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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
1569/2585

Date :    15-01-2025 19:54:52


THAÏLANDE :
La première ministre thaïlandaise Paetongtarn Shinawatra a confié mercredi avoir été la cible d’une tentative d’escroquerie par téléphone, comme n'importe quel citoyen. La pratique est courante en Asie du Sud-Est.
La cheffe du gouvernement a déclaré aux journalistes avoir reçu des messages audios d’une voix modifiée par l’intelligence artificielle, qui prétendait être celle d’un dirigeant connu d’un pays étranger. Le prétendu chef d'État lui demandait de faire une «donation». Les escrocs ont même tenté de l’appeler, a-t-elle expliqué.
Dans un message audio, «la voix disait que la Thaïlande était le seul pays de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (Asean) à n’avoir pas encore effectué de donation», a-t-elle décrit.
«Après l’avoir écoutée, je me suis dit que ce n’était pas normal», a-t-elle poursuivi. Un SMS renvoyait vers un compte en banque situé hors de la Thaïlande, en vue d’un transfert d’argent. «Mes soupçons sont devenus certitude quand j’ai vu ça», a-t-elle affirmé.
Paetongtarn Shinawatra, 38 ans, est la fille de l’ancien premier ministre et milliardaire, Thaksin Shinawatra. Elle a dévoilé une fortune personnelle de près de 375 millions de francs suisses, dans une déclaration d’intérêts publiée début janvier.
Les activités d’arnaques en ligne sont légion en Asie du Sud-Est, et génèrent des milliards de dollars, dans des conditions échappant à toute régulation.
Les réseaux mafieux évoluent rapidement et utilisent l’intelligence artificielle générative, des logiciels malveillants et des «deepfakes» pour poursuivre leur expansion, a noté un rapport du bureau régional de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, publié en octobre.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 19:55:51


PEOPLE :
Guillaume Canet, amoureux depuis 2007 de Marion Cotillard, s'est confié sur le traitement médiatique dont est victime leur relation. «Comme tous les couples, on traverse des périodes que la presse people ne s’est pas empêchée de souligner. Ce n’est pas forcément toujours dans les bonnes périodes, parfois ils ont quatre ou cinq mois de retard et arrivent avec des histoires pas possibles, nous prêtant des relations avec d’autres… » a rapporté l'acteur français de 51 ans dans le podcast «Legend».
Il a raconté un épisode qui illustre sa réaction quand les bornes sont largement dépassées: il y a quatorze ans, un paparazzi a escaladé le mur de sa maison pour prendre des photos de son bébé qui venait de naître. «Ça part loin, parce que moi je deviens fou, je vois rouge. Ça part en baston et tu finis avec les gendarmes le jour de la naissance de ton fils, tu n’as pas envie de ça», a-t-il expliqué.
Guillaume Canet et Marion Cotillard ont deux enfants: un garçon, Marcel, le 19 mai 2011 et une fille, Louise, le 10 mars 2017.
Le réalisateur d'«Astérix et Obélix: L'Empire du Milieu» est à l'affiche d'«Ad vitam», un polar produit, coécrit et interprété par le comédien mis en ligne sur Netflix le 10 janvier.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 19:57:11


Décès de la veuve de Sacha Distel, à 90 ans
Francine Distel est décédée des suites d'une complication cardiaque à 90 ans, le 29 décembre. Elle a été l'épouse durant quarante-deux ans du crooner Sacha Distel, qui a été emporté par un cancer à 74 ans en 2004. Ses obsèques ont eu lieu le 9 janvier en l’église Saint-Jean-Baptiste, à Megève, où elle vivait, rapporte «Le Figaro».
C'est dans la station du sud-est de la France que le couple s'est rencontré en 1962 avant de se marier un an plus tard. Ils auront deux fils: Laurent, né en 1964, et Julien, en 1967. Francine Distel née Bréaud a pratiqué le ski à très haut niveau: elle a été championne de France et elle a été sélectionnée pour les Jeux olympiques. Elle est aussi l'une des rares skieuses françaises à avoir fait la couverture de «Sports Illustrated» (décembre 1961).
Selon les dernières volontés de Francine Distel, ses cendres seront réparties pour moitié au sommet d’une piste de ski face au Mont Blanc, pour l’autre, disposée dans le domaine familial du Rayol, face à la Méditerranée, dans la crypte où repose Sacha Distel.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-01-2025 20:02:10


ROUEN - Elle fonce sur des cyclistes et est arrêtée avec des armes :
Elle détenait des armes dans son véhicule et tenait des propos incohérents: une automobiliste a été placée en garde à vue après avoir percuté mardi à Rouen plusieurs cyclistes, tuant l’une d’entre elles, et elle doit faire l’objet d’une expertise psychiatrique.
La conductrice, en délit de fuite, a été interpellée à Buchy, à une trentaine de kilomètres au nord de Rouen, et placée en garde à vue après avoir percuté trois cyclistes dans le centre-ville, a indiqué le procureur de la République de Rouen Sébastien Gallois. La troisième victime, dans le coma, est décédée «en milieu de journée».
La femme au volant de la camionnette, née en 1977, n’était pas en état d’ivresse au moment de son interpellation, mais a tenu des «propos incohérents sans connotation idéologique ou religieuse» et fait part «d’intentions suicidaires» lors de sa garde à vue, d’après le parquet.
Des analyses pour déterminer une éventuelle consommation de drogues doivent être menées. Une expertise psychiatrique sera effectuée dans un «bref délai» sur cette conductrice inconnue des services de police.
Quatre armes de catégorie C (armes à feu nécessitant un permis) ou D (qui peuvent être achetées et détenues librement sous conditions, par exemple bombe lacrymogène ou arme de collection) ont été retrouvées dans le véhicule, a expliqué le procureur sans plus de précisions. Le magistrat a souligné que «c’est son employeur, constatant son départ avec le véhicule peu avant les faits», qui a donné l’alerte.
«À 8 h 45, un véhicule de type utilitaire percutait par l’arrière un cycliste sur la rue de la République», a précisé M. Gallois, «puis plus loin deux autres sur la voie du Teor (bus de l’agglomération rouennaise) rue Alsace-Lorraine à Rouen». Cette rue de l’hyper-centre de Rouen est à double sens pour les bus Teor mais à sens unique sur une seule file pour les voitures et les vélos.
Des policiers municipaux ont alors poursuivi le véhicule, puis les gendarmes, «en contact téléphonique avec la conductrice, avaient pris le relais», a retracé le procureur.
La police judiciaire (PJ) de Rouen, chargée de l’enquête ouverte pour meurtre, tentative de meurtre, refus d’obtempérer aggravé, transport irrégulier d’armes, doit encore entendre de «nombreux témoins» et exploiter les bandes de vidéosurveillance.
Au moins trois autres personnes, «un cycliste, un piéton et un conducteur, ainsi que des policiers municipaux» ont été «mis en danger» durant la course poursuite entre les forces de l’ordre et l’automobiliste.
Un riverain interrogé par l’AFP a raconté avoir entendu «des cris importants venant de la rue Alsace-Lorraine» et vu «un attroupement d’une dizaine de passants réunis autour d’une personne à terre inanimée» à côté d’un vélo. Ce témoin a vu des voitures de police arrivant «de chaque coin de rue et repartant à toute allure, dans une scène de course poursuite», avant l’arrivée des secours.
> Le maire (PS) de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, a exprimé sur le réseau social X un «effroi absolu» et remercié les services de secours.
Auteur : Mel_C  
1573/2585

Date :    15-01-2025 20:07:09


JUGEMENT EN NORVEGE - Air France déclarée coupable de discrimination sexuelle...

La compagnie aérienne Air France a été reconnue coupable de discrimination sexuelle en Norvège après avoir demandé à un passager de changer de siège afin de ne pas être assis à côté de mineurs non accompagnés. Le risque d’agression sexuelle a été évoqué et la demande n'aurait pas été faite si le passager avait été une passagère.
Dominique Sellier a saisi le Diskimineringsnemnda, la Commission norvégienne de lutte contre les discriminations. L’équipage d’un vol Oslo-Paris le 27 octobre 2022 lui a demandé, avant le décollage, d’échanger son siège avec une passagère au motif qu’il ne pouvait être assis à côté de deux enfants voyageant seuls.
Lors de l’examen de l’affaire, l’avocat de la compagnie française a justifié ce changement de sièges par le règlement intérieur du transporteur et argué que les hommes représentaient 97,93% des auteurs des crimes et délits sexuels suspectés.
«C’était une situation pas très agréable», a témoigné M. Sellier mardi auprès de l’AFP. «Les passagers autour me regardaient, car ils attendaient que le changement de places soit effectué pour qu’on puisse décoller».
«Il y a peut-être une part de projection, mais j’ai interprété certains regards comme disant "ce gars n’est pas net"», a-t-il expliqué.
Selon la décision de la Commission anti-discrimination dont l’AFP a obtenu copie, le règlement intérieur d’Air France stipule qu’en cas de vol complet, ce soit «de préférence» une femme qui soit assise aux côtés de mineurs non accompagnés.
Sollicitée par l’AFP, Air France, par la voix de son avocat, n’a pas souhaité faire de commentaire à ce stade.
Selon le compte rendu d’audience, la compagnie a tenté de remettre en question la compétence de l’instance norvégienne dans cette affaire, faisant valoir que l’épisode s’était produit à bord d’un appareil qui n’était pas immatriculé en Norvège.
À titre subsidiaire, elle a aussi affirmé qu’il s’agissait d’une différence de traitement légale, justifié par la nécessité d’assurer la sécurité de mineurs non accompagnés contre le risque de «trafic et autres formes de violences et agressions».
«Comment peut-on accepter ce type de suspicion parce qu’on appartient au genre masculin? C’est une essentialisation des hommes qui me semble aller un peu trop loin», réagit Dominique Sellier.
Bien qu’ayant obtenu gain de cause devant le Diskrimineringsnemnda constitué de trois juristes, le plaignant dit n’avoir reçu ni dédommagement ni excuses.
Pendant le vol, «j’ai juste eu un verre de champagne dans un gobelet en carton», a-t-il confié.
Auteur : Mel_C  
1574/2585

Date :    15-01-2025 20:10:08


PARIS - Policier poursuivi pour avoir frappé à mort un homme menotté ...
Un policier a été mis en examen le 11 janvier, soupçonné d’avoir mortellement frappé à coups de poings au visage un homme de 48 ans, qui était menotté, lors de son interpellation après une rixe en août 2023 à Paris.
Le gardien de la paix, Théo M., 28 ans désormais, est poursuivi pour violences volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner, a indiqué lundi le parquet de Paris, confirmant une information de «Libération».
Il a été placé sous contrôle judiciaire «avec interdiction d’entrer en contact avec ses co-auteurs ou complices, les témoins de l’infraction et la famille de la victime et d’exercer son activité de fonctionnaire de police sur la voie publique», a précisé le parquet.
Contacté, son avocat Me Laurent-Franck Liénard n’a pas donné suite.
Tamer M., né en Israël et Palestinien, selon «Libération», avait été interpellé par des policiers le 17 août 2023, vers 3 h 30, à proximité de la gare de l’Est après une rixe avec plusieurs personnes.
Selon l’exploitation des caméras de vidéosurveillance, il avait tenté de frapper les protagonistes de la rixe avec un tournevis. Un premier homme, non identifié, «l’avait saisi par le cou pour l’écarter brutalement», un deuxième «avait porté un coup de poing au côté gauche de Tamer M. et un troisième homme, manifestement armé lui-même d’un couteau, lui avait porté un coup au niveau des jambes».
Tamer M. avait été maitrisé par des agents de sûreté de la RATP. Il «avait été amené au sol après clef de bras de l’un des agents, selon plusieurs témoins qui n’avaient pas constaté de blessures apparentes sur sa personne», a détaillé le parquet.
À l’arrivée de la patrouille de police, «virulent», et «manifestement ivre, il avait été menotté et installé à l’arrière du véhicule de police», selon le parquet.
Le policier avait expliqué que Tamer M., assis à côté de lui, «lui avait porté un coup de tête, lui occasionnant quatre jours d’ITT» (incapacité totale de travail). Il l’avait «repoussé puis lui (avait) porté plusieurs coups de poing au visage», selon la même source.
Selon le parquet, lors de son audition, «une autre membre de l’équipage» avait soutenu que Tamer M. «s’était frappé la tête contre la portière, et avait tenté (de) porter des coups au gardien de la paix assis à côté de lui ; elle l’avait repoussé de la main».
Les deux policiers l’avaient ensuite conduit au commissariat du 10e arrondissement et, selon leurs déclarations, «Tamer M. s’était endormi et avait ronflé pendant le trajet».
Il ne s’était pas réveillé à son arrivée au poste de police et présentait «des plaies saignantes» au visage. «Il avait été conduit à l’hôpital Lariboisière, où un état de coma avait été constaté», a poursuivi le ministère public.
Son état avait empiré et il est mort une semaine plus tard, le 24 août 2023. «L’autopsie avait conclu à un «décès par traumatisme crânio-facial grave», selon le parquet.
Le parquet de Paris avait ouvert une enquête puis une information judiciaire le 31 août 2023, confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Les témoins entendus dans le cadre de cette information judiciaire «ont confirmé l’absence de violences commises par les agents RATP», a précisé le parquet.
Selon «Libération», la famille ou les proches de la victime n’ont pas été retrouvés.
Plusieurs affaires de violences policières ont été révélées ces dernières années, notamment lors des manifestations des «gilets jaunes».
La mort du jeune Nahel, 17 ans, tué le 27 juin 2023 par un policier lors d’un contrôle routier à Nanterre (Hauts-de-Seine) avait relancé en France le débat sur les violences policières et causé plusieurs nuits de graves violences urbaines dans de nombreuses villes.
Dans un autre dossier devenu emblématique, celui de la mort de Cédric Chouviat, des juges d’instruction ont ordonné le 17 décembre que trois policiers soient jugés par le tribunal correctionnel de Paris pour homicide involontaire. Ils sont accusés d’avoir eu un «comportement non adapté, négligent et imprudent» menant à la mort du livreur, qui avait pourtant répété «J’étouffe» lors de son interpellation en janvier 2020.
Auteur : Mel_C  
1575/2585

Date :    15-01-2025 20:11:36


LONDRES - Une nouvelle enquête sur Jack l’éventreur réclamée :

La descendante d’une victime de Jack l’éventreur a demandé une nouvelle enquête, des analyses ADN ayant relancé les spéculations sur le plus célèbre tueur en série de l’Histoire, qui a sévi dans l’est de Londres à la fin du XIXe siècle.
Les meurtres effroyables de Jack l’éventreur ont terrorisé en 1888 les habitants du quartier pauvre de Whitechapel, dans l’est de Londres. Sa véritable identité est longtemps restée mystérieuse: les noms de dizaines de suspects, y compris de membres de la famille royale et de premiers ministres, ont été avancés.
Mais en 2014, l’auteur britannique Russell Edwards a affirmé avoir percé le mystère, grâce à des traces ADN retrouvées sur un châle provenant de la scène de crime de la quatrième victime du tueur, Catherine Eddowes, assassinée le 30 septembre 1888.
Jack l’éventreur serait, selon lui, Aaron Kosminski, un émigré juif venu de Pologne qui travaillait comme barbier, et déjà considéré comme l’un des principaux suspects. Le vêtement aurait été à l’époque récupéré par un policier qui voulait le donner à sa femme. Cette dernière refusant de le porter, le châle est resté en l’état, dans une boîte, avant de rejoindre le musée du crime de Scotland Yard.
Catherine Eddowes était une femme de 46 ans, qui se prostituait occasionnellement. Son corps éviscéré avait été découvert, la gorge tranchée, le visage mutilé. Russell Edwards a demandé l’ouverture d’une enquête sur le meurtre, appuyé par une descendante de Catherine Eddowes, Karen Miller.
Jack l’éventreur «est entré dans l’Histoire comme un personnage célèbre», a-t-elle souligné dans une interview au «Daily Mail» publiée lundi. «Les gens ont oublié les victimes qui n’ont pas obtenu justice à l’époque. Maintenant, nous avons besoin de cette enquête pour nommer légalement le tueur», a ajouté Karen Miller.
Aaron Kosminski est né à Klodawa dans le centre de la Pologne en 1865. Sa famille s’était installée dans l’est de Londres dans les années 1880 et il vivait près des lieux où les crimes ont été commis, près des docks de la ville. Mais à peine publiée, la thèse de Russel Edwards avait fait l’objet de critiques.
En 2023, l’arrière-arrière-petite-fille d’un policier britannique qui avait enquêté sur Jack l’éventreur avait d’ailleurs, elle aussi, affirmé avoir découvert l’identité du tueur en série. Elle avait désigné comme étant Jack l’éventreur Hyam Hyams, fabricant de cigares, épileptique et alcoolique qui a fait plusieurs séjours à l’asile.
Auteur : Mel_C  
1576/2585

Date :    15-01-2025 20:12:44


BELGIQUE :
On ignore toujours ce qui a déclenché ce drame jeudi dans un élevage familial de Quévy, en Blegique. Alors que la propriétaire nourrissait ses Malamutes de l'Alaska avec son fils de 7 ans, qui avait pourtant l'habitude de faire cela avec sa maman, cinq des chiens se sont précipités sur lui et l'ont grièvement blessé. La mère est parvenue à reprendre le contrôle, mais son enfant est décédé de ses blessures en arrivant à l'hôpital, écrit DH.
Les cinq animaux concernés, qui ont moins d'un an, ont été vus par deux vétérinaires comportementalistes, qui ont estimé qu'ils présentaient un danger pour la sécurité publique. Avec l'accord de la famille, ils ont été euthanasiés samedi.
L'enquête sur les circonstances de la mort se poursuit. Une cérémonie en mémoire de l'enfant a eu lieu ce lundi dans son école et un compte bancaire de soutien à la famille a été ouvert.

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