour qui "la ponctualité reste bien meilleure que ce qu’elle a été ces dernières années".

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