Auteur : Mel_C  

U.S.A. - Cérémonie d'investiture de Trump aux accents de country !!
"Le Comité d’investiture Trump Vance est fier d’annoncer que certains des musiciens les plus emblématiques de notre pays participeront aux célébrations inaugurales", écrivent Steve Witkoff et Kelly Loeffler, les deux présidents du comité d'investiture dans un communqué annonçant la liste des musiciens qui performeront pendant les festivités à Washington DC ce lundi 20 janvier.
Le nom le plus célèbre sera celui du groupe de musique Village People et leur célèbre hymne YMCA, la chanson étant devenu un incontournable des meeting du Président républicain. "Notre chanson "Y.M.C.A." est un hymne mondial qui, espérons-le, pourra rassembler le pays après une campagne tumultueuse et divisée au cours de laquelle notre candidate favorite a perdu", déclarait le groupe sur Facebook, il y a quelques semaines, expliquant que selon eux "la musique doit vivre sans considération politique".
Ils se produiront dès ce dimache 19 janvier lors de l'évènement Make Maerica Great Again. Se produiront également Kid Rock, un musicien qui mélange rap, rock et country, ainsi que les chanteurs de country Billy Ray Cyrus, le père de Miley Cyrus et Lee Greenwood. Ce dernier a composé la musique God Bless the USA, une chanson également incontournable des meetings de Trump.
Lundi 20 janvier lors de la cérémonie d'investiture, la chanteuse Carrie Underwood, huit Grammys Awards et 85 millions de disques vendus, sera présente. L'hymne national, le célèbre Star-Spangled Banner, sera interpreté par un ténor de l'opéra Christopher Maccio. Lee Greenwood sera encore de la partie alors que les Village People remonteront sur scène, cette fois accompagné, de Jason Aldean.
Enfin, deux bals sont ensuite organisés. Le premier, le Commander-in-Chief Ball consacré aux militaires lundi soir, verra sur scène un auteur-compositeur texan Parker McCollum ainsi que le groupe de country Rascal Flatts, dont le nom est peu connu en France mais qui a composé la musique Life is a Highway pour le premier volet du film d'animation Cars. L'autre bal, le Starlight Ball, où Donald Trump devrait être présent, verra se produire Gavin DeGraw, célèbre pour avoir interprêté la musique du générique de la série Les frères Scott.

Auteur : Mel_C  

ATTAQUE SAUVAGE DE LA JOGGEUSE A VERGEZE - Le suspect "AURAIT" avoué ... mise en examen probable pour tentative de meurtre :

L’auteur présumé de l’attaque sauvage au couteau contre un joggeur de Vergèze POURRAIT être déféré devant un magistrat du tribunal judiciaire de Nîmes ce dimanche pour une probable mise en examen pour tentative de meurtre. Les gendarmes SR disposeraient d’éléments solides.
L’affaire de l’agression du joggeur, perpétrée samedi 11 janvier à Vergèze, s’est accélérée vendredi soir avec le placement en garde à vue d’un suspect qui a été interpellé par les gendarmes de la section de recherche de Nîmes. L’homme dont l’identité n’a pas été révélée est le suspect numéro un de l’attaque sauvage contre une habitante de Vergèze qui a été poignardée alors qu’elle effectuait un voyage de santé. Les enquêteurs du groupement de gendarmerie du Gard et de la SR de Nîmes ont lancé une vaste opération sur place pour tenter de recueillir des éléments et des témoignages afin de dresser un signalement fiable de l’auteur de l’attaque. Le parquet de Nîmes a ouvert une enquête en flagrant délit pour tentative d’assassinat.

>>> Images ADN et vidéosurveillance :

Depuis les faits, les gendarmes ont multiplié leurs actions d’enquête et procédé à de nombreuses auditions et contrôles pour cibler l’agresseur du joggeur. Un suspect a donc été identifié et par la suite, les enquêteurs ont continué à accumuler des informations pour confondre l’individu lors de son placement en garde à vue. Ce qui veut dire, autrement dit, que dans ce type d’affaires, lorsque les enquêteurs décident d’ouvrir une garde à vue, ils disposent souvent de charges solides pour commencer les audiences. Dans certains cas, ils disposent de témoignages voire d’images de vidéosurveillance ou encore de traces ADN.

>>> L’agresseur a-t-il laissé de l’ADN sur le joggeur ?

Dans l’affaire Vergèze, la violence de l’agression et la proximité de l’agresseur avec la victime au moment de l’attaque à l’arme blanche laissent penser que le suspect a laissé des traces biologiques sur le joggeur ou sur les lieux de l’agression voire sur des vêtements lui appartenant. comme sa doudoune ou son manteau. Car si le suspect a pu laisser du matériel génétique sur la victime, l’ADN de la joggeuse pourrait également être retrouvé sur ses propres vêtements. Selon les cas, les techniciens en identification criminelle prélèvent des échantillons sur les vêtements de la victime mais aussi sur l’agresseur présumé. Ce qui serait possible dans l’affaire Vergèze.
Selon toute vraisemblance, les gendarmes pourraient avoir des traces ADN concordantes dans cette affaire. Mais cette information n’est pas officiellement confirmée. Ainsi que les accusations qui ont conduit et permis le placement en garde à vue de cet individu. “Il s’agit d’un homme de 25 ans, résidant dans le secteur où les faits ont été commis”, a précisé Cécile Gensac, la procureure de la République de Nîmes dans un communiqué diffusé samedi 18 janvier.

>>> Avoir déjà au moins un casier judiciaire :

Selon nos informations, l’auteur présumé a déjà commis un délit dans le passé mais clairement pas en lien avec des actes de coups de couteau. De sources non officielles, les analyses ADN auraient été confiées à un laboratoire réputé et référence nationale en matière d’extraction et d’amplification de matériel génétique. Le laboratoire Doutremepuich de Bordeaux aurait pu être sollicité dans cette affaire mais cela n’a pas été confirmé par l’autorité judiciaire.

>>> Le suspect AURAIT avoué ....

Le suspect aurait reconnu sa présence sur les lieux et son implication dans les faits sans toutefois les expliquer clairement. Ce qui impliquerait encore des reconnaissances voire des aveux qui viendraient étayer les indices recueillis par la section de recherche de Nîmes. Cette information n’est pas confirmée par une source officielle.

>>> Déféré ce dimanche devant un magistrat du tribunal judiciaire de Nîmes ;

Ce dimanche, l’agresseur présumé du joggeur devrait être déféré devant un magistrat du tribunal judiciaire de Nîmes. L’agenda judiciaire devrait se dérouler avec une ouverture de l’information judiciaire. Ce qui signifie que le procureur confie le dossier à un juge d’instruction pour des faits à caractère criminel, éventuellement pour tentative de meurtre. Ensuite, c’est au juge d’instruction de se prononcer sur la qualification qu’il retient à l’issue de l’interrogatoire de première comparution. Deuxièmement, si nécessaire, le parquet prend des réquisitions de placement en détention provisoire et demande au juge des libertés d’incarcérer provisoirement le suspect pour des raisons liées à la conservation des preuves et en matière pénale pour des notions de troubles à l’ordre public.

> Ce dimanche, le substitut du procureur de la République, Frédéric Kocher, devrait organiser une conférence de presse pour livrer les éléments objectifs recueillis lors de l’enquête Nîmes SR.

> Toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que justice soit enfin rendue.

Auteur : Mel_C  

FEMINICIDE :
Un homme de 61 ans a reconnu avoir commis un féminicide alors qu’il se trouvait à l’hôpital avec une grande alcoolémie à plus de 300 km de distance des faits.
Vendredi 17 janvier au matin, cet individu était au CHU de Cambrai (Hauts-de-France) et il a révélé avoir donné la mort à sa compagne, à son domicile de Luçon, en Vendée, à plus de 600 kilomètres, rapporte Ouest-France.
Les gendarmes se sont rendus sur les lieux indiqués et ont fait la macabre découverte de cette dame âgée de 69 ans, vendredi après-midi.
Le parquet de La Roche-sur-Yon a ouvert une enquête et confié les recherches aux gendarmes alors que le suspect a reconnu les faits samedi pendant sa garde à vue qui se prolonge ce dimanche. Il a affirmé aux gendarmes l’avoir "étranglé et étouffé le 16 janvier suite à une dispute" a rapporté la procureure de la Roche-sur-Yon.
Il DEVRAIT être mis en examen pour "meurtre par conjoint" ce qui lui fait encourir la réclusion criminelle à perpétuité.

Auteur : Mel_C  

NÎMES SAINT-CESAIRE - Après des tirs de Kalachnikov ....

La fusillade a eu lieu vers 16h45, dans le quartier du Mas Roman entre Nîmes et Saint-Césaire.
Selon les premières informations, les tirs ont fait 3 blessés, principalement aux jambes.
Un blessé grave, touché au torse, déjà connu des services de police, a été transporté au CHU de Nîmes tout proche du lieu des coups de feu. Les deux autres personnes plus légèrement atteintes seraient, selon la police, des victimes collatérales des tirs de kalachnikov.
"5 impacts de balles auraient été constatés et des étuis retrouvés à terre" précisent nos confrères d'ICI Gard Lozère. Des stigmates de tirs retrouvés sur une clio blanche.

> Le tireur qui a pris la fuite en voiture est activement recherché.

> On ignore encore les causes de cette nouvelle fusillade à Nîmes.

> Bruno Bartocetti, du syndicat UN1TE ne cache pas son inquiétude d’une reprise de la guerre des narcotrafiquants à Nîmes.

Auteur : Mel_C  

COUR D'APPEL DE NÎMES - Rentrée sous haute pression
La situation de l'activité judiciaire passée à la loupe ce vendredi 17 janvier à l'occasion de l'audience solennelle de rentrée de la cour d’appel de Nîmes. Affaires criminelles, narcobanditisme, des magistrats mobilisés mais en nombre insuffisant.

Auteur : Mel_C  

GARE DE NÎMES - Suspecté de menace avec un couteau et de tentative de cambriolage :
> La police a arrêté vendredi soir un homme suspecté dans une tentative de vol dans une maison, située derrière la gare. Il a été placé en garde à vue.
C'est une voisine inquiète qui a vu une scène étrange dans une maison proche de la sienne qui a prévenu la police. Sur les lieux, près de la rue Sainte-Perpétue, les policiers ont interpellé un homme soupçonné de s'être introduit dans la maison. Il est aussi suspecté d'avoir exhibé un couteau pour faire partir la voisine. Le suspect a été placé en garde à vue pour menace acec arme et tentative de vol. Ses antécédents judiciaires pourrraient conduire à un déferrement devant un magistrat du tribunal judiciaire de Nîmes.

Auteur : Mel_C  

Mort d'Emile :
Marie et Colomban Soleil, les parents d'Emile, souhaitent enterrer leur fils au cimetière du Haut-Vernet. Leur demande était à l'ordre du jour du conseil municipal, ce samedi 18 janvier 2025.
"J’ai regardé la question, enterrer ce pauvre petit Emile. Ce n’est pas une demande de concession familiale, on n’a pas le droit de la refuser", s'est exprimé le maire, François Balique, cité par BFM.
"Nous ne sommes pas obligé d’accepter, j’avais dit aux parents d’attendre, que l’on devait décider en Conseil municipal."
Le maire précise que "ce sera un simple tombeau" et qu'il sait déjà où il sera positionné, selon la chaîne d'informations en continu.
"Je le fais avec le cœur, mais que pour inhumer Emile, car sinon après, il faudrait le faire pour tout le monde", a-t-il ajouté. "On ne va pas se transformer en cimetière."
François Balique demande alors à son conseil municipal si des personnes sont contre. Il obtient un silence comme réponse, d'après BFM. La demande est acceptée à l'unanimité. Le maire devait appeler les parents dans la soirée, selon ses mots.
Les obsèques d'Emile Soleil doivent avoir lieu début février. La date du 8 février aurait été bloquée par la famille, selon BFM, repris par Le Parisien. Une célébration religieuse devrait se tenir dans un lieu symbolique choisi par la famille de l’enfant : la basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume dans le Var. La messe sera ouverte au public. L'inhumation aura ensuite lieu au cimetière du hameau du Haut-Vernet.
Le 8 juillet 2023, le petit Emile, deux ans et demi, a disparu au Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, alors qu’il était dans le jardin de ses grands-parents. Le 30 mars 2024, une habitante a retrouvé le crâne du petit garçon à proximité du hameau. Les causes de la mort du jeune enfant restent encore inconnues.

Auteur : Mel_C  

PARIS 19e ARRONDISSEMENT - Il était retranché chez lui armé d’un fusil : la police tire sur un homme soupçonné de violences, le forcené venait d'ouvrir le feu :

>L’homme était retranché dans une cave ce samedi 18 janvier et venait de tirer sur les policiers qui ont répliqué. L’homme a été transporté à l’hôpital et son pronostic vital est engagé.

Les faits se sont déroulés ce samedi 18 janvier en fin d’après midi dans le 19e arrondissement de Paris, rue Alphonse Karr. Un homme est retranché chez lui avec un fusil dans les mains selon les informations du Parisien. Un premier équipage de la Bac intervient alors qu’une "plainte pour violences commises par ex-conjoint" a été déposée selon le parquet de Paris.
Le parquet a ainsi fait savoir que les forces de l’ordre ont "essuyé des tirs d’arme à feu, auxquels ils ont riposté". Si l’homme a été transporté à l’hôpital avec un pronostic vital engagé, aucun blessé n’a été recensé du côté de la police. L’homme reste menaçant, ne lâche pas son arme et ne se rends pas face aux agents de la Bac, qui demandent des renforts. Ce sont le Groupe de soutien opérationnel (GSO), et la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) qui vont se rendre sur les lieux.
Le forcené tire alors sur les membres du GSO qui répliquent et le blesse gravement au niveau du ventre. Le parquet précise que deux enquêtes ont ainsi été ouvertes. L’une des chefs de violences par ex-conjoint, détention d’arme et tentative d’homicide volontaire sur personnes dépositaires de l’autorité publique, confiée au 2e district de police judiciaire de Paris à l’encontre du forcené. L’autre du chef de violences avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique, confiée à l’inspection générale de la police nationale (IGPN).