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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
1457/2231

Date :    16-12-2024 08:01:56


Meaux - Détenu de la maison d’arrêt découvert mort dans sa cellule la gorge tranchée
Scène d’horreur, découverte un agent pénitentiaire de la maison d’arrêt de Meaux-Chauconin ce dimanche matin. Selon une source policière, c’est en ouvrant la porte d’une cellule fermée à clé qu’il aurait trouvé le détenu mortellement blessé, à 11h35. Ce dernier présentait une large plaie au niveau du cou. Sa carotide aurait vraisemblablement été sectionnée.
Selon notre source policière, l’homme se trouvait dans un quartier réservé aux détenus en fin de peine, une structure d’accompagnement vers la sortie (SAS). Il y aurait été incarcéré pour des violences avec arme début octobre sous le régime de la semi-liberté. C’est-à-dire qu’il avait la possibilité de sortir, en semaine, de 7 heures à 17 heures.
L’objectif de ce dispositif est de permettre aux détenus de réaliser des démarches en journée pour trouver du travail à leur sortie de prison. La victime devait retrouver sa liberté à la fin du mois. « Le week-end, s’ils n’ont pas de permission de sortie, ces détenus restent en détention », analyse un spécialiste du sujet.
Ce dimanche en fin d’après-midi, le parquet de Meaux confirmait la découverte du corps sans préciser les causes de la mort du détenu. « Une enquête est en cours. La thèse du suicide est à ce stade privilégiée », précise la procureure.
Le 17 août déjà, un détenu avait trouvé la mort au sein du centre pénitentiaire. Condamné la veille par le tribunal correctionnel de Meaux à une peine de prison avec sursis probatoire, Assane Gueye, 51 ans, aurait dû quitter la maison d’arrêt de Meaux-Chauconin le soir même de sa condamnation. Le procureur de Meaux avait reconnu une erreur sur un document administratif.
L’enquête menée a révélé que le quinquagénaire, très agité, avait été maîtrisé par deux agents pénitentiaires. Selon les images de vidéosurveillance qui filmaient le couloir, Assane Gueye a été maintenu au sol par deux agents, un genou sur ses jambes et un autre dans le dos. La scène a duré 20 minutes, jusqu’à ce que les agents se rendent compte qu’Assane Gueye ne bougeait plus. Selon l’autopsie, l’homme est mort d’une « défaillance cardio-respiratoire dans un contexte de contention avec asphyxie posturale survenant sur un terrain de coronaropathie évoluée ». Reste à savoir si c’est l’intervention des agents qui a directement mené à la mort du détenu ou si son état de santé a joué dans ce drame.
Auteur : Mel_C  
1458/2231

Date :    16-12-2024 08:03:55


Narcotrafic :
le procès des tueurs à gages qui avaient abattu par erreur Houcine s’ouvre ce lundi à Besançon.Le mécanicien avait été tué en 2020 d’une balle en pleine tête au terme d’une course-poursuite. Ses deux assassins s’étaient vantés du crime sur Sky ECC, une messagerie prisée des voyous censée être cryptée.
Auteur : Mel_C  
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Date :    16-12-2024 08:05:39


ROYAUME-UNI - Le prince Andrew au cœur d’un nouveau scandale :
Déjà paria au sein de la famille royale pour sa proximité avec le défunt financier et criminel sexuel Jeffrey Epstein, le prince Andrew, frère de Charles III, est au cœur d’un nouveau scandale embarrassant. Ses liens avec un homme soupçonné d’espionnage pour la Chine chargent un peu plus sa barque.

Le duc d’York, 64 ans, longtemps décrit comme le fils préféré de la défunte reine Elizabeth II, fait la Une des médias britanniques depuis trois jours, le «Sunday Times» jugeant qu’il est devenu «la pire distraction» pour le roi Charles III.
Jeudi, une juridiction londonienne a validé l’interdiction d’entrée sur le territoire d’un ressortissant chinois, soupçonné d’être engagé dans «des activités secrètes et trompeuses» pour le compte du Parti communiste chinois.

Décrit comme un «confident» d’Andrew, cet homme de 50 ans, identifié seulement comme «H6», avait été autorisé à agir au nom du prince auprès de potentiels investisseurs chinois, et avait même été invité à son anniversaire en 2020.
Selon les juges, la situation du prince l’a rendu «vulnérable», soulevant des questions sur son rôle en tant que membre non actif de la famille royale.
Cette affaire alimente les inquiétudes des autorités britanniques sur l’ampleur de l’activisme de Pékin, que Londres accuse régulièrement d’espionnage. D’autant que le «Sunday Times» publie d’anciennes photographies montrant «H6» aux côtés des anciens Premiers ministres David Cameron et Theresa May.
Le chef du parti d’extrême-droite Nigel Farage a menacé de révéler son identité à la chambre des Communes, en vertu d’un privilège accordé aux députés.

Mais ces révélations ont surtout terni un peu plus l’image du prince Andrew, qui «n’en finit plus de tomber en disgrâce», depuis qu’il a été éclaboussé par le scandale de l’affaire Epstein, décédé en 2019, selon le journal The Guardian.
Le prince a été accusé de relations sexuelles forcées par une Américaine en 2001 quand elle était mineure, «prêtée» par Jeffrey Epstein. Il a toujours nié les accusations et a conclu en 2022 un accord financier pour éviter un retentissant procès.

Une interview à la BBC en 2019 pour se défendre avait viré au désastre. Apparaissant arrogant et dénué de compassion, il n’avait pas exprimé un seul regret pour son amitié avec Epstein.
Depuis, il n’est quasiment plus apparu en public et est le membre le moins aimé de la famille royale, avec 6% d’opinions favorables.
Début 2022, la reine lui a retiré ses titres militaires ainsi que ses parrainages caritatifs, une humiliation de plus pour cet ancien pilote d’hélicoptère, longtemps présenté comme un héros de la guerre des Malouines (1982).
Quelques mois plus tard, il est privé de balcon pour le jubilé des 70 ans de règne d’Elizabeth II, et en mai 2023 il est relégué au troisième rang dans l’abbaye de Westminster pour le couronnement de Charles III.
Depuis, le souverain lui a retiré le rôle de «conseiller d’État» qui lui donnait le droit de le remplacer en cas d’absence ou de maladie. Et il a suspendu l’allocation qu’il versait à Andrew, que le prince utilisait notamment pour entretenir sa vaste demeure près du château de Windsor, selon le dernier ouvrage du célèbre biographe de la famille royale, Robert Hardman.

Né le 19 février 1960 à Buckingham Palace, le prince Andrew est le troisième des quatre enfants de la reine Elizabeth II et du prince Philip. Jeune homme, Andrew, multiplie les conquêtes, avant d’épouser en 1986 la flamboyante Sarah Ferguson.
Le couple a deux filles, les princesses Beatrice (1988) et Eugenie (1990), mais divorce en 1996.
Le prince Andrew se fait alors remarquer aux côtés de femmes peu vêtues en vacances en Thaïlande, ou à une soirée sur le thème «prostituées et proxénètes» aux États-Unis avec Ghislaine Maxwell, mondaine britannique jugée coupable de trafic sexuel de mineures au profit d’Epstein.
Après 22 ans dans la Marine, il est de 2001 à 2011 le représentant spécial du Royaume-Uni pour le commerce international, mais est critiqué pour ses dépenses fastueuses aux frais du contribuable et ses relations avec des familles de dictateurs, dont celle du Libyen Mouammar Kadhafi.

Auteur : Mel_C  
1460/2231

Date :    16-12-2024 08:08:51


U.S.A. - Payer 15 millions de dollars pour éviter un procès avec Trump
La chaîne de télévision américaine ABC va payer quinze millions de dollars de dédommagements pour mettre fin aux poursuites pour diffamation lancées par le président élu Donald Trump après des propos tenus à l’antenne par un présentateur vedette.
Selon des documents de justice rendus publics samedi, la transaction hors tribunal entre les parties prévoit que cette enveloppe abonde un fonds destiné à financer «une fondation et un musée présidentiels» consacrés au milliardaire républicain.
Ce dernier avait porté plainte contre ABC et George Stephanopoulos, reprochant au journaliste d’avoir affirmé lors d’un entretien en mars avec Nancy Mace, élue au Congrès des États-Unis, que Donald Trump avait été trouvé «responsable de viol» lors d’un procès lié à l’affaire E. Jean Carroll.
George Stephanopoulos devra présenter des excuses publiques
Il a bien été condamné dans cette procédure, en 2023, mais pour agression sexuelle. Il a également été condamné à verser à la journaliste et écrivaine 85 millions de dollars pour diffamation, sur fond de ces accusations de viol dans les années 1990.
L’accord avec ABC stipule également que la chaîne et George Stephanopoulos devront présenter des excuses publiques, précisant «regretter les affirmations» au sujet de Donald Trump, et payer ses frais judiciaires à hauteur d’un million de dollars.
Ancien conseiller de Bill Clinton et journaliste politique chevronné, George Stephanopoulos est un intervieweur très efficace et un pilier de la chaîne ABC News.
Il a interviewé Barack Obama, Benjamin Netanyahu ou Vladimir Poutine et avait été choisi en juillet pour un entretien avec le président Joe Biden, au moment où les acuités intellectuelles du candidat à un second mandat étaient sérieusement mises en doute. Donald Trump l’a surnommé de façon péjorative «Slopadopoulos», le qualifiant d’«homme petit et irrité» et d’«intervieweur le plus bas et le plus malveillant qui existe».
Auteur : Mel_C  
1461/2231

Date :    16-12-2024 08:15:05


BRESIL - Projet de coup d’État :
Un ex-ministre de la Défense du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, soupçonné d’avoir «dirigé» un projet présumé de coup d’État et d’avoir tenté de faire entrave à l’enquête, a été arrêté samedi au Brésil.
Ministre en 2021-2022, le général Walter Braga Netto fut le colistier de Jair Bolsonaro à l’élection présidentielle d’octobre 2022, perdue face à l’actuel chef de l’État de gauche, Lula.
L’arrestation a été ordonnée par le juge Alexandre de Moraes du Tribunal suprême fédéral (STF), en raison de la «participation très grave» du général au projet de coup d’État, «dans un véritable rôle de direction, organisation et financement, en plus d’indices pertinents indiquant qu’il a agi de manière répétée pour faire obstacle à l’enquête». Le général Walter «Braga Netto a été arrêté», a confirmé à l’AFP une source policière.
Fin novembre, la police fédérale (PF) avait recommandé d’inculper Jair Bolsonaro, 69 ans, et plusieurs de ses proches, pour leur implication présumée dans ce projet de coup d’État visant à empêcher l’investiture de Lula, dont le général Braga Netto.
Selon les éléments de l’enquête, Walter Braga Netto a eu une «participation active» dans la tentative de faire pression sur des commandants des forces armées brésiliennes pour «rejoindre le projet de coup d’État».
Le général serait aussi impliqué dans l’obtention et la remise de fonds pour des opérations de surveillance, et pour «la planification d’enlèvements et, possiblement, d’homicides de personnes dépositaires de l’autorité publique».
Il aurait aussi agi pour avoir des informations protégées par le secret judiciaire sur le déroulement de l’enquête et aurait fait pression pour que «la participation des personnes faisant l’objet d’une enquête ne soit pas entièrement divulguée».
Le général avait déjà été l’objet d’une opération policière en février dans le cadre de l’enquête sur «l’organisation criminelle qui a agi dans la tentative de coup d’État», mais n’avait pas alors été incarcéré.
La police estime que Jair Bolsonaro et 36 de ses proches devraient être poursuivis pour «les crimes d’abolition violente de l’État de droit, de coup d’État et d’organisation criminelle».
Elle a rassemblé des preuves pendant deux ans et rédigé un rapport de 884 pages, désormais entre les mains du procureur de la République Paulo Gonet, qui doit décider s’il donne suite aux demandes d’inculpation.
Selon les enquêteurs, Jair Bolsonaro avait «pleinement conscience» des «actes clandestins visant à abolir l’État de droit» et y avait «participé activement». Il avait en outre «pleinement conscience» d’une opération visant à assassiner Lula.
Outre le leader de gauche, les assassinats d’autres personnes étaient également prévus, notamment Geraldo Alckmin, alors vice-président élu, et le juge de Moraes.
Appelé «Poignard vert et jaune», le projet de tuer Lula aurait été discuté dans la maison même du général Braga Netto. Et le plan en a été imprimé au Planalto, le palais présidentiel, selon les enquêteurs.
Parmi les preuves réunies par la PF figure aussi un manuscrit saisi au siège du Parti libéral (PL) de Jair Bolsonaro, dans les affaires d’un conseiller de Walter Braga Netto.
Sous le nom de code «Opération 142», le document mentionne des options comme «interruption du processus de transition», «annulation des élections» et «prorogation des mandats».
Lula l’avait emporté d’une courte marge au second tour de la présidentielle, fin octobre 2022, et avait entamé son troisième mandat le 1er janvier 2023. Il avait déjà été président de 2003 à 2010.
Le coup d’État n’a pas eu lieu, mais le 8 janvier 2023, quelques jours après l’investiture de Lula, des milliers de partisans de Jair Bolsonaro avaient envahi et vandalisé à Brasilia les bâtiments abritant la présidence, le STF et le Parlement.
Jair Bolsonaro, qui était parti quelques jours avant aux États-Unis, fait l’objet d’une autre enquête pour déterminer s’il était à l’origine de ces émeutes.
Auteur : Aigle 
1462/2231

Date :    17-12-2024 07:03:28


Emmanuel Macron
a annoncé hier qu'il se rendrait sur l'archipel"dans les prochains jours"
ET va décréter un deuil national.
Auteur : Aigle 
1463/2231

Date :    17-12-2024 07:14:42


Bachar al-Assad :
le président renversé déplore que le pays soit "tombé aux mains du terrorisme"
Dans communiqué publié lundi sur le réseau social Telegram, IL affirme "ne pas avoir fui' Son départ de Syrie n'était pas "planifié" et a été organisé par les Russes
Auteur : Aigle 
1464/2231

Date :    17-12-2024 07:21:59


Ingérences étrangères :
une confrontation organisée chez le juge d’instruction
Mis en examen,
l’ex-député écologiste Hubert Julien-Laferrière, le lobbyiste Jean-Pierre Duthion et l’islamologue proche du Qatar Nabil Ennasri
étaient convoqués, lundi, chez le juge d’instruction pour confronter leurs versions divergentes des faits concernant des soupçons de corruption.

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