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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 10:15:13


COP16 - les indigènes d’Amazonie demandent des financements directs :
« Sauver l’Amazonie, c’est nous sauver nous-mêmes » : les peuples indigènes d’Amazonie ont besoin d’un « financement direct » pour protéger leurs territoires, a plaidé lundi 21 octobre 2024 l’un de leurs chefs, à l’occasion de l’ouverture officielle de la COP16 sur la biodiversité dans la ville colombienne de Cali.
« En tant que mouvement autochtone amazonien, nous voulons participer à l’élaboration des documents, tant sur le plan technique que politique, mais nous voulons aussi parler de l’aspect financier » de cette COP16, a déclaré à la presse le président de l’Organisation des peuples indigènes de l’Amazonie colombienne, Oswaldo Muca Castizo.
« Nous avons besoin d’un mécanisme de financement direct pour les peuples indigènes, afin qu’ils puissent continuer à conserver, à protéger ces territoires », a expliqué M. Muca lors d’une conférence de presse, y voyant notamment « une compensation pour les soins apportés depuis des milliers d’années par les peuples indigènes » à la forêt amazonienne.
« Aujourd’hui nous pouvons parler de territoires, de biodiversité, de changement climatique […]. Mais pour pouvoir continuer à protéger (l’Amazonie), nous avons besoin d’étendre nos territoires », face aux « acteurs extérieurs qui continuent à nuire », a-t-il estimé. « Si nos terres cessent d’être des réserves, d’autres personnes de l’extérieur viendront les exploiter, les détériorer. »
« Nous ne pouvons pas seulement parler des arbres, de l’eau, des animaux. Il y a des peuples indigènes, des gens qui prennent soin de ces territoires en permanence », a-t-il martelé
« Le monde entier cherche à savoir comment sauver l’Amazonie. Je leur réponds qu’il ne s’agit pas de sauver l’Amazonie, car c’est l’Amazonie qui sauve les peuples frères, qui sauve l’humanité ». « Il est temps de faire la paix avec la nature », a plaidé M. Muca, reprenant l’un des slogans phares de cette COP16.
« Nous, nous faisons la paix avec la nature parce que nous y sommes nés, nous y avons grandi, nous vivons d’elle, mais nous la protégeons aussi », dans une « interaction équitable… C’est pourquoi nous continuons à dire que nous allons protéger cette grande région amazonienne et notre diversité culturelle », avec les autres peuples du Brésil, du Pérou, de l’Équateur, du Surinam…
Le président de l’Organisation des peuples indigènes de l’Amazonie colombienne s’exprimait devant des représentants de plusieurs communautés autochtones de ces pays du bassin amazonien, le visage pour certains maquillés de symboles traditionnels, d’autres avec de spectaculaires coiffes de plumages multicolores. En Colombie, les peuples amazoniens sont au nombre de 64 sur 115 peuples indigènes, et leur territoire s’étend sur près de la moitié du pays.
« Nous appelons donc le monde entier à savoir, à reconnaître que nous, mouvement indigène, nous jouons un rôle important pour sauver l’humanité. Nous demandons aux gouvernements, au niveau mondial, de prendre des mesures réelles et efficaces. Et je suis de ceux qui disent que pour pouvoir mener ces actions, nous avons besoin de mécanismes de financement direct pour les peuples qui s’en occupent », a répété M. Muca.
Ces représentants indigènes s’exprimaient lors l’inauguration d’une « maloca » (maison communautaire) dans la « zone verte », en plein centre de Cali, où des dizaines de stands en bois ont été montés et de nombreux événements et manifestations seront organisés pendant les deux semaines de la COP, avec l’idée d’une plus grande participation du public et de diverses communautés à ce forum international sur la planète.
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 10:19:58


DROGUE - député LFI Andy Kerbrat :
> « Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. »
« Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. »
Le député La France Insoumise (LFI) de Nantes réagit en ces termes aux révélations de Valeurs actuelles, ce lundi 21 octobre. Ce journal fait savoir qu’Andy Kerbrat a été surpris, à Paris, jeudi 17 octobre, alors qu’il achetait de la drogue dans le métro, dans le XVIIIe arrondissement, à la station Lamarck-Caulaincourt.
Il s’agissait d’une petite quantité, un peu plus d’un gramme, de 3-MMC, une drogue de synthèse souvent appelée « la nouvelle cocaïne ».
Andy Kerbrat a reconnu les faits devant les policiers, vendredi, sans faire l’objet d’une garde à vue. Puis, la justice a décidé de convoquer le député de 34 ans pour une ordonnance pénale, voie alternative au procès pénal qui peut souvent se traduire par une amende.
« Ces révélations viennent de l’extrême droite… C’est un fait, soupire le candidat, qui fait état de nombreuses menaces homophobes reçues ce lundi soir. Pour autant, ça n’empêche que les faits reprochés sont réels. J’y apporterai une réponse en tout point, pour les Nantais notamment. »
« L’addiction est un problème de santé publique »
Peu après cet échange téléphonique, Andy Kerbrat a envoyé un communiqué de presse. Il s’explique. « Face à des problèmes personnels et des fragilités psychologiques, j’ai pu consommer des drogues de synthèse et suis pleinement conscient de leurs effets sur la santé et notamment la mienne. Au-delà de ma personne, l’addiction est un problème de santé publique, qui doit être traité tel quel. »
Il poursuit : « Je présente mes excuses à mes électrices et électeurs, ainsi qu’à mon groupe parlementaire. »

> « Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. » Le député La France Insoumise (LFI) de Nantes réagit en ces termes aux révélations de Valeurs actuelles, ce lundi 21 octobre. Ce journal fait savoir qu’Andy Kerbrat a été surpris, à Paris, jeudi 17 octobre, alors qu’il achetait de la drogue dans le métro, dans le XVIIIe arrondissement, à la station Lamarck-Caulaincourt. Il s’agissait d’une petite quantité, un peu plus d’un gramme, de 3-MMC, une drogue de synthèse souvent appelée « la nouvelle cocaïne ». « J’y apporterai une réponse en tout point » Andy Kerbrat a reconnu les faits devant les policiers, vendredi, sans faire l’objet d’une garde à vue. Puis, la justice a décidé de convoquer le député de 34 ans pour une ordonnance pénale, voie alternative au procès pénal qui peut souvent se traduire par une amende. « Ces révélations viennent de l’extrême droite… C’est un fait, soupire le candidat, qui fait état de nombreuses menaces homophobes reçues ce lundi soir. Pour autant, ça n’empêche que les faits reprochés sont réels. J’y apporterai une réponse en tout point, pour les Nantais notamment. » « L’addiction est un problème de santé publique » Peu après cet échange téléphonique, Andy Kerbrat a envoyé un communiqué de presse. Il s’explique. « Face à des problèmes personnels et des fragilités psychologiques, j’ai pu consommer des drogues de synthèse et suis pleinement conscient de leurs effets sur la santé et notamment la mienne. Au-delà de ma personne, l’addiction est un problème de santé publique, qui doit être traité tel quel. » Il poursuit : « Je présente mes excuses à mes électrices et électeurs, ainsi qu’à mon groupe parlementaire. » Contenus Sponsorisés Ailleurs sur le web Installer une douche sénior, combien ça coute ? Portail de Comparaison par Taboola « Je vais suivre un protocole de soins » Il semble envisager une mise en retrait. « Je vais suivre un protocole de soins. Il me permettra de reprendre mon activité parlementaire. Dans l’intervalle, mon équipe est à la disposition des habitants de ma circonscription. »
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 10:26:09


ALERTE ENLEVEMENT POUR UN BEBE PREMATURE DE 17 JOURS – Ses parents recherchés :

Ce mardi 22 octobre 2024, peu avant 8 h, le ministère de la Justice a déclenché le dispositif alerte enlèvement pour Santiago, un nouveau-né de 17 jours, enlevé dans une maternité d’Aulnay-sous-Bois. Ses parents sont activement recherchés. Voici ce que l’on sait.

[b]> Enlevé à la maternité :[/b] Le nouveau-né, âgé de seulement 17 jours, a été enlevé entre 23 h 00 et 23 h 30 à la maternité de l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois, Seine-Saint-Denis, annoncent les autorités ce matin.
Santiago, âgé de 17 jours, a les cheveux blonds, est habillé d’un t-shirt marron de taille 6 mois et d’un pyjama blanc en velours épais. Le nourrisson, né prématuré et hospitalisé en néonatologie, nécessite une prise en charge médicale constante. En l’absence de suivi médical, l’espérance de vie du nourrisson est limitée à une douzaine d’heures, selon une source à l’AFP.

[b]> Les premiers éléments de l’enquête :[/b] Les parents ont quitté l’hôpital en possession d’un sac à main, dans lequel les enquêteurs soupçonnent qu’ils ont dissimulé le bébé, indique l’agence de presse. Des recherches ont été menées au domicile des parents à Noisy-le-Sec, ainsi qu’à l’adresse de plusieurs membres de leur famille, sans résultat. L’enquête est confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

[b]> Le profil des parents :[/b] Selon l’alerte enlèvement, les parents de l’enfant sont activement recherchés. « Les suspects sont ses parents, un homme âgé de 23 ans, habillé d’un jean sombre, d’un T-shirt blanc, d’un blouson en jean bleu clair et d’un sur-blouson noir et une femme âgée de 25 ans, habillée d’un pull blanc, d’un blouson sans manche bleu clair et d’une jupe verte », indiquent-ils.

[b]> L’alerte enlèvement, un dispositif d’urgence :[/b] Selon le ministère de la Justice, l’alerte enlèvement a pour « envoyer de façon massive à la population un message en cas d’enlèvement d’enfant. Son déclenchement permet la diffusion rapide, sur l’ensemble du territoire national, d’informations précises dans le but de retrouver l’enfant le plus rapidement possible ». Quatre critères justifient son déclenchement : Il s’agit d’un enlèvement avéré et non d’une disparition, même inquiétante, la victime est mineure, la vie ou l’intégrité physique de l’enfant est en danger et enfin, le procureur dispose d’informations dont la diffusion peut permettre la localisation de l’enfant et/ou de son ravisseur.
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 10:31:12


U.S.A. & CINEMA - Harvey Weinstein ;

L’ancien producteur d’Hollywood, Harvey Weinstein, en prison pour viol et agression sexuelle, est atteint d’un cancer de la moelle osseuse, ont a
annoncé des médias américains lundi 21 octobre 2024, cités par l’AFP.
Le roi déchu de 72 ans, qui a été inculpé en septembre pour une autre agression sexuelle, souffre d’une leucémie myéloïde chronique et suit un traitement dans une prison de New York, selon NBC News et ABC News .
Un problème cardiaque en septembre
Ce diagnostic fait suite à une série de problèmes de santé pour l’ex-producteur tout-puissant du cinéma américain, dont la chute a déclenché une onde de choc planétaire, libéré la parole de nombreuses victimes et mis au jour les violences sexuelles et sexistes faites aux femmes. Le 9 septembre dernier, Harvey Weinstein avait quitté en urgence sa prison new-yorkaise suite à un malaise cardiaque. Un mois plus tard, sa défense avait affirmé qu’il était désormais « hors de danger ».
L’ancien producteur, déjà en prison pour viol, était apparu affaibli en septembre, sur un fauteuil roulant, lors d’une brève comparution devant un tribunal de Manhattan au sujet de la nouvelle inculpation pour l’agression sexuelle d’une femme en 2006.
La chute de l’ex-producteur tout-puissant du cinéma américain avait déclenché une onde de choc planétaire, libéré la parole de nombreuses victimes et mis au jour les violences sexuelles et sexistes faites aux femmes. Plus de 80 femmes l’ont accusé de harcèlement, d’agression sexuelle ou de viol, dont les actrices Gwyneth Paltrow ou Angelina Joli.
Violences sexuelles : le consentement doit-il figurer dans la loi ?
L’ancien producteur reste derrière les barreaux
L’ancien patron des studios Miramax doit être rejugé à New York après la retentissante annulation fin avril par une cour d’appel de sa condamnation à 23 ans de prison en 2020 pour le viol d’une actrice, Jessica Mann, et l’agression sexuelle d’une assistante de production, Mimi Haleyi.
Ce revirement surprise a été vécu comme un affront et un retour en arrière pour le mouvement #MeToo.

> Harvey Weinstein reste derrière les barreaux puisqu’il a aussi été condamné en 2023 à 16 ans de prison à Los Angeles pour des cas distincts de viol et agressions sexuelles. Il a fait appel et n’a jamais reconnu publiquement autre chose que des relations consenties.
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 16:45:55


CAMBREMERE (CALVADOS) - Attaque de guêpes en plein trail :

Une épreuve pas comme les autres pour les coureurs de la 11ème édition du Trail Pom'haies Vergers de Cambremer; commune située à une quarantaine de kilomètres de Caen. Dimanche matin, les participants de la course ont du faire face à une attaque de guêpes de grande ampleur, rapporte Ouest-France.
C'est au niveau de la moitié du parcours, au manoir de Grandouet, que se trouvait l'essaim. Au total, une dizaine de participants se sont fait piquer. Parmi eux, l'une des coureuses, allergique à l'insecte, a été transportée par les sapeurs-pompiers vers le centre hospitalier de Lisieux où elle est restée en observation durant plusieurs heures.
"Certaines personnes avaient reçu plus d'une dizaine de piqûres" a confié au quotidien régional une productrice de cidre. Venue en renfort pour soigner les personnes touchées, elle s'occupait d'appliquer du vinaigre de cidre sur leurs piqûres, afin de les soulager. Une mission qu'elle a répétée tout au long de la matinée.
Le président de l'association AO2C, Yohan Michel a confié auprès de Ouest-France avoir été étonné car il n'avait "pas vu ces guêpes pendant les repérages du circuit". Selon lui, le nid a été écrasé "ou alors, le passage de 450 personnes les a peut-être excitées."
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 16:48:59


SETE - Il débarque clandestinement d’un cargo sur le port, et menace un personnel des douanes de Sète avec une arme de poing :

Les faits sont assez rares. La scène remonte à jeudi 17 octobre dernier sur le port de Sète. Un homme au comportement suspect est repéré errant au sein de la zone sécurisée du fret de l’enceinte portuaire. Un fonctionnaire de la police aux frontières présent se rend se dirige immédiatement vers lui pour le contrôler. L’homme de nationalité turque qui vient de débarquer clandestinement d’un cargo n’est visiblement pas membre d’équipage, ni employé d’une société du port. Il n’est donc pas en règle sur le territoire Schengen. Mais alors que les vérifications sur son identité sont en cours, les policiers se rendent compte qu’un incident grave et inhabituel vient de se produire non loin de là.
L’individu est semble-t-il impliqué dans des violences à l’encontre d’un personnel des douanes de l’infrastructure du port. Il vient, en effet, de braquer cette personne avec une arme de poing, en proférant des menaces de mort. Le suspect sera alors immédiatement interpellé, et placé en garde à vue au commissariat de Sète. L’arme, un pistolet "bidouillé" a été saisi.
Lors de son audition, le mis en cause expliquera avoir agi ainsi pour protéger sa fuite, sans donner plus de détails. Selon son témoignage, il cherchait à s’installer sur le territoire.

> Déféré devant le parquet de Montpellier durant le week-end, le prévenu a été jugé ce lundi 21 octobre pour l’ensemble des faits lors d’une comparution immédiate. Il a écopé de 15 mois de prison ferme, 15 ans d’interdiction de port d’arme et une interdiction définitive du territoire français. Il a été écroué.
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 16:51:16


SETE – PORT DES QUILLES :

Le corps d’un individu a été retrouvé du côté du port des Quilles à Sète ce mardi 22 octobre 2024. L’alerte a été donnée aux alentours de midi. Selon nos informations, la dépouille se trouvait sur les rochers de la digue qui fait face au port. Les services de secours et la police nationale ont été saisis. L’identité du défunt n’est pas encore déterminée.
La victime pourrait-elle correspondre à l’une des personnes recherchées après le naufrage du mercredi 9 octobre dernier, lorsque la très forte houle, avec des creux de 6 mètres, avait provoqué l’échouage d’un bateau sur la plage du Lido ?
Peu après 18 h, ce jour-là, le Cross Med avait signalé la présence d’une vedette de 4,30 m inoccupée sur la plage du Lido, à Sète. "Après investigation de la coque, des éléments ont laissé penser à une potentielle présence récente à bord. À la suite de différentes investigations menées sur le navire mais également à terre, la présence d’au moins une personne à bord de ce navire a été confirmée", indiquait alors la préfecture maritime.

> ENQUÊTE EN COURS : Le même jour, deux autres naufrages s’étaient produits, l’un à Sète faisant un mort et l’autre à Marseillan, où les trois naufragés avaient pu être secourus. Des investigations sont en cours pour déterminer avec précision l’identité et les causes de la mort de la personne retrouvée dans le port des Quilles ce 22 octobre 2024.
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 16:57:34


NICOLAS BEDOS - Condamné à 1 an de prison dont 6 mois avec sursis, l’acteur annonce faire appel :

> L’acteur et réalisateur était accusé d’agressions sexuelles sur deux femmes en 2023. Sa défense a d’ores et déjà annoncé faire appel de sa condamnation.

Nicolas Bedos a été condamné mardi 22 octobre à un mois de prison dont six mois avec sursis probatoire et à une obligation de soins par le tribunal correctionnel de Paris. L’acteur et réalisateur était jugé pour agressions sexuelles sur deux femmes en 2023. Absent lors du délibéré, Nicolas Bedos a en revanche été relaxé "au bénéfice du doute" pour des faits de harcèlement sexuel en 2018.
Le tribunal a ordonné que la partie ferme à laquelle l’acteur a été condamné soit effectuée à domicile, sous surveillance électronique. Il a aussi prononcé une obligation de soins addictologiques et psychologiques, une interdiction d’entrer en contact avec les deux victimes, et demandé que l’acteur soit inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes.
"Je suis à la fois stupéfaite et choquée du délibéré que je viens d’entendre", a réagi son avocate, Me Julia Minkowski. "Cette condamnation, cette sévérité est totalement inédite, injuste, totalement inacceptable", a-t-elle ajouté. "Nous sommes dans une société où pour un baiser dans le cou ou une main posée sur un jean au milieu d’une boîte de nuit, on se retrouve condamné à porter un bracelet électronique pour une durée de 6 mois". "Il n’y a aucune question à se poser : nous allons former immédiatement appel contre ce jugement inique sur lequel j’appelle chacun à réfléchir", a-t-elle aussi annoncé.
Au cours de l’audience, Nicolas Bedos s’était défendu d’être "un agresseur sexuel" mais avait reconnu des problèmes d’alcool et "une amabilité lourde" en cas d’ivresse. "Je ne me souviens de rien, c’est un black-out", avait déclaré le prévenu à de nombreuses reprises, tout en niant vigoureusement avoir eu des comportements déplacés.

> Il a été déclaré coupable pour des faits qui se sont produits en 2023 : une plaignante accusait le réalisateur de s’être dirigé vers elle, tête baissée avant de tendre la main droite au niveau de son sexe, par-dessus son jean, dans la nuit du 1er au 2 juin 2023. Pendant l’audience, la plaignante très émue avait raconté la soirée, des sanglots dans la voix. "J’ai vu qui était cet homme, ses yeux m’ont fait peur", avait-elle expliqué. Une autre plaignante, serveuse dans un bar parisien, avait raconté au tribunal que Nicolas Bedos l’avait attrapée par la taille et embrassée dans le cou dans la nuit du 11 au 12 mai 2023, alors que ce dernier était ivre.

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