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Bric à brac
Auteur : Aigle 
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Date :    19-08-2024 07:15:43


Fièvre catarrhale
"Si on veut se protéger, à part la vaccination, on n'a aucun moyen" :
les éleveurs de brebis démunis face à l'épidémie de fièvre catarrhale
Plusieurs éleveurs des Hauts-de-France ont pu commencer à administrer des doses de vaccins à leurs brebis, dans l'espoir de les protéger contre cette nouvelle fièvre catarrhale qui inquiète.
Le premier cas de sérotype 3, arrivé des Pays-Bas et de Belgique, a été confirmé le 5 août, et depuis, il y a plus d'une quarantaine de nouveaux foyers
Auteur : Aigle 
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Date :    19-08-2024 12:52:57


Décès
Le chef Michel Guérard, inventeur de la Nouvelle cuisine,
est mort dans la nuit de dimanche à lundi à 91 ans
Il avait révolutionné la cuisine dans les années 1970 et avait inventé un nouveau répertoire savoureux de « cuisine minceur gourmande »
Auteur : Aigle 
147/2333

Date :    19-08-2024 15:01:21


Ce soir c'est la "super LUNE BLEUE !
Bon, c'est juste une pleine lune un peu plus grosse que d'habitude, qui ne sera absolument pas bleue au regard, mais bon 😅
La lune va paraître (effet d'optique) plus grande, brillante et en réalité orangée.
Auteur : Aigle 
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Date :    20-08-2024 06:58:14


Décès
Pierre Cartier, mathématicien français, est mort
Ce scientifique volubile et doté d’une grande culture est mort le 17 août à Marcoussis, à l’âge de 92 ans.
Pilier du groupe Bourbaki entre 1955 et 1983, il a marqué son domaine. « Il était l’incarnation de Bourbaki », estime Frédéric Patras, directeur de recherche au CNRS.
Auteur : Mel_C  
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Date :    20-08-2024 16:44:58


NÎMES - Quartier Pissevin :
Ce mardi matin, le poste de police situé au 1 rue Weber a officiellement ouvert ses portes dans le quartier nîmois de Pissevin. Un poste partagé comprenant des agents de la police nationale et municipale, transféré de Valdegour dans ce quartier voisin gangréné par le trafic de drogue. Le retour d'un poste de police au cœur du quartier avait été annoncé par l'État et Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur.
Si l'établissement sera officiellement inauguré lundi prochain, le 26 août, le rideau a été levé pour la première fois ce matin à 9:30. "J'espère que ça va ramener du calme au quartier. C'est une sécurité pour nous les commerçants. À Valdegour, on a toujours dit qu'il ne faisait pas forcément le taf. Espérant qu'ici ça soit le cas. En tout cas, c'est bien pour le quartier et les habitants", commente Asknder, le buraliste situé juste à côté du local des policiers.
Une implantation des forces de l'ordre qui suscite beaucoup d'attente de la part des habitants qui veulent retrouver de la sérénité au quotidien et pouvoir se balader sans tomber sur un point de deal, ni risquer de se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment. "Je suis content parce qu'ici, il y a trop de drogue, la police rassure les gens. Après si les policiers tournent, ça peut arranger les choses. Il faut qu'ils fassent vraiment des rondes, car je les vois, ils restent dans la voiture", réagit Joël, habitant du quartier.
L'espoir de retrouver du calme alors que cette ouverture intervient un an jour pour jour après le décès du jeune Fayed, 10 ans, victime collatérale d’un règlement de comptes, lié au trafic de drogue (lire ICI). C'était le 21 août 2023. D'autres sont plus résignés et ne pressentent pas de changement, à l'image d'Alain Lorgeas (voir vidéo ci-dessus), président du Comité de quartier de Pissevin depuis 1983 : "Le poste de police est nécessaire, mais connaissant le terrain, la police de proximité serait beaucoup plus efficace que d'être cantonnée dans un commissariat. Il ferme à 18 heures, c'est à ce moment-là que la délinquance est la plus forte. On fait des symboles, mais ça ne fait pas avancer le schmilblick."

> Les locaux actuels sont provisoires et les policiers vont y rester deux ans. Car dans le cadre du grand plan de rénovation urbaine, la galerie Marcel-Sant va être détruite et le poste déménagera quelques centaines de mètres plus loin dans un bâtiment tout neuf. Une totale réhabilitation d'environ 250 millions d'euros pour permettre à Pissevin de redevenir en partie un quartier paisible.
Auteur : Mel_C  
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Date :    20-08-2024 16:46:21


SAINTE-CECILE-D'ANDORGE :
De Sainte-Cécile-d'Andorge à Saint-Julien-des-Points (Lozère), il n'y a qu'un pas, mais surtout un train. Depuis 2004, l'association du TAC (Train de l'Andorge en Cévennes) se bat bénévolement pour faire vivre cet autorail dƇ,5 kilomètre, reprenant une partie du tracé de l'ancien chemin de fer départemental de 49 kilomètres, allant de Sainte-Cécile-d'Andorge jusqu'à Florac.
Auteur : Mel_C  
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Date :    20-08-2024 16:49:06


MORT DE FAYED :
« Une ignominie ». Tel ont été les mots du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, pour qualifier la mort du petit Fayed, 10 ans. Ce 21 août, dans le quartier de Pissevin, à l’ouest de Nîmes, il est 22h30. Il fait chaud, plusieurs jeunes, en vacances, sont dehors. Soudain, la torpeur de l’été se brise : une série de tirs retentit. L’une des balles touche mortellement un petit nîmois de 10 ans qui rentrait chez lui avec son oncle.
Ce drame relève de l’insupportable. « Je me souviens très bien de cette nuit-là, j’étais à ma fenêtre. Mon fils était dehors… Ça aurait pu être lui », confie Hicham Abderrazak, responsable du club de foot Soleil Levant. Le quadragénaire réside dans la tour Wagner voisine de celle de la famille de Fayed. Très vite, Nîmes fait la Une des journaux. D’autant que deux jours après ce drame, un jeune homme de 18 ans, connu des services de police, est également tué par balle.
Horreur à Pissevin. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, est dépêché sur place. Il présente ses condoléances à la famille de Fayed et part en préfecture mettre sur pied, avec le nouveau préfet, une contre-offensive. Ces dernières années, Nîmes est devenue tristement célèbre pour son trafic de drogue et ses règlements de comptes. À Pissevin, le trafic génère près de 60 000 € par jour ! « Ce drame a permis une prise de conscience », pense Raouf Azzouz, directeur des Mille couleurs.
Gérald Darmanin n’arrive pas en sauveur, mais en « urgentiste » de la sécurité. Il est accompagné d'une compagnie de CRS, mobilisée jusqu’à la fin de l’année. L’idée est de « faire baisser la pression » mais pas d’éradiquer le trafic de drogue, trop bien implanté. « Il y a toujours eu du trafic dans la galerie Richard Wagner, mais là, ça a pris une proportion énorme. C’est un échec collectif », commente l'élu départemental LR du canton et ex-adjoint à la sécurité de la ville de Nîmes, Richard Tibérino.
« La situation s’est calmée »
En parallèle, les chauffeurs de bus entrent en grève, refusant de traverser le quartier : « À 5 heures du matin, les conducteurs enlèvent les poubelles destinées à bloquer la police. Certains ont eu peur de recevoir une balle perdue et ne se sont plus sentis capables d’assurer la sécurité de leurs passagers », se souvient Nasser Mohamedi, chauffeur membre du syndicat CFDT. Après moult réunions et une forte mobilisation des habitants, le service reprend, le trajet restant toutefois dévié jusqu’à 6h20 du matin.
Du côté de la sécurité, le travail des policiers commence à faire effet. « La police a monté des coups. Il y a eu des opérations de contrôle, du travail judiciaire… Des individus ont été mis à l’ombre. Alors oui, il y a eu un impact sur le trafic de drogue », assure l’adjoint à la sécurité, Richard Schieven. Huit mois plus tard, le Contrat de sécurité intégré est enfin signé, entre la Ville et l'État. Suspendu à cause de la mésentente entre le ministère de l’Intérieur et le maire de Nîmes, qui estimait ne pas avoir assez de moyens, le document acte une (petite) avancée : l’ouverture d’un poste de police, entraînant cependant la fermeture de celui de Valdegour, dans le quartier voisin.
Interrogé, l’ensemble des acteurs en convient, « la situation s’est calmée » même si le trafic perdure. Cette politique a-t-elle servi à reculer pour mieux sauter ? Tous les acteurs évoquent le volet de la prévention. D'ailleurs, le Conseil départemental et régional, après le drame, ont mis sur la table 120 000 € pour permettre l’embauche de trois médiateurs chargés d'aller à la rencontre des jeunes.
« Nous n’avons pas vu arriver la première vague de jeunes qui se sont mis à travailler dans le réseau. Nous avons besoin de prévention, de lieux permettant aux parents de demander de l’aide quand ils sentent que leur enfant décroche », pense Hicham Abderrazak. Le directeur des Mille couleurs, Raouf Azzouz, appelle à un sursaut des habitants et regrette, à l'instar de plusieurs acteurs du quartier, qu'il n'y ait pas eu de marche blanche pour Fayed.
À chaque règlement de comptes, « des jeunes viennent nous voir, car ils ont envie de s’en sortir », confiait le président d'Humanîmes, Ahmed El Hanbali. Même constat de Richard Tibérino qui reçoit les mineurs et leurs parents dans le cadre de sa mission de prévention contre la délinquance : « Il faut plus de moyens et notamment un soutien psychologique. »
Enfin, sur le volet habitat, la rénovation urbaine avance bien, selon l'adjoint chargé des Travaux, Olivier Bonné. Ce programme est synonyme de second souffle pour le quartier même si l’objectif, recréer de la mixité sociale, semble difficile à atteindre, Pissevin n’attirant pas de classes moyennes. Du mieux donc à Pissevin même si le défi reste immense, dépassant à ne pas s'y méprendre aux frontières du quartier. La mort d'un enfant de 10 ans, d'une balle perdue, ne laissant personne insensible.
Auteur : Mel_C  
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Date :    20-08-2024 16:52:06


ARCHIVES DEPARTEMENTALES DE NIMES :
Les archives anciennes de la Ville de Nîmes d'avant 1790 sont conservées aux archives départementales du Gard. Le fonds moderne de 1790 à 1982 et le fonds contemporain depuis 1983 sont consultables auprès du service des archives municipales et communautaires de Nîmes.
Les registres d’état civil sont conservés au service des Archives de septembre 1792 jusqu’à décembre 1920.Les registres après 1920 sont conservés à l'Etat civil.
Les Archives de Nîmes accompagnent et conseillent les services de la Ville et de Nîmes métropole dans leur démarche d'archivage. Il s'agit d'identifier les documents et de définir leurs modalités de versement. Les documents collectés par les Archives de Nîmes constituent les fonds publics mis à disposition du grand public.
La collecte des archives consiste à sélectionner parmi les documents produits ceux qui ont une fonction administrative nécessaire à son bon fonctionnement, ceux qui ont une fonction historique, ceux qui justifient les droits des personnes ou de la collectivité et qui ont une fonction de preuve. Une partie des documents n’est pas conservée et est détruite conformément aux dispositions réglementaires.
Les archives de Nîmes collectent également les archives privées sous forme de dons ou d’achats, ce qui permet de compléter les fonds publics.
Le classement est une opération de mise en ordre physique et intellectuelle qui est effectuée par le service des archives. Elle doit être le reflet des activités d’un producteur.
Les documents à conserver sont ordonnés et décrits dans un inventaire selon un plan de classement qui permet de coter ces derniers (attribution d’un identifiant unique). Ces documents sont ensuite rangés dans les magasins de conservation et sont disponibles à la consultation du public dans la salle de lecture et prêts à être valorisés. Ceux n’ayant aucun intérêt administratif et historique sont éliminés.
Le service des archives est le garant de la bonne conservation des documents qui peuvent avoir des formes et des supports physiques variés. Certains documents sont très anciens et nécessitent d’être manipulés avec précaution. Des opérations de restauration de registres ou documents anciens sont mises en œuvre chaque année.
Toute personne qui effectue des recherches dans différents domaines comme la recherche historique, administrative, juridique, ou généalogique peut les consulter gratuitement en salle de lecture.
Des particuliers mais aussi des professionnels (notaires, universitaires et journalistes) contactent régulièrement le service des archives pour leurs recherches.
La communication administrative est destinée aux services producteurs et/ou versant de la ville de Nîmes et de Nîmes métropole. Elle concerne surtout les archives intermédiaires pendant toute la durée de l’archivage intermédiaire. Ces dossiers mis en dépôt aux archives restent la propriété du service versant et relèvent de leur responsabilité.
Compte–tenu de l’intérêt de certains documents conservés, le service des archives peut mettre en valeur ces derniers par le biais de projets et d’évènements variés (expositions, ateliers éducatifs, conférences…).
L’ouverture au public se fait uniquement sur rendez-vous du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 14h à 17h. Renseignements par téléphone au 04 30 06 77 77. La consultation des archives a lieu uniquement en salle de lecture et sur rendez-vous. Les séances de travail sont fixées par plage de deux heures.

> Archives municipales au 22 bis rue Pradier 30 000 Nîmes.

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