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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:32:25


DECES - L’acteur Jean-Michel Dupuis, vu dans «La Boum» et «Le Prénom», est mort :
L’acteur Jean-Michel Dupuis est décédé à l’âge de 69 ans, a annoncé sa femme à l’AFP. L’acteur était malade. Il a joué dans de nombreux films à succès comme « La Boum » ou encore « Le Prénom ». Jean-Michel Dupuis a commencé sa carrière en 1975 avec « Le petit Marcel » de Jacques Fansten. Il est également apparu dans « Attention bandits ! » (1986), « Preuve d’amour » (1988) ou encore « La Belle histoire » (1992). Jean-Michel Dupuis était également comédien au théâtre dans les pièces « Conversations après un enterrement » (1987), « En attendant Godot » (1997), « Les Portes du ciel » (1999), « La danse de l’albatros » (2007) ou encore « Le mensonge » (2016). Il a été six fois nominé aux Molière pour le meilleur second rôle.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:39:05


IRAN - Deux ans après la mort d’Amini, ... les persécutions et esprit de révolte perdurent
Exécutions à grande échelle, impunité pour les auteurs, persécution des proches endeuillés: le bilan est sombre en Iran, deux ans après une révolte populaire dont beaucoup espéraient qu’elle marquerait un tournant dans l’histoire de la République islamique. Qu’ils se trouvent en exil ou derrière les barreaux, les militants antirégime veulent pourtant croire que le mouvement de contestation né après la mort en détention de Mahsa Amini – une Iranienne de 22 ans arrêtée en septembre 2022 pour ne pas avoir respecté le strict code vestimentaire islamique – n’aura pas été vain.
Dénonçant le port obligatoire du voile et le conservatisme religieux, les manifestants, menés par des femmes, avaient défié le pouvoir iranien pendant des mois, au prix d’une lourde répression: au moins 551 personnes avaient été tuées, et des milliers d’autres arrêtées, selon des ONG de défense des droits humains.
Si les protestations sont aujourd’hui limitées et sporadiques, le pouvoir les écrase toujours aussi méthodiquement: l’Iran a exécuté dix hommes condamnés à la peine capitale dans des affaires liées au mouvement, dont le dernier, Gholamreza Rasaei, 34 ans, a été pendu en août, quelques jours après la prise de fonctions du nouveau président, Massoud Pezeshkian.
Les groupes de défense des droits humains dénoncent aussi la multiplication des exécutions pour tous types d’infractions, destinées à créer la peur et dissuader les opposants de toute velléité contestataire.
Selon l’organisation Iran Human Rights (IHR), basée en Norvège, au moins 402 personnes ont été exécutées au cours des huit premiers mois de l’année.
«D’innombrables personnes en Iran continuent de subir les conséquences de la répression brutale des autorités», affirme Diana Eltahawy, d’Amnesty International.
Selon Human Rights Watch (HRW), les proches de dizaines de personnes tuées, exécutées ou emprisonnées pendant les manifestations, ont été menacés, harcelés, voire eux-mêmes arrêtés sur la base de fausses accusations.
«Les autorités iraniennes brutalisent les gens deux fois: elles exécutent ou tuent un membre de leur famille, puis arrêtent leurs proches pour avoir demandé des comptes», déplore Nahid Naghshbandi, chercheuse sur l’Iran à HRW.
Parmi les personnes emprisonnées figure Mashallah Karami, le père de Mohammad Mehdi Karami, exécuté en janvier 2023 à l’âge de 22 ans dans une affaire liée aux manifestations. M. Karami, qui avait mené une campagne pour sauver la vie de son fils, a été condamné à six ans de prison en mai, puis à neuf ans en août.
Pendant ce temps, les autorités s’acharnent à faire respecter la réglementation sur le port obligatoire du hijab, dont l’abolition était une revendication clé des manifestants. Amnesty note une «augmentation visible des patrouilles à pied, à moto, en voiture et en fourgons de police dans les espaces publics».
Pour renforcer ce dispositif, le Parlement devrait adopter sous peu un projet de loi visant à «soutenir la culture de la chasteté et du hijab».
Alors que les véhicules personnels ont longtemps constitué un espace sécurisé pour les Iraniennes, elles sont désormais ciblées dans leurs voitures, souvent à l’aide de technologies de reconnaissance.
Des experts onusiens accusent l’Iran d'«intensifier» la répression contre les femmes, via notamment le recours récurrent à la violence, «coups» ou «gifles» en guise de sanctions.
Amnesty a dénoncé le sort d’Arezou Badri, une femme de 31 ans restée paralysée après s’être fait tirer dessus en juillet par la police alors qu’elle se trouvait en voiture dans le nord de l’Iran lors d’un contrôle en lien avec la réglementation vestimentaire.
Une mission d’enquête de l’ONU a conclu en mars que la répression des manifestations par les autorités équivalait à des «crimes contre l’humanité», mais aucun responsable n’a jamais eu à rendre de comptes.
«Deux ans après les manifestations, les dirigeants de la République islamique n’ont ni rétabli le statu quo ante ni retrouvé leur légitimité perdue», affirme Roya Boroumand, cofondatrice du Centre Abdorrahman Boroumand, basé aux Etats-Unis. Et «de nombreuses jeunes femmes restent contestataires», poursuit-elle.
Si le mouvement de contestation a secoué le régime, il a également souligné les divisions au sein d’une opposition hétéroclite, incapable de s’entendre, en Iran comme à l’étranger.
Le mouvement de protestation «a montré la faillite absolue des alternatives d’opposition au régime», observe le chercheur Arash Azizi, auteur du livre «Ce que veulent les Iraniens».
Mais d’ajouter : «Je continue de croire que l’Iran ne reviendra pas à la situation d’avant 2022. Dans les prochaines années, la République islamique connaîtra probablement des bouleversements fondamentaux».
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:45:08


Accident mortel impliquant Koba laD :
Pourquoi Koba LaD, au volant de son Audi RS4, a-t-il dévié vers la bretelle d’accès de la station-service Total à Créteil (Val-de-Marne), où il a percuté violemment un poids lourd stationné ? Un pneu crevé, comme envisagé après l’accident survenu mardi vers 23 heures et ayant causé un mort et deux blessés, pourrait-il en être la cause ?
En garde à vue, vendredi 13 septembre 2024, Koba LaD a mentionné un pneu dégonflé, et non crevé, rapporte Le Parisien. Selon les images de vidéosurveillance, un véhicule se trouvait devant la voiture du rappeur juste avant qu’il ne quitte sa trajectoire. Il aurait tenté d’éviter ce véhicule, ce qui l’aurait conduit sur la bretelle, sans voir le poids lourd stationné. "Il a cherché à éviter une voiture qui se rabattait devant lui et a perdu le contrôle", ont expliqué ses avocats au Figaro. Mais, la vidéosurveillance ne confirme pas la présence d’un autre véhicule qui se rabat devant celui du rappeur. La vitesse à laquelle roulait Koba LaD n’a pas encore été déterminée, mais les traces de freinage et l’état de la voiture la révéleront. D’après la même source, il circulait "très vite" sur cette bretelle limitée à 40 km/h, avec une estimation évoquant 130 km/h.
L’enquête menée par la CRS autoroutière Est Île-de-France se penche aussi sur la conduite sous stupéfiants. La prise de sang de l’artiste s’est révélée positive. Son avocat, Stéphane Cherqui, a précisé un taux de 1,3 nanogramme par ml de THC, arguant que ce taux serait légal dans certains pays. Néanmoins, un autre taux pertinent, mesuré à 16 nanogrammes, indique une consommation active, contredisant la défense de Koba LaD qui assure ne pas avoir consommé depuis fin août. Une contre-expertise pourrait être demandée. "Il faut rester très prudent de toute façon, ajoute la source. Il reste à mener un gros travail pour déterminer toutes les circonstances du drame. Il y aura une expertise technique, des examens."

> Koba LaD a été mis en examen pour "homicide involontaire aggravé" et "blessures involontaires aggravées" et placé en détention provisoire, selon le parquet de Créteil.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:48:16


PRES DE MONTPELLIER, une quadragénaire décède lors d’une soirée festive :
Selon Midi Libren il était aux alentours de 23 heures ce samedi 14 septembre lorsqu’une femme participant à une soirée festive au sein du Mas du Ministre, situé sur la commune de Mauguio aux portes de Montpellier, s’est effondrée, inconsciente.Un comportement suspect qui a aussitôt attiré les regards et créé l’étonnement puis l’émoi au sein de l’établissement qui accueillait à ce moment-là plus de deux cents personnes. Tandis que des premiers soins étaient apportés à la victime, âgée d’une quarantaine d’années, les hôtes des lieux ont immédiatement contacté les secours. Mais lorsque les sapeurs-pompiers de l’Hérault et les urgentistes du Samu 34 sont arrivés sur site, la victime était en arrêt cardio-respiratoire. Malgré un long massage cardiaque, ils ne sont pas parvenus à la ramener à la vie. Bien qu’aucune trace suspecte de violence n’ait été découverte sur son corps, le médecin a posé un obstacle médico-légal, au vu de son jeune âge, afin qu’une autopsie soit effectuée.

> Confiée aux gendarmes de la compagnie de Lunel, une enquête est en cours pour tenter de déterminer les circonstances exactes de cette mort subite.

Une quadragénaire décède lors d’une soirée festive près de Montpellier :
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:55:10


GORGES DE LA CEZE - Un septuagénaire chute et se blesse :
Ce dimanche 15 septembre, lors d’une sortie dans les gorges de la Cèze au niveau de Saint-Privat-de-Champclos dans le nord du Gard, un homme de 70 ans a été victime d’une chute. Blessé, le septuagénaire a été pris en charge par les sapeurs-pompiers du Gard, dont une équipe du groupement d’intervention en milieux périlleux (GRIMP). En raison du lieu difficile d’accès, il a été transporté par hélicoptère vers le CHU de Nîmes.
Auteur : Mel_C  
966/1016

Date :    15-09-2024 20:56:58


U.S.A. - Une loutre de rivière attaque un enfant avant de le plonger dans l’eau :
Une attaque rare mais pas inédite s’est produite le 12 septembre 2024 près de Seattle. Une loutre de rivière a attaqué un enfant à la marina de Bremerton, le traînant d’un quai à l’autre avant de le plonger dans l’eau. L’enfant a refait surface après quelques instants. Sa mère est parvenue à le sortir alors que l’animal continuait de mordre et griffer, rapporte Associated Press. En quittant le quai, la loutre les a poursuivis avant de finalement abandonner. L’enfant, souffrant de "blessures mineures grâce à la rapidité d’action de la mère et à sa résilience" a été hospitalisé, selon le sergent Ken Balazs, du serice de la pêche et de la faune. L’animal a ensuite été capturé pour des tests, notamment pour la rage.

> Bien que les attaques de loutres soient rares dans l’État de Washington, avec seulement six incidents en dix ans, ces animaux restent imprévisibles et territoriaux.
Auteur : Mel_C  
967/1016

Date :    15-09-2024 21:02:23


IMMIGRATION - huit migrants meurent dans la Manche, 46 morts depuis le début de l’année
Une embarcation surchargée, peu de gilets de sauvetage, et un bateau qui se déchire sur les rochers à peine arrivé en mer : huit migrants sont morts dans ce naufrage dimanche, portant à au moins 46 le nombre de candidats à l’exil vers la Grande-Bretagne décédés dans la Manche en 2024.
Les victimes de ce naufrage survenu en début de nuit au niveau d’Ambleteuse (Pas-de-Calais) sont des "hommes manifestement majeurs", a déclaré le préfet du Pas-de-Calais, Jacques Billant, lors d’un point-presse sur la digue d’Ambleteuse. Six rescapés ont été hospitalisés en urgence relative, dont un nourrisson de dix mois en hypothermie, a-t-il ajouté.
L’embarcation clandestine comptait près de 60 passagers, "originaires d’Erythrée, du Soudan, de Syrie, d’Afghanistan, d’Egypte et d’Iran," et "seule une personne sur six était équipée d’un gilet de sauvetage", a souligné M. Billant.
Parti depuis "le secteur de la Slack", fleuve côtier dont l’embouchure est située entre Wimereux et Ambleteuse, le bateau est "venu s’échouer" sur une pointe rocheuse et "s’est manifestement déchiré sur les rochers", a expliqué le préfet.
Ce drame est survenu moins de deux semaines après le pire naufrage de l’année dans cette région, qui avait fait douze morts le 3 septembre.
Il porte, selon le préfet, à 46 le nombre de décès dans de telles traversées clandestines depuis janvier, confirmant que 2024 est de loin l’année la plus meurtrière depuis le début du phénomène des bateaux de fortune pour traverser la Manche en 2018.
Le parquet de Boulogne-sur-Mer a ouvert une enquête pour "aide à l’entrée et au séjour d’étrangers en situation irrégulière en bande organisée, avec la circonstance aggravante de mise en danger de la vie d’autrui", a indiqué à l’AFP Patrick Leleu, procureur adjoint. Aucune interpellation n’avait eu lieu dimanche en milieu de matinée, a-t-il indiqué à la presse aux côtés du préfet.
"C’est horrible. C’est une nouvelle perte de vie", a réagi David Lammy, chef de la diplomatie britannique, auprès de la BBC. "Les Etats français et britannique doivent repenser leur politique migratoire immédiatement", a réclamé sur X, l’Auberge des migrants, une association d’aide aux exilés, qualifiant la Manche de "frontière meurtrière".
À la faveur d’une fenêtre météo favorable, de nombreuses tentatives de traversée ont eu lieu ces derniers jours. En 24 heures entre vendredi et samedi, "200 naufragés ont été secourus", avait signalé samedi soir la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord (Prémar).
Sur l’ensemble de la journée, "18 tentatives de départs d’embarcations ont été suivies" par le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage du cap Gris-Nez, a-t-elle précisé.
À Ambleteuse, après le naufrage de la nuit, un second départ a eu lieu vers 7 h 30 dimanche, a rapporté à l’AFP Christel [BIEN Christel] Leclair, bénévole dans une association locale. Les départs, "c’est tout le temps, hiver, jour, nuit, été", […] dès que la mer est calme", a-t-elle noté.
"Les embarcations sont de plus en plus chargées, ils n’ont pas de gilet de sauvetage, éventuellement une chambre à air, il y a des enfants, des femmes enceintes, des nourrissons", a-t-elle déploré. "On est tristes, démunis."
Selon les chiffres des autorités britanniques, les embarcations arrivées sur les côtes britanniques depuis le 1er janvier comptent en moyenne 52 passagers chacune, contre seulement 13 en 2020.
Cette année, dans le Nord et le Pas-de-Calais, "20 filières d’immigration irrégulière ont été démantelées […], entraînant l’interpellation de 77 personnes et le déferrement de 59", a assuré le préfet Billant.
Faute de voies de passage légales suffisantes, "les gens continuent et continueront à prendre les mêmes risques, peu importe la quantité de contrôles et de moyens déployés à la frontière", a réagi Charlotte Kwantes, coordinatrice nationale d’Utopia 56, une autre association d’aide aux migrants. "Les passeurs ne font que profiter et abuser d’un système qui leur laisse toute la place".
Après le naufrage du 3 septembre, le ministre démissionnaire de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avait appelé à la signature d’un "traité migratoire entre la Grande-Bretagne et l’Union européenne" pour tenter de mettre un terme aux départs clandestins.
Depuis le début de l’année, plus de 22 000 migrants sont arrivés en Angleterre après avoir traversé la Manche en bateau, selon les autorités britanniques.
Élu en juillet, le gouvernement britannique du travailliste Keir Starmer a promis de s’attaquer à l’immigration illégale en augmentant le nombre d’expulsions de migrants et en luttant contre les passeurs.
Auteur : Mel_C  
968/1016

Date :    15-09-2024 21:03:53


Deux individus frappent et étranglent un bijoutier pour lui voler des diamants à Paris :
Ce samedi 14 septembre 2024 en début de soirée, un bijoutier a été violemment agressé alors qu’il quittait sa boutique dans le 1er arrondissement de Paris. Les assaillants lui ont arraché une sacoche contenant des bijoux avant de prendre la fuite. Initialement estimé à 300 000 euros, le butin a été réévalué à 1,185 million d’euros. L’agression s’est produite aux alentours de 18 heures, à la sortie de la bijouterie Avani, située place du Marché-Saint-Honoré, près de la place Vendôme. Alors qu’il sortait de sa boutique, le bijoutier a été frappé et étranglé par deux individus, qui lui ont volé une sacoche contenant des bijoux et des pierres précieuses destinées à une exposition, selon une source proche de l’enquête. "L’acte semble avoir été prémédité", précise la même source. La victime, légèrement blessée, a été prise en charge, tandis que les policiers ont mené des recherches dans la zone, sans réussir à retrouver les voleurs. Les images de vidéoprotection seront examinées dans le cadre de l’enquête, qui a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne.

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