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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:28:06


SOUMISSION CHIMIQUE – CONFRONTATION entre le SENATEUR GUERRIAU et la DEPUTEE JOSSO :

Près de quatre heures de face-à-face dans le cabinet du juge d’instruction. La confrontation au tribunal de Paris entre le sénateur Joël Guerriau et la députée Sandrine Josso, qui l’accuse de l’avoir droguée afin de l’agresser sexuellement l’an dernier, est terminée.
« C’est très lourd et compliqué de se retrouver avec son agresseur pendant presque quatre heures », a confié à la presse Sandrine Josso, en sortant du tribunal. « J’ai été comme d’habitude très factuelle », a-t-elle estimé. « La justice fait son travail » mais a « des points à améliorer » : « imposer des confrontations » à des victimes c’est « très traumatisant », a-t-elle ajouté.
« Je suis serein », a déclaré de son côté Joël Guerriau. « Cette confrontation a été très utile », a abondé son avocat, Me Henri Carpentier. « Elle a permis de faire avancer la vérité, et cette vérité-là ne dérange pas M. Guerriau, tout au contraire », a affirmé son conseil, qui le défend aux côtés de Me Marie Roumiantseva.
Cette affaire, qui a éclaté en novembre 2023, a mis en lumière le fléau de la soumission chimique jusque dans les hautes sphères du monde politique. Le 14 novembre, Sandrine Josso, députée MoDem de Loire-Atlantique, s’était rendue au domicile parisien de son « ami politique », comme elle l’a décrit devant les magistrats, qui célébrait sa réélection.
Seule invitée, elle en était ressortie avec 388 ng/ml d’ecstasy dans le sang, d’après les analyses toxicologiques dont l’AFP a eu connaissance mercredi. Une dose bien supérieure à la quantité dite récréative. Ces analyses montraient aussi une absence de stupéfiants pendant les sept mois qui ont précédé cette soirée. Comment l’élue s’est-elle retrouvée, ce soir-là, avec autant d’ecstasy dans le sang ?
Dans ce dossier, l’absorption de drogue et ses effets délétères sur Sandrine Josso, qui souffre un an après d’un stress post-traumatique, ne semblent pas discutés. Tout l’enjeu repose sur l’intention. La confrontation mercredi, devant un juge d’instruction, a notamment porté sur ce qu’a pu voir Sandrine Josso le soir des faits, la plaignante ayant expliqué avoir vu Joël Guerriau manipuler un sachet blanc, d’après une source proche du dossier à l’AFP.
Lors d’un interrogatoire en septembre, Joël Guerriau avait aussi été interrogé sur des recherches suspectes dans son téléphone portable : l’expertise de son mobile a révélé des consultations en ligne autour du viol et des drogues, notamment sur des points de vente, le 9 octobre 2023, près d’un mois avant les faits dénoncés par Sandrine Josso (MoDem).
Lui, conteste les accusations. À Ouest-France, fin septembre, il a affirmé avoir effectué ces recherches après avoir entendu parler d’une « relation proche de quelqu’un de mon entourage » qui avait perdu connaissance.
Depuis sa mise en examen et sa suspension de son parti Horizons et de son groupe parlementaire Les Indépendants République et Territoires en novembre 2023, le parlementaire n’est plus apparu au Sénat. Fin septembre 2024, il a annoncé se mettre « en retrait » des travaux parlementaires et quitter ses fonctions exécutives « à la demande » du président du Sénat. Il a toutefois exclu de démissionner dans un entretien accordé à Ouest-France fin septembre.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:31:21


ÉVREUX (Eure) :

Qui peut aider les autorités à enquêter sur cette affaire ? La police judiciaire de Rouen lance un appel à témoins après la mort d’un homme, retrouvé grièvement blessé le 29 octobre dernier dans une rue d’Évreux (Eure).
Cet habitant du très populaire quartier de la Madeleine, rendait ce jour-là visite à son frère dans le quartier Saint-Michel, toujours à Évreux. Il y a été découvert vers 14 heures ce mardi-là allongé sur le sol. Transporté à l’hôpital de Rouen, il y est décédé le lendemain, rapporte Paris-Normandie.
Son autopsie, pratiquée lundi, n’a pas permis de comprendre si l’homme était tombé après un malaise ou s’il avait été blessé par un tiers. L’examen médico-légal « ne nous a malheureusement pas apporté d’éléments décisifs, explique le procureur de la République, Rémi Coutin aux médias locaux, dont Paris Normandie. Le médecin légiste a en effet estimé que le décès de la victime pouvait être consécutif à une chute sur le trottoir de sa hauteur, mais que l’intervention d’un tiers ne pouvait être exclue. »
Toujours est-il qu’une enquête pour homicide volontaire a été ouverte et confiée à la police judiciaire de Rouen. Cette dernière lance un appel pour retrouver d’éventuels témoins et particulièrement une femme qui aurait assisté à la scène. Le témoignage de cette femme serait « évidemment essentiel pour la suite de l’enquête »

> Selon le témoignage de l’homme qui a alerté les secours, « elle est descendue de sa voiture et s’est portée à la hauteur de l’homme puis est repartie en indiquant aux témoins arrivés sur les lieux qu’elle l’avait vu tomber au sol. Elle est partie malheureusement sans laisser ses coordonnées, sans doute pressée. »

> Cette femme, d’origine européenne, aux cheveux grisonnants et circulant à bord d’un véhicule sombre « possiblement noir » serait âgée d’environ 60 ans. Les témoins peuvent se faire connaître auprès de la police judiciaire de Rouen à la brigade criminelle au 02 32 81 27 77 ou à l’hôtel de police de Rouen au 02 32 81 25 00.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 18:36:34


ESPAGNE - 13 tonnes de cocaïne saisies dans une cargaison de bananes :

La police espagnole a annoncé mercredi la saisie record dans le port d’Algésiras, dans le sud du pays, de 13 tonnes de cocaïne, qui étaient camouflées parmi des bananes dans un conteneur en provenance de l’Équateur.
La cargaison a été découverte le 14 octobre dans le port andalou, dans un conteneur qui avait quitté le port de Guayaquil (Équateur) et était destiné « à un importateur espagnol qui recevait, depuis des années, de grandes quantités de fruits de l’Équateur », a précisé la police dans un communiqué.
L’opération a été menée « avec la coopération étroite de la police nationale de l’Équateur », qui a alerté son homologue en Espagne, a-t-on ajouté de même source.
Il s’agit de « la plus grande saisie de l’histoire du trafic de drogue en Espagne » et de « la deuxième plus grande saisie en Europe dans un seul conteneur, et d’une des plus grandes saisies au niveau mondial », selon la police espagnole.
Le précédent record en Espagne datait d’août 2023, avec la découverte de 9,5 tonnes de cocaïne dans un conteneur qui provenait également de l’Équateur. Le même mois, 8 tonnes de cocaïne avaient été saisies aux Pays-Bas dans douze palettes de bananes, venant elles aussi du même pays d’Amérique du Sud.
En juillet dernier, les autorités de Quito avaient déjà saisi 6 tonnes de cocaïne qui devaient être envoyées en Espagne.

> Dans la cargaison trouvée à Algésiras, la cocaïne était cachée dans des paquets à l’intérieur de caisses de bananes, avec des fruits disposés par-dessus « pour dissimuler la drogue », a expliqué la police. Le conteneur avait été envoyé par un exportateur équatorien qui « figurait dans les bases de données douanières et policières avec des antécédents pour trafic illicite », selon le même communiqué.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 19:06:38


PESSAC - Imam de la mosquée de Pessac ... assigné à résidence en attendant son procès pour apologie du terrorisme :

Il est en instance d’expulsion et se trouvait dans un centre de rétention depuis le milieu de l’été. Mais Abdourahmane Ridouane, le président nigérien de la mosquée de Pessac, près de Bordeaux (Gironde), vient d’être libéré au terme de sa période légale de rétention. Il est assigné à résidence depuis ce mercredi, annonce la préfecture du département.
« Il demeure désormais en situation irrégulière sur le territoire et ne sera pas régularisé. Il doit pointer trois fois par jour au commissariat, n’a pas le droit de travailler et ses déplacements sont autorisés dans les limites de la commune de Pessac », a-t-elle précisé dans un communiqué.
Abdourahmane Ridouane, 59 ans, qui préside la mosquée de cette commune de l’agglomération bordelaise, avait été interpellé chez lui le 8 août en application d’un arrêté d’expulsion pris par le ministère de l’Intérieur et placé dans un centre de rétention administrative en Seine-et-Marne.
La durée légale de rétention (90 jours) a expiré mercredi matin et Abdourahmane Ridouane est sorti du centre de Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne). « Les autorités de son pays d’origine n’ayant pas encore délivré de laissez-passer consulaire, la procédure d’expulsion va désormais se poursuivre sous le régime de l’assignation à résidence », poursuit la préfecture.
Le président de la mosquée de Pessac doit parallèlement comparaître à Meaux (Seine-et-Marne) le 13 janvier pour « apologie du terrorisme ». Déclenchée par un signalement du ministère de l’Intérieur, cette procédure pénale repose sur les mêmes éléments que la procédure administrative.

> D’ici là, le tribunal l’a placé sous contrôle judiciaire, avec obligation de pointer au commissariat une fois par semaine et… interdiction de quitter le territoire français. Pour son avocat, Me Sefen Guez Guez, les conditions de l’assignation à résidence « relèvent clairement de l’acharnement », avec une obligation de pointage « 21 fois plus restrictive », si l’on compare le nombre de pointages hebdomadaires, que celle prévue par la justice. Il compte les contester devant le tribunal administratif.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 19:10:06


PENCHARD (Seine-et-Marne) - 27 voitures incendiées en pleine nuit dans un garage :

« C’est un désastre », voici les premiers mots du gérant du garage automobile Hight Auto de Penchard (Seine-et-Marne), petite commune au nord de Meaux. Dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6 novembre 2024, vers 2h du matin, la partie extérieure du garage a pris feu. 27 voitures ont été totalement brûlées. Une enquête a été ouverte par le commissariat de Meaux, la police scientifique est actuellement sur place.
Les premières flammes se seraient manifestées vers 2h du matin ce mercredi 6 novembre. Selon le gérant du garage, totalement démoralisé, ce sont des membres de l’hôtel social juste à côté qui auraient averti les sapeurs-pompiers.
Rapidement sur place, une trentaine de soldats du feu a été dépêchée et n’a réussi à vaincre totalement les flammes qu’aux alentours de 4h du matin.
Le gérant, de son côté, a été averti par son employé à son réveil sur les coups de 6h du matin. « Ça a été un choc pour moi, il a fallu que je me rende immédiatement sur place. »
Pour le propriétaire du garage, il n’y a pas de doute, « c’est un acte de malveillance, quelqu’un m’en veut. » Au total, 27 voitures ont été totalement incendiées, cinq autres partiellement. « C’est une importante perte financière », déplore le gérant, qui a repris le garage il y a trois ans. Les locaux ont été également légèrement touchés. « Sous la chaleur, les gouttières sont tombées, et les murs ont noirci. »
L’origine du feu est à l’heure actuelle encore inconnue, mais toujours sur place, la police scientifique affirme avoir repéré deux départs de feu.
Auteur : Mel_C  
1166/1342

Date :    06-11-2024 19:13:34


ENVIRONNEMENT - 20 000 euros d’amende pour trafic de glyphosate :
Un homme de 34 ans, soupçonné d’avoir écoulé pour 2,5 millions d’euros de produits phytosanitaires espagnols interdits en France, dont du glyphosate, a été condamné à 20 000 euros d’amende, a annoncé l’association France Nature Environnement. Il a également été condamné par le tribunal correctionnel de Tours à douze mois de prison avec sursis et à verser 4 000 euros de dommages à chacune des cinq parties civiles, dont France Nature Environnement. De surcroît, il a reçu une interdiction d’exercer une activité agricole pendant cinq ans.
L’homme est soupçonné d’avoir fait partie d’un réseau qui revendait sur Internet, via des plates-formes de revente comme eBay et Leboncoin, des produits phytosanitaires étiquetés en espagnol, à destination du grand public. Une accusation qu’il avait réfutée lors de son procès en septembre, où il était jugé notamment pour des faits de mise en vente en bande organisée de produits phytopharmaceutiques sans agrément et de tromperie sur une marchandise entraînant un danger pour la santé de l’homme et de l’animal.
Dans le cadre de cette affaire, six personnes avaient été interpellées en décembre 2023, dont cinq en Espagne. L’enquête a montré qu’au total, ce sont ainsi 62 000 litres d’herbicides, fongicides et insecticides, dont 23 000 à base de glyphosate qui ont été vendus par le réseau « à plusieurs milliers d’acquéreurs français entre janvier 2020 et juillet 2023 », selon la gendarmerie. « C’est une belle condamnation », s’est réjouie Pia Savart, juriste chez France Nature Environnement. « Ce mode opératoire n’est pas sans rappeler certains réseaux de trafic de drogue très organisés ».

> Depuis le 1er janvier 2019, l’achat, l’utilisation et le stockage de pesticides de synthèse, comme le glyphosate, est interdit aux particuliers et réservé aux professionnels dans l’Hexagone. « Le glyphosate est un désherbant dangereux pour les humains, les animaux et l’environnement », a rappelé la juriste.
Auteur : Mel_C  
1167/1342

Date :    06-11-2024 19:15:59


ÉVRY-COURCOURONNES (Essonne) :
L’autoroute A6 a encore connu un drame, ce mercredi matin, en Essonne. Un utilitaire occupé par deux personnes a violemment percuté un camion-citerne à hauteur d’Évry-Courcouronnes, dans le sens Paris-Province.
Quand les secours sont intervenus vers 9 heures, les deux occupants de la camionnette se trouvaient incarcérés dans l’habitacle, grièvement blessés. Une vingtaine de sapeurs-pompiers ont procédé aux manœuvres pour les libérer, en lien avec deux équipes du Smur. L’hélicoptère Dragon 75.1 a également été mobilisé.
Malgré les efforts des secouristes, le passager de l’utilitaire a été déclaré décédé dans la matinée. Il avait 18 ans. La seconde victime est la conductrice, une femme âgée de 60 ans. Elle a été héliportée en urgence absolue vers l’hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Son pronostic vital était engagé lors de son transport.
Une enquête a été ouverte dans la foulée par la CRS autoroutière pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. Selon les premiers éléments portés à notre connaissance, la camionnette aurait percuté de plein fouet l’arrière du camion, dont la citerne était vide. Un choc violent, survenu sur la voie de droite juste avant l’embranchement avec la N 104 (Corbeil-Essonnes) et l’A5 direction Troyes.
L’homme au volant du camion-citerne a été pris en charge par les policiers pour être auditionné. En parallèle, les équipes de la Drif (Direction des routes d’Île-de-France) ont sécurisé les lieux de l’intervention et bloqué temporairement une partie de la circulation.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-11-2024 19:23:10


JUSTICE - Drame de la rue d'Aubagne :

On le surnomme "la dent creuse". A quelques pas du Vieux-Port, un immense espace vide rappelle à tous les passants le drame de la rue d'Aubagne. Le 5 novembre 2018, à 9h05 précises, deux immeubles s'effondrent. Huit Marseillais perdent la vie et des milliers d'autres sont évacués. Six ans après, le procès de l'affaire s'ouvre ce jeudi 7 novembre . Et la question demeure : une telle catastrophe pourrait-elle se reproduire ?
Plus de 130 chantiers ont été lancés par la ville depuis. Parmi eux, un immeuble évacué datant de la fin du 19ᵉ siècle, aux murs complètement infiltrés d'eau, comme on peut le voir dans le reportage en tête de cet article. "Lorsqu'on a cassé une contre-cloison, on s'est rendu compte que le mur était en très mauvais état. Dans un premier temps, on a installé un système qui soutient le mur provisoirement, et nous allons reprendre toute la partie qui est défectueuse par une nouvelle maçonnerie de type béton armé", détaille Pierre Meyssonnier, responsable du service des travaux d'office à la mairie de Marseille.
Il faut agir vite. Plusieurs immeubles de ce quartier populaire sont menacés. "Tous les immeubles sont imbriqués parce qu'il y a un mur qui est mitoyen et qui porte les planchers d'un immeuble puis de l'autre. Donc si ce mur est abîmé, ça porte atteinte à la pérennité de la structure des deux immeubles à la fois", explique Pierre Meyssonnier. Chaque mois, la plateforme pour signaler les logements dangereux reçoit 200 notifications. Mais selon l'adjoint chargé du logement, les résultats sont encourageants. "Depuis plusieurs mois, nous avons moins d'entrées dans les dispositifs de mise en sécurité que de sorties, observe Patrick Amico. La gravité des situations qui rentrent aujourd'hui dans les arrêtés de mise en sécurité a baissé fortement depuis les trois dernières années."
Et pourtant, la deuxième ville de France compte encore 40.000 logements indignes, soit une habitation sur 10, y compris à quelques numéros du drame de la rue d'Aubagne. La présidente du collectif Marseille en colère, Kaouther Ben Mohamed, nous fait la visite au n°43. "Ici, on a des morceaux d'escalier qui sont tombés. Des fissures dans tous les escaliers, notamment au-dessus de nos têtes, avec des fissures qui se sont malheureusement agrandies. Pour finir, ici, nous avons une espèce de caisson et tout s'est effondré". Il y a près d'un an, seul le quatrième étage et le rez-de-chaussée ont été évacués par arrêtés de péril. La visite des experts n'y changera rien. Au deuxième étage, au milieu des cafards et des punaises de lit, ce retraité redoute que son plafond s'effondre à son tour : "Comme tous les étages, il y a des fuites. Ils sont venus, ils ont tapé, ils ont regardé, ils ont mastiqué et après, ça a continué à couler."

Proches de victimes comme Marseillais espèrent du procès de la rue d'Aubagne qu'il deviendra le symbole de la lutte contre l'habitat indigne. Dès jeudi comparaîtront 16 prévenus et 87 parties civiles.

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