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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
1073/2591

Date :    03-12-2024 21:37:56


Une décision européenne affaiblit la protection du loup :

Hasard du calendrier, le Conseil de l'Europe et la Convention de Berne ont communiqué ce mardi que les 49 États membres avaient décidé de rétrograder le statut de protection du loup dans un avenir proche, afin de «mieux protéger le bétail dans un contexte d’augmentation de la population des loups». C'est exactement ce que demandait une motion débattue ce matin au Conseil des États.
C'est la conseillère aux États Mathilde Crevoisier Crelier (PS/JU) qui a révélé cette décision: «Nous avons appris en «breaking news», a-t-elle déclaré, que le comité permanent de la Convention de Berne a accepté, ce matin même, au moment où nous en parlons, cette rétrogradation».

>>> Protection moins stricte :

La décision du comité permanent est que le loup ne sera plus une espèce «strictement protégée», au sens de l'annexe 2 de la Convention de Berne relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe, mais une espèce «protégée», au sens de l'annexe 3. C'est exactement ce que demandait, en partie, une des motions.
Le conseiller Beat Rieder (C/VS) a rebondi aussitôt sur cette bonne nouvelle pour les adversaires du loup: «J'espère que cette décision de la Commission européenne - enfin une décision intelligente de la Commission européenne - sera désormais mise en œuvre par vous rapidement et de manière raisonnable, a-t-il dit à l'adresse du chef du DETEC, Albert Rösti. (...) Vous pouvez le faire rapidement et efficacement. Alors peut-être que nous, au sein de ce conseil, n'aurons plus à passer des heures à parler de ce loup».

>>> Des zones «zéro loup» :

Le deuxième objectif de la motion concernait la création de zones «zéro loup», c'est-à-dire ici d'éliminer carrément le loup dans certaines régions. Au mois d'avril, le Conseil national avait adopté une motion du Centre en ce sens par 95 voix contre 83 et 7 abstentions.
Le Conseil fédéral Suisse a déjà répondu que ce concept de «zéro loup» n'était pas compatible avec le droit suisse. Celui-ci ne prévoit «pour aucune espèce indigène des zones dans lesquelles tous les individus de l'espèce en question peuvent être abattus». Et d'ajouter qu'une telle politique serait compliquée, «notamment pour des espèces qui, comme le loup, requièrent de vastes territoires et parcourent de longues distances».
En plus d'une charge de travail importante pour les cantons, ces zones «zéro loup» donneraient un «faux sentiment de sécurité aux personnes concernées, car les dégâts causés par le prédateur continueraient de se produire dans ces zones aussi».

>>> Moins de bureaucratie :

Une seconde motion, portée par Fabio Regazzi (C/TI), réclamait moins de bureaucratie et plus d'efficacité dans la politique du loup. «Les dispositions légales existantes pour la régulation du loup sont trop compliquées, trop rigides et surtout trop bureaucratiques, a-t-il dénoncé. Les agriculteurs, les éleveurs et les communes concernées sont confrontés à des défis massifs, tandis que l'administration passe souvent plus de temps à faire de la paperasse qu'à trouver des solutions pragmatiques».

>>> Albert Rösti veut temporiser :

Le Conseil Fédéral Suisse et son représentant Albert Rösti n'étaient pas formellement favorables aux deux motions. Ils estiment qu'il faudrait déjà faire le point sur les nouvelles facilités de tir octroyées depuis l'hiver 2022-2023. «Si cela ne porte pas suffisamment de fruits dans un an ou deux, a-t-il dit, je serai le premier à proposer une nouvelle législation. Dans le règlement, je pense que nous demanderons au Conseil fédéral ce qui est possible en vertu de la législation existante, qui devra ensuite être mise en œuvre».

Au final, la motion de commission a toutefois été acceptée par 32 voix à 11. Celle de Fabio Regazzi par 31 voix à 12.
Auteur : Mel_C  
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Date :    03-12-2024 21:42:06


DOSSIER DES DISPARUS DE L'ISERE :
Lundi 25 novembre, un homme a été placé en garde à vue à Grenoble, soupçonné du meurtre d’une adolescente de 15 ans en 1988 et de celui d’une femme de 40 ans en 2000 dans le département. Il a été identifié par son ADN.
Leila Afif, mère de famille, a été tuée par balles en 2000 à La Verpillière, tandis que Nathalie Boyer, 15 ans, a été retrouvée égorgée en août 1988 à Saint-Quentin-Fallavier. Le pôle des crimes sériels ou non élucidés (les «cold cases») de Nanterre, créée en 2022, a relancé ces deux procédures. Lundi 2 décembre, suite à sa garde à vue, il a été mis en examen par un juge d’instruction pour ces deux meurtres, selon «Le Parisien».
Nathalie Boyer avait disparu le 2 août 1988, à Villefontaine, non loin du domicile du suspecte. Elle vivait en foyer et était partie rendre visite à sa mère. Dans les deux affaires, les victimes semblent avoir été prises en charge par leur meurtrier à un abribus.
L’ADN du suspect a été retrouvé sur les scellés du dossier Afif et «le travail de la SR de Grenoble a permis de faire le rapprochement» entre ces deux affaires qui font l’objet d’une même instruction à Nanterre, a précisé Me Corinne Herrmann, avocate de la famille de Nathalie Boyer.

> Selon Le Parisien, le suspect vit à Dijon dans l'appartement de sa compagne, en préretraite depuis au moins 5 ans et mène «une existence en apparence paisible, seulement troublée par une réputation de «coureur» qui lui collait à la peau», selon le journal. «Les charges qui lui sont reprochées sont totalement contestées. Il est bouleversé. La justice vient le chercher et lui parle de faits très anciens. Il est également bouleversé par la détention», affirment au journal ses avocats.
Auteur : Mel_C  
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Date :    03-12-2024 21:43:53


AULNAY-SOUS-BOIS :
Une femme de 29 ans a été tuée lundi soir à son domicile devant son enfant à Aulnay-sous-Bois, près de Paris et le père, qui avait pris la fuite, a été arrêté quelques heures plus tard, a-t-on appris mardi auprès de sources policières et du parquet.
Peu après 20 heures, des agents de la police municipale arrivent sur les lieux, les secours ayant été appelés par les voisins, selon des sources policières. La femme avait également contacté les forces de l’ordre «pour des violences conjugales en cours,» a annoncé le parquet de Bobigny.
À leur arrivée sur les lieux, «son compagnon était absent, le fils de la victime, âgé de 5 ans, était présent», a précisé le parquet. L’enfant a indiqué aux forces de l’ordre que son père avait mortellement blessé sa mère à coup de chandelier, à la cuisse et à la tête, selon les informations transmises par une source policière. Malgré les efforts du Samu, la victime a été déclarée décédée vers 21 heures.
Le suspect, filmé par les caméras de surveillance de la résidence, a été interpellé quelques heures plus tard alors qu’il rentrait chez lui, selon cette même source policière. Âgé de 24 ans, il «a été placé en garde à vue dans la nuit et doit être entendu dans la journée», a déclaré le parquet.
L’enquête ouverte pour le chef d’homicide conjugal a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis. «S’agissant de l’enfant, le protocole féminicide a été activé, impliquant une prise en charge du mineur à l’hôpital pendant trois jours afin d’évaluer la situation et décider des suites,» a fait savoir le ministère public.
En 2023, 96 femmes ont été victimes de féminicide conjugal en France, un chiffre en baisse de 19% par rapport à 2022, selon le dernier bilan du ministère de l’Intérieur publié le 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
On décomptait en 2023 124 enfants qui ont perdu leur mère dans un féminicide. Parmi eux, 22 étaient présents et deux ont découvert le corps. En 2022, ils étaient 148, dont 38 témoins, a recensé le collectif féminicides par compagnon ou ex.
Auteur : Mel_C  
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Date :    03-12-2024 21:48:31


ISERE :
La nouvelle préfète obtient pour son fils un passe-droit dans le collège le plus élitiste de Grenoble ... Tout juste nommée préfète de l’Isère, Catherine Séguin a inscrit son fils à la Cité scolaire internationale de Grenoble. Sans passer les tests obligatoires pour intégrer cet établissement convoité. Au mépris des textes en vigueur, le rectorat assure que le procédé est « conforme à l’usage ».
Auteur : Mel_C  
1077/2591

Date :    03-12-2024 21:49:45


PROCES DE SAMUEL PATY :
« Ce n’est pas une fatwa numérique mais le message d’un père qui veut défendre sa fille… ». Interrogé par la cour d’assises, Brahim Chnina, le père de famille à l’origine de la polémique sur les réseaux sociaux ayant conduit à l’assassinat de Samuel Paty, a regretté ses actes, tout en rejetant la responsabilité sur les autres.
Auteur : Mel_C  
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Date :    03-12-2024 21:56:36


Accident de bus mortel dans les P.-O. - Le contrôle technique en cause ..... et des problème de freins :
Deux jours après le drame de Puymorens (Pyrénées-Orientales) qui a fait deux morts et 10 blessés, l’organisation floue de ce voyage continue d’alimenter la polémique. Selon le quotidien espagnol Ara, l’autobus en cause n’avait passé aucun contrôle technique depuis plus d’un an (octobre 2023).
Selon la Generalitat de Catalunya relayée par El Periodico, a indiqué que le bus utilisé "n’était plus à un jour de son contrôle technique depuis plusieurs mois". La législation catalane impose pourtant une inspection tous les six mois.
Le Procureur de la République de Perpignan a confirmé l’information et s’est dessaisi de l’enquête "au profit du pôle accident collectif du parquet de Marseille", a-t-il précisé à L’Indépendant.
L’accident serait lié à un problème de freins, selon les médias espagnols. Lors de l’accident, le conducteur du bus aurait tout essayé pour ralentir. Il aurait "frotté la barrière sur plus d’1,5km comme s’il souhaitait perdre de la vitesse, avant de s’encastrer dans la falaise", selon des témoignages de passagers recueillis par l’Indépendant.
Au lendemain du drame, le journal catalan El Periódico révélait que l’organisation de ce voyage était assez trouble. Des ressortissants colombiens avaient en effet acheté leurs places bradées sur Whatsapp.
El Periódico expliquait ainsi qu’il "n’existerait aucune trace de ce voyage aller-retour vers Andorre depuis Hospitalet de Llobregat, que ce soit sur un site internet, le registre de commerce ou le réseau social de l’organisateur du voyage".
Auteur : Mel_C  
1079/2591

Date :    03-12-2024 22:01:43


GUERRE EN UKRAINE - Pas de décision à attendre sur la demande d'adhésion de l'Ukraine :

Les ministres des Affaires étrangères des pays membres de l'Otan se réunissent mardi en Belgique, où ils discuteront de la demande d'invitation formelle à adhérer à l'organisation formulée par à l'Ukraine.
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Andriy Sybiha, a écrit la semaine dernière une lettre à ses homologues de l'Otan pour les presser d'inviter Kiev à intégrer l'Alliance.
Il semble toutefois peu probable que les ministres des 32 pays membres de l'Otan parviennent à un consensus sur la question lors de leur réunion de deux jours à Bruxelles, ont dit des diplomates : "Cela prendra des semaines ou des mois pour parvenir à un consensus", a dit lundi un haut diplomate de l'Otan. "Je ne pense pas que cela se produira demain. J'en serais très surpris."
Un haut responsable américain a dit que la réunion se concentrerait sur le soutien à apporter à l'Ukraine afin qu'elle soit dans la meilleure position possible lors de "l'ouverture d'éventuelles négociations" l'an prochain. "Le meilleur moyen de parvenir à cela est d'augmenter le soutien financier, les livraisons de munitions et la mobilisation", a-t-il estimé.
Le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, a déclaré mardi avant la réunion que l'alliance travaillait à "construire le pont" vers l'adhésion de l'Ukraine. Il a toutefois précisé que la question la plus urgente était de fournir à Kiev davantage d'armes pour repousser les forces russes.
"La réunion des deux prochains jours portera essentiellement sur la manière de s'assurer que l'Ukraine, lorsqu'elle décidera d'entamer des pourparlers de paix, le fera en position de force", a-t-il déclaré. "Et pour y parvenir, il est essentiel que l'Ukraine reçoive davantage d'aide militaire."
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a laissé entendre vendredi lors d'une interview accordée à Sky News que le fait d'intégrer les territoires actuellement contrôlés par Kiev à l'Otan permettrait de mettre fin à la "phase chaude" de la guerre.
Ces déclarations interviennent alors que l'Ukraine est en difficulté sur le champ de bataille, que l'armée russe progresse dans l'est du pays et qu'elle a lancé des attaques d'envergure contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes.
Le ministère ukrainien des Affaires étrangères a déclaré mardi qu'il ne se contenterait de rien de moins que l'adhésion à l'Otan, citant son expérience d'un pacte conclu il y a 30 ans, en vertu duquel l'Ukraine a renoncé à ses armes nucléaires en échange de garanties de sécurité de la part des grandes puissances. "L'expérience amère du mémorandum de Budapest étant derrière nous, nous n'accepterons aucune alternative, aucun substitut à l'adhésion pleine et entière de l'Ukraine à l'Otan", a déclaré le ministère dans un communiqué.
Bien que l'Otan ait dit soutenir l'Ukraine "dans sa voie irréversible" vers une adhésion, aucun calendrier n'a été proposé.
Toute décision concernant l'entrée de Kiev dans l'Alliance nécessiterait le soutien de l'administrations américaine.
Un changement de posture radical de la part des Etats-Unis ne peut toutefois pas être exclu avec l'arrivée de Donald Trump à la Maison blanche, alors que le président élu s'est dit en mesure de mettre un terme au conflit en 24 heures, sans préciser comment.
Certains pays membres de l'Otan, comme la Hongrie, se sont opposé à une adhésion de l'Ukraine à l'Alliance. D'autres, comme l'actuelle administration américaine et le gouvernement allemand, ont estimé que le moment n'était pas adéquat, selon des diplomates.
Auteur : Mel_C  
1080/2591

Date :    03-12-2024 22:12:54


LE GRAU-DU-ROI - Les escrocs obtiennent qu’une nonagénaire leur confie sa carte bancaire .... Les gendarmes interpellent deux suspects
Les gendarmes du Grau-du-Roi ont interpellé deux suspects mis en cause dans une escroquerie à la carte bancaire. La victime est une nonagénaire. Des vêtements et chaussures de sport, des parfums et d’autres objets ont été saisis lors des perquisitions. Une partie du butin a été donnée par les gendarmes, ce lundi 2 décembre, à deux associations.

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