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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 18:53:44


INDONESIE :
Deux touristes étrangers, dont une Française, ont été tués mardi par la chute d’arbres, provoquée par des vents violents dans un parc touristique très fréquenté de l’île indonésienne de Bali, a indiqué la police. Des vents puissants accompagnés de fortes précipitations ont frappé mardi après-midi la forêt des singes d’Ubud, située dans le centre de l’île de Bali, provoquant la chute de plusieurs arbres, a indiqué le porte-parole de la police de Bali, Jansen Avitus Panjaitan, dans un communiqué.
«Deux personnes sont mortes et une autre a été blessée», a indiqué M. Jansen. Une touriste française de 32 ans, dont la région d’origine n’a pas été précisée, est décédée, ainsi qu’une touriste sud-coréenne âgé de 42 ans. Une autre Sud-Coréenne, de 43 ans, a été blessée. Les victimes ont été transportées vers un hôpital proche, à Ubud, a ajouté M. Jansen. La forêt des singes d’Ubud, sanctuaire prisé des touristes, permet d’observer de près des singes macaques à longue queue. L’Indonésie a subi récemment une série d’événements météorologiques extrêmes, qui, selon les experts, sont rendus plus probables par le changement climatique.
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 18:54:46


TOSCANE :
Un incendie survenu lundi dans un dépôt de carburant du fournisseur d’énergie italien Eni à Calenzano, en Toscan, a fait cinq morts, selon le bilan définitif confirmé mardi, et 26 blessés.
«Nous pouvons confirmer que les corps de trois disparus ont été retrouvés», a déclaré à l’AFP Martina Banchelli, adjointe du maire de Calenzano. Un précédent bilan de lundi soir avait fait état de deux morts, trois disparus et 26 blessés, selon la préfecture de région.
Environ 500 personnes ont manifesté mardi aux abords du site pour demander des comptes et réclamer un renforcement de la sécurité, tandis que les syndicats ont appelé à un débrayage.
L’incendie a été provoqué par une «explosion», avait indiqué lundi le président de la région Toscane, Eugenio Giani. Selon Eni, le feu s’est limité à une zone de chargement du site lié à la raffinerie de Livourne, sans jamais menacer l’ensemble du parc de stockage.
Des enquêtes sont en cours pour déterminer les causes de l’incendie, ainsi que ses conséquences environnementales et sanitaires.
Des experts ont été dépêchés sur place pour évaluer les risques de pollution, y compris pour les cours d’eau voisins.
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 18:55:55


EGYPTE - Un immeuble s'effondre au Caire ....
Huit personnes ont été tuées et trois autres blessées dans l’effondrement d’un immeuble résidentiel de six étages dans le centre du Caire mardi, a annoncé le ministère égyptien de la Santé.
Neuf ambulances ont été dépêchées sur les lieux et les secours continuent de «fouiller les décombres et rechercher des blessés ou des corps», a précisé un porte-parole du ministère Hossam Abdel Ghaffar cité par un communiqué.
L’immeuble, datant des années 1960, était frappé depuis 1993 d’un arrêté obligeant à sa réparation, selon un dirigeant du district de Waili cité par le quotidien gouvernemental al-Ahram. «Les habitants avaient fait appel de cet arrêté qui n’a pas été exécuté», a-t-il indiqué.
Par précaution, des immeubles voisins ont été évacués mardi, a indiqué dans un communiqué l’administation du Caire.
Une grande partie des immeubles au cœur de la capitale égyptienne n’ont bénéficié d’aucune restauration, bien que datant du XIXe et du XXe siècle.
Le Grand Caire a connu plusieurs effondrements meurtriers d’immeubles ces dernières années, en raison à la fois de leur vétusté mais aussi du non-respect de la législation en matière d’urbanisme et de construction.
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 18:57:39


JUSTICE - Main arrachée d’un gilet jaune ....
Un major d’une compagnie de CRS sera jugé à Paris pour blessures involontaires sur un manifestant gilet jaune qui a eu la main arrachée dans l’explosion d’un tir de grenade en novembre 2018 dans la capitale française, a appris l’AFP mardi de source proche du dossier.
Le juge d’instruction a ordonné le 4 décembre un procès devant le tribunal correctionnel, alors que le parquet de Paris avait requis un non-lieu.
Le magistrat instructeur a estimé que le policier n’était certes pas «animé par une volonté» de blesser Gabriel Pontonnier, mais qu’il n’avait pas pris les précautions nécessaires avant de tirer.
Le major, aujourd’hui âgé de 53 ans, sera aussi jugé pour blessures involontaires sur le frère et le cousin de Gabriel Pontonnier, présents à ses côtés lors de l’acte 2 du mouvement des «gilets jaunes».
Selon le juge d’instruction, le policier a lancé sa grenade «en direction d’un groupe d’individus» malgré «d’importantes quantités de fumées» et malgré «l’obscurité» qui l’empêchaient de voir correctement.
Le juge relève aussi que le tir n’a pas été effectué en binôme, avec un superviseur. Contacté par l’AFP, l’avocat du policier Martin Dier n’a pas souhaité s’exprimer. L’analyse du juge d’instruction contraste avec celle du ministère public, qui estimait l’usage de cette grenade «nécessaire et proportionné», et réalisé dans le cadre légal prévu. Dans ses réquisitions en avril, le parquet avait aussi estimé que M. Pontonnier avait pris des risques en se rapprochant de la grenade «pour s’en saisir».
Face au magistrat instructeur, Jackie D. avait lui assuré avoir tiré au «meilleur endroit» possible pour lancer la GLI-F4, une grenade contenant une charge explosive constituée de 25 grammes d’un explosif générant un effet assourdissant, une onde de choc et la dispersion de gaz lacrymogène.
Cette décision de le renvoyer devant un tribunal «est le fruit d’une application rigoureuse des textes régissant l’emploi de la grenade GLI-F4», ont salué les avocats de la famille Pontonnier, William Bourdon, Vincent Brengarth et Emma Eliakim.
Cette «avancée récompense le travail acharné mené avec la famille depuis plus de six ans», ont-ils insisté auprès de l’AFP, regrettant toutefois qu’un non-lieu ait été prononcé pour le chef de mise en danger.
«On attend vraiment que les dates du procès soient fixées pour y croire», a réagi auprès de l’AFP la mère de Gabriel Pontonnier, Dominique, aussi présente le jour des faits. «Toute une famille a été impactée. Ils ont fracturé nos vies».

Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 19:01:34


HAÏTI - 184 morts dans un massacre contre des pratiquants vaudou :

>>> Un puissant chef de gang a ordonné cette tuerie, persuadé que ces gens étaient responsables de la maladie de son fils.

Au moins 184 personnes ont été tuées ce week-end près de la capitale haïtienne Port-au-Prince, selon l’ONU, au cours d’exactions ordonnées par un «puissant chef de gang» contre des «pratiquants du culte vaudou» d’après une ONG locale.
Ce dernier était convaincu que la maladie de son fils avait été causée par ces «adeptes du vaudou», a expliqué lundi un responsable de cette ONG, le Comité pour la Paix et le Développement (CPD).
Le bureau du premier ministre haïtien Alix Didier Fils-Aimé a «condamné avec la plus grande fermeté le massacre abject perpétré les 6 et 7 décembre 2024 à Wharf Jérémie, par le chef de gang Micanor Altès, alias Wa Mikanò, et consorts».
«Cet acte de barbarie, d’une cruauté insoutenable, a coûté la vie de plus d’une centaine de femmes et d’hommes, principalement des vieillards sans défense», a poursuivi la Primature dans un communiqué sur X.
Plus tôt, le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme Volker Türk avait indiqué qu’«au moins 184 personnes avaient été tuées dans des violences orchestrées par le chef d’un puissant gang» à Port-au-Prince. «Ces derniers meurtres portent le bilan des morts en Haïti cette année au nombre faramineux de 5000 personnes», avait-il souligné lors d’une conférence de presse à Genève.
Le chef de l’ONU Antonio Guterres a condamné des actes «terrifiants», appelant les autorités haïtiennes à s’assurer que les responsables soient «traduits en justice», selon son porte-parole.
Haïti, pays pauvre des Caraïbes, pâtit depuis des dizaines d’années d’une instabilité politique chronique. Mais il doit aussi faire face à une résurgence de la violence des gangs, qui contrôlent 80% de la capitale Port-au-Prince.
Selon l’ONG CPD, le chef de gang qui a orchestré ces meurtres «a décidé de punir cruellement toutes les personnes âgées et les pratiquants vaudous qui, dans son imagination, seraient capables d’envoyer un mauvais sort à son fils». «Les soldats du gang étaient chargés d’identifier les victimes dans leurs maisons et de les emmener au fief du chef pour y être exécutées», a ajouté l’ONG dans un communiqué.
«Ses sbires ont pourchassé tous les vieillards et adeptes du vaudou vivant à Wharf Jérémie entre vendredi soir et samedi, et les ont exécutés avant de brûler leurs cadavres», a détaillé Fritznel Pierre, un responsable de l’ONG, à la radio Magik 9. Il a précisé que «des chauffeurs de taxi motos qui ont tenté de prendre la fuite avec des gens ciblés ont été également exécutés». Le bilan est encore provisoire, a-t-il ajouté, la zone étant «difficile d’accès».
«Mon père, 76 ans, a été tué vendredi soir vers 22h. Les bandits ont mis le feu à son cadavre», a déclaré un habitant à l’AFP, joint par téléphone. «La famille ne peut même pas lui organiser une sépulture puisque nous n’avons pas pu récupérer le corps», a déploré ce témoin, sous le couvert de l’anonymat, disant craindre pour la vie de certains proches encore sur place.
La violence des gangs, déjà endémique en Haïti, s’aggrave depuis février, lorsque des groupes armés ont lancé des attaques coordonnées à Port-au-Prince pour obtenir la démission du premier ministre de l’époque, Ariel Henry. Soutenue par l’ONU et Washington, une mission multinationale de soutien à la police menée par le Kenya a commencé à se déployer cet été, mais les violences continuent de s’intensifier.
Sur le réseau social X, Sean Savett, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, a exhorté lundi la communauté internationale à «apporter une assistance immédiate en matière de sécurité» à la mission multinationale et aux forces de sécurité haïtiennes.
Il y a aujourd’hui plus de 700願 personnes, pour moitié des enfants, déplacées par les violences à travers le pays, selon des chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en octobre. S’y ajoutent près de 5000 personnes ayant fui les attaques ces derniers jours, a fait savoir lundi l’OIM.
D’origine africaine et pilier de la culture du pays, le vaudou est arrivé en Haïti avec les esclaves africains. Il avait été interdit pendant l’occupation coloniale française (indépendance en 1804) et n’a été reconnu comme une religion officielle par le gouvernement qu’en 2003.
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 19:04:32


UN FEMINICIDE EN PROCES A METZ – Tuée devant sa fille et les voisins: :

>>> Dans la nuit du 23 au 24 mai 2021, Stéphanie Di Vincenzo avait été poignardée à mort en pleine rue par son compagnon.

Un homme de 26 ans, accusé d’avoir tué en Moselle sa compagne sous les yeux de leur enfant, est jugé à partir de mardi aux assises de Metz (F), un meurtre particulièrement sordide qui avait généré une polémique autour du rôle joué par la justice et la police.
Dans la nuit du 23 au 24 mai 2021, une violente altercation oppose l’accusé, Liridon Berisa, à la victime à leur domicile de Hayange, ancienne cité industrielle du nord de la Moselle.
Stéphanie Di Vincenzo, 22 ans, s’échappe par la fenêtre, affaiblie et ensanglantée. Plusieurs témoins la voient courir en direction du poste de police, situé à 40 mètres du domicile. Mais le commissariat est fermé...
L’accusé, qui avait arraché la veille son bracelet électronique sans que cela déclenche l’alarme, la rattrape dans la rue. Il lui assène plusieurs coups de couteau, devant des voisins et sous les yeux de leur fille de 3 ans.
Il jette ensuite dans une poubelle son arme de 25 centimètres et s’enfuit.
A leur arrivée, les secours constatent que Stéphanie Di Vicenzo gît dans une mare de sang. «Dix plaies par arme tranchante et coupante» sont constatées, dont «cinq plaies profondes dans la région cervicale».

>>> Violent, alcoolique et jaloux :

Entre janvier 2018 et novembre 2020, les forces de l’ordre étaient intervenues dix fois au domicile du couple. Stéphanie Di Vincenzo souhaitait quitter son compagnon, décrit par des témoins comme «extrêmement violent, alcoolique et jaloux».
Mme Di Vincenzo avait déposé plainte contre lui en novembre 2020, mais elle n’aurait pas été signalée au parquet.
Alors procureur de la République de Metz, Christian Mercuri avait réfuté, au lendemain du drame, tout «dysfonctionnement des services judiciaires», en reconnaissant néanmoins que «dans un monde idéal», des plaintes déposées par la victime à l’encontre de son conjoint violent auraient dû être signalées au parquet.
Une mission d’inspection avait été lancée par les ministres d’alors: Gérald Darmanin (Intérieur), Eric Dupond-Moretti (Justice) et Marlène Schiappa (Citoyenneté).
Dans ses conclusions, rendues quelques semaines plus tard, la mission ne relevait «aucun manquement professionnel dans les décisions prises avant le meurtre, tous les intervenants s’étant mobilisés normalement dans le champ de leurs compétences».
«L’attitude souvent déroutante de ce couple, aux confrontations suivies, parfois dans la foulée, de réconciliations, a pu conduire à une banalisation de cette situation par les services de police», était-il écrit.

>>> Dysfonctionnement du bracelet électronique :

Une voisine du couple, Stéphanie B., 51 ans, sera aussi jugée pour des faits de «soustraction d’un criminel à l’arrestation ou aux recherches».
L’homme avait été retrouvé chez elle au lendemain des faits. Elle avait demandé à ses filles de ne rien dire sur la présence de celui qu’elle ne voyait pas comme un meurtrier mais comme «son petit voisin».
Selon plusieurs témoignages, elle entretenait «une relation particulière avec l’accusé, peut-être amoureuse, et elle serait allée jusqu’à dénoncer l’adultère de Stéphanie Di Vincenzo à Liridon Berisa», écrit la juge d’instruction dans son ordonnance de renvoi, dont l’AFP a pris connaissance.
Il semble ressortir de l’enquête que c’est parce que l’accusé avait appris que sa compagne fréquentait un autre homme que Liridon Berisa se serait emporté ce soir-là. Des confidences qui lui auraient justement été rapportées par Stéphanie B. quelques jours plus tôt.
Réfugié politique d’origine serbe, l’accusé avait déjà été condamné à un an de prison pour divers délits routiers.
Il avait bénéficié d’un aménagement de peine et d’un placement en détention à domicile sous surveillance électronique avec bracelet le 12 mai 2021, quelques jours avant les faits.
Selon le rapport d’inspection, l’appareil avait souffert d’un «dysfonctionnement inexpliqué» dans la mesure où, bien qu’ayant été arraché, il n’avait déclenché «aucune alarme au centre de surveillance».
Liridon Berisa encourt cette fois la perpétuité. Le verdict est attendu vendredi.
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 19:06:14


ISERE :
Dans la nuit de samedi à dimanche, au centre de Grenoble, vers 4 h du matin, une jeune femme traversait le pont de la Citadelle lorsqu’elle a croisé un homme qu’elle ne connaissait pas. Il l’a empoignée et l’a jetée du haut du pont, la précipitant dans l’Isère.
«Dans son malheur, la victime a alors eu une chance incroyable: elle est tombée d’environ cinq mètres à un endroit où il y avait du fond, suffisamment près de la rive pour pouvoir s’accrocher», commente une source dans «Le Dauphiné».
Les secours ont été rapidement alertées et ont pu sortir de l’eau cette femme de 24 ans. Prise en charge par les pompiers, elle a été emmenée à l’hôpital. Mais elle s’en sort heureusement très bien: elle ne souffrait que d’une légère hypothermie.
L’agresseur est un homme de 32 ans qui n’a pas tenté de s’enfuir. Il a été arrêté alors qu’il tenait des propos décrits comme totalement incohérents. Après quelque temps en garde à vue, il a été placé dans un hôpital spécialisé, «en raison de ses problèmes psychiatriques», a indiqué la justice.
Le quotidien français a ensuite retrouvé la jeune victime. Elle a passé vingt minutes dans l’eau glacée. Elle commençait à être tétanisée lorsqu'elle a été secourue et a rendu hommage aux deux policiers qui se sont jetés à l’eau pour lui sauver la vie. «Ils sont arrivés in extremis au moment où j’allais lâcher prise. Je venais de crier: «Je vais lâcher! Je vais lâcher!» Et j’ai entendu une voix derrière moi qui me disait: «Tu peux lâcher, je te tiens!»
Auteur : Mel_C  
1296/2374

Date :    12-12-2024 19:07:56


PHILIPPINES- Trois suspects arrêtés pour vente d’uranium appauvri :
Le gouvernement philippin a annoncé lundi avoir arrêté trois suspects pour vente d’uranium appauvri, après avoir saisi 100 kilogrammes de matériaux radioactifs.
Le Bureau national d’enquête philippin a lancé cette opération «inédite» à la mi-octobre, après avoir reçu des renseignements de l’Institut de recherche nucléaire du pays, selon lesquels ces personnes représentaient une menace pour la sécurité nationale.
Les raids, qui ont eu lieu à Manille et dans le sud du pays, ont abouti à l’arrestation d’un homme, de sa compagne et d’un autre suspect. Cent kilogrammes de matériels, testé positifs à l’uranium 235 et l’uranium 238, ont été saisis, a précisé le Bureau national d’enquête.
La manière dont ces suspects ont obtenu de l’uranium appauvri n’a pas été identifiée. L’uranium appauvri peut être utilisé dans la fabrication de certains types de réacteurs et des armes nucléaires.
Les suspects ont tenté de vendre ces produits en le présentant comme des «métaux précieux», a ajouté la même source.
Les suspects sont poursuivis pour détention et vente illégales de matériaux de l’énergie atomique, passibles de 5 ans de prison.

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