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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-01-2025 20:19:27


LAC DE CONSTANCE (SUISSE) - Des os retrouvés à 210 mètres de profondeur, près de l’épave d’un avion

Une équipe associative suisse a annoncé dimanche avoir découvert samedi des restes humains lors de travaux sur l’épave d’un avion de Swissair qui s’est écrasé en 1957 dans le lac de Constance. La police locale a confirmé la découverte d’un « objet ressemblant à un os ».Il est possible que les restes proviennent des victimes du crash. L’appareil s’était écrasé dans le lac de Constance pour des raisons inconnues. Les corps de quatre des neuf membres d’équipage à bord n’ont toujours pas pu être récupérés.
La découverte réalisée par l’association a été transmise à l’Institut de médecine légale de Saint-Gall, a précisé la police cantonale, interrogée par Keystone-ATS. Des analyses sont en cours pour vérifier s’il s’agit bien de restes humains.
La situation dans le champ de débris au fond du lac est « chaotique », explique Silvan Paganini, président de l’association Schiffsberge, cité dans le communiqué. Par respect pour les victimes et leurs familles, l’association renonce à donner des informations détaillées sur cette découverte.
L’association Schiffsberge de Romanshorn a annoncé dimanche soir fait cette découverte à une profondeur de 210 mètres. Son équipe procédait ce week-end à la récupération du moteur du DC-3 HB-IRK de Swissair qui s’est écrasé le 18 juin 1957.
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-01-2025 20:21:29


VIOLENCES SEXUELLES - L’abbé Pierre visé par neuf nouvelles accusations dont un viol sur mineur :

L’abbé Pierre est visé par neuf nouvelles accusations de violences sexuelles, dont un viol sur mineur et des «abus incestueux», selon un rapport du cabinet spécialisé Egaé publié ce lundi.
«Les faits décrits se sont déroulés des années 60 aux années 2000, la plupart du temps en France et parfois à l’étranger», peut-on lire dans ce rapport qui porte à 33 le nombre de témoignages visant le prêtre décédé en 2007.
Une membre de la famille de l’abbé Pierre a indiqué à Egaé avoir subi de sa part des «contacts sexuels sur ses seins et sa bouche à la fin des années 1990». Un autre témoignage fait état d’un «acte sexuel avec pénétration sur un garçon mineur».
Les personnes qui témoignent vont de la «salariée d’un hôtel dans lequel séjournait» l’abbé Pierre, aux «soignantes travaillant dans des hôpitaux» où il était hospitalisé, à une volontaire pour un camp de jeunes ou une mission humanitaire, en passant par une membre de la famille ou encore à un hôtesse de l’air.
Il s’agit du troisième rapport du cabinet mandaté par Emmaüs International, Emmaüs France et la Fondation Abbé Pierre pour faire la lumière sur les agissements de l’abbé Pierre, de son vrai nom Henri Grouès.
En juillet 2023, la première salve de révélations basées sur sept témoignages avait provoqué une onde de choc tant l’abbé Pierre, défenseur inlassable des mal-logés et des plus démunis, a longtemps fait figure d’icône.
En septembre, un second rapport contenant 17 nouveaux témoignages avait conduit la Fondation Abbé Pierre à annoncer sa décision de changer de nom et Emmaüs à fermer définitivement le lieu de mémoire dédié au prêtre situé à Esteville (Seine-Maritime).
Les derniers témoignages «ne permettent absolument pas de dresser un état des lieux exhaustif des comportements de l’abbé Pierre», insiste le cabinet Egaé dans son rapport, faisant état «d’autres témoignages, parfois anonymes ou incomplets».
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-01-2025 20:25:07


DÉCÈS DE OLIVIERO TOSCANI (82 ans), PHOTOGRAPHE DE LA PROVOCATION

Le photographe de la lumière, de la couleur, de la créativité, toujours hors des sentiers battus, Oliviero Toscani, est décédé ce lundi à l’âge de 82 ans à l’hôpital de Cecina. Il y avait été admis le 10 janvier après l’aggravation de son état de santé.
«C’est avec une immense tristesse que nous annonçons la nouvelle qu’aujourd’hui, 13 janvier 2025, notre Oliviero bien-aimé a entamé son prochain voyage», annonce un communiqué signé par sa femme Kirsti et ses enfants à l’agence ANSA.
Il souffrait d’amylose depuis deux ans, comme il l’avait révélé dans une interview choc au «Corriere della Sera» le 28 août. Il avait perdu 40 kg en un an et suivait un traitement expérimental.
Oliviero Toscani doit sa célébrité à ses campagnes pour la maison de mode italienne Benetton, aussi cultes que controversées. À Zurich (Suisse), il était allé visiter fin septembre l’exposition «Photographie et provocation» au Musée du design (Museum für Gestaltung) pour l’une de ses dernières apparitions en public. Il s’est formé à l’École d’arts appliqués de Zurich.
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-01-2025 20:27:29


PROCÈS DE NICOLAS SARKOZY :
De l’argent étranger pour financer sa campagne de 2007? «Je n’en avais pas besoin»: «les meetings débordaient», «les soutiens se pressaient», a fermement balayé lundi Nicolas Sarkozy à son procès pour corruption à Paris, décrivant l’engouement «exceptionnel» qu’avait suscité sa candidature à la présidentielle.
Assis sur sa chaise depuis le début de l’audience qui a vu l’audition d’un témoin cité par ses avocats, l’ancien président est trop heureux de prendre la parole quand la présidente l’invite à la barre en milieu d’après-midi.
Nicolas Sarkozy est jugé, depuis le 6 janvier et jusqu’au 10 avril, aux côtés de onze autres prévenus, pour des soupçons de financement de sa campagne présidentielle 2007 par le dictateur libyen Muammar al-Kadhafi, en échange de contreparties.
Au premier jour des interrogatoires, Nathalie Gavarino revient sur la carrière politique de l’ancien locataire de l’Élysée qui a dit avoir commencé, dès son élection à la mairie de Neuilly en 1983, à se bâtir une «stature présidentielle».
«Je voulais faire de la politique au plus haut niveau, je m’imaginais pouvoir me bâtir un destin et j’y ai consacré ma vie jusqu’à très exactement 2016», déclare l’ancien président, 69 ans, en costume et cravate noirs.
«Très tôt, les observateurs trouvaient que j’étais un peu différent des autres et me prêtaient des ambitions dont je rêvais moi-même […]. Dès mon adolescence, c’était un rêve, une volonté, et après, la vie dispose», poursuit-il avec gourmandise.
Avec des grands gestes, il se plie de bonne grâce à confirmer les grandes étapes de son CV, évoquant dans une réponse son «énergie quand il était jeune» – «Vous n’en manquez pas», l’interrompt la présidente. «Alors, imaginez à 21 ans!» réplique-t-il.
Élection comme député en 1988, entrée au gouvernement en 1993, épisode de la prise d’otages de Neuilly qui le fait connaître au niveau «national», rupture avec son mentor Jacques Chirac pour la campagne malheureuse d’Edouard Balladur… la présidente remonte le fil de son ascension, jusqu’à son entrée au gouvernement en 2002, son élection à la tête de l’UMP deux ans plus tard sur fond de guerre avec les chiraquiens, et enfin son investiture pour la présidentielle en 2007.
«À quel moment vous avez songé au financement?» lui demande Nathalie Gavarino.
«Jamais, parce que ça n’a jamais été un problème. À partir du moment où je suis devenu président de l’UMP, le parti n’a cessé d’engranger des milliers de soutiens, il y avait 335’000 adhérents. J’avais le vent en poupe, les soutiens se pressaient, les militants, c’était à un niveau que personne n’a jamais obtenu, les meetings débordaient de monde», débite le prévenu, précisant avoir même installé au siège du «premier parti de France» une «machine» qui affichait «en temps réel» les nouvelles adhésions.
Tout au plus se rendait-il aux «déjeuners ou dîners de levée de fonds» organisés par «toute l’équipe autour d’Eric Woerth». «Je n’ai jamais choisi un prestataire de ma campagne ni rencontré un prestataire de ma campagne», ajoute-t-il, tenant à se distinguer d’emblée du trésorier de sa campagne, lui aussi prévenu mais absent lundi.
«Je n’étais pas à la tête d’une secte ou d’un clan, mais d’un vaste mouvement populaire, ma majorité allait de Philippe de Villiers à Bernard Kouchner, c’est immense!» insiste-t-il.
«Donc, vous n’avez pas la tentation d’aller demander de l’argent à un chef d’État étranger fin 2006?» relance la magistrate.
«Je ne suis pas un fou»
«Non. Un: je n’en avais pas l’idée, je ne suis pas un fou. Deux: je n’en avais pas le besoin. Trois: il y a des tas de chefs d’État que je connaissais, car j’étais un ministre de l’Intérieur qui n’a cessé de voyager», poursuit-il.
Les questions passent ensuite sur ses relations avec deux autres coprévenus assis derrière lui: Claude Guéant, son «collaborateur le plus proche», et Brice Hortefeux, un «grand ami» rencontré lors d’un meeting où le futur président avait pris la parole alors qu’ils avaient à peine 20 ans.
«Il me dit «je veux être avec vous» […], je lui donne rendez-vous dans un drugstore trois jours après pour prendre une glace, et on est devenus amis», ajoute Nicolas Sarkozy.
Auteur : Mel_C  
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Date :    13-01-2025 20:31:58


ESCROQUERIE - Elle croit mener une idylle avec Brad Pitt et se fait escroquer de 830願 euros :
Anne, une femme de 53 ans, a été victime d’une arnaque sentimentale en ligne qui lui a fait perdre plus de 800 000 euros. Pendant un an et demi, elle pensait avoir une liaison avec Brad Pitt, monté de toutes pièces via l’intelligence artificielle. Elle est, depuis, hospitalisée pour dépression grave. Anne, une femme de 53 ans, a été victime d’une arnaque sentimentale en ligne pendant un an et demi. Elle pensait avoir une liaison avec Brad Pitt, à qui elle a versé 830 000 euros au total.
En réalité, le "Brad Pitt" de son répertoire, n’était autre qu’une arnaque rondement menée à travers des contenus générés par l’intelligence artificielle.
> Dans un reportage pour Sept à huit sur TF1, Anne revient sur cette tragique histoire et les rouages psychologiques employés par les brouteurs. À l’époque, et malgré les avertissements de sa fille, Anne tombe sous le charme d’un Brad Pitt romantique et qui "savait parler aux femmes". Elle est alors mariée à un entrepreneur millionnaire de 19 ans son aîné, mais son couple bat de l’aile.
Parfois il vaut mieux croire au Père Noël !!!
Auteur : Mel_C  
1550/2585

Date :    13-01-2025 20:40:31


RESTOS DU COEUR :
> "Nous sommes en présence d’un trop grand nombre de personnes en difficulté" , telle est l’alerte lancée par le président des Restos du cœur
Les Restos du cœur vont toujours face à une hausse des demandes. Entretien avec le président de l’association, Patrice Douret, présent à Montpellier pour les concerts solidaires des Enfoirés prévus du 14 au 20 janvier à la Sud de France Arena.
Auteur : Mel_C  
1551/2585

Date :    13-01-2025 20:49:31


CHU DE MONTPELLIER - Un Montpelliérain décède au CHU après trois passages aux urgences en cinq jours, sa mère accuse :

Quand il arrive aux urgences du CHU de Montpellier la première fois, François, 40 ans, se plaint de nausées et de douleurs au ventre insupportables. "Sa prise en charge se fait dans les règles de l'art" se rappelle sa mère. Le lendemain, il sent qu'il va mieux et, contre l'avis des médecins, demande à sortir. Sur le procès-verbal de décharge, les risques médicaux liés à sa sortie "prématurée" sont indiqués : "trouble du rythme cardiaque, décès".
Déborah Monaco, sa mère, ne comprend pas qu'on l'ait laissé partir aussi facilement, sachant que son fils était schizophrène, suivi dans le même CHU depuis 2020, à la Colombière. "Avec sa pathologie, il minimisait tout. Ils auraient dû avoir un doute sur son discernement et consulter son psychiatre, mais ils ne l'ont pas fait" croit-elle savoir.
À peine un jour plus tard, le 30 octobre 2023, l'état physique de François se dégrade à nouveau. Retour aux urgences où il fait quelques analyses, mais il n'est pas hospitalisé. "On m'a dit : 'il est sorti contre avis médical donc on ne le reprendra pas'" soutient Déborah Monaco dont le fils "très très faible, tenait à peine debout et vomissait abondamment".
Le 4 novembre, François retourne aux urgences pour la troisième fois en seulement cinq jours. "Agonisant, il souffrait atrocement" se désole sa mère. Depuis son lit, il lui donne de ses nouvelles, "il m'appelle et me dit : 'Maman, j'ai trop mal, je sais que je ne vais pas m'en sortir cette fois-ci, je te dis au revoir, je t'aime'". À l'évocation de coup de fil, les yeux de Déborah Monaco s'embrument.Anéantie par le décès de son fils, elle pointe du doigt sa prise en charge au service des urgences. "On a déshumanisé mon fils. C'était un cas, pas une personne, mais François était un patient avec des besoins spécifiques". Elle a saisi la CCI, la Commission de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux, qui n'a toujours pas rendu son avis. Déborah Monaco n'exclut pas de porter plainte au pénal.
> Contacté par France Bleu Hérault, le CHU de Montpellier se refuse à tout commentaire en invoquant le secret médical. Il rappelle que "les patients et/ou leurs proches peuvent solliciter le service chargé des relations avec les usagers de tout dysfonctionnement perçu dans la prise en charge". Cette fois, son fils est admis au DAR, le Département d'anesthésie et de réanimation. Coma, infarctus, choc septique, défaillance sévère de plusieurs viscères, hémorragie... En 15 jours, François passe à six reprises au bloc opératoire. "On nous a informé qu'il n'y avait plus rien à faire pour lui et qu'on devait le laisser partir" conclut sa mère.
Auteur : Aigle 
1552/2585

Date :    14-01-2025 06:49:58


Culture
L’artiste Marjane SATRAPI
REFUSE la Légion d’honneur en raison de l’« attitude hypocrite de la France vis-à-vis de l’Iran »
La dessinatrice et réalisatrice franco-iranienne dit ne pas comprendre « la politique de la France vis-à-vis de l’Iran », notamment dans l’attribution de visas.

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