Auteur : Mel_C  

COUR D'APPEL DE NÎMES - Rentrée sous haute pression
La situation de l'activité judiciaire passée à la loupe ce vendredi 17 janvier à l'occasion de l'audience solennelle de rentrée de la cour d’appel de Nîmes. Affaires criminelles, narcobanditisme, des magistrats mobilisés mais en nombre insuffisant.

Auteur : Mel_C  

GARE DE NÎMES - Suspecté de menace avec un couteau et de tentative de cambriolage :
> La police a arrêté vendredi soir un homme suspecté dans une tentative de vol dans une maison, située derrière la gare. Il a été placé en garde à vue.
C'est une voisine inquiète qui a vu une scène étrange dans une maison proche de la sienne qui a prévenu la police. Sur les lieux, près de la rue Sainte-Perpétue, les policiers ont interpellé un homme soupçonné de s'être introduit dans la maison. Il est aussi suspecté d'avoir exhibé un couteau pour faire partir la voisine. Le suspect a été placé en garde à vue pour menace acec arme et tentative de vol. Ses antécédents judiciaires pourrraient conduire à un déferrement devant un magistrat du tribunal judiciaire de Nîmes.

Auteur : Mel_C  

Mort d'Emile :
Marie et Colomban Soleil, les parents d'Emile, souhaitent enterrer leur fils au cimetière du Haut-Vernet. Leur demande était à l'ordre du jour du conseil municipal, ce samedi 18 janvier 2025.
"J’ai regardé la question, enterrer ce pauvre petit Emile. Ce n’est pas une demande de concession familiale, on n’a pas le droit de la refuser", s'est exprimé le maire, François Balique, cité par BFM.
"Nous ne sommes pas obligé d’accepter, j’avais dit aux parents d’attendre, que l’on devait décider en Conseil municipal."
Le maire précise que "ce sera un simple tombeau" et qu'il sait déjà où il sera positionné, selon la chaîne d'informations en continu.
"Je le fais avec le cœur, mais que pour inhumer Emile, car sinon après, il faudrait le faire pour tout le monde", a-t-il ajouté. "On ne va pas se transformer en cimetière."
François Balique demande alors à son conseil municipal si des personnes sont contre. Il obtient un silence comme réponse, d'après BFM. La demande est acceptée à l'unanimité. Le maire devait appeler les parents dans la soirée, selon ses mots.
Les obsèques d'Emile Soleil doivent avoir lieu début février. La date du 8 février aurait été bloquée par la famille, selon BFM, repris par Le Parisien. Une célébration religieuse devrait se tenir dans un lieu symbolique choisi par la famille de l’enfant : la basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume dans le Var. La messe sera ouverte au public. L'inhumation aura ensuite lieu au cimetière du hameau du Haut-Vernet.
Le 8 juillet 2023, le petit Emile, deux ans et demi, a disparu au Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, alors qu’il était dans le jardin de ses grands-parents. Le 30 mars 2024, une habitante a retrouvé le crâne du petit garçon à proximité du hameau. Les causes de la mort du jeune enfant restent encore inconnues.

Auteur : Mel_C  

PARIS 19e ARRONDISSEMENT - Il était retranché chez lui armé d’un fusil : la police tire sur un homme soupçonné de violences, le forcené venait d'ouvrir le feu :

>L’homme était retranché dans une cave ce samedi 18 janvier et venait de tirer sur les policiers qui ont répliqué. L’homme a été transporté à l’hôpital et son pronostic vital est engagé.

Les faits se sont déroulés ce samedi 18 janvier en fin d’après midi dans le 19e arrondissement de Paris, rue Alphonse Karr. Un homme est retranché chez lui avec un fusil dans les mains selon les informations du Parisien. Un premier équipage de la Bac intervient alors qu’une "plainte pour violences commises par ex-conjoint" a été déposée selon le parquet de Paris.
Le parquet a ainsi fait savoir que les forces de l’ordre ont "essuyé des tirs d’arme à feu, auxquels ils ont riposté". Si l’homme a été transporté à l’hôpital avec un pronostic vital engagé, aucun blessé n’a été recensé du côté de la police. L’homme reste menaçant, ne lâche pas son arme et ne se rends pas face aux agents de la Bac, qui demandent des renforts. Ce sont le Groupe de soutien opérationnel (GSO), et la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) qui vont se rendre sur les lieux.
Le forcené tire alors sur les membres du GSO qui répliquent et le blesse gravement au niveau du ventre. Le parquet précise que deux enquêtes ont ainsi été ouvertes. L’une des chefs de violences par ex-conjoint, détention d’arme et tentative d’homicide volontaire sur personnes dépositaires de l’autorité publique, confiée au 2e district de police judiciaire de Paris à l’encontre du forcené. L’autre du chef de violences avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique, confiée à l’inspection générale de la police nationale (IGPN).

Auteur : Mel_C  

MONTPELLIER - Exhibition sexuelle à la cité universitaire :

>>> Un jeune homme âgé de 26 ans a été interpellé à la Cité Universitaire Boutonnet à Montpellier ce lundi 13 janvier pour des faits d'exhibition.

L'histoire a débuté le 21 décembre. L'homme s'est approché d'une jeune femme de 21 ans présente dans la salle d'étude de la Cité U' pour la saluer. Quelques secondes plus tard, alors qu'il se trouvait derrière elle, il l'a de nouveau interpellé. Elle s'est retournée, et c'est à ce moment-là qu'il a baissé son pantalon pour exhiber son sexe. La jeune femme s'est levée en criant puis a quitté la pièce. Elle a déposé plainte.
Les policiers nationaux se sont rendus compte que l'homme n'en était pas à son coup d'essai. Il a en effet pour mauvaise habitude de toquer à la porte des étudiantes de la cité universitaire de manière insistante. Une plainte a également été déposée par une jeune femme de 24 ans le 25 novembre dernier après qu'il se soit introduit dans sa chambre.
Une autre plainte a également été déposée en février 2023 par son ancienne tutrice de stage après qu'il lui ait fait des avances sexuelles très insistantes et qu'il ait eu des gestes déplacés envers elle.
L'homme a perdu son statut étudiant il y a quelque temps. Il ne devrait plus occuper son logement et est sur le coup d'une expulsion. Il a été interpellé dans ce même appartement. Il a reconnu les faits. Il a été jugé en comparution immédiate dans l'après-midi de ce mercredi 15 janvier.

Auteur : Mel_C  

HERAULT - Amandine, morte de faim à 13 ans :

>>> Affamée depuis des mois, Amandine ne pesait plus que 28 kg pour 1,55 m le jour de sa mort, en août 2020, à l'âge de 13 ans. Jugée pour "actes de torture" à partir de lundi, à Montpellier, sa mère encourt la réclusion à perpétuité.

"Il ne fait aucun doute qu'Amandine a enduré de la part de Sandrine Pissarra des violences destructrices et paroxystiques, dont le seul dessein a été la volonté de l'entraîner dans une agonie honteuse et humiliante", selon le juge d'instruction chargé du dossier, dans son rapport d'enquête.
Renvoyée devant la cour d'assises de l'Hérault, pour "actes de torture ou de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner" - en l'espèce de l'avoir notamment "affamée" - entre le début du premier confinement, le 17 mars 2020, et le décès de sa fille, le 6 août de la même année, Sandrine Pissarra, 54 ans, encourt la réclusion à perpétuité.
Ancienne serveuse, mère de huit enfants nés de trois unions, elle doit en outre répondre de violences volontaires sur Amandine au cours des six précédentes années. Le verdict est attendu vendredi.
"Violente, manipulatrice et menteuse", selon ses ex-compagnons, accusée de maltraitances par plusieurs de ses autres enfants, la quinquagénaire a toujours nié les faits, se décrivant même comme une mère "aimante" face à une adolescente "voleuse" et "capricieuse".
En couple avec elle depuis 2016 et jugé à ses côtés, Jean-Michel Cros, 49 ans, risque lui 30 ans de réclusion pour avoir "privé de soins ou d'aliments" sa belle-fille et n'avoir rien fait pour la "sauver d'une mort certaine", selon l'ordonnance de mise en accusation.
Dans ce document, deux photos illustrent le martyre de la jeune fille. Sur la première, datant de sa rentrée en classe de troisième, en septembre 2019, Amandine, petit sourire, a de longs cheveux noirs et semble d'une corpulence normale. Sur la seconde, le jour de son décès, elle présente les stigmates impressionnants d'une grave dénutrition : orbites enfoncées, pommettes proéminentes et joues creuses.
Elle a "dû être victime de négligences graves de la part de son environnement familial pour atteindre un tel niveau d'amaigrissement", a relevé le médecin légiste.
Appelés à intervenir le 6 août 2020 dans la maison familiale, dans le village de Montblanc (Hérault), les gendarmes de Pézenas avaient eux aussi été frappés par son extrême maigreur et par les traces de coups qu'elle portait au visage.
Entendue le lendemain, sa mère avait expliqué qu'Amandine souffrait de troubles alimentaires, ce que personne n'a confirmé, et la veille elle n'aurait accepté que d'avaler un morceau de sucre, un peu de compote et une boisson hyper-protéinée, avant de se mettre à vomir puis de cesser de respirer.
Selon un double rapport d'autopsie, son décès serait dû à un "trouble du rythme cardiaque" secondaire à un état d'amaigrissement extrême associé à une septicémie et à "un possible syndrome de renutrition inappropriée".
Interpellés et mis en examen neuf mois plus tard, la mère d'Amandine et le compagnon de celle-ci sont depuis lors en détention provisoire.
L'enquête a révélé qu'Amandine avait toujours été le souffre-douleur de sa mère, qui la privait notamment de nourriture, lui infligeait d'interminables "punitions d'écriture" et l'enfermait dans un débarras, sous la surveillance de caméras.
Selon l'expertise psychiatrique, Sandrine Pissarra a pu "transposer sa haine" du père d'Amandine sur le corps de sa fille. Avec le confinement, la collégienne avait cessé d'être scolarisée et les violences et privations s'étaient amplifiées, sans garde-fou ni limite.
Le père d'Amandine, son frère et sa soeur se sont portés parties civiles, ainsi que quatre associations, dont "L'Enfant Bleu - Enfance Maltraitée", qui entend "interroger les failles du système de protection de l'enfance". De fait, plusieurs signalements et trois saisines du juge des enfants n'avaient débouché sur aucune mesure qui aurait pu mettre Amandine hors de danger.

Auteur : Mel_C  

GARD - Les perturbations sur les routes à partir du lundi 20 janvier 2025

Le Conseil Départemental du Gard nous informe des cinq nouvelles perturbations programmées sur le réseau des RD gardoises la semaine prochaine :

>>> VIA RHONA
( entre Aigues-Mortes et Le Grau-du-Roi )
Du 20/01/2025 (07h00) au 30/05/2025 (17h00)
Travaux sur réseau d'assainissement
Fermeture de la VIA RHONA durant toute la durée des travaux, soirs et week-end compris.
Suivre la déviation locale mise en place.

>>> RD135
( à Milhaud )
Du 20/01/2025 (08h00) au 25/01/2025 (17h00)
Maintenance radar tourelle
Un léger empiètement sur la chaussée, prudence.

>>> RD6086
( à Bezouce )
Du 20/01/2025 (09h00) au 24/01/2025 (16h30)
Maintenance radar tourelle
La circulation sera alternée entre 09h00 et 16h30.

>>> RD986L
( à Comps )
Du 20/01/2025 (09h00) au 07/02/2025 (16h30)
Création réseau électrique
La circulation sera alternée entre 09h00 et 16h30.

>>> RD135
( Vauvert - Le Cailar )
Du 22/01/2025 (20h00) au 23/01/2025 (07h00)
Fermeture du Passage à niveau vers le pont des Tourradons
Fermeture de nuit entre 20h00 et 07h00.
Suivre la déviation locale mise en place.

=e Vendée Globe
"J'espère juste que le bateau tienne encore jusqu'aux Sables-d'Olonne" : vers un record de vitesse pour Justine Mettraux
La bataille fait rage en mer pour les places d'honneur du Vendée Globe. Une dizaine de bateaux pourraient franchir la ligne d'arrivée dans les prochains jours, dont le monocoque bleu et gris de Justine Mettraux.
La Suissesse pourrait devenir la navigatrice la plus rapide de l'histoire de la course.