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Bric à brac
Auteur : Aigle 
1705/2232

Date :    09-01-2025 07:14:59


tu es vraiment incroyable .... Quel Humour
Auteur : Aigle 
1706/2232

Date :    09-01-2025 07:16:31


Montréal
Gilbert Rozon, le triste sire de l’humour québécois
Le fondateur du célèbre festival montréalais Juste pour rire est poursuivi par neuf femmes qui l’accusent de violences sexuelles.
Son procès au civil, second volet d’une affaire ayant éclaté en 2017, se tient jusqu’au 27 mars.
Auteur : Aigle 
1707/2232

Date :    09-01-2025 07:19:32


Emmanuel Macron
exhorte les responsables des cultes à être des « ambassadeurs de fraternité »
Selon plusieurs participants, le président de la République a aussi demandé à faire la pédagogie de la « laïcité à la française », mercredi, lors de la cérémonie des vœux aux autorités religieuses.
Auteur : Aigle 
1708/2232

Date :    09-01-2025 07:42:32


Accusé de violences conjugales par deux femmes,
Stéphane Plaza était jugé mercredi au tribunal correctionnel de Paris. L'animateur vedette nie les faits qui lui sont reprochés.
Auteur : Aigle 
1709/2232

Date :    09-01-2025 12:49:48


Hayat Boumeddiene, veuve d’Amedy C... "serait toujours en vie" en Syrie, selon le Parquet national antiterroriste
Hayat Boumeddiene a été condamnée pour "association de malfaiteurs terroriste" et "financement" du terrorisme lors du procès des attentats de janvier 2015.
"Protégée" par Bachar al-Assad.....elle résiderait dans la province d'Idlib auprès du groupe rebelle islamiste HTC qui dirige aujourd'hui la Syrie ... Continuera-t-il à la protéger ? ? ?....
Auteur : Mel_C  
1710/2232

Date :    10-01-2025 00:21:59


Post n° 1811/1811
Date : 09-01-2025 12:49:48

Hayat Boumeddiene, veuve d’Amedy C... "serait toujours en vie" en Syrie, selon le Parquet national antiterroriste
Hayat Boumeddiene a été condamnée pour "association de malfaiteurs terroriste" et "financement" du terrorisme lors du procès des attentats de janvier 2015.
"Protégée" par Bachar al-Assad.....elle résiderait dans la province d'Idlib auprès du groupe rebelle islamiste HTC qui dirige aujourd'hui la Syrie ... Continuera-t-il à la protéger ? ? ?....

---> Cela te gêne visiblement beaucoup de mentionner le nom complet de ... Amedy Coulibaly ! Terroristes, nazis, tortionnaires, ... : quoi qu'ils aient fait, certains individus gardent et garderont TOUJOURS leur nom de famille : et c'est tant mieux car l'Histoire pourra se souvenir d'eux comme des monstres.
Auteur : Mel_C  
1711/2232

Date :    10-01-2025 00:33:38


VAUCLUSE - "moitié garçon, moitié fille" : leur bébé a besoin d'être opéré, un texte sur le genre bloque tout :

Andrea est un bébé de trois mois qui souffre d'une malformation. Son urètre se trouve en dessous de ses testicules et il a un micropénis. Il souffre d'hypospadias. Ses parents aimeraient le faire opérer mais ils font face à un arrêté du 15 novembre 2022. Impossible de pratiquer une chirurgie sans le consentement de l'enfant. Or, c'est un bébé. Et attendre engendrerait plus de souffrances d'après Jérémy, le père d'Andrea.
L'histoire d'Andrea a commencé dans le ventre de sa mère, Mélanie. Les médecins lui annoncent qu'elle attend une fille. Puis Mélanie tombe malade et doit procéder à une amniocentèse pour vérifier que tout va bien. Les médecins constatent alors une discordance entre l'échographie et le caryotype du fœtus. Il a le chromosome XY, c'est donc un garçon mais sa croissance est faible.

« On a été redirigés vers cinq hôpitaux différents et une douzaine de médecins pendant la grossesse jusqu'à ce qu'un échographe pose le diagnostic de l'hypospadias. »
Jérémy, association "hypospadias, mon fils ma bataille"

Le père d'Andrea, Jérémy, précise qu'ils ont dû attendre que le bébé urine dans le ventre de sa mère pour voir d'où l'urine provenait et pouvoir déceler cette malformation. L'hypospadias touche un enfant sur 300 mais elle peut prendre des formes totalement différentes d'un bébé à l'autre, avec des niveaux de gravité variables.
Andrea souffre de l'une des formes les plus graves. "Son sexe ressemble à moitié à celui d'un garçon, à moitié à celui d'une fille, mais il est garçon à 100%", développe Jérémy. À la naissance, Andrea a été soumis à différents tests. Ses taux de testostérone et d'AMH sont ceux d'un garçon de son âge. "Ses hormones, ses chromosomes et son physique sont masculins" souligne Jérémy. Après analyses, les professionnels de la santé ont expliqué aux parents que la cause n'était pas génétique. "On nous a dit que c'était souvent lié à l'environnement : les perturbateurs endocriniens, les usines, les pesticides...", rapporte Jérémy. Originaire de la Haute-Marne, le couple s'est installé dans le Vaucluse juste avant la naissance de leur fils.

>>> Que dit la loi ?

Concrètement, ces parents aimeraient faire opérer leur bébé. Il s'agirait de "prendre la peau du prépuce et reconstruire l'urètre qui n'est pas placé au bon endroit en plus d'obtenir des hormones de croissance pour faire croître son organe génital", détaille Jérémy. Une opération qui était possible avant 2022.
Mais l'arrêté du 15 novembre 2022 fixant les règles de bonnes pratiques de prise en charge des enfants présentant des variations du développement génital, empêche cette chirurgie. Il précise : "l'enfant participe à la prise de décision selon son degré de maturité. Son consentement à l'acte médical et au traitement doit être systématiquement recherché s'il est apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision". Jérémy et Mélanie doivent donc attendre que leur enfant soit en âge d'exprimer sa volonté afin qu'il participe à cette décision.

« Une étude explique que 40% des personnes qui souffrent de cette malformation et se font opérer à l'âge adulte développent des problèmes psychologiques par la suite. J'ai moi-même discuté avec un homme de 30 ans opéré adulte et qui a developpé une dépression. »
Jérémy, co-fondateur de l'association "hypospadias, mon fils ma bataille"

Or, pour Jérémy, attendre présente des risques : "psychologiques, sociaux, identitaires, de harcèlement à l'école". "Mon médecin m'a dit qu'il y avait un risque que les tissus ne se réparent pas et qu'il connaisse des infections récidivantes si on opère après 18 mois", assure le père d'Andrea. Juridiquement, un arrêté n'est pas une loi. Il n'y a donc aucune interdiction. Mais la recommandation de ne pas intervenir sans l'accord de l'enfant est largement respectée par les experts lors des RCP (les réunions de concertation pluridisciplinaires), à qui revient le pouvoir de décision, d'après Jérémy.

>>> Un combat apolitique

Pour tenter de se faire entendre, Jérémy a co-fondé l'association "hypospadias, mon fils ma bataille". Il récolte des témoignages, aide des familles dans son cas et demande un soutien financier. Il a publié une cagnotte en ligne dans le but de récolter des fonds pour porter son combat en justice. "L'avocat me demande 1 500 euros juste pour étudier le dossier", précise Jérémy. Il recherche également des cas de bébés opérés avant cet arrêté de novembre 2022 afin de tenter de faire jurisprudence.

« Le but est de pouvoir faire avancer les choses tout en gardant cet arrêté, on laisse le droit aux personnes de choisir mais pour nos enfants qui sont nés avec un genre déterminé, c'est notre rôle de les aider. »
Jérémy, association "hypospadias, mon fils ma bataille"

Toutefois, il tient à préciser que son combat est apolitique. "On ne veut absolument pas annuler cet arrêté parce qu'on comprend le combat des personnes qui se sentent enfermées dans leur corps mais je ne comprends pas pourquoi ils ont englobé nos enfants", tient à détailler Jérémy. Il demande un ajout à cet arrêté, intégrant la situation de ces bébés. Il souhaite inclure cet alinéa : "les enfants atteints d’hypospadias ne relèvent pas des dispositions relatives au changement de sexe ou à la reconnaissance des personnes non genrées."L'hypospadias n’est pas une question d’identité. C’est une malformation congénitale", argumente Jérémy.

> Jérémy a contacté la députée de son département de Vaucluse, Marie-France Lorho (RN). Il espère obtenir gain de cause.
Auteur : Mel_C  
1712/2232

Date :    10-01-2025 00:39:56


BOUCHES-DU-RHÔNE - proposition de loi contre les pannes d'ascenseurs qui durent bientôt débattue :
Quand ils ne savent plus vers qui se tourner, ils en appellent aux médias. Après 25 jours sans ascenseur, Nadia, locataire au 14ᵉ étage d'une copropriété dégradée, témoignait en décembre sur France 3 : "Je ne peux pas sortir et même les infirmières ne montent pas". L'enfer de Frédéric tétraplégique a duré trois mois, son quotidien réduit à regarder la télé, rapportait en novembre Le Dauphiné.
Sur tout le territoire, des Français, âgés, malades ou handicapés, subissent "une véritable assignation à résidence", contre laquelle entend lutter une proposition de loi du député de l'Eure Philippe Brun, en imposant "des obligations de réactivité" et des sanctions dissuasives envers les sociétés de maintenance.
Chaque année, 1,5 million de pannes d’ascenseur sont signalées en France et certaines pannes persistent jusqu’à 10 mois, souligne en préambule le texte qui sera présenté le 23 janvier à l'Assemblée nationale par le député PS Laurent Lhardit.
"Il y a en France des milliers et des milliers de personnes qui chaque année sont entravées dans leur liberté de circulation parce qu'elles habitent dans des logements qui nécessitent des ascenseurs qui fonctionnent et il faut que ça change", affirme l'élu marseillais.

"C'est une façon de faire bouger les professionnels."
Laurent Lhardit, député PS des Bouches-du-Rhône

La situation n'est pas nouvelle, ces pannes anormalement longues sont récurrentes depuis plus de 20 ans.
Au cours d'auditions réalisées l'automne dernier, les parlementaires ont identifié divers dysfonctionnements : absences de signalement des pannes, délais interminables pour commander des pièces, etc. Autant de leviers sur lesquels la loi veut agir pour réduire l'attente des habitants. Elle prévoit pour cela d'inclure des obligations contractuelles draconiennes, assorties de sanctions financières et pénales dissuasives en cas de non-respect. Ainsi, si la panne n’est pas réparée dès la première intervention, les ascensoristes disposeront de huit jours ouvrés supplémentaires pour résoudre le problème. Passé ce délai, ils seront sanctionnés par une astreinte de 1 000 euros par jour de retard.
Pointée également du doigt, l'absence de stock de pièces détachées qui permet aux sociétés de maintenance pour être plus compétitives. Les opérateurs devront constituer un stock suffisant, où ils s'exposeront à une amende de 1% sur leur chiffre d'affaires.
Passé un certain délai, la copropriété ou le bailleur pourra se substituer à l'ascensoriste, pour mettre en place un système de portage pour les occupants à mobilité réduite, en payant des services de livraison de courses ou de médicaments par exemple. "La question est de savoir qui prend en charge ce que coûte le fait d'accéder aux étages, que ce soit pour les locataires comme les prestataires de service, et que ce soit pris en charge par la copropriété qui peut ensuite se retourner contre l'ascensoriste", selon Laurent Lhardit.

> Dans un communiqué, la Fédération des ascenseurs juge cette proposition de loi "excessive", mettant en avant la vétusté du parc. Dans 40% des cas, les pannes sont dues à la vétusté. La moitié des ascenseurs existants a plus de 30 ans, la moitié a même dépassé 40 ans. La fédération pointe aussi "les dégradations volontaires et répétées, notamment dans les quartiers sensibles". Elle estime "que la proposition de loi fragiliserait les ETI et PME françaises et entraînerait un renchérissement des coûts des contrats d'entretien, au détriment des usagers, notamment les plus vulnérables".

> Près de 80% de ces appareils sont installés dans des copropriétés, parfois très dégradées et très endettées. Certaines comme celle du Mail, à Marseille, sont placées sous administrateur judiciaire. Pour les promoteurs de la loi, la question du coût n'est pas un obstacle. Le contrat de maintenance d’un ascenseur représente un coût moyen compris entre 1 500 et 2 500 euros par an. La hausse de coût est chiffrée à 15%, selon Laurent Lhardit, soit autour de 300 euros. "Répartie dans une copropriété de vingt ou de trente appartements ou dans une tour de logements sociaux, on ne peut pas dire que cette somme entraînera une augmentation importante des loyers", argumentent les promoteurs de la loi.

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