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Date : 22-10-2024 10:19:58
DROGUE - député LFI Andy Kerbrat :
> « Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. »
« Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. »
Le député La France Insoumise (LFI) de Nantes réagit en ces termes aux révélations de Valeurs actuelles, ce lundi 21 octobre. Ce journal fait savoir qu’Andy Kerbrat a été surpris, à Paris, jeudi 17 octobre, alors qu’il achetait de la drogue dans le métro, dans le XVIIIe arrondissement, à la station Lamarck-Caulaincourt.
Il s’agissait d’une petite quantité, un peu plus d’un gramme, de 3-MMC, une drogue de synthèse souvent appelée « la nouvelle cocaïne ».
Andy Kerbrat a reconnu les faits devant les policiers, vendredi, sans faire l’objet d’une garde à vue. Puis, la justice a décidé de convoquer le député de 34 ans pour une ordonnance pénale, voie alternative au procès pénal qui peut souvent se traduire par une amende.
« Ces révélations viennent de l’extrême droite… C’est un fait, soupire le candidat, qui fait état de nombreuses menaces homophobes reçues ce lundi soir. Pour autant, ça n’empêche que les faits reprochés sont réels. J’y apporterai une réponse en tout point, pour les Nantais notamment. »
« L’addiction est un problème de santé publique »
Peu après cet échange téléphonique, Andy Kerbrat a envoyé un communiqué de presse. Il s’explique. « Face à des problèmes personnels et des fragilités psychologiques, j’ai pu consommer des drogues de synthèse et suis pleinement conscient de leurs effets sur la santé et notamment la mienne. Au-delà de ma personne, l’addiction est un problème de santé publique, qui doit être traité tel quel. »
Il poursuit : « Je présente mes excuses à mes électrices et électeurs, ainsi qu’à mon groupe parlementaire. »
> « Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. » Le député La France Insoumise (LFI) de Nantes réagit en ces termes aux révélations de Valeurs actuelles, ce lundi 21 octobre. Ce journal fait savoir qu’Andy Kerbrat a été surpris, à Paris, jeudi 17 octobre, alors qu’il achetait de la drogue dans le métro, dans le XVIIIe arrondissement, à la station Lamarck-Caulaincourt. Il s’agissait d’une petite quantité, un peu plus d’un gramme, de 3-MMC, une drogue de synthèse souvent appelée « la nouvelle cocaïne ». « J’y apporterai une réponse en tout point » Andy Kerbrat a reconnu les faits devant les policiers, vendredi, sans faire l’objet d’une garde à vue. Puis, la justice a décidé de convoquer le député de 34 ans pour une ordonnance pénale, voie alternative au procès pénal qui peut souvent se traduire par une amende. « Ces révélations viennent de l’extrême droite… C’est un fait, soupire le candidat, qui fait état de nombreuses menaces homophobes reçues ce lundi soir. Pour autant, ça n’empêche que les faits reprochés sont réels. J’y apporterai une réponse en tout point, pour les Nantais notamment. » « L’addiction est un problème de santé publique » Peu après cet échange téléphonique, Andy Kerbrat a envoyé un communiqué de presse. Il s’explique. « Face à des problèmes personnels et des fragilités psychologiques, j’ai pu consommer des drogues de synthèse et suis pleinement conscient de leurs effets sur la santé et notamment la mienne. Au-delà de ma personne, l’addiction est un problème de santé publique, qui doit être traité tel quel. » Il poursuit : « Je présente mes excuses à mes électrices et électeurs, ainsi qu’à mon groupe parlementaire. » Contenus Sponsorisés Ailleurs sur le web Installer une douche sénior, combien ça coute ? Portail de Comparaison par Taboola « Je vais suivre un protocole de soins » Il semble envisager une mise en retrait. « Je vais suivre un protocole de soins. Il me permettra de reprendre mon activité parlementaire. Dans l’intervalle, mon équipe est à la disposition des habitants de ma circonscription. »
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